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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 9

Petit intermède de décontraction

Lesbienne
Petit intermède de décontraction
Il me fallut une bonne journée de repos pour récupérer de nos folies nocturnes en forêt. Ce matin, je me sens plus en forme, quoique gardant encore ici et là quelques courbatures. Je décide donc d’y remédier, j’attrape mon téléphone et compose un numéro. Une voix jeune et connue se fait entendre :
— Espace de remise en forme bonjour, Chloé à votre service ! — Bonjour Chloé, tu te rappelles de moi ? C’est Martine à l’appareil.— Oh oui bien sûr Madame, comment allez-vous ?— Je vais bien, mais après notre petite séance au sauna de l’autre soir, nous nous connaissons bien, tu peux me tutoyer et m’appeler Martine tu sais !— Alors, puisque vous me le permettez, pas de problème, que puis-je donc pour toi Martine ?— Je souhaite prendre rendez-vous pour une séance de massage, je me sens un peu courbaturée, tu m’avais dit qu’il fallait que je m’y prenne à l’avance car vous étiez très chargées dans ce domaine.— Exact, je regarde le planning pour voir ce que je peux te proposer.
Un moment se passe pendant lequel je perçois le cliquetis des touches du clavier de l’ordinateur puis la voix harmonieuse de Chloé
— Tu as une chance inouïe, nous avons un désistement cet après-midi de 15h à 16h, cela te conviendrait ?— Super ! Merci Chloé, à cet après-midi. Grosses bises.— Je note la réservation, grosses bises à toi aussi !
Je raccroche, nous sommes en fin de matinée cela me laisse largement le temps pour grignoter et de me préparer.J’en profite pour me déshabiller et, comme à mon habitude, plonger nue dans la piscine. Je ne regrette pas d’avoir pris cette location, même si le comportement du propriétaire me fait un peu peur, mais aussi attire ma curiosité et me tente tout à la fois . Je passe le plus clair de mon temps auprès de la piscine, à nager tranquillement dans cette eau chauffée par les rayons du soleil et cela me fait le plus grand bien. J’adore la douceur de l’eau sur ma peau nue, sentir le léger clapotis tout au long de mon corps lorsque je nage doucement sur toute la longueur du bassin. Il m’arrive souvent de m’approcher au plus près des bouches qui régénèrent l’eau, et d’écarter les jambes afin de profiter du massage qu’elles procurent. Après de longs moments, je ressort et vais m’étendre paresseusement sur un transat, me séchant sous la chaleur des rayons solaires.
Ce matin, après le bain, cédant au calme environnant, je me suis endormie. Je me réveille en sursaut, il est plus de 14h. Tant pis pour le déjeuner, je me prépare en vitesse pour mon rendez-vous. J’enfile une petite robe légère qui s’arrête à mi-cuisse, une petite culotte de dentelles, pas de soutien-gorge, cet accessoire me parait bien inutile pour une séance de massage, je saute dans mon cabriolet et démarre faisant crisser les gravillons de l’allée.
J’avale la route et par chance trouve une place de stationnement sur le parking qui jouxte l’Institut. IL est 15h pile, lorsque je pénètre à la réception.
— Coucou Chloé, je ne suis pas trop en retard !— Non Martine, ne t’inquiète pas, la cliente précédente vient à peine de sortir.— Bisous quand même !
Chloé s’est levée, je me penche par-dessus le petit comptoir et mes lèvres effleurent les siennes. Je plonge mon regard dans le sien et nous échangeons un sourire complice. Cette petite me plait bien et il faudra que je l’invite un de ces jours, à venir à la villa, nous rejoindre Isabelle et moi.
— Le salon de massage est au fond du couloir, juste en face du sauna. Je préviens Véronique la masseuse de ton arrivée.
Tout en disant ces mots, Chloé esquisse un petit sourire.
— Merci Chloé, j’y vais de suite !
Je parcoure rapidement le couloir, et une porte s’ouvre. Une femme d’une quarantaine d’années m’accueille avec un grand sourire. De longs cheveux blonds croulent jusqu’à sa taille. Elle est vêtue d’une sorte de caleçon moulant blanc s’arrêtant à mi mollet et d’un tee-shirt sans manches, blanc également et tout aussi ajusté. Il était évident qu’elle ne devait pas porter grand-chose en dessous peut être même rien du tout.
— Bonjour Madame, Chloé m’a parlé de vous.— En bien j’espère.— Bien sûr, je m’appelle Véronique et je suis à votre service.— C’est gentil, merci beaucoup, en ce qui me concerne, vous pouvez m’appeler Martine, puisque nous sommes en pays de connaissance.— Pas de problème donc, venez avec moi.
Je la suit, traverse une petite entrée très bien décorée de plantes vertes. Accrochées au mur des photos en noir et blanc de temples indous et sur un petit guéridon une statue miniature de Bouddha. Un vaste canapé en complète l’ameublement. A sa suite je pénètre dans la salle de massage par elle-même, fermée par une porte insonorisée. Les murs sont revêtus de lambris, une lumière tamisée, dissimulée dans des vasques en opaline, répand une atmosphère intime renforcée par une musique douce que diffuse des enceintes invisibles. Au centre la table de massage, contre le mur une table chargée de multiples flacons et d’un magnifique bouquet. De chaque côté deux confortables fauteuils et dans un angle un paravent. Un brûle parfum répand une odeur sensuelle et agréable.
— Installez-vous, Martine, voici une serviette, vous pouvez vous déshabiller derrière le paravent.— Merci, mais je peux enlever ma robe ici, cela ne me gêne pas, nous sommes entre femmes !
Sur ces paroles je fais passer ma robe par-dessus ma tête, secoue mes longs cheveux, certes pas si longs que ceux de Véronique, mais qui m’arrivent tout de même au niveau de la poitrine.
— Je garde mon slip ?— C’est comme vous voulez, mais de toute façon il faudra l’ôter tout à l’heure. Allongez-vous sur la table et en attendant je vais vous mettre la serviette sur les reins.
Je fais rapidement valser ma petite culotte qui va rejoindre la robe sur un des fauteuils, et m’allonge sur le ventre, ma tête reposant sur mes bras croisés.
— Il y a longtemps que vous êtes dans la région ?— Non, deux mois seulement. J’ai loué le petit cottage en bordure de la forêt à une dizaine de kilomètres, j’aime beaucoup car c’est très mignon, le coin est tranquille et il y a une magnifique piscine.— Je vois, c’est un fermier je crois qui en est le propriétaire.— C’est cela, — C’est un curieux bonhomme, sa femme et lui ont une réputation un peu sulfureuse.— J’en ai eu l’impression, mais je ne l’ai juste aperçu qu’une fois !
Je me garde bien de lui narrer mes frasques entre le fermier et le garçon de ferme. Mais ce qu’elle me dit confirme mon jugement, il faut se méfier du personnage. En ce qui concerne sa femme, je ne peux pas juger, mais il faudra que je fasse sa connaissance un de ces jours.
— Vous avez fait des connaissances au cours de ces deux mois ?— Pas énormément, je ne sors guère, je fréquente juste Isabelle la psy et sa secrétaire. J’ai dû la rencontrer dès mon arrivée car je sortais de beaucoup d’ennuis personnels que j’avais du mal à surmonter.— Je connais bien Isabelle, c’est une femme très compétente dans son domaine, et en plus très belle et très sympathique ce qui ne gâte rien. Bien ! je vais commencer, détendez-vous complètement.
Tout en parlant, Véronique s’est enduit abondamment les mains d’une huile parfumée. Elle pose ses mains sur mon dos, paumes à plat chaque côté, dans une caresse pleine de douceur, enduisant ainsi ma peau de cette huile. Puis elle s’enduit à nouveau les mains et elle reprend le massage, montant et descendant tout le long de mon dos, chacun de ses pouces suivant ma colonne vertébrale. Elle déclenche ainsi des sensations des plus agréables. Ses mains glissent sur ma peau jusqu’à la limite de mes fesses, je me laisse aller, seuls de légers frissons me parcourent lorsqu’elle atteint le bas de mes reins. Je sens ses mains descendre de plus en plus, s’infiltrant peu à peu sous la serviette qui recouvre le bas de corps. Après quelques minutes, Véronique passe de l’autre côté de la table, ôte la serviette, reprend de l’huile et pose ses mains bien à plat sur mes fesses et entame un lent mouvement de rotation.
Elle masse et palpe avec application ces deux globes fermes pendant de longues minutes tandis que je ferme les yeux de satisfaction.
— Vous pouvez vous retourner s’il vous plaît ?— OK, pas de soucis.
Je me tourne sur le dos, offrant à Véronique la vision de ma nudité absolue. Elle se place à la tête de la table, verse l’huile en abondance sur mon corps, ses deux mains glissent entre mes seins, les contourne doucement, passent en dessous, remontent, s’en emparent, les palpent, les caressent, s’attardant furtivement sur les pointes érigées de mes mamelons. Elle est penchée au-dessus de moi, ses cheveux effleurent mes joues, je contemple sa poitrine généreuse, moulée par son tee-shirt. Je constate que ses tétons pointent à travers le tissus me confirmant qu’elle ne porte rien en dessous.
Les yeux mi-clos, je savoure ces instants délicieuxSes mains descendent le long de mon corps, s’attardent un instant sur le torse, continuent sur le ventre, atteignent mon pubis.Véronique repasse sur le côté de la table, elle glisse ses mains dans l’aine, de chaque côté de mes grandes lèvres. Elle caresse l’intérieur de mes cuisses, remonte en profite pour passer sur mon sexe, puis reprend d’une main le massage interne de mes cuisses tandis que de l’autre elle serre mes lèvres entre son index et son majeur.
Les yeux fermés je me laisse complètement aller, ma respiration se fait haletante, il n’y a pas que l’huile de massage qui trempe mon sexe !!Voyant que je ne proteste pas, et encouragée par mes réactions, Véronique poursuit son attaque manuelle. Elle frotte doucement chaque côté intérieur de l’aine tandis que mon ventre se met à onduler et à en demander plus appelant des caresses encore plus profondes.
Deux doigts s’incrustent entre les lèvres, enserrent mon clitoris qui a jaillit de son petit capuchon, entament un lent va et vient. Un râle de plaisir s’échappe de ma gorge. Subitement Véronique abandonne mon sexe pour descendre le long de la face interne de mes cuisses. Mon esprit s’affole, j’ouvre les yeux et la regarde suppliante.
— Véronique s’il vous plaît reprenez vos caresses sur mon sexe ! Je veux vos mains toutes en moi, encore et encore !
Elle me sourit et va vers le pied de la table.
— Rapproches toi vers moi !
Je me glisse amenant mes fesses tout au bord.
— Maintenant relèves les jambes.
Tout en disant cela, elle s’accroupit. Avec deux doigts de la main droite, elle frotte doucement l’entrée de mon vagin pendant que le pouce de la main gauche passe et repasse sur mon clitoris. Ses deux doigts finissent par entrer dans mon vagin et commencent à me masturber. Véronique s’active de plus en plus vite, ma tête dodeline de droite à gauche, ma respiration de plus en plus haletante. Toutes mes sensations se concentrent sur mon sexe. Je râle de plaisir, souhaitant que cela ne s’arrête jamais.
C’est alors avec frénésie que Véronique me masturbe. Ses deux doigts ont complètement investit mon vagin et s’activent sur mes parois intimes. Une boule bloque ma gorge, j’ai le sexe en feu, ma cyprine coule en abondance, tous mes sens sont concentrés sur le bas de mon ventre, la jouissance est telle qu’elle en est presque insupportable, un orgasme d’une violence inouïe monte en moi, je me sens complètement bloquée, et puis, brutalement j’explose, je suis submergée, un long râle s’échappe de ma gorge, cyprine et urine mêlées jaillissent de mon sexe. Je me redresse sur les coudes, tandis que Véronique masse doucement mes parties intimes.
Epuisée, je me rallonge à nouveau sur la table, Véronique se penche sur moi, son visage est tout près du mien, elle plonge ses yeux dans les miens et nos bouches se rejoignent. Elle se redresse, attrape le bas de son tee-shirt, et le soulève. Je l’aide à s’en débarrasser libérant ainsi sa poitrine , magnifique, bien pleine et ferme. Elle me rejoint sur la table, à genoux l’une et l’autre, nous nous faisons face. Je m’empare de sa bouche, ma langue la pénètre et se mêle à la sienne dans un échange passionné.
Ce sont mes mains qui maintenant parcourent son dos, elles descendent, s’incrustent dans son caleçon, Véronique se soulève légèrement afin de faciliter ma tâche, je dégage ainsi deux jolies fesses qu’aucune petite culotte n’emprisonne, je les caresse, les prend à pleines mains. Elle se tourne, j’enlève complètement le caleçon. Elle me fait face, écarte les cuisses, dégageant ainsi un sexe lisse surmonté d’un petit triangle de poils blonds. Je me penche et ma langue se pose au bas des grandes lèvres. Son pubis dégage une odeur agréable et sensuelle. Ma langue entame un lent va et vient, tout au long de son sexe, le pénétrant doucement afin de bien l’humidifier. Je m‘attarde un instant au niveau de son clitoris, puis ma bouche s’empare complètement de son minou l’aspire lentement puis le quitte, laissant place à ma main qui le caresse doucement. A mon tour deux de mes doigts la pénètre profondément, ses muqueuses sont tellement imprégnées que je n’éprouve aucune difficulté.
Je palpe tendrement ses parois intimes. Véronique est allongée en arrière, appuyée sur ses coudes, bouche entre-ouverte et les yeux clos. Son bassin ondule lentement sous mes caresses. Je m’enfonce en elle du plus profond que je peux. Elle soupire et se mord les lèvres, profitant aux maximum du plaisir que je lui procure.
— Oh oui Martine, continue, c’est trop bon, prends moi, enfonces tes doigts, caresses moi encore et encore !
Je m’allonge près d’elle, la soutenant de mon bras libre passé autours de ses épaules, pendant que ma main poursuit son œuvre. La tête relevée, Véronique suit chacun des mouvements de ma main qui entre et sort de son vagin.
— Martine, plus vite je t’en supplie !
Je m’exécute, elle rejette sa tête en arrière, respire de plus en plus vite, une de ses mains s’empare de son sein, en pince et triture le mamelon. Elle relève la tête, plonge son regard dans le mien, ses yeux se voilent et elle laisse échapper un long gémissement et, tandis que l’orgasme la traverse, je sens ses muqueuses se resserrer autours de mes doigts.Peu à peu elle reprend ses esprits
— Merci Martine, c’était trop bon.— Toi aussi tu m’as rendue heureuse tu sais.
Etendues l’une près de l’autre, nous échangeons de tendres baisers. Véronique regarde la pendule pendue au mur.
— Déjà quatre heures ! Vite ma prochaine cliente ne va pas tarder, je suis en retard !— Tu lui réserves le même traitement ?— Sûrement pas ! Ne vas pas croire que toutes mes clientes m’attirent autant que toi !— Cela doit bien arrivé de temps en temps.— C’est vrai, cela arrive, mais avec toi je savais que ce serait exceptionnel, Chloé m’avait prévenue.
Je comprenais mieux maintenant le petit sourire de Chloé lorsqu’elle m’avait reçue, la coquine avait tout raconté de nos exploits dans le sauna avec Josiane.
— Je vois que ma réputation est faite !— Ne t’inquiètes pas cela reste entre nous, mais elle avait raison cela a été formidable.
Etant rhabillées toutes les deux, je la quitte sur un dernier baiser.
— Au revoir Véronique à bientôt et merci pour tout.— Merci à toi aussi, à bientôt, et bon retour.
Je repasse par la réception, bien décidée à régler un compte avec Chloé, mais celle-ci n’est pas là, aussi je sort de l’institut et reprend la voiture direction la maison.
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