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La trahison - Vers ma nouvelle vie

Chapitre 15

Dernier week-end en Bretagne

Travesti / Trans
Chapitre 15 – Dernier week-end en Bretagne
La semaine s’est écoulée sans problème particulier. Dans la journée je lézardais au soleil, sur la terrasse de la suite, entièrement nue, pendant que Michèle poursuivait ses recherches d’emploi. Nous nous retrouvions le soir et passions ensemble des moments intenses. Inutile de dire que le deuxième lit d’une personne de la suite n’a jamais servi. Le mercredi matin j’avais reçu un appel d’Isabelle ; elle viendrait me rejoindre dans la journée du samedi. Comme elle savait que j’étais en voiture, elle avait décidé de venir par le train et de prendre un taxi pour se rendre jusqu’à l’hôtel. Nous repartirions ensemble en voiture le lundi matin.
Ce samedi matin, Michèle a dû s’absenter pour une petite heure afin de finaliser un contrat de travail pour lundi. Le ciel est un peu voilé si bien que je renonce à ma séance de bronzage habituelle et j’opte pour un bain. Je m’affaire à remplir le baignoire et me débarrasse de ma nuisette. Pendant que l’eau coule, je contemple l’image que me renvoie une grande glace qui occupe tout un mur de la salle de bain. Bien qu’approchant la quarantaine, je suis assez satisfaite de mon corps. Grande, bien proportionnée, je présente une poitrine ferme et généreuse avec de jolis tétons bien raides au milieu de larges aréoles marron foncé. La taille est mince, le tour de hanches identique au tour de poitrine, un ventre plat au bas duquel une petite toison brune, entretenue avec soin, abrite un sexe harmonieusement développé attirant de sensuelles caresses. Les longues jambes au sommet desquelles trône une paire de fesses fermes et généreuses.
Je me glisse avec délice dans l’eau tiède et la mousse abondante de mon bain. Depuis la grande baie vitrée qui longe la baignoire, je contemple la côte. Je ferme les yeux et revois mon passé, avec mes vacances au bord de la mer, chez ma marraine et mon oncle . Cette année-là, j’étais proche de mes dix-huit ans. Je venais de terminer ma première année de faculté de lettres. Une année passée dans un petit studio que mes parents m’avaient loué pour m’éviter les longs trajets entre chez eux et l’université . Une année studieuse, au cours de laquelle je m’étais consacrée à mes études. Bien sûr j’avais fait la connaissance d’un garçon. C’était la première fois que je me retrouvais seule, et jusque-là ma vie en province n’avait donné lieu à aucune fréquentation, hormis de simples flirts et des baisers à la sauvette. Pour la première fois je me sentais attirée par l’envie d’aller un peu plus loin dans les rapports avec les garçons.
Au bout de quelques semaines j’avais fini par lui céder et nous avions eu de fréquents rapports sexuels. Mais son manque d’expérience, la rapidité avec laquelle il me prenait, m’avaient laissé sur ma faim et je n’avais ressenti aucun plaisir. C’est donc dans cet esprit d’insatisfaction que je pris le chemin vers la maison de ma marraine qui était aussi la sœur aînée de ma mère.
Quelques jours après mon arrivée, je m’éveille de bonne heure. Ayant soif, j’éprouve le besoin de descendre à la cuisine pour prendre un verre d’eau. Dans le couloir qui dessert les chambres et la salle de bain, j’entendis des plaintes et des gémissements ; la porte de la chambre de mon oncle et de ma marraine étant entrouverte, je m’approchais pensant que l’un d’eux avait un malaise. Par l’entrebâillement de la porte quelle fut ma surprise en constatant qu’il n’en était rien. Entièrement nus l’un et l’autre. Mon oncle, allongé sur le dos, recevait une fellation de la part de ma marraine, à quatre pattes au-dessus de lui. Elle se présentait de trois quart par rapport à moi, et je pouvais voir sa bouche monter et descendre le long d’une superbe colonne de chair. Je restais figée, fascinée, mon oncle laissait échapper par instant des grognements de plaisir. Tandis que je les observais, des pensées jusqu’alors inconnues s’insinuaient en moi.
Je ne pouvais éviter d’admirer la croupe superbe de ma marraine qui se présentait face à moi. Malgré qu’elle soit proche de la cinquantaine, son corps était épanoui et parfait. Au bout d’un moment, je reculais pour retourner dans ma chambre. C’est alors que je heurtais malencontreusement un petit guéridon qui se trouvait près de leur porte. Au bruit, ma marraine tourna la tête et m’aperçut :
— Martine, c’est toi ?— Euh…oui, je descendais à la cuisine, euh…excusez-moi.— Ne t’excuses pas, ne sois pas honteuse, viens, entres, il n’y a rien de mal.
Et sur ces mots, ma marraine s’est levée, est venue vers moi m’a prise par la main et m’a fait entrer dans leur chambre. Puis elle m’a fait assoir près d’elle sur le bord du lit. A la fois gênée et émue, je baissais la tête et n’osais rien dire.
— Tu ne vas pas me dire qu’à ton âge tu est encore vierge, tu as bien dû avoir quelques aventures à la faculté ?— Euh oui, non.— C’est oui ou c’est non !— C’est oui mais…— Mais quoi ?
— Je n’ose pas te dire,— Cela s’est mal passé ?— Je ne sais pas…. Cela ne m’a pas…— Cela n’a pas été super si je comprends bien, un petit bon à rien qui ne te méritait pas !
Mon oncle se leva et quitta la pièce
— Je vous laisse à vos confidences les filles, je vais me doucher !
Ma marraine me prit tendrement dans ses bras, et caressa doucement mes cheveux.
— Racontes, dis-moi tout, je peux tout entendre et te comprendre.
Alors, d’une voix timide entrecoupée de sanglots, je lui fit le récit de ma triste expérience. Elle ne m’interrompit pas, tout en continuant à me caresser doucement la tête et les joues sur lesquelles elle déposait de petits baisers. Un trouble m’envahissait.
— Viens, détends toi, laisses moi faire.
Elle me bascula doucement sur le lit, et me caressa tendrement. Après plusieurs minutes, je finis par lui rendre ses baisers. Brusquement sa bouche s’empara de la mienne et sa main glissa sous ma petite chemise de nuit, dont elle finit par me lieuxdedrague.fr30débarrasser. Le sang battait à mes tempes je m’abandonnais à elle. Sous ses caresses je sentais une douce chaleur m’envahir. Les minutes passèrent tandis que ma marraine s’appliquait à éveiller mes sensations en multipliant baisers et caresses de plus en plus intimes. Sans que je ne m’en rende compte, mon oncle nous avait rejointes et il était maintenant allongé près de nous. Lorsque je pris conscience de sa présence, je constatais qu’il présentait une belle érection, autre chose que celle de mon ex petit copain. Curieusement, cela ne me gênât point, au contraire, et lorsque ses mains se joignirent à celles de ma marraine, je le laissais faire.
Sur mon corps, ce fut un festival de baisers et de caresses, leurs bouches, leurs mains étaient partout, elles me fouillaient, me pénétraient. Le moment venu, il vint sur moi et me pénétra avec douceur et délicatesse tandis que ma marraine multipliait les baisers sur mes seins et sur ma bouche. Lentement, son sexe s’enfonçait en moi. Mon étroit vagin d’adolescente se serrait autour de lui. Je mouillais abondamment facilitant ses mouvements en moi. Un orgasme qui m’était encore inconnu monta et explosa en moi au moment où il son sperme jaillit. Je venais de découvrir ce que c’était vraiment de faire l’amour. Inutile de dire que tout au long de mon séjour, j’eus maintes occasions de parfaire mon éducation, de repousser toutes mes hésitations, et c’est souvent que je me faufilais dans leur chambre et me glissais entre eux deux.
Les yeux mi-clos, je revivais ces doux moments lorsque le téléphone sonne. Je sors de la baignoire, m’enveloppe d’un drap de bain et décroche le combiné.
— Bonjour Madame, ici la réception, nous avons une Madame Isabelle Martin qui vient d’arriver et qui vous demande.— Pas de problème, je l’attendais, faites la monter.— Bien Madame.
Enveloppée dans le drap de bain, je vais ouvrir la porte de l’entrée de la suite ; étant la seule occupante de l’étage, je ne risque donc pas d’être vue dans cette tenue négligée. L’ascenseur arrive, la porte s’ouvre laissant le passage à Isabelle.
— Isabelle ma chérie, comme je suis contente que tu ait pu venir !— Un peu difficile, mais tu pourras remercier Geneviève, elle s’est débrouillée pour annuler tous mes rendez-vous de ce samedi !— Quelle chance ! Je lui ferai de gros bisous à mon retour. Tu es toujours aussi resplendissante !
En disant cela, je dévore des yeux sa silhouette, drapée d’une légère robe d’été, boutonnée au minimum sur le devant et s’ouvrant ainsi sur des jambes impeccablement tournées et dont le décolleté laisse apercevoir une magnifique et opulente poitrine.
— Viens entre !
Isabelle pénètre dans la suite, jette son sac de voyage à terre et se laisse tomber sur le canapé.
— Ouf ! je suis crevée, ce voyage en train m’a semblé interminable, en plus je suis partie à l’aube !— Je suis désolée de t’avoir imposé cela, mais maintenant détends toi, et profite de ton week-end, du paysage, du soleil…— Oh ne t’inquiètes pas je compte bien profiter de tout cela … et de bien d’autres choses aussi ! ajoute t’elle en me regardant avec un sourire coquin.— De ce côté-là tu vas être gâtée et même peut être un peu plus que tu le crois ! — Une surprise ?— Tu verras !
Je la rejoins et m’assoie sur le canapé ; dans le mouvement, le drap de bain glisse me dévoilant complètement. Isabelle me contemple un sourire au coin des lèvres.
— Toujours aussi belle ma chérie !— Gourmande !
Et se disant, j’approche ma bouche de son visage. Isabelle ne se fait pas prier ; elle entrouvre les lèvres et laisse pointer sa langue dont je m’empare aussitôt. Nos bouches se collent l’une à l’autre, et je savoure la douceur parfumée, et les caresses voluptueuses nos langues qui se mêlent,
— Comme c’est bon, il y a si longtemps !— C’est vrai que je suis débordée par le travail depuis quelques temps et cela fait du bien de prendre enfin un peu de bon temps. Je pense souvent à toi et aux moments passés ensemble.
Isabelle se colle contre moi, ses mains s’égarent dans mes cheveux, sa bouche parcoure mon cou, mes épaules, mes seins avec frénésie. Une de mes mains glisse le long de sa cuisse et de son ventre largement découvert par sa robe dont j’entreprends de faire sauter tous les boutons. Elle se trouve maintenant pratiquement aussi nue que moi. Je lui suce les seins, en mordille les pointes dressées. Nous échangeons des baisers, des caresses et des soupirs passionnés. Je m’allonge sur le dos et me livre à elle. Sa bouche descend le long de mon ventre et atteint mon pubis.
— Eh bien, on ne s’embête pas à ce que je vois !!
Nous sursautons toutes les deux pour voir Michèle qui se dresse devant nous les mains sur les hanches. Toutes à nos ébats, nous ne l’avions pas entendue rentrer.
— Mon Dieu, Michèle comme tu m’as fait peur !— La porte n’était pas fermée alors je suis entrée directement, je ne m’attendais pas à trouver si joli spectacle !— Tu es pardonnée, je te présente Isabelle, une de mes meilleures amies, Isabelle je te présente Michèle à qui j’ai offert l’hospitalité pendant cette semaine. Alors, ce rendez-vous professionnel ?— Bien passé, et je commence effectivement dès lundi matin.— Super et tu as trouvé un logement ?— Oui, l’agence a mis à ma disposition un petit studio dans le centre-ville. Vous me laisser une petite place ?— Avec plaisir, viens donc entre nous deux.
Isabelle se pousse pour laisser la place à Michèle. Cette dernière est vêtue d’un petit caraco de coton blanc au décolleté orné d’une fine dentelle et d’un mini short en jean. Je l’enlace tendrement, tandis qu’Isabelle, après un petit moment d’hésitation pose sa main sur sa cuisse.
— Comme je connais Martine, vous avez dû passer une agréable semaine !— Excellente, mais Isabelle, tu peux me tutoyer.
Enhardie, Isabelle abandonne la cuisse de Michèle et se pose sur son épaule, pendant que de mon côté j’effleure un de ses seins. Isabelle se penche vers Michèle et doucement s’empare de sa bouche. Je pose ma main sur son entre-jambe et la caresse à travers le tissus de son mini short, ma main se crispe au niveau du sexe de ma belle transsexuelle . Isabelle et Michèle échange un long baiser puis la main d’Isabelle glisse sur un sein et descend vers le ventre. Laissant la place à Isabelle j’embrasse Michèle avec passion. Isabelle a un léger sursaut lorsque sa main s’attarde au niveau du sexe de Michèle, elle nous regarde un peu interdite puis éclate de rire.
— C’est donc cela Martine la surprise dont tu m’as parlé ?— Eh oui, c’est cela tu n’aimes pas ?— Je te dirai cela quand j’aurai goûté ! Après tout pourquoi pas ce sera pour moi une grande première !— Cela l’a été pour moi aussi, mais crois moi tu ne regretteras pas !— J’espère bien ! En tout cas Michèle tu as une superbe poitrine, j’adore !
Et ce faisant, Isabelle descend la bretelle du caraco et se met à sucer avidement le téton à sa portée. Pour ne pas être en reste, je m’applique à la même chose de mon côté. Michèle commence à soupirer. Nos mains nos bouches parcourent tout son corps. Caraco et mini short ont vite fait de valser à travers la pièce, dévoilant un joli petit slip tout en dentelle blanche masquant difficilement les attributs masculins de Michèle. Isabelle se penche et commence à donner des petits coups de langue sur le côté d’une des couilles dépassant par l’entrejambe de la petite culotte, pendant que je continue à sucer et mordiller l’un des seins. Isabelle semble apprécier, sa langue s’attarde, sa salive mouille de plus en plus le testicule, dont sa bouche finit par s’emparer goulument. Je m’excite de plus en plus avidement sur la superbe poitrine de Michèle.
Sous l’effet de nos caresses, la verge de Michèle, raidie, déborde du mini slip et d’un commun accord, Isabelle et moi le baissons et le jetons au sol. D’une main, Michèle saisie s’empare de son sexe et l’offre à nos bouches avides. Nos langues montent et descendent le long de la tige palpitante et titillent le dessous du gland. Goulûment je j’enfourne le gland en bouche, laissant à Isabelle le soin de poursuivre son massage buccal.
— Chacune son tour Martine moi aussi je veux son gland !
Je lui cède donc la place et retourne m’occuper des magnifiques seins de Michèle qui, les yeux mi-clos savoure ces moment plein de volupté. Isabelle crache un peu de salive sur la bite qu’elle se met en devoir de masturber doucement tout en appliquant à Michèle une pipe magistrale.
— Elle me semble à point, vas-y Martine, empales toi !
Je ne fais pas prier, je fais face à Isabelle et enfourche allégrement Michèle tandis qu’Isabelle de la main positionne sa bite à l’entrée de ma chatte. Je m’enfonce doucement sur cette colonne de chair qui entre en moi avec facilité. Je m’installe confortablement, jambes de part et d’autre de celles de Michèle et entame une série de va et vient pendant qu’Isabelle caresse alternativement mon clito et les couilles de Michèle. Après quelques minutes et tandis que Michèle me pilonne activement, Isabelle s’attaque vivement à l’un de mes seins pour revenir finalement à nos sexes se mettre à les tripoter sans vergogne. A chaque pénétration, je sens cette colonne de chair, chaude et palpitante qui s’enfonce dans mes entrailles. Mon vagin se comprime autour pour ne rien perdre des sensations qu’il me procure. Le gland heurte régulièrement au fond, à l’entrée de l’utérus augmentant mon plaisir.
Une chaleur bien connue irradie mon sexe ruisselant de cyprine et l’orgasme éclate en moi avec violence ; je hurle mon bonheur et retombe sur le dos épanouie et heureuse. La bouche d’Isabelle s’empare goulument de la mienne sous le regard amusé de Michèle, puis descend jusqu’à ma chatte et se met à me lécher vite rejointe dans cette activité par Michèle. Leurs langues se mêlent sur mon clitoris, s’insinuent entre mes lèvres dans un double cunnilingus des plus sensuel. Je ruisselle sous leurs caresses buccales, Isabelle, d’un doigt me masturbe gentiment mon bouton d’amour pendant que la langue de Michèle continue de me fouiller de plus en plus profondément, renouvelant ma jouissance. Ce petit jeu à une fin, et Isabelle, s’allonge sur le dos, écarte largement les jambes et offre son sexe ouvert à Michèle qui, sans hésiter y enfonce une bite bien raide. Il la ramone vigoureusement, elle tripote son clito pendant que de mon côté je me masturbe avec passion.
La pièce est remplie de nos soupirs et de nos gémissements de plaisir. Michèle, les yeux révulsés soulève son bassin pour aller au-devant de Michèle et pour en amplifier les pénétrations au plus profond d’elle-même. Ses halètements se mêlent à ceux de Michèle et elle aussi est traversée par un puissant orgasme. Michèle se retire soudain du vagin d’Isabelle et lui présente son sexe dont elle s’empare à pleine bouche. Je m’accapare l’un de ses seins, suce, tète, en mordille avec jouissance le mamelon. Isabelle suce avec volupté la tige puissante toute imprégnée de son jus d’amour ; elle accélère sa fellation, Michèle pousse un cri tandis qu’une semence épaisse et chaude jaillit de sa verge et inonde la bouche et le visage d’Isabelle. Aussitôt je me précipite lèche les joues d’Isabelle, ma langue s’insinue entre ses lèvres et recueille dans sa bouche une part de la précieuse liqueur. Epuisées, nous nous écroulons sur le divan.
Au bout d’un moment, ayant retrouvé mes esprits, je me tourne vers Isabelle :
— Alors ma chérie, qu’en penses-tu ?— Super, pour une première, avec une transsexuelle, c‘est une expérience inoubliable, merci de m’avoir fait connaître l’amour avec une jolie femme aussi bien pourvue, c’est autre chose que d’être pénétrée par un god ! Au moins cela vit !— Moi aussi j’ai été conquise, et je ne pensais pas qu’en offrant l’hospitalité à Michèle, avec il est vrai l’idée de faire l’amour avec elle, j’allais découvrir le double plaisir provoqué par des caresses féminines et un sexe masculin.
Inutile de vous dire que mon dernier week-end en Bretagne fut une fête partagée avec mes deux compagnes. Et c’est le cœur un peu triste, mais nos têtes pleines de souvenirs, que le lundi matin, Isabelle et moi, avons pris la route en abandonnant Michèle partie elle vers son travail.
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