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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 11

Encore une belle soirée en extérieur

Hétéro
Encore une belle soirée en extérieur.J’avais pris l’habitude de temps en temps de me rendre de temps en temps au sauna. J’y faisais quelques rencontres, tantôt féminines, tantôt masculines. Il y avait même des soirs comme aujourd’hui où malheureusement je ne trouvais personne. C’est donc un peu dépitée et frustrée que je quitte l’établissement après une bise à Chloé, très occupée par la mise à jour du travail administratif de l’établissement, même elle n’avait pu me rejoindre dans le sauna. Traversant le parking, je me dirige vers ma voiture, la nuit est tombée et il est très faiblement éclairé. Je prends mes clés, ouvre la portière et m’assied à la place conducteur. Je suis encore sur ma faim inassouvie de sexe. Une de mes jambes entre dans l’habitacle et l’autre reste à l’extérieur tandis que je m’installe. J’ai les cuisses bien écartées et une légère brise vient me caresser la chatte.
Instinctivement une main se porte sur mon sexe affamé tandis l’autre se glisse entre mes seins, faisant glisser la bretelle de ma robe et dénudant ainsi l’un d’entre eux. Laissant la portière ouverte et ma jambe à l’extérieur, j’écarte un peu plus les cuisses, ma main s’incruste entre la chair et la dentelle de ma petite culotte et je me caresse doucement. Dans l’ombre de la nuit je n’ai pas vu que qu’un homme s’approche de la voiture. Garée dans un coin sombre du parking, je ne pensais pas être vue, mais en laissant la portière ouverte, c’était sans compter sur le plafonnier qui, restant allumé, diffusait une douce lumière dans l’habitacle et permettait ainsi de voir tous mes faits et gestes.
Cette présence masculine est pour moi une aubaine. Je dégage complètement un de mes seins et me penche vers l’extérieur de la voiture. L’homme avance la main sous le sein et se met à le caresser. En m’observant de loin, il avait ouvert sa braguette et mit son sexe à nu. Il est près de moi, je me penche, enserre le bas de sa tige d’une main et la prend en bouche et lui fait une fellation appliquée. Sous mon action, son sexe durcit peu à peu, ses couilles sont bien rondes, fermes et bien pleines. Je le masturbe quelques secondes puis le reprend. Je quitte sa bite, me redresse, dégage complètement mes deux seins et les offre à ses caresses, se dont il s’exécute avec application, titillant et pinçant leurs pointes durcies, tandis que je me caresse à nouveau la chatte.
Au bout d’un moment de ce petit jeu, je sors de la voiture, lui tourne le dos et m’agenouille sur le siège. Comprenant tout de suite l’invitation, il retrousse ma robe, me mettant ainsi les fesses à l’air, les plote quelques instants. Il se recule légèrement, écarte la ficelle de mon string, crache abondement dans sa main, la passe sur sa tige turgescente et pointe l’extrémité de son gland à l’entrée de mon sexe. Je suis tellement mouillée qu’il s’enfonce en moi à fond et sans aucune difficulté. Il a baissé son pantalon, relevé son tee-shirt, son ventre vient s’écraser contre mes fesses. Tout en soufflant, il entre et sort de mon vagin, s’enfonce à fond en moi. Je sens sa verge palpiter contre mes parois intimes. Il accélère le mouvement et sa respiration est de plus en plus saccadée. Je contracte mes muqueuses contre sa queue amplifiant nos sensations réciproques. Je mouille abondamment provoquant un bruit de succion à chaque mouvement de son sexe.
Ses couilles viennent claquer contre mes fesses. Sous ses coups de boutoir, je sens l’orgasme monter en moi, d’autant plus rapidement que ma soirée au club ne m’avait pas satisfaite sur le plan sexuel. Tout à coup il s’enfonce profondément bute plusieurs fois au fond de mon vagin et pousse un long râle explose en moi. Je sens sa semence chaude au fond de mes entrailles et il se retire puis s’éloigne sans même un merci !! Quel mufle !! Frustrée car je ne suis pas allée au fond de ma jouissance, je passe la main sur mon sexe, récolte le sperme qui s’en écoule et m’essuie sur un kleenex trouvé dans la boite à gants. Le salaud, il m’a mis la dose ! Ma chatte suinte encore et j’étale le peu qui s’écoule sur mes fesses, rabat ma robe et me réinstalle au volant. Décidément ce n’est pas ma soirée !
Je prends la route de la maison. Après plusieurs kilomètres je longe la foret ; dans la lumière des phares j’aperçois l’entrée du chemin dans lequel avec Isabelle nous avions passé une nuit quelque peu agitée. Incontestable des hommes doivent se tenir à l’affut dans le bois. J’ai un besoin impérieux de me satisfaire après cette soirée pour laquelle je suis restée sur ma faim. Je ralentis, pénètre donc dans l’allée forestière dans laquelle je m’avance doucement sur une centaine de mètres, m’arrête et coupe le contact ne laissant que les feux de position allumés. Je descends du véhicule et m’adosse à la carrosserie. La douceur ambiante m’envahie, les yeux mi-clos je savoure cet instant de tranquillité et me mets à rêver. J’imagine des dizaines d’hommes cachés sous la futaie, ils m’observent avec avidité et me déshabille du regard, leurs mains se tendent vers moi, ils me caressent de partout et je me mets à frémir.
Instinctivement je passe les mains sur mes seins dont les pointes se dressent aussitôt et mon bassin ondule doucement. Si seulement le rêve pouvait devenir réalité !Toute à mes pensées, je suis ramenée à la réalité par un bruit de branche casée. Un homme s’est avancé vers moi. Dans la faible luminosité de la nuit, il est grand, musclé, assez jeune, d’origine noire. Mon cœur bat plus vite dans ma poitrine, le rêve de ma vie, me donner à un black, il est là, devant moi, je suis déjà prête à tout accepter de lui.
— Bonsoir, je m’appelle Martine et toi ?— Benjamin, je te trouve très belle, tu cherches quoi ?— Un beau mec pour me baiser, tu es preneur ?— Si tu es OK, moi aussi alors …
Sans hésitation, je tombe à genoux devant lui et mes mains se portent immédiatement sur la ceinture de son short. Ayant quelques difficultés à le défaire, il vient à mon secours, il défait sa ceinture et déboutonne sa braguette ; le slip présente une grosse bosse vers laquelle mes mains se précipitent. Je baisse le slip et dégage un sexe énorme qui commence à durcir et à se tendre vers moi. D’une main j’ai du mal à entourer la base de cette tige de chair tandis que ma bouche ouverte avance vers elle, juste assez grande pour enfourner le gland et la partie supérieure. Une odeur musquée et sauvage vient chatouiller agréablement mes narines. J’attendais ce type de rencontre depuis si longtemps, aussi je savoure ce membre vigoureux que je suce avec un plaisir énorme. Sans lâcher son sexe de ma bouche, je fais glisser les bretelles de ma robe et offre ma poitrine complètement dénudée à son regard.
Je m’applique du mieux que je peux faisant coulisser cette grosse tige dans ma bouche, poussant au maximum jusqu’au fond de ma gorge, l’aspirant avec délice. Une légère brise caresse mes seins dont les pointes sont durcies à l’extrême. Je gémis de plaisir devant ce magnifique « sucre d’orge » qui raidit et durcit de plus en plus. De temps en temps je le sort de ma bouche et le masturbe doucement en fixant les yeux dans ceux de mon partenaire. Visiblement il adore ma prestation. Ma langue lèche de belles grosses couilles rasées, fermes, et visiblement bien pleines. Je les suce, les aspire avec avidité. Je remonte la langue tout au long de la hampe, chatouille le dessous du gland et renfourne le tout.
Tout à coup nous sommes pris dans les phares d’une voiture. Ignorant ce dont il s’agit, je l’abandonne, me redresse et me recouvre la poitrine. Ce n’est rien qu’un autre voyeur qui arrête son véhicule et en descend. Je relâche ma robe, et me remettant à genoux, je reprends mon activité un instant interrompue. Le nouveau venu s’approche :
— Bonsoir.— Bonsoir.— J’ai aperçu de la lumière alors je suis venu voir de quoi il retournait et me suis arrêté. Mais je ne veux pas déranger !
Je lui rétorque aussitôt
— Si cela vous intéresse vous pouvez participer, je ne pense pas que cela dérange mon partenaire. Qu’en penses-tu Benjamin ?
Et je le regarde quêtant sa réponse. Il sourit et acquiesce.
— Approchez, pas de soucis il est OK.
L’homme s’avance, je passe une main sur sa braguette
— Oh mais vous êtes déjà en forme il me semble, montrez-nous ça !
Aussitôt il déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et son slip. Son sexe apparait, d’une taille correcte, mais nettement moins gros que celui de mon joli black. Je le prends d’une main et commence à le masturber tout en continuant à sucer Benjamin. Il est nettement moins vigoureux. Je les astique tous les deux tout en les regardant toute souriante et heureuse d’être à si belle fête. Benjamin s’éloigne un instant, ce qui me permet de me consacrer d’avantage au nouveau venu. Je le masturbe activement, ses couilles ballotent sous sa verge. C’est alors que Benjamin me prend par le bras et me fait relever ; il soulève le bas de ma robe. Je comprends son souhait, fais passer ma robe par-dessus ma tête et pour compléter je me débarrasse de mon string. A part mes escarpins, je suis maintenant complètement nue et entièrement à la merci de mes partenaires. Ben appui sur mon dos, je me penche en avant, ce qui me permet de reprendre en bouche le sexe de notre compagnon de jeu.
Ben est maintenant tout contre moi, je relève mon postérieur et vient le plaquer contre son ventre. Je sens sa bite raide et ses couilles bien dures contre mes fesses. Il recule légèrement son bassin, passe une main imprégnée de salive sur son gland qu’il présente à l’entrée de mon sexe. Une douce chaleur descend dans mon ventre, je sens que je coule abondamment, l’éteinte qui va venir avec un black, j’en rêve depuis toujours. Malgré cela, une certaine appréhension s’empare de moi. J’ai pu tandis que je lui appliquais une fellation, mesurer l’importance de sa verge en érection. Jamais une telle pièce ne m’avait pénétré, mais mon désir est le plus fort, et je le laisse à la manœuvre. Son gland se présente dans le sillon de mes grandes lèvres, il pousse doucement, s’insinue entre elles, sous la pression mes petites lèvres s’écartent d’elles-mêmes, l’énorme gland est maintenant à l’entrée de mon vagin, Ben continue à pousser, l’entrée est étroite pour la dimension de son sexe.
J’aspire profondément, essayant de m’ouvrir au maximum tout en poussant moi aussi vers lui. Peu à peu il avance, mon vagin est dilaté à fond, centimètre par centimètre il s’enfonce en moi. Ma muqueuse ultra lubrifiée par la cyprine que le désir me fait émettre en abondance facilite les choses, mais je ne peux m’empêcher de pousser un léger cri de douleur lorsque son gland entre dans ma chatte. J’ai l’impression que mon sexe va éclater, ma respiration devient haletante, mais à la douleur se superpose une sensation comme jamais je n’avais ressentie. C’est tout à la fois intense et délicieux. Il entre et sort lentement de mon sexe, j’anticipe chacune de ses pénétrations en reculant mon postérieur vers lui. Mon cerveau est vide de toute pensée, toute ma vie est concentrée sur mon bas ventre, je ne vis plus que pour ces moments de plaisir intense. Je ruisselle de plaisir.
— Oh oui Ben, c’est bon, vas-y défonce moi…..oh ouiiii encore….enfonces toi bien, va bien au fond, oui, oui que c’est bon ….prends moi toute entière, ….vas-y encore, encore !!!
Benjamin accélère ses mouvements, mes seins ballotent sous ses poussées, à chacune d’elle, le sexe de mon autre partenaire s’enfonce au fond de ma gorge tandis que ses mains me malaxent les seins, agacent et pincent mes tétons. Benjamin de son côté est cramponné à mes hanches. Il va de plus en plus vite et je sens le plaisir monter en lui, je contracte mes muscles intimes sur ce pieux palpitant qui vibre en moi. Son gland frappe de plus en plus fort le fond de mon vagin. Des ondes de plaisir irradient tout mon bas ventre, un orgasme comme je n’en ai jamais ressenti monte en moi ; la respiration me manque et j’en oublie la bite de l’autre acteur de la partie qui torture les pointes de mes seins accroissant encore plus mon plaisir. Soudain Ben s’enfonce encore plus profond et reste immobilisé en moi, ses mains sont crispées sur mes hanches, un râle s’échappe de sa bouche, et aussitôt je sens sa semence chaude m’inonder ; je n’en peux plus et à mon tour j’explose hurlant mon plaisir.
— Aah ! ouiii, j’en peux plus, vide toi bien, c’est bon ! ton sperme encore, remplie moi ! aahh.
Il se vide en abondance, des ondes chaude remplissent mon vagin ; et lorsqu’il se retire avec un bruit de succion son sperme et ma cyprine s’écoulent à profusion tout au long de mes cuisses. Benjamin se redresse
— Tu es un sacré coup, j’ai adoré ta petite chatte étroite autour de ma bite !!— Moi aussi j’ai adoré, je n’ai jamais eu tant de plaisir à me faire défoncer.— J’espère que l’on se reverra.— Je l’espère aussi, j’habite la petite maison à l’orée de la forêt.— Je m’en souviendrai, à plus ma belle et termine le copain, je crois qu’il est mur !!— Je le crois aussi.
Et sur ces derniers mots, je m’agenouille à nouveau, enfourne la bite de notre compagnon et m’active ardemment, suçant, aspirant masturbant sans discontinuer. Il se met à geindre doucement, puis de plus en plus fort. Soudain il s’écarte, prend son sexe à pleine mains, se masturbe rapidement et un long jet de sperme s’en échappe, atterri sur mes seins et s’écoule sur mon buste, aussitôt suivi d’une nouvelle éjaculation non moins abondante, et comme je me suis penchée vers lui pour le reprendre en bouche, je reçois cette nouvelle giclée qui s’écrase sur mon visage. J’éclate de rire.
— Pour une douche, c’est une belle douche, tu en as encore beaucoup comme cela ? — Encore un peu si tu veux, ouvres bien la bouche !
Je ne me fais pas prier et enfourne son engin rendu poisseux par la semence qui s’écoule le long de sa verge. Je serre fermement son sexe entre mes lèvres, le chatouille de la langue, aspire le plus que je peux avec un léger va et vient, laissant échapper par moment un petit bruit de succion. Je sens son membre se gonfler et se raidir brusquement, il pousse un profond soupir et aussitôt je sens couler au fond de ma gorge une gorgée de sperme que je m’empresse d’avaler. Enfin consciencieusement, je me mets en devoir de le nettoyer, léchant la verge toute imprégnée d’un liquide légèrement poisseux et parfumé, puis de la main j’étale sur mes seins les restes de ses précédentes éjaculations et me suce les doigts avec délice. Il se reboutonne, dépose un baiser rapide sur ma bouche et s’éloigne dans le sous-bois.
Je ramasse ma robe qui traîne à terre, hésite un instant, puis la jette sur le siège passager de la voiture et c’est entièrement nue que je reprends le chemin de la maison, satisfaite et repus de cette soirée qui avait pourtant pas trop bien commencé.
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