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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 8

une chaude soirée

Orgie / Partouze
Une chaude soirée
Quelques jours se sont passés depuis mon escapade au sauna. Quelques jours qui m’ont permis de récupérer un peu de mes folies sexuelles. Isabelle et Geneviève sont revenues de leur formation. Seul Michaël manque encore à l’appel et je suis sans nouvelles de Josiane. En ce début d’après-midi, je me prélasse sur un transat près de la piscine lorsque le téléphone sonne.
— Allo j’écoute.— Bonjour Martine, c’est Isabelle.— Bonjour Isa, comment vas-tu ?— Bien et toi ?— Moi ça va, Geneviève et toi m’avez un peu manqué !— Toi aussi tu m’as manqué, j’ai des courses à faire, je voudrai profiter des soldes pour m’acheter quelques fringues. Si tu veux je passe te prendre et nous y allons ensemble.— Avec plaisir, moi aussi je voudrai faire des emplettes. Je me prépare et je t’attends.— OK, je suis là dans une vingtaine de minutes.— Ça marche, à tout de suite !
Je bondis dans la chambre je mets en vitesse un soutien-gorge et une petite culotte, enfile une robe imprimée légère et courte et me voilà prête. Juste à ce moment la voiture d’Isabelle arrive dans l’allée.Je m’installe près d’elle, nous échangeons un baiser, et nous voilà parties vers la ville importante la plus proche. Le trajet se passe en bavardages sur son stage. Une fois en ville, nous écumons les boutiques à la recherche des bonnes affaires. Trois heures plus tard nous stockons les cartons contenant robes, chemisiers, jupettes, pantalons dans le coffre de la voiture. Isabelle consulte sa montre.
— Il nous reste encore un peu de temps avant la fermeture des magasins, je ferai bien quelques achats de lingerie !— Bonne idée, moi aussi je remplacerai bien ceux que j’ai actuellement.
Aussitôt, nous remontons la rue vers une boutique que nous avions remarquée et qui semblait assez bien achalandée. Une jeune vendeuse nous accueille avec un gracieux sourire. Blonde, assez jolie, elle vient vers nous, prête à nous donner son concours.
— Bonjour Mesdames, je peux vous aider ?— Merci, c’est gentil, mais on va se débrouiller.

Isabelle et moi nous nous mettons à fouiller dans les bacs à la recherche de nos tailles respectives. Nous prenons chacune une dizaine d’ensembles en dentelles délicates et de couleurs différentes.
— Nous pouvons essayer ?— Bien sûr, vous avez plusieurs cabines à votre disposition au fond du magasin.
Nous nous dirigeons vers les cabines. L’une d’entre elles est plus grande que les autres.
— Prenons celle-là, propose Isabelle, ce sera plus pratique pour comparer les effets produits sur chacune d’entre nous.
Nous pénétrons dans la cabine, je tire le rideau. En quelques secondes nous n’avons plus pour tout vêtement que nos bas auto-fixant et nos escarpins. Nous procédons sans perdre de temps aux essayages. Nous avons apporté un soin particulier aux petites culottes. Nous les avons choisies bien ajustées, laissant nos fesses charnues et fermes bien à découvert et mettant en valeur la cambrure de nos reins. Pour chacune d’elles, nous nous tournons plusieurs fois devant le vaste miroir qui tapisse une des parois de la cabine pour juger de l’effet produit et échangeons nos commentaires par rapport à l’image qu’il nous renvoi, celle de deux corps à la peau délicatement soulignée par les dentelles noires, blanches ou autres. En ce qui concerne les soutiens-gorges, nous avons choisi des bonnets de taille minimale, laissant apparaitre au maximum nos poitrines généreuses, les fines dentelles sont souvent à la limite des tétons.
La cabine est malgré tout un peu juste pour deux, nos corps se frôlent en permanence, une ambiance érotique commence à y régner. Malicieusement nos mains effleurent par moment qui une hanche, une fesse ou un sein. Mais nous calmons nos envies compte tenu que nous nous trouvons dans un lieu public, d’ailleurs des voix de clientes mêlées à celle de la vendeuse se font entendre autours de nous. Après quelques minutes, la vendeuse soulève légèrement le rideau qui ferme la porte de la cabine d’essayage.
— Tout va bien Mesdames ? — Oui, pas de problème Mademoiselle, d’ailleurs nous en avons bientôt fini.— Vous voulez voir autre chose ?— Non merci, nous avons fait notre choix, nous vous prenons le tout.
Nous quittons les deux derniers ensembles que nous finissions d’essayer, et lui tendons toutes les parures. Elle repart afin de préparer nos paquets. Nous contemplons une dernière fois dans la glace l’image de nos deux corps nus, un sourire, et nous nous rhabillons.Nos achats réglés, les bras chargés, nous retournons à la voiture.Nous avons environ une petite heure de route, le soleil est en train de se coucher, et le soir commencera à tomber lorsque nous arriverons. Nous n’échangeons que peu de mots, Josiane se concentre sur la conduite. J’ai mis la radio en marche et une musique douce remplit l’habitacle de la voiture. J’ai encore devant moi les images érotiques de nos deux corps à demi nus dans le miroir de la cabine d’essayage. Des bouffées de chaleur montent en moi. Instinctivement ma main se pose sur la cuisse d’Isabelle. Sa jupe courte est largement remontée jusqu’à la limite du bas. Elle se tourne vers moi avec un sourire.
— Je vois que toi aussi notre petite séance d’essayage t’a mise en transes.— Dommage que nous étions dans un magasin j’avais vraiment une grosse envie.— Moi aussi, et maintenant tu n’as plus envie ? — Si bien sûr et toi ?— Je pense que je vais avoir du mal à tenir jusqu’à la maison, et si nous faisions l’amour maintenant ?— OK, mais où ?
A ce moment, la route longe une forêt. De temps à autre, des allées forestières la traverse. Sans hésiter, Josiane s’engage dans la première qui se présente.
— Tu es folle, on pourrait nous voir !— Tu parles, il n’y a personne, et puis après, si des gens nous voient, ils n’en mourront pas, en plus l’idée d’être observée m’excite au plus haut point.— Alors c’est comme tu veux, et tu as raison s’il y a des voyeurs cela pimentera la situation.
Josiane roule encore pendant une centaine de mètres, puis stoppe la voiture.
— Viens nous serons mieux sur la banquette arrière !
Je suis son exemple, descend de la voiture et m’installe à l’arrière, à ses côtés. Isabelle possède un gros SUV, nous disposons ainsi d’un espace suffisant au niveau de la partie arrière du véhicule. A peine assises, nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre. Nos bouches se soudent avec avidité, nos langues forcent le passage de nos lèvres et se mêlent l’une à l’autre dans un échange passionné. D’une main je lui caresse la joue, je descends le long du cou, je glisse deux doigts dans le décolleté de son chemisier, effleure le téton à la limite du bonnet de soie du soutien-gorge, m’enivre de l’odeur de ses longs cheveux. Je m’éloigne un peu d’elle, remonte ma robe à la taille et écarte largement les cuisses. Je porte un string dont le voile rose ne cache rien de mon pubis. Josiane pose délicatement une main entre mes cuisses et entame un léger va et vient sur le fin tissus, au-dessus de mon clitoris. J’écarte le tissu libérant mon sexe, le lui livrant ainsi entièrement.
Je sens la douceur de sa main sur la peau délicate de mes lèvres intimes trempées par le désir. Passant mon bras autours de son cou, j’attire sa tête vers le bas de mon ventre ; c’est maintenant sa bouche qui se substitue à sa main. Sa langue fait le tour de mes grandes lèvres, remonte vers le clito et le tête doucement, de la langue elle l’agace, elle aspire les petites lèvres, se délectant de mon jus intime. D’une main, je maintiens sa tête sur ma chatte. Tout en continuant à me sucer, une de ses mains caresse ma cuisse. Bouche ouverte, haletante, je savoure pleinement ces instants délicieux. De longues minutes elle s’attarde ainsi, déclenchant en moi des spasmes de plaisir ; j’inonde sa bouche de ma cyprine qui s’échappe en abondance de mon vagin. Sa langue s’active de plus en plus vite, elle me suce avec volupté, écartelée sur la banquette, je gémis de bonheur.
En fin elle se redresse, sa bouche trempée rejoint la mienne et je peux saisir sur ses lèvres tout le goût de mon intimité. Nous échangeons un long baiser. Je l’aide à ôter la veste de son tailleur, je l’embrasse encore, je lui arrache son chemisier, dégrafe le soutient gorge et le lance vers l’avant de la voiture. A quatre pattes sur la banquette, je me jette sur son opulente poitrine. Ma bouche s’empare avidement d’un sein tandis que je triture l’autre de la main. Je lèche, je tête, j’aspire le téton, le mordille doucement tandis que je pince l’autre entre deux doigts. Le parfum de son corps de femme m’excite au plus haut point. Sa jupe est retroussée jusqu’à la taille, son slip et les bas noirs font ressortir encore plus la blancheur de sa peau. Une de mes mains s’incruste dans son slip. Isabelle relève la tête
— Et voilà, nos voyeurs sont arrivés ! Regardes derrière toi !
Je me tourne et constate effectivement que trois hommes se sont approchés et nous regardent par la vitre de la portière arrière.
— Ils veulent du spectacle, on va leur en donner !
Je vire mon slip, et me mets carrément en levrette leur offrant en gros plan le spectacle de ma croupe dénudée, et tandis que ma main continue de fourrager dans la petite culotte d’Isabelle ma bouche reprend possession de son sein que je suce avidement. Dans sa culotte, ma main malaxe ses parties intimes, je la chatouille, pince ses lèvres, agace son clito, l’un de mes doigt pénètre son vagin, ma main est trempée. Isabelle délire sous les ondes de plaisir qui la parcourent. J’écarte la culotte afin de mettre son sexe à nu. Je le caresse tendrement, introduisant de temps à autre un ou deux doigts dans son intimité chaude et humide. Tout en m’activant sur elle, j’ondule de la croupe à l’attention de nos spectateurs. N’y tenant plus, ma bouche rejoint le sexe d’Isabelle sur lequel ma langue s’active, passe entre les petites lèvres, s’introduit dans le vagin.
Dans cette action, ma croupe est bien relevée et nos spectateurs doivent ne rien perdre du spectacle de mes fesses, de mon petit trou et de ma chatte. Je fais durer le plaisir, d’autant que c’est avec passion que je déguste l’intimité d’Isabelle.
Quelque peu rassasiée, je me relève et m’assied sur la banquette et me tourne vers la vitre. Les trois hommes sont toujours là, collés à la portière, braguettes ouvertes et bite à la main ils se masturbent sans vergogne.
Nous sommes bien décidées à continuer la représentation, je me caresse les seins pendant qu’Isabelle se penche sur ma chatte tout en se tripotant la rosette. Les mecs sont de plus en plus excités, ils sont quatre maintenant. Nous poursuivons notre petit manège tout en les regardant et en leur souriant. Approchant de la vitre, je sors la langue et mime une fellation.
— Tu vois un peu Martine dans quel état tu les mets ! Tu devrais avoir pitié !— Tu as raison Isa, je crois que je vais faire quelque chose pour eux, depuis le temps ils méritent bien que je fasse un effort.
Sur ces bonnes paroles, je baisse la glace de la portière. Une main s’avance et s’empare de mon sein. Je le laisse s’amuser un peu, me palper, titiller mon mamelon. Soudain, Isabelle s’empare de ma main et la passe à l’extérieur vers la bite la plus proche
— Allez Martine, branles le un bon coup !
Suivant son injonction, je prends le sexe en main et le caresse doucement, puis je passe d’un sexe à un autre pendant qu’Isabelle continue à me tripoter la chatte. Au bout de plusieurs minutes, je me décide à aller de l’avant, et je me mets à quatre pattes sur la banquette, je passe la tête à l’extérieur, prends un sexe en bouche et entame une fellation que je ne poursuis pas jusqu’au bout afin de satisfaire les autres voyeurs. Ma croupe ainsi relevée est l’objet de toutes les attentions d’Isabelle et sa langue s’attarde longuement sur mes fesses, tourne autour de mon petit trou, le chatouille, s’y attarde, y pénètre à peine pour descendre aussitôt vers mes grandes lèvres à l’intérieur desquelles elle s’enfonce, visage collé contre mon cul. Après avoir sucé copieusement nos observateurs, sans toutefois les conduire jusqu’à la jouissance finale, je me laisse retomber contre le dossier de la banquette pour reprendre mon souffle et récupérer un peu.
Insatiable, Isabelle en profite pour se remettre à me dévorer le minou. Cela lui fait mettre les fesses en l’air et, contournant la voiture, l’un des voyeurs, passant le bras par la glace ouverte, en profite pour lui masser sans vergogne le cul et la chatte.
Je décide d’ouvrir carrément ma portière et m’adresse à Isabelle
— Descends, fais le tour et viens me sucer !
Sans ce faire prier, Isabelle s’exécute, je m’allonge sur la banquette jambes pendantes à l’extérieur et ouvre largement les cuisses m’offrant ainsi complètement. Isabelle s’agenouille sur l’herbe, face à moi, sa bouche prend possession de ma chatte. J’ai une affection particulière pour les cunnilingus d’Isabelle, elle excelle vraiment dans cet exercice. Elle réalise des prodiges avec sa bouche et sa langue. Elle me mordille, suce, aspire mes petites lèvres et mon clito ; sa langue fait des miracles, lèche, pénètre, s’insinue au plus profond de mes parties intimes avec la douceur et la sensualité que seule une femme peut donner à une autre femme. Devant le spectacle, les voyeurs se masturbent activement, d’une main je les aide les uns et les autres alternativement. Leurs queues sont raides et fermes ; je les sens palpiter au creux de ma main. M’abandonnant, Isabelle se met en devoir de les sucer à leur tour les prenant à pleine bouche.
Ne voulant pas être en reste, je me redresse et suis son exemple. Nous nous partageons la tâche, deux chacune ! A petits coups de langue, nous passons d’un sexe à l’autre, les glands s’enfoncent au fond de nos gorges, nous suçons, nous aspirons tant que nous pouvons tout en les masturbant doucement. Nos lèvres sont trempées par leurs liqueurs pré séminales. Par instants, Isabelle va jusqu’à sucer deux bites à la fois ! Mais bientôt, les fellations ne leur suffisent plus, l’un de ceux dont Isabelle s’occupe, l’oblige à se relever, la penche en avant, la tripote entre les jambes, lui écarte les fesses, se penche à son tour, lui lèche la chatte. Son copain l’écarte et sans plus de façon pénètre Isabelle avec un « han » de bûcheron et la ramone profondément. Isabelle me fait face et je peux admirer ses seins qui ballotent à chaque coup de boutoir. Son copain se masturbe tout en les regardant.
Je me retrouve basculée sur la banquette et pénétrée à mon tour, l’homme est fortement membré, mon vagin, bien qu’abondamment lubrifié, a du mal à l’accueillir, et mes chairs son dilatées au maximum, il va et vient profondément en moi, je pousse un cri, mais la jouissance est extrême. Mes muscles intimes sont serrés autours de cette grosse hampe, des spasmes d’une intensité prodigieuse me parcourent. Isabelle, les yeux fermés, haletante, bouche ouverte, savoure avec passion. L’une et l’autre nous nous abandonnons complétement à ces moments intenses. Les quatre hommes se partagent alternativement profitant de nos corps qui se livrent à eux. Je jouis comme jamais, mon ventre va au-devant de leurs pénétrations, je n’en peux plus et je m’éclate dans un orgasme fantastique, celui qui me possède éjacule abondamment au plus profond de moi, tandis que son copain explose et lâche sur mes seins un sperme épais et abondant.
Satisfaits, l’un et l’autre se reculent, se reculotte et disparaissent sans même un merci. De son coté, Isabelle connait une situation similaire, et ses deux compères jouissent intensément dans les secondes qui suivent, à ceci près que l’un des deux empoigne Isabelle par les cheveux, lui rejette la tête en arrière et s’épanche dans sa bouche. Les deux hommes ayant jouis, se retirent. Isabelle s’approche de moi et m’embrasse avec fougue, ma langue s’imprègne du sperme chaud et visqueux dont sa bouche est emplie. Je n’avais jamais goûté de sperme, une sensation nouvelle se révèle à moi, j’apprécie cette saveur douçâtre, et n’hésite pas à avaler tout ce qu’Isabelle m’a donné. Nous passons nos mains sur nos chattes souillées et détrempées et nous nous léchons les doigts avec gourmandise.
Isabelle se tourne vers moi :
— Quelle soirée !— Ne m’en parle pas, je suis épuisée.— Moi aussi, mais franchement cela valait la peine !— Oh que oui, il ne faudra pas hésiter à renouveler l’expérience !— Ce n’est pas tout ça, mais il se fait tard et il nous faut rentrer, je crois qu’il est inutile de remettre nos petites culottes !
J’éclate de rire
— Tu as raison, en plus le froid du skaï nous rafraîchira le minou !— L’avantage, c’est qu’un coup d’éponge et c’est propre !
Sur cette répartie, nous reprenons place à l’avant de la voiture et redémarrons. Je suis en route pour de nouvelles aventures.
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