Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 75 J'aime
  • 1 Commentaire

La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 7

Petit intermède au sauna

Lesbienne
Petit intermède au sauna

Le lendemain matin je m’éveille quelque peu courbaturée, je me lève, encore à demi endormie, et me dirige vers la salle de bain. Je fais face à la grande glace qui tapisse tout un mur et je fais glisser lentement ma chemise de nuit qui tombe à mes pieds. Le miroir me renvoi l’image d’un corps qui porte encore les séquelles de mes folies de la veille. De larges plaques rouges marbrent la peau de mes seins et de mon ventre, mes parties intimes sont encore sensibles tant elles ont été malmenées. Je me tourne lentement et constate que mes fesses et mon dos ne valent guère mieux. Depuis mes années d’adolescence je ne m’étais jamais livrée à des plaisirs sados masos et n’imaginais pas y recourir à nouveau. J’éprouvais à la fois de la honte et du plaisir. Je me revoyais, allongée sur le tronc d’arbre, jambe largement écartées, proie totalement offerte et consentante à la folie lubrique du fermier et de son aide.
Je sens encore la brutalité de leurs pénétrations après les morsures des flagellations d’orties. Comment ai-je pu en arriver jusque-là ? Et pourtant je reconnais avoir ressentie une jouissance certaine et d’une intensité encore inconnue. Toute la complexité de ma sexualité libérée de toute contrainte maritale se révèle à moi : j’aime les femmes autant que les hommes, me livre entièrement au hasard des rencontres et maintenant suis prête à accepter toutes les outrances pourvu que j’y trouve mon plaisir.
Après ces quelques réflexions, je me décide à réparer tant que faire se peut les dégâts de ma folie. Je me rends sous la douche, la douceur de l’eau à peine tiède qui ruisselle le long de mon corps me fait le plus grand bien et me réveille complètement. Je promène la douchette tout au long de moi, insistant sur mes parties intimes, volontairement je ne prends pas de gel moussant craignant pour ma peau. Après de longues minutes, je m’empare d’une serviette et me tamponne doucement. Bien séchée, je prends un flacon d’huile d’amande douce en verse au creux de ma main et commence à m’en étaler sur tout le corps ; je renouvelle plusieurs fois l’opération afin de bien imprégner ma peau, puis me met à me masser doucement. Mes mains frôlent ma peau, j’appuie de plus en plus afin de bien faire pénétrer l’huile, comme j’insiste sur les parties de mon corps les plus abimées, le massage devient vite une caresse.
Je m’attarde sur mes seins dont les pointes commencent à durcir, instinctivement je les agace du bout des ongles, un courant électrique me parcoure et je sens mon ventre se contracter. Machinalement ma main descend jusqu’à mon sexe, s’incruste entre mes lèvres, effleure mon clitoris, passe sur les petites lèvres j’enfonce doucement et facilement mon majeur à l’intérieur du vagin déjà trempé. Après quelques va et vient, je ressors mon doigt et passant la main entre mes cuisses je remonte jusqu’à mon petit œillet, en fait lentement le tour, puis le pénètre à son tour. Les traitements de la veille ont largement amplifié la sensibilité de mes seins et de mes parties anales et génitales, et sous l’effet de mes caresses intimes, il faut peu de temps pour qu’un violent orgasme me traverse. Epuisée je retourne m’allonger sur le lit.
La journée se passe sans histoire. Isa et Geneviève sont en déplacement professionnel. Michaël est parti passer quelques jours dans de la famille. Le soir venu je me sens bien seule et il faut l’avouer en manque de sexe. Je suis devenue accro et je n’ai aucune envie de passer la soirée en solitaire. Je cherche quelle pourrait être la meilleure solution parmi toutes celles qui s’offrent à moi. Il est 20h 30 et je dois prendre une décision.
Répondre à l’invitation du fermier et me rendre chez lui pour une partie à trois avec sa femme ou à quatre avec son valet en plus ? La violence des assauts de la veille ne me font repousser cette hypothèse.
Aller draguer en voiture à la recherche de quelques rencontre, je sais qu’un lieu dédié existe dans le coin, mais à la nuit, seule, est-ce prudent ?Un espace de remise en forme avec salon de massage, sauna et spa a ouvert dernièrement dans la ville. Peut-être une occasion de le visiter ? Cela présente un risque minimum et si cela ne va pas il sera toujours possible d’opter pour la seconde solution.
Mon choix étant fait, je m’habille rapidement et saute dans ma voiture. La nuit est tombée, je rencontre donc quelques difficultés à retrouver le complexe sportif. Après avoir longuement tourné dans la ville, je fini par apercevoir les néons de l’enseigne. Je suis surprise de voir que le parking est presque vide, il est vrai que nous sommes en semaine et de plus l’établissement n’a ouvert que depuis peu. Je me gare, descend de la voiture, me dirige vers l’entrée, et pénètre à la réception. Une toute jeune fille est à l’accueil, elle est vêtue d’une courte blouse blanche largement ouverte au niveau du décolleté, laissant deviner deux petits seins. Visiblement elle
ne porte dessous que le minimum. Elle arbore un large sourire.
— Bonjour Madame, que puis pour vous ? — Bonjour, le sauna est-il ouvert en soirée ?— Bien sûr, toutes nos prestations fonctionnent jusqu’à 23h : sauna, spa, massages selon votre choix.
— Pour ce soir je me contenterai du sauna.— Pas de problème, je vous laisse une clé pour votre vestiaire ainsi qu’une serviette de bain. Ce soir vous êtes ma dernière cliente, car nous ne prenons plus personne à partir de 21h 30, de façon à être surs de fermer à 23h. Si vous le souhaitez, vous pouvez prendre une carte d’abonnement qui vous donne accès à toutes nos activités quand vous le désirez, en journée ou en soirée, par contre, pour le massage il faudra prendre rendez-vous. — Pourquoi pas ? Je prends volontiers votre carte, cela m’intéresse.
Elle prend aussitôt en note mon nom, mon adresse, le téléphone et quelques autres renseignements personnel ; établit la carte et me la tend.
— Voici, je vous donne de suite la clé du vestiaire et la serviette.
Elle disparait quelques instants et revient avec le nécessaire
— Le vestiaire est au fond du couloir sur votre droite, le sauna juste en face. Vous serez à l’aise il n’y a qu’une dame pour l’instant !
Je me dirige sur le fond du couloir, trouve une armoire libre. Je me défais rapidement de ma robe, de mes dessous et de mes chaussures, m’enveloppe dans la serviette de bain, traverse le couloir et pousse la porte du sauna. Sur l’instant je ne vois pas grand-chose à cause de la buée, de plus la lumière est assez faible. Mes yeux s’habituent rapidement et je distingue dans un des angles une femme d’environ cinquante ans, à la longue chevelure blonde frisée, un peu corpulente mais bien proportionnée. Un corps ferme, sans doute habitué à des exercices sportifs. Un regard profond aux yeux marrons bordés de grands cils noirs, des lèvres pulpeuses qui appellent les baisers. Elle est assise, les yeux mi-clos, la serviette posée sur son ventre. Sa poitrine est généreuse mais se tient bien, au milieu des aréoles roses, de petits tétons pointus. De la main elle caresse ses jambes, ouvre les yeux et m’adresse un sourire.
— Bonsoir.— Bonsoir, je peux m’installer au bout de la banquette ?— Pas de problème, il n’y a personne, c’est très calme ce soir. Je m’appelle Josiane et vous ?— Martine.— Vous êtes de la région ?— Non je suis juste en villégiature pour quelques temps.
Je sens son regard insistant posé sur moi. Je m’assois encore enveloppée de la serviette, puis ostensiblement la laisse tomber sur le bas de mon ventre dégageant ainsi ma poitrine. S’insinue en moi l’idée qu’une aventure est peut-être possible. Josiane semble un peu âgée et plus corpulente que moi, c’est vrai, mais elle dégage une certaine sensualité. Elle se redresse, rabat la serviette sur son ventre, puis l’écarte un instant pour mieux s’assoir dessus me laissant entre apercevoir l’espace d’une seconde son sexe épilé et referme la serviette. Elle me fixe, esquisse un sourire, et tourne légèrement la tête en se pinçant les lèvres. Ne voulant pas être en reste, je me dégage de la serviette, l’étale sur la banquette de bois et la regarde. Je décide de changer de position et m’assoie en tailleur face à elle lui offrant ainsi la vision de mon corps nu.
Elle me contemple, puis à son tour ouvre sa serviette avec un petit rire, et allonge une jambe sur la banquette, laisse l’autre pendante, exposant ainsi entièrement son sexe. L’une de ses mains descend, écarte doucement les grandes lèvres. Je contemple aisément l’intérieur rosé de son intimité, les petites lèvres entrouvertes sur l’orifice du vagin. Elle lève les bras, rejette son abondante chevelure en arrière et passe ses mains sur son corps avec un soupir. A mon tour, je me redresse, et passe les mains sur mon corps ruisselant par la chaleur du sauna, en prenant bien soin de m’attarder sur ma poitrine. Elle me regarde faire, ses mains caressent son ventre, passent entre ses cuisses, effleurent le sexe, puis y reviennent. Un doigt caresse sa fente tandis qu’elle passe l’autre main sur un de ses seins. Je n’ai plus de doute ; je me glisse sur la banquette et m’approche d’elle.
Je lui souris, sa main gauche quitte son sein et vient se poser sur ma cuisse, sans hésiter je fais de même. Je me tourne légèrement vers elle, ma main passe lentement le long d’une cuisse large et ferme effleure le sexe, remonte sur le ventre en direction de sa poitrine. J’approche ma tête, plonge mon regard dans le sien, mes lèvres rejoignent les siennes et se soudent dans un long baiser. Je caresse un sein lourd et ferme puis aussitôt descend vers son sexe que je me mets à masser doucement. Nos bouches se collent passionnément l’une à l’autre, nous aspirons goulument nos lèvres avec des bruits de succion et des petits soupirs de satisfaction. Josiane s’écarte un peu, d’un doigt elle agace la pointe érigée d’un de mes seins puis le lèche doucement tandis que son autre main s’empare de l’autre sein. Je tends ma poitrine vers elle et ferme à demi les yeux savourant cet instant délicieux. Sa bouche et sa langue se promènent délicatement, elle suce et aspire le téton durci.
Une main descend vers mon sexe, exerce de petits mouvements tournants sur mes grandes lèvres au niveau de mon clitoris, tout en continuant à me sucer le sein. Je gémi doucement tant la sensation est agréable. Peu à peu ses mouvements se font plus vifs, elle mordille et suce mes seins tout à la fois. Sur ma chatte, sa main se fait plus pressante, son index pénètre entre mes lèvres et vient chatouiller mon bouton. Nos bouches se rejoignent à nouveau. Je me laisse tomber en arrière sur la banquette, écarte largement les cuisses, à cette invite, Josiane se penche sur moi et sa bouche s’empare de ma chatte. Bouche ouverte, je râle de plaisir. Sa langue s’active avec ardeur sur mon clitoris, elle suce et déguste la cyprine qui s’écoule avec abondance de mon vagin, elle va de plus en plus vite, je n’en peux plus et hurle mon bonheur.
— Oh ouiiii ! c’est bon, vas-y Josiane, suce moi, suce moi encore ! Que c’est bon, encore, oui encore, ta langue à fond, je n’en peux plus !! C’est trop bon ! Aaaah !
Quelles sensations délicieuses différentes mais autrement plus douces que celles de la veille entre les mains du fermier. J’apprécie à fond le plaisir d’être entre les mains d’une femme aussi experte que Josiane, mon bassin ondule sous les ondes qui le parcourent.
Après de longues minutes je repousse Josiane et l’allonge sur le dos et à mon tour suce un sexe aux lèvres charnues, à peine bordées d’un petit friselis de poils blonds et courts. Une odeur enivrante se dégage de son intimité, allongée sur le dos, les yeux clos elle gémit doucement ses larges seins étalés sur son buste. Je lui mange la chatte avec avidité, n’ayant qu’un but : lui donner autant de plaisir qu’elle a pu m’en donner. Elle jouit intensément et son jus d’amour coule en abondance le long de ma bouche et sur mon visage. Enfin je me mets en levrette, à quatre pattes derrière moi Josiane s’applique à nouveau à me sucer copieusement. Sa langue pointue pénètre mon vagin et y fait des miracles.
Nous nous relevons et nous mettons chacune de notre côté reprenant nos esprits. Je relève la tête et il me semble apercevoir une ombre à travers le carreau de la porte du sauna.
— Josiane, je crois que quelqu’un a profité du spectacle !— Tu crois.— J’en suis presque sure.
Je me lève et me dirige vers la porte et l’ouvre rapidement. A ma grande surprise je me trouve face à la blonde réceptionniste, accroupie derrière la porte. Elle se relève et ramasse vivement sa serviette autours d’elle.
— Excusez-moi ! je m’en vais ! dit-elle en tentant de refermer la porte, je ne veux pas vous déranger !— Mais vous ne nous dérangez pas du tout, venez !
Et la prenant par le bras je la fait pénétrer dans le sauna.
— Viens n’ai pas peur, il y a de la place pour trois.
Hésitante, elle referme la porte derrière elle et se laisse tirer non sans hésitations vers la banquette du sauna. De sa main libre, elle maintient fermement la serviette de bain sur le devant de son jeune corps. Je la conduit entre Josiane et moi. Serrant tours la serviette autour d’elle, elle a une allure de biche effarouchée, et je comprends vite qu’elle ne doit pas connaître grand-chose sur les amours lesbiens. Raison de plus pour que Josiane et moi lui fassions son éducation. Elle nous jette à l’une et à l’autre des regards apeurés et se tient droite devant la banquette où Josiane est assise. Josiane pose délicatement une main sur son épaule tandis que je relève une mèche de ses longs cheveux.
— Décontractes toi, n’ai pas peur, nous ne te ferons aucun mal, sois tranquille nous ne sommes pas méchantes !
Josiane lui caresse le bras tandis que je la pousse doucement sur la banquette et la fait assoir. Je m’installe près d’elle, et lui caresse le dos.
— Je m’appelle Martine, elle Josiane, et toi ?— Chloé, répond-elle d’une voix à peine audible.— Tu viens profiter du sauna !— Il m’arrive quand il n’y a pas trop de clientèle comme ce soir, de profiter des installations.
Elle m’avait dit fermer le complexe après moi, ce qui confirme qu’elle a bien dû voir nos ébats par la petite fenêtre de la porte du sauna.
— Tu nous semble bien jeune Chloé, tu as quel âge ?— Dix-neuf ans.— Tu as un petit copain ?— Non, pas en ce moment.— Tu as fait l’amour avec lui ?— Oui bien sûr.— Tu as déjà pratiqué avec des filles ?— Non jamais.— Tu aimerais ?— Heu …— Tu veux essayer avec nous ?— Non, oui …Je ne sais pas … Peut-être.
La serviette glisse légèrement, dévoilant un petit sein ferme avec une belle aréole rose qu’elle s’empresse de voiler aussitôt. Josiane pose la main sur le petit sein et le prend doucement à travers la serviette.
— Reste calme, nous ne te voulons aucun mal, au contraire, tu vas voir, Josiane et moi nous sommes très gentilles.
Et ce disant, Josiane défait lentement la serviette. Le haut de son corps nous apparait dans toute sa nudité. On dirait celui d’une adolescente, mince, délicat et fragile. Je contemple ses petits seins bien droits et biens fermes qui me font penser à ceux de Geneviève. Ils contrastent par rapport à ceux bien plus opulents de Josiane.
Elle ne cherche pas à se recouvrir et esquisse même un sourire en direction de Josiane, qui la regarde avec tendresse, mais elle reste encore tendue et un peu crispée. Josiane et moi avançons prudemment chacune une main vers ses petits seins et commençons à les caresser délicatement. Elle nous jette des regards effarouchés. Insidieusement, je repousse la serviette. Elle est maintenant entièrement nue entre nous deux. Pour ne pas la traumatiser davantage, nous nous contentons pour le moment de concentrer nos caresses au niveau de sa poitrine. Sous ma main, ses seins pointus sont d’une fermeté remarquable, et je constate que ses tétons sont maintenant bien raides ce qui signifie qu’elle n’est pas insensible aux soins que nous lui prodiguons. Plus hardie que moi, Josiane pose carrément une main sur son sexe, la masse doucement et glisse son majeur entre les grandes lèvres. Chloé lui jette un regard désespéré.
— Détends-toi Chloé, ma chérie ! Tout va bien se passer !
Et tout en lui glissant quelques mots tendres à l’oreille, je dépose un baiser sur sa joue tandis que Josiane continue des mouvements rotatifs autours du clito de notre jeune compagne. Chloé se détend peu à peu, son corps devient moins crispé et sous nos caresses, elle laisse par instant échapper de petits soupirs. Josiane enlève sa main du sexe de Chloé et me tend son majeur à sucer.
— Je crois que notre nouvelle amie commence à y prendre goût, regarde Martine mon doigt est trempé !!
Je suce avidement le doigt de Josiane ; il est effectivement imprégné par la liqueur de Chloé. Je plonge mes yeux dans ceux de la jeune fille, elle soutient un instant mon regard, baisse les paupières quelques secondes puis nous sourit à toutes les deux. Encouragées, Josiane et moi reprenons nos caresses sur ses seins et son sexe. Nous allons doucement, mêlant à la fois sensualité et tendresse. Ma langue et ma bouche s’occupent activement de ses seins tandis que Josiane prend possession de son minou. Chloé se penche en arrière facilitant ainsi nos emprises, les yeux mi-clos bouche entrouverte, les soupirs qu’elle laisse échapper nous montrent qu’elle apprécie notre initiative. Je me tourne, et prenant la grande cuillère de bois qui se trouve dans un récipient rempli d’huile parfumée, je la remplie et en verse le contenu entre ses petits seins. Josiane tout en continuant de la masturber promène sa bouche et sa langue sur la petite poitrine, tête et aspire le petit mamelon.
De mon côté, je fais de même et ma main vient rejoindre celle de Josiane sur le sexe de la belle. Josiane pose sa bouche sur celle de Chloé, et cette dernière s’en empare avidement. Leurs lèvres se soudent, leurs langues se mélangent avec passion.
Brusquement Chloé se relève et va vers la porte, s’arrête, hésite quelques secondes, puis se tourne vers nous. Nous lui adressons un beau sourire. Son visage tendu se décrispe brutalement et s’éclaire d’un large sourire, et elle revient tout aussi précipitamment se glisser entre nous deux. Josiane la prend entre ses bras, la tourne vers elle et applique sur sa bouche un baiser passionné. Elle se met en levrette face à Josiane et m’offre le spectacle de deux petites fesses fermes et musclées. Tandis que Josiane et elle se roulent des pelles avec acharnement, j’écarte les deux petits globes et me met en devoir de lui lécher consciencieusement la rosette. Elle s’est maintenant mise à tripoter, lécher, sucer l’opulente poitrine de Josiane pendant que cette dernière se masturbe doucement. Ma langue passe de sa chatte à son petit trou, s’y enfonce par instant.
Chloé s’est maintenant complètement lâchée, elle profite pleinement de tout ce que nous lui faisons avec des petits râles de plaisir et de satisfaction. Elle se déchaîne sur la poitrine de Josiane. Je poursuis avec ma langue l’exploration de sa petite grotte dont le goût douçâtre me fascine. Après de longues minutes, comblée, elle jouit intensément, une vague de cyprine envahit ma bouche, et elle s’effondre sur la banquette.
Elle nous regarde l’une et l’autre avec un sourire épanoui.
— Merci les filles, s’était formidable !!— Tu vois maintenant ce qu’une fille peut t’apporter de plaisir, c’est bien plus doux et délicat qu’avec un garçon !! — C’est vrai, je ne l’aurais jamais cru ! On se reverra ?— Sûrement maintenant que nous avons fait connaissance.
Sur ces dernières paroles, Chloé nous adresse à chacune un baiser et se relève
— Ce n’est pas tout cela, mais il va vous falloir partir, il faut que je ferme les installations.— Pas de soucis, nous te laissons travailler et à bientôt.
Nous nous levons à notre tour, quittons le sauna et nous dirigeons vers le vestiaire. Rhabillées nous sortons et nous dirigeons vers nos voitures.
— Bonne nuit Josiane et si tu passes vers chez moi n’hésites pas, tu as mon téléphone.— Pas de problème, je te recontacte dès que possible ! Bonne nuit Martine.
Nous démarrons et nous prenons chacune notre route.
Diffuse en direct !
Regarder son live