Petit intermède à trois Après nos ébats, la piscine nous semble délicieuse et nous détend. Nous faisons des allers et retours savourant cette eau fraîche qui glisse tout au long de nos corps nus en un massage sensuel et délicieux. De temps en temps nous nous frôlons et laissons doucement une main effleurer un sein, une fesse, un sexe. Alors que nous profitons pleinement de ces moments de récupération, un bruit de voiture se fait entendre. Michaël se tourne vers la maison — Tu attendais quelqu’un ?— Non, personne, je ne vois pas qui pourrait venir à cette heure! Un appel retentit — Hello il y a quelqu’un, Martine tu es là ?— T’inquiètes pas Michaël, c’est Geneviève. Hello Geneviève, nous sommes dans la piscine ! Geneviève apparait à la porte fenêtre de la chambre, perchée sur des talons aiguilles, un mini short en jean moulant ses petites fesses rebondies, tandis que son chemisier largement ouvert ne cachait que peu de choses de sa poitrine petite et ferme. — Vous ne vous embêtez pas à ce que je vois !— Tu peux nous rejoindre si tu veux, je te présente Michaël mon jardinier ... enfin mon jardinier à tout faire !— Pas de soucis j’arrive ! En deux temps trois mouvements, Geneviève fait valser ses escarpins, ouvre et fait glisser le mini short le long de ses jambes fuselées, se débarrasse du chemisier et entièrement nue elle aussi, plonge nous rejoindre.Quelques brasses, elle est près de nous, reprend pied et se redresse. Son buste émerge ruisselant, une légère chair de poule due à la différence de température parcourt sa peau bronzée érigeant ses petits tétons qui pointent agressivement vers nous. Pendant quelques temps nous nous amusons à nous asperger, à nous frôler, à échanger de furtives caresses au milieu de bruyants éclats de rire. Puis nous rejoignons les bords les plus ensoleillés de la piscine sur lesquels nous nous asseyons pour nous sécher. Geneviève s’installe près de moi tandis que Michaël se met un peu à l’écart. — Pas mal ton jardinier, tu l’as trouvé comment ?— Je n’ai pas cherché c’est l’agence qui m’a loué la maison qui me l’a envoyé.— Veinarde, il est assez beau gosse !— Je ne me plains pas.
— Je m’en doute, tu baise souvent avec lui ?— Presque chaque fois qu’il vient entretenir la piscine et le jardin, il en profite pour s’occuper de mon petit gazon !!— Cela tombe bien, je ne me suis pas épilé la chatte depuis trois semaines donc j’ai moi aussi un petit gazon à entretenir et à arroser pour le faire pousser.— Si cela te fait plaisir ne te gênes pas, je ne suis pas pour l’exclusivité ! Michaël avait-il entendu les propos de Geneviève ? Toujours est-il qu’il se laisse glisser dans l’eau et en quelques brasses il est près de nous. Tout en me regardant avec un sourire narquois, il approche de Geneviève et s’accoude au rebord de la piscine. Geneviève bascule en arrière cuisses écartées, puis se redresse, allonge les jambes et les glisse autour du cou de Michaël. Il la fixe longuement dans les yeux dépose un baiser sur l’un de ses pieds, sort de la piscine et se dirige vers le pool house. Geneviève se tourne sur le ventre et éclate de rire en le suivant des yeux, se redresse tout en passant doucement la main sur sa chatte. Je me lève et me dirige à mon tour vers le pool house aussitôt suivie par ma copine. Adossé à un pilier, Michaël nous y attend. Nous venons nous coller à lui et il nous prend toutes deux par la taille tandis que nous commençons à tripoter son sexe, Geneviève masse sa ite pendant que je m’occupe de ses couilles. Quant à lui, chacune de ses mains ont pris possession de nos fesses respectives qu’il masse avec application. Sous nos caresses, son sexe ne tarde pas à reprendre une belle vigueur, aussitôt Geneviève crache sur la verge tendue et se met à la masturber quelques instants puis se penche et commence une savante fellation. Pendant ce temps je colle ma bouche à celle de Michaël, nos langues se mélangent dans une sensualité intense, nous nous mordillons les lèvres. Nos souffles se font courts, ses mains parcourent mon corps, l’une d’elles s’insinue entre mes fesses que je contracte aussitôt pour la retenir en une invite à peine voilée. Geneviève s’interrompt, relève la tête — Martine, tu veux goûter ?— Avec plaisir ! Je me penche pour enfourner à mon tour la verge palpitante, ce qui a pour effet d’enfoncer un peu plus la main de Michaël entre mes fesses. Pendant plusieurs minutes nous poursuivons notre jeu, nos bouches prenant tour à tour possession de la verge, l’engloutissant au plus profond possible, léchant le gland turgescent. C’est au bout d’un moment que Geneviève et moi nous nous agenouillons aux pieds de Michaël qui relevant une jambe la pose sur un transat, il me fait face, j’en profite pour m’approprier sa bite et ses couilles pour ma seule bouche. De son côté, Geneviève pour ne pas être en reste lui écarte les fesses et se met en devoir de lui lécher la rondelle. Sa langue tourne doucement entre les fesses autour du petit trou, puis elle darde par petits coups une langue pointue à l’entrée de la grotte, l’insinuant par instants à l’intérieur. Michaël apprécie particulièrement, se tourne légèrement et de la main plaque la tête de Geneviève contre son postérieur. Mes lèvres enserrent cette hampe de chair, qui ne demande qu’à s’enfoncer au plus profond de ma gorge, dans un lent va et vient. Je lui suce le gland avec avidité, je l’aspire avec délice, faisant tourner ma langue tout autour de sa base. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, Michaël s’abandonne tout entier à nos caresses linguales laissant échapper des soupirs de satisfaction. Avec chaque main il maintient fermement nos deux têtes l’une contre son sexe, l’autre contre ses fesses. De longues minutes se passent puis nous nous redressons, Geneviève se positionne en levrette et la bite de Michaël pénètre sans difficulté dans la chatte humide, tandis que je m’allonge pour mieux lécher les couilles bien fermes de notre partenaire. Tout en poursuivant mes caresses linguales et de petits mordillements, je contemple les nombreux va et vient des deux sexes, par instants des gouttes de cyprine éclaboussent mon visage. Michaël se retire et plonge son sexe dans ma bouche, il s’enfonce au plus profond, puis m’offre à nouveau ses couilles tout en se masturbant. Geneviève lui écarte la main, s’empare de la verge qu’elle enfonce dans ma bouche. Je mouille abondamment ce sexe palpitant qui après quelques secondes s’arrache de moi pour plonger dans la chatte de Geneviève, une main sur sa gorge, l’autre cramponnée à ses hanches il la ramone activement tandis que cette dernière hurle son plaisir et que je lui suce avidement les couilles. De temps à autre, il quitte la chatte de Geneviève pour ma bouche, puis reprend le ramonage de la donzelle. Ces activités se renouvellent à maintes reprises, le sexe de Michaël s’enfonçant à chaque fois plus profondément au fond de ma gorge et dans Geneviève haletante, bouche grande ouverte sans qu’un seul son n’en sorte. A la dureté de sa bite, je sens que la jouissance arrive. — Geneviève, c’est bon il vient !!! Aussitôt elle se retourne et s’agenouille près de moi. Nous lui faisons face. Je m’empare de sa verge et me mets à la secouer vigoureusement tout en donnant des petits coups de langue sur le gland violacé ; pendant ce temps, Geneviève s’occupe de ses couilles qu’elle lèche et mordille avec avidité. Michaël s’allonge sur le dos ce qui permet à cette dernière de lui écarter les fesses pour accéder à nouveau à son petit trou promenant ainsi sa langue au depuis les couilles jusqu’à l’anus. Sous nos caresses, Michaël n’en peut plus, sa tête se rejette en arrière il pousse un long râle de plaisir, j’ouvre grand la bouche et recueille un long jet de sperme chaud et épais qui éclabousse jusqu’au fond de ma gorge. Je me penche vers Geneviève qui interrompant son léchage relève la tête, je laisse alors le sperme couler de ma bouche sur les couilles de Michaël, s’insinuer dans le sillon au-dessous du scrotum pour se diriger vers son anus, mais Geneviève ne lui laisse pas le temps d’arriver jusque-là et s’applique à en recueillir les moindres gouttes. Elle tend la bouche vers moi, nos lèvres se soudent, nos langues se mélangent et nous partageons avec délice cette liqueur visqueuse, épaisse et odorante. Après de longues minutes, nous reprenons nos esprits et nous glissons à nouveau dans la piscine. — Ouf, s’exclame Geneviève, je ne m’attendais pas à une telle fin de journée.— Tu regrettes ?— Sûrement pas, et si vous prévoyez une autre séance n’hésitez pas à me faire signe !— T’inquiètes, je penserai à toi, tu pourras même venir avec Isabelle, plus on est de fou plus on rit !!— Je lui ferai la commission, promis. Sur ces dernières paroles, Geneviève sort de l’eau, se sèche rapidement, enfile ses vêtements et disparait. Quant à moi, après un long baiser Je dis au revoir à Michaël et je rentre dans la maison pour rejoindre ma chambre.
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