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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 10

une cueillette de framboise qui tourne court

Lesbienne
Une cueillette de framboises qui tourne court
Ce matin je me réveille avec un beau soleil de fin d’été. Je me suis accordé quelques jours de répit après ma séance de massage avec Véronique. Je me souviens alors avoir aperçu des framboisiers sauvages dans la petite forêt qui s’étend près de la maison. Je dois l’avouer, je suis très gourmande ( et pas uniquement de sexe ). C’est donc tout naturellement que je décide d’aller faire une petite cueillette. Je me régale à l’avance.
Toilette vite faite, petit déjeuner sur le pouce, j’enfile mini slip et soutien-gorge, un débardeur et pour éviter les griffures des ronciers un vieux jean délavé. Me voilà partie, un petit panier sous le bras, espérant une bonne récolte.
Je prends un premier sentier qui traverse un champ. Je suis éblouie par le soleil déjà haut dans le ciel, des papillons voltigent de fleur en fleur parmi les herbes folles dont certaines ont envahi le chemin et viennent frotter contre mes jambes. J’atteins enfin la lisière de la forêt et pénètre sous les hautes frondaisons des arbres. La fraîcheur soudaine contrastant avec l’air chaud de la plaine me fait frissonner. Le sentier est assez large, mais de chaque côté les ronces formes par endroits une petite haie rendant difficile l’accès au couvert. Je ne regrette pas d’avoir pris un jean pour me protéger les jambes. Suivant le sentier qui serpente sous la futaie, je m’enfonce dans le sous-bois et ne tarde pas à apercevoir les petites baies rouges objets de ma gourmandise. Je pose mon petit panier à terre et commence ma cueillette, n’hésitant pas à en avaler quelques-unes au passage. Peu à peu, mon panier se remplit.
Soudain, mon attention est attirée par un bruit de moteur, assez éloigné, mais qui grandit en se rapprochant. Qui peut venir se perdre par ici ? Ce ne peut être une voiture, car le sentier est trop étroit ; ce n’est pas non plus une mobylette, le bruit est trop important. Brusquement, un quad, fonçant sur le chemin fait son apparition au détour d’un virage. Sa vitesse est telle que je n’ai pas le temps d’enlever le panier du chemin, ayant tout juste celui de me jeter de côté pour éviter la collision. Une toute jeune fille, la tête dissimulée sous un casque intégral chevauche l’engin qui vient de percuter mon panier. La conductrice freine brutalement, coupe le moteur et descend en m’interpelant violemment :
— Qu’est-ce que vous foutez là ? Cette propriété est privée !— Et vous ? vous le pouvez pas rouler plus doucement ?
Rageusement, elle donne un coup de pied dans le panier et se précipite sur moi.
— Je suis chez mon oncle, et cette forêt lui appartient !— C’est le fermier votre oncle ? — Oui et alors !— Je suis sa locataire, je peux bien me promener sur le domaine ?— Cela ne vous donne pas tous les droits, j’aurai pu me renverser avec le quad pour vous éviter !
Ce disant elle m’attrape par le bras et m’entraîne vers le quad. Elle est de ma taille, mais d’une force incroyable pour son jeune âge. La visière relevée du casque laisse apparaître un visage juvénile, elle est vêtue d’un mini short et d’une chemise à manches bleue couvrant un tee-shirt blanc.
— Je suis désolée mais je ne pouvais pas savoir que ce chemin présentait un risque.— Peut-être, mais en attendant je pouvais me blesser dans la chute !

Elle me regarde, me détaille des pieds à la tête comme pour évaluer mon physique, s’attarde sur ma poitrine, puis elle relève ses yeux et les plonge dans les miens. Une petite lueur brille dans son regard et je comprends vite les idées qui lui trottent dans la tête. Les trépidations du quad cahotant sur le chemin de terre, transmises à la selle qu’elle enserrait de ses cuisses ont dû lui chatouiller la chatte. Avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle passe son bras dans mon dos et de l’autre main me penche brutalement sur le quad. Je suis tellement surprise que je la laisse faire sans réagir ; et puis après tout si elle cherche une petite séance coquine, pourquoi pas. Je décide donc pour une fois de jouer les passives, histoire de voir jusqu’où pouvait aller cette gamine excitée, commençant moi aussi à être tentée par la fougue de ce jeune corps nubile.
Je lui tourne le dos, elle caresse mes jambes à travers le jean, me tape les fesses. Elle se penche sur moi, passe ses bras de chaque côté de mon bassin, déboutonne et baisse légèrement mon jean laissant juste mes fesses apparentes, puis ses mains remontent jusqu’à mes seins, elle les prend à pleine main et les tripote avec ardeur. Lâchant mes seins, elle m’applique deux tapes vigoureuses sur les fesses, les caresses longuement, puis elle me retourne. Je me laisse faire, docile, et fait face à cette petite sauvageonne. Ses manières commencent à me faire de l’effet, le pointes de mes seins se sont durcies sous ses mains, je sens que je ne vais pas tarder à mouiller ; j’attends la suite avec impatience. Elle promène ses mains sur tout mon corps, mes seins, mes hanches, passe doucement sur mon ventre dénudé. Elle me relève la tête, plonge deux doigts dans ma bouche tout en continuant à me malaxer un sein à travers mon débardeur.
Elle me regarde, nous échangeons un sourire, sa main quitte ma bouche et descend s’incruster dans ma culotte. Elle s’écarte, se débarrasse enfin de son casque. Elle est effectivement très jeune, de longs cheveux bruns croulent sur ses épaule. Elle semble à peine sortir de l’adolescence, mais tout en elle montre une jeune fille en train de mûrir, avide de découvrir les plaisirs de la vie sans s’embarrasser de préliminaires. Nous n’avons depuis le début échangé aucun mot, je ne sais même pas son prénom !
Elle s’agenouille devant moi, descend brutalement à la fois mon jean et ma petite culotte à mi-cuisse, et sans hésitation se met à me sucer goulument la chatte. Malgré son manque d’expérience, je sens le désir monter en moi. Sa petite langue passe sur mes lèvres, remonte sur mon ventre jusqu’à la limite du débardeur qu’elle n’a même pas prit le temps de m’ôter. Maintenant mon jean d’une main, de l’autre elle vient chatouiller mon clito tout en cherchant à incruster sa langue dans mon intimité. Elle lève les yeux et me regarde avidement, je revois le passé et j’ai l’impression d’avoir en face de moi une de mes anciennes camarades de lycée, lorsque nous échangions furtivement des caresses en découvrant nos premiers plaisirs charnels. De la même façon nous nous faisions jouir sans prendre le temps de nous dévêtir. Cette plongée dans le passé ne me laisse pas indifférente et je laisse exhaler des soupirs de satisfaction tandis que la cyprine commence à couler de mon vagin.
Elle me tourne, me tapote les fesses, je me penche sur le quad faisant saillir mon postérieur. Des deux mains elle m’écarte les fesses, engage sa langue dans ma raie et titille ma rosette, puis sa langue entame un va et vient de ma chatte à mon anus. Elle s’applique, pénètre mes lèvres, me chatouille le clito, aspire avidement entre mes petites lèvres la cyprine qui coule maintenant avec abondance, retourne vers ma rosette, la mouille abondamment, la lèche longuement, s’attardant au plus intime. Sous ces caresses buccales, un premier orgasme monte en moi, je me cramponne au quad. Elle doit le sentir, car sa langue m’abandonne, remplacée par deux doigts humides qui s’enfoncent et ressortent alternativement de mon anus. Peu après sa langue vient se joindre à eux, tout en léchant par instant ma chatte dégoulinante. Le buste écrasé sur le quad, je me lâche complètement et laisse éclater mon plaisir, constatant que ma partenaire ne manque pas d’expérience en dépit de ce que je pensais.
Elle se redresse, se colle à mon dos et vient me mordiller doucement l’oreille tout en continuant à me ploter les fesses. Elle me caresse le cou, le visage, introduit dans ma bouche ses doigts imprégnés de ma mouille, et me mordille les épaules. Elle se réagenouille derrière moi, me pénètre le vagin de deux doigts, entame un va et vient effréné en s’enfonçant au plus profond tout en frottant mes parois intimes. Crispée à la selle du quad, je hurle de plaisir tandis qu’elle se remet à me bouffer allégrement la chatte et le cul, puis, après deux tapes sur les fesses se relève et remonte ma culotte et mon jean.
Elle s’adosse alors sur la partie avant du quad et ouvre la braguette de son mini short. Je m’approche d’elle avec un sourire reconnaissant et m’empare de sa bouche, nous échangeons un baiser passionné, nos langues se mêlent et je sens que la sienne est encore toute imprégnée de ma liqueur d’amour. Elle penche la tête et me mordille la pointe des seins à travers mon débardeur, mais sans oser les mettre à nu, fourrant son visage tout au creux de ma poitrine. Tandis que je me réajuste, elle dégage une jambe du short, s’assoie sur l’avant du quad et écarte largement les jambes, découvrant un adorable petit sexe tendre et rose, entièrement épilé. Je me penche vers lui, le caresse tendrement, l’écarte, fait saillir les petites lèvres et le clito, et ma bouche s’empare du tendre minou. Je passe doucement ma langue sur les petites lèvres délicatement crénelées, j’aspire son petit bouton, lèche et lèche encore, ne perdant rien de la douce odeur et du liquide qui se dégagent de son intimité.
Renversée sur le dos, les yeux clos, elle respire profondément et lentement tout en me caressant les cheveux. Je met toute mon expérience dans les caresses buccales que je lui donne, je veux faire connaître à cette toute jeune fille le maximum de sensations du plaisir entre femmes. De la bouche et de la langue, je la fouille au plus profond d’elle-même, lui arrachant des soupirs et des râle de bonheur. Elle se mord les lèvres et gémit lorsque l’un de mes doigts la pénètre doucement et s’enfonce dans un vagin encore tendre et étroit. J’ajoute avec délicatesse un second doigt et la masturbe tout en maintenant ma langue sur son clitoris. Sa main se crispe sur mon cou, elle halète de plus en plus, j’accélère mon mouvement cherchant à la pousser au paroxysme de l’orgasme. Je sors mes doigts tout imprégnés de sa cyprine, les lui donne à sucer, ce qu’elle fait avec avidité, puis je les réintroduit en elle et reprend la masturbation.
Je lui redonne à nouveau mes doigts à sucer, elle les tête, les lèche longuement. Alors c’est maintenant ma bouche qui remplace mes doigts, ma langue parcoure son sexe, le pénètre, tourne autour de son clito, lèche ses parois intimes, aspire longuement le liquide parfumé qui s’en écoule. Elle n’en peut plus, bouche grande ouverte elle pousse un râle d’extase et de plaisir tandis qu’une giclée de cyprine inonde ma bouche.
Elle se redresse, nos visages se rapprochent, nos lèvres se collent l’une à l’autre, nous échangeons un baiser passionné dans lequel sa liqueur intime se mélange à nos salives. Elle se réajuste, pose à nouveau ses lèvres sur les miennes et me murmure
— Merci, c’était trop bon !— Merci à toi aussi, tu m’as fais bien jouir.
Elle rougit légèrement sous le compliment
— Je suis contente, tu sais c’est la première fois que je fais cela avec une femme.— Vraiment jamais avant ? Même pas avec tes copines de lycée ? Tu as quel âge ?— J’aurai 18 ans le moi prochain, oui, bien sûr nous nous sommes caressées avec des copines, mais une vrai femme non, c’est pour cela que j’ai eu envie avec toi, c’est autre chose.— Tu t’appelles comment, moi c’est Martine !— Sandra,— Eh bien Sandra, si tu le souhaites, nous pourrons nous revoir puisque tu sais que je suis à la villa que m’a loué ton oncle, et passer un meilleur moment plutôt qu’à la sauvette comme aujourd’hui.— Ce serait avec plaisir Madame, si cela ne vous dérange pas.— Martine, pas Madame.— Entendu Martine, et excusez moi de vous avoir fait peur.— Tu es toute pardonnée, à bientôt j’espère.— A bientôt.
Sur un dernier baiser, elle remet son casque, démarre et disparait dans le sous-bois tandis que je reprend ma cueillette si agréablement interrompue.
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