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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 6

souvenirs, reminiscence et jeu dangereux

SM / Fétichisme
Souvenirs, réminiscence et jeu dangereux
Après une nuit réconfortante et un solide petit déjeuner, je décide d’aller faire une promenade dans les environs. J’enfile rapidement une tenue de jogging sous laquelle je reste entièrement nue, une paire de sandales, des gants souples pour écarter si besoin des branches d’arbustes et me voilà partie. Ne souhaitant pas prendre le chemin qui conduit à la ferme et dans lequel j’avais rencontré le fermier et son aide, j’oblique tout de suite vers la gauche et m’engage dans un sentier qui s’enfonce dans une petite forêt. J’avance doucement, profitant de la nature et du chant des oiseaux. Je savoure ce moment de détente et me remet des émotions de la veille avec Michaël et Geneviève, mais malgré moi ce souvenir s’impose à mon esprit et une douce chaleur me parcoure le ventre. Je m’enfonce plus avant dans le bois, et au bout d’une bonne heure de marche j’éprouve le besoin de me reposer un peu et j’avise un tronc d’arbre qui fait parfaitement mon affaire.
Je m’assois et me renverse légèrement en arrière, les yeux mi-clos, je respire à plein poumon l’air frais du matin. De longues minutes passent, je rouvre les yeux et regarde autour de moi. Une frange d’herbes folles et sauvages courre tout au long du tronc d’arbre. Mon regard se fixe sur une touffe plus importante essentiellement constituée de grandes tiges d’orties. Une foule de souvenirs remonte en moi.
Je me revoie plus jeune, âgée d’une douzaine d’années, mais déjà très adepte de l’exhibitionnisme. Je n’hésitais pas à l’époque, lors de promenades dans les champs environnants, à me dévêtir et à me rouler entièrement nue dans l’herbe mouillée par la rosée. Je remarquais très vite que l’humidité, alliée à la fraîcheur matinale, durcissait les mamelons de mes petits seins naissants, et c’est tout naturellement qu’alors j’en caressais les pointes. Vous ai-je déjà dit que la partie la plus sensible de mon corps ce sont mes seins ? Depuis longtemps, je les ai toujours considérés comme la première source de mes plaisirs. Dans ces instants champêtres, des ondes de plaisir me parcourraient le ventre, humidifiant mon sexe. Au hasard de mes galipettes, il m’arrivait par instant de rouler sur une petite touffe de chardons ou d’orties.
Les légers picotements qui en résultait faisaient naître en moi des sensations troubles ou se mêlaient douleur et plaisir, et plus particulièrement si les seins en étaient l’objet. Entre toutes, c’était incontestablement la rencontre avec les orties qui me satisfaisait le plus. J’appris par la suite à apprivoiser ces plantes urticantes et à en faire un objet de plaisir. Mais l’âge avançant j’avais vite abandonné ces pratiques solitaires pour me livrer à mes partenaires.
Le temps a passé, mais la sensibilité de mes seins ne s’est pas estompée, et de temps en temps, chaque fois que l’envie s’en fait sentir, j’écarte mon chemisier et dégage mes seins du soutien-gorge pour effleurer mes mamelons qui, très vite, durcissent sous mes caresses. Alors, doucement, mes doigts tournent autour de ces petites pointes dressées. Je mouille mes doigts pour les rendre encore plus sensibles. Devant un miroir, j’aime contempler leurs pointes brunes rosées que souligne le contour plus foncé de l’aréole. Je les taquine, je les agace gentiment de la pointe de mes ongles. Je m’attarde sur ces caresses préliminaires puis, les prenant entre le pouce et l’index je les serre doucement tout en imprimant une légère rotation, enfin tire dessus en serrant de plus en plus fort. Si j’en ai la possibilité, je les presse dans des pinces lestées qui à chaque mouvement provoquent une sensation délicieuse.
Cette légère douleur déclenche en moi une onde de plaisir qui se répercute jusqu’à mon clito. D’une main je les excite alternativement, tandis que de l’autre je masse doucement mon clito jusqu’à ce qu’une perle de cyprine, accompagnée d’ondes de plus en plus fortes me parcourent le ventre, annonciatrices de mon plaisir final.
Ce n’est donc pas étonnant si dans mes rapports sexuels avec des hommes ou des femmes je leur fait comprendre qu’ils doivent porter une attention particulière à ma poitrine. Si ils s’y prennent bien, plus ils me tripotent les tetons, plus mon clitoris durcit, générant en moi un désir intense accompagné parfois de cris de jouissance. Je savoure avec délice la caresse chaude et humide d’une langue qui s’enroule autour de mes pointes fermes et dures, qui les agace et les taquine. J’aime la succion d’une bouche avide qui les aspire peu à peu, puis de plus en plus fort, les mettant au contact de dents qui se referment sur elles les mordillant encore et encore. Alors, j’attends avec impatience que le gland gonflé d’un homme, ou le god ceinture d’une femme pénètre mon intimité, se fraye un chemin au plus profond de mon intimité et que dans de longs et profonds va et vient me transportent au sommet du bonheur.
Mais, revenant à la réalité, je fixe à nouveau la grosse touffe d’orties. Retrouverai-je aujourd’hui après toutes ces années mes sensations passées ? Je ne résiste pas à l’envie qui me prend, et je cueille délicatement depuis leur base plusieurs tiges particulièrement fournies en feuilles, que je dépose sur le tronc d’arbre sur lequel je m’étais reposée. Les gants que j’avais pris pour écarter les branchages éventuels me protègent bien dans cette opération. Je me redresse et me débarrasse du haut de mon jogging. Je pense que je deviens folle, mais l’assurance d’être seule au fin fond de ce bois me rassure et me pousse à poursuivre cette expérience. La culotte du jogging va vite retrouver la veste sur l’herbe fraîche. D’une main toujours gantée, je récupère trois tiges d’orties, de l’autre main je soulève un sein et commence doucement à en caresser la pointe avec la plante urticante. J’alterne d’un sein à l’autre, des picotements ne tardent pas à se faire sentir.
Je frotte le bout de mes seins en appuyant de plus en plus. Les sensations du passé remontent en moi, plus rien de m’arrête. Relevant une jambe, il me vient l’idée saugrenue de me caresser la plante des pieds. Reprenant des tiges neuves, je descends le long de mon corps, passe sur le nombril, et rejoins mon sexe. Jeune, je n’avais jamais osé aller jusque-là ! J’hésite un peu, repasse lentement sur le ventre, allant et venant du nombril au sexe, de ma main libre je caresse mes lèvres, glissant un doigt dans la fente, tâtant mon clitoris. Vais-je franchir le pas ? Brutalement je me décide, j’écarte les jambes, avec deux doigts j’ouvre ma fente et sans hésitation je passe la tige et les feuilles dans la petite raie ainsi dégagée. Les multiples piqures générées sur ma muqueuse ultrasensible font que je me rejette vivement en arrière.
Je m’accroupie adossée au tronc d’arbre, écarte largement mes cuisses, ramasse une nouvelle série de tiges d’orties et reprend les caresses sur mon intimité. J’ai la chatte en feu, me relevant je me penche en avant écarte bien les fesses et c’est à mon anus que je prodigue maintenant des soins particuliers. Cela pique, je sens des fourmillements de partout, mon sang s’échauffe, j’arrête un moment et sautille sur place ayant l’impression que des milliers de fourmis parcourent tout mon corps. Cela me brûle de partout ! Accroupie à nouveau, je m’empare d’une poignée de feuilles et sans réfléchir les applique fortement sur mon sexe, puis entame des va et vient entre mon anus et ma chatte, les larmes me montent aux yeux, tout mon bas ventre et mon entre jambes sont en feu, mais plus rien ne me retient. Je frotte à nouveau mes seins, des plaques rouges sont maintenant apparues autour de mes aréoles.
Je résiste à l’envie qui me tenaille de me pénétrer avec ces feuilles urticantes, d’en prendre une belle quantité, de les rouler en boule et de les enfoncer dans ma chatte et dans mon anus.J’ai retrouvé mes sensations d’adolescente, mais aujourd’hui c’est en pire, jamais je n’avais à l’époque osé aller jusque-là où je suis allée ce matin. Je crois que je deviens folle, complètement libérée, je donne libre cours à tous les phantasmes qui me traversent l’esprit.
Haletante je reprends peu à peu ma respiration.
— C’est comme ça que tu te fais jouir belle salope !!
Je sursaute et me retourne d’un bond. Le fermier est là, il est arrivé dans mon dos sans que je ne m’en aperçoive. Depuis combien de temps est-il là ? Sa remarque me fait vite comprendre qu’il a dû assister à une bonne partie de mon exhibition. Je reste paralysée et aucun son ne sort de ma bouche, je ne pense même pas à tenter de dissimuler ma nudité, après tout lors de notre dernière rencontre il avait pu me voir nue.
— Alors ma belle, on donne dans le sado maso ?
Il approche de moi, son regard lubrique ne présage rien de bon. Il tourne légèrement la tête :
— Joseph ! Viens voir qui est là.
Il n’est donc pas seul et son valet l’accompagne, je sens une boule se former dans ma gorge. Je vois le second personnage apparaître de derrière un taillis.
— Notre amie à l’air d’apprécier les orties, on va lui donner satisfaction, pendant que je prends ce qu’il faut.
Le Joseph s’exécute tandis que son maître sort de sa poche une paire de gants de jardinier et passant près de moi, il me claque vigoureusement les fesses.
— J’ai ce qu’il faut faire rougir ces jolies choses, quoiqu’elles aient déjà bien rosi avec le traitement que tu leur a donné.
Il se dirige vers un bosquet, sort un couteau de sa poche, taille une énorme touffe d’orties il revient vers moi, la promène le long de mon dos, sur mon postérieur endolori, me le caresse de la main, puis se met à me fouetter vigoureusement, puis il passe la touffe entre mes cuisses ; malgré que Joseph me maintienne solidement je me débats pour m’échapper.
— Elle nous agace cette garce ! Joseph couche la sur le tronc d’arbre et maintient la solidement !
Joseph ne se fait pas prier, il me repousse en arrière, je bascule et me retrouve allongée contre le tronc dont les écorces rugueuses meurtrissent mon dos déjà abimé par les orties. Mes jambes pendent de chaque côté du tronc, j’ai les cuisses largement ouvertes et Joseph s’installe à califourchon derrière ma tête et maintient solidement mes épaules. Le fermier s’avance, fait tournoyer l’énorme touffe d’orties, me frôle les seins et le ventre jusqu’au pubis pour bien montrer qu’il n’épargnera aucun endroit de mon corps. Puis cette caresse se fait plus forte, il me cingle, me frappe avec violence. Tout le devant de mon corps est en feu, il s’acharne en particulier entre mes cuisses. Je me laisse aller, partagée de pensées plus différentes les unes que les autres. Tantôt un sentiment de révolte, tantôt acceptant la situation sachant que je ne peux rien y changer.
Lassé sans doute de me fouetter, le fermier jette au loin les orties. Il me contemple un instant de son regard lubrique, tout en continuant à me fixer, il dégrafe lentement son pantalon. Si j’avais naïvement eu un doute sur la suite des évènements, me voilà maintenant renseignée. Il fait glisser son slip, dégage son sexe, il commence à bander. Crachant abondamment dans sa main il entame une masturbation qui a pour effet de durcir et raidir sa bite. Je sais ce qui m’attend, alors autant que cela se passe le mieux possible, j’accepte cette soumission à ces deux hommes, leur côté rustique ne me rebute pas, je suis prête à tout accepter et à me livrer entièrement à leurs phantasmes. Il approche son sexe de mon intimité meurtrie, de son gland chaud et humide i caresse l’intérieur de mes grandes lèvres et remonte jusqu’à mon clitoris.
A ce contact, mon clitoris ultra sensibilisé par les orties réagit immédiatement, une onde électrique violente me parcours et je laisse échapper un gémissement. Mon esprit s’affole, une envie impérieuse de me faire prendre là, maintenant, s’empare de moi. Son gland est maintenant à l’entrée de mon vagin, d’une poussée brutale, il me pénètre sans ménagement et je pousse un cri de douleur alors que contre toute attente, mon bassin se soulève, poussant à l’extrême vers la hampe qui talonne maintenant le fond de mes entrailles. Malgré la douleur qui me talonne sur la partie externe de mon sexe et l’intérieur de mes cuisses, un certain plaisir monte en moi. Je sens la cyprine qui peu à peu lubrifie mon vagin, je savoure ce mélange de douleur et de plaisir, je jouis de cette possession sauvage, presque animale.
Le fermier, penché au-dessus de moi ahane et souffle bruyamment à chaque poussée, il me triture les seins, il pince mes mamelons, il me ramone copieusement et sans ménagement, puis brutalement il se contracte, laisse échapper un soupir et se déverse copieusement en moi, enfin il retire un sexe dégoulinant et approche de ma tête.
— Vas-y Joseph, à ton tour ! Et toi suces ma belle et nettoies.
Et sur ces bonnes parole, il me plante sa bite dans la bouche tandis que Joseph se déloque à son tour et me pénètre tout aussi brutalement que son patron, mais son sexe de taille inférieur réduit la sensation de douleur. De plus, le sperme qui remplit mon vagin facilite la pénétration et les va et vient du domestique qui, excité par tout ce qui a précédé éjacule presque aussitôt. Il se retire de ma chatte dégoulinante et se réajuste.
— C’est bon Joseph, tu as pris ton pied, elle vaut le coup hein ? Ce n’est pas tout ça mais on a du boulot à finir avant ce soir ! Allez, au revoir ma belle et à la prochaine ; jamais deux sans trois. Et n’hésites pas à passer vers la ferme un de ces jours, Mireille sera ravie de faire ta connaissance et on pourra passer un bon moment.
Sur ces paroles, il se remonte son pantalon et tous deux ils reprenne le chemin et s’enfoncent dans le bois. Brisée, je reste allongée sur le tronc d’arbre. Le sperme suinte lentement de ma chatte et coule le long de mes cuisses. Je relève lentement la tête et contemple le spectacle de mon corps dévasté. Je suis couverte de cloques de la poitrine aux genoux et marbrée de plaques rouges. Les orties ont laissé des traces.Je me lève péniblement, ramasse mes affaires, et sans même me rhabiller prend le chemin de la maison en courant. Au passage de menues branche me cinglent, ajoutant de petites trainées rouge sur mon corps meurtri. A peine arrivée, je plonge dans la piscine. L’eau fraîche me fait un bien énorme et calme les brûlures qui parcourent ma peau. Je reste ainsi un long moment, puis sans même m’essuyer, je sors de l’eau, vais me jeter sur le lit et m’endors profondément.
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