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Trahisons, ou le Retour de la Grande

Chapitre 5

Mariage et soumission

SM / Fétichisme
Le bain prénuptial terminé, Sophie se fit saupoudrer de talc, parfumer, puis vêtir par ses trois servantes. Une petite culotte de soie blanche, à rebord de dentelles dorées, puis des bas de nylon blancs suspendus à mi-cuisses à un porte-jarretelles de même couleur. Un soutif assorti à la culotte compléta le tout. Ses cheveux furent coiffés avec style par des mains habiles. Se relevant, elle se fit revêtir d’une longue cape blanche en soie, bordée au bas de fourrure, la couvrant des épaules aux chevilles. Des escarpins blancs à talons aiguilles chaussèrent ses petits pieds également parfumés.Escortée de Lucie qui la soutenait par le bras, et précédée de Corinne et d’Andréanne qui ouvraient la marche, la future mariée fit son entrée dans une pièce sobrement éclairée où l’attendaient déjà Evnika flanquée de Tyranny, ainsi que les autres membres du harem féminin. La Grande Maîtresse se dressait fièrement sous une arche fleurie, recouverte elle aussi d’une longue cape noire lui descendant à des chevilles supportées par des talons aiguilles noirs. Une douce mélodie jouée au piano et au violon ajoutait au romantisme du moment.À peine souriante, Evnika tendit la main à Sophie qui se fit abandonner par son escorte.
— Comme tu es belle, ma chérie ! lui susurra-t-elle. Pas trop nerveuse ?— Ça ira, je crois, répondit l’autre. Vous..., vous ne me ferez pas trop mal ? se risqua la jeune.— Tu ne me fais pas plus confiance que ça ? la réprimanda-t-elle discrètement. Aie un peu confiance. Je sais me contrôler.
Empruntant un ton plus solennel, Evnika s’adressa à l’assistance en s’exprimant d’une voix forte :
— Aujourd’hui je prends pour épouse légitime cette jeune et future dominatrice Sophie, qui sera ma femme ainsi que votre respectable maîtresse. Lorsque sa soumission comme épouse sera consommée, vous devrez toutes lui porter allégeance de soumission et de servitude, comme vous l’avez déjà anciennement fait à mon égard.
Elle se tourna alors vers Sophie :
— Acceptes-tu toujours d’être ma femme, de te soumettre à moi en toutes choses et de tout faire pour me satisfaire ?— Ou... oui, Maîtresse Evnika, je l’accepte.
La Grande enlaça sa future et s’approcha d’elle pour l’embrasser.
— Je vais à présent prendre possession de ta bouche et de ton esprit.
Lui faisant à présent face, Sophie sentit toute résistance la quitter alors que les yeux rouges d’Evnika plongèrent leur regard dominateur dans le sien.Enserrant Sophie contre elle, la grande Maîtresse enfourna sa langue dans sa bouche, lui faisant sentir la perle noire qui l’ornait, et la frencha passionnément alors que les yeux des deux femmes se fermèrent. L’étreinte se resserrant, la jeune fille se sentit enveloppée d’un doux parfum de fleurs sauvages émanant de sa nouvelle épouse. À son tour, la rouquine entoura d’un geste à peine hésitant sa nouvelle conjointe de ses bras.
— Je vais maintenant prendre possession de tout ton corps et consommer ta soumission totale.

Les deux femmes se défirent chacune de leur longue cape, puis Sophie fut invitée par Tyranny à prendre place en levrette sur une table sur laquelle étaient disposés quelques coussins, tournant le dos à l’assistance. S’exécutant, la jeune mariée sentit la gêne la gagner en imaginant la multitude de paires d’yeux sur le point de violer les secrets de son intimité. Les bas suspendus furent détachés de leurs jarretelles puis, tout doucement, la petite culotte blanche fut descendue jusqu’aux genoux par Tyranny qui se tenait aux côtés de la jeune fille, exposant à toutes un cul délicat, poudré et vierge de toute soumission, au fond de la raie duquel un timide anus brun-rosé se cachait encore. Le sexe déjà congestionné de la rouquine, dont l’aspect luisant témoignait d’une abondance de cyprine, se présentait hardiment, lissé par son épilation, entre le haut des cuisses et les fesses de la fille. Ces dernières se firent par la suite écarter par les mains de Tyranny, laissant la petite rondelle prendre une première bouffée d’air frais.


— Ta mouille sera suffisante pour te lubrifier là où il faut, chérie, l’encouragea discrètement la co-dominatrice. Aucun autre produit ne sera nécessaire. Quand tu sentiras que le gode bloque au fond de ton cul, pousse de toutes tes forces et ne pense à rien, lui conseilla-t-elle en terminant.
Vêtue seulement d’une culotte-bikini noire et arborant fièrement des seins fermes coiffés chacun d’un mamelon percé d’un anneau doré de 3 cm de diamètre, Evnika s’approcha lentement de sa nouvelle femme, armée d’un gode-ceinture doré. Debout derrière sa future soumise, la femme au début de la trentaine lui fit passer l’instrument de 4 cm de diamètre par près de 20 de long entre les cuisses. Le frottant contre un sexe chaud et humide, elle en graissa copieusement la hampe avant d’en introduire les premiers centimètres dans son vagin. Sophie connut alors une excitation au passage de l’instrument qui l’amena à produire une nouvelle vague de mouille dont le gode se fit de nouveau enduire avant son retrait de la grotte d’amour.L’embout de l’instrument encore rigide fut apposé sur la rondelle et força doucement le sphincter externe de la fille qui effectua alors une légère poussée abdominale afin de faciliter la chose. Le premier tiers passa aisément. Lentement, Evnika approcha son bassin des fesses toujours écartées de Sophie à mesure que l’instrument investissait les entrailles de sa nouvelle femme. De légers mouvements de va-et-vient s’amorcèrent alors dans le but de conforter la nouvelle possession de cette intimité presque virginale. Le gode s’immobilisa à trois centimètres de la garde, bloqué dans sa progression. Sophie émit un léger grognement de douleur, la tête baissée, les cheveux masquant maintenant son visage.
— On y est presque, l’encouragea Evnika. Respire bien et laisse le dominateur adopter ta température corporelle. Il s’assouplira bientôt et pourra s’adapter aux courbes de tes entrailles.
Une longue minute s’écoula pendant laquelle la Maîtresse faisait jouer le gode dans le rectum de Sophie afin d’en accélérer le gain de compliance. Ce faisant, elle caressait légèrement les fesses de la fille tout en leur refilant de petites taloches à l’occasion en signe d’encouragement. La Grande jouissait intérieurement à la vue de cet anus qui se faisait docilement envahir par ses soins, déjà satisfaite de s’approprier ce nouveau trophée. Complètement abandonnée aux manœuvres de celle qui la soumettait, la jeune haletait sans émettre aucune plainte. Elle avait donné sa parole et ne voulait en aucun cas décevoir celle qui était sur le point de l’adopter. D’un geste déterminé, la dominatrice entreprit de pousser l’extension de son sexe plus profondément dans le corps de sa nouvelle soumise. Un douloureux spasme s’installa dans le ventre de Sophie qui, se rappelant le conseil de son ex-collègue d’études, se mit à opposer un ultime effort contre l’instrument qui désirait maintenant prendre entièrement place au fond de son intimité.
Quelque chose sembla tout d’un coup céder et Evnika acheva de pousser complètement le gode, sentant maintenant les chaudes fesses de Sophie entourer son mont de Vénus. Au même moment, on entendit Sophie émettre une plainte accompagnée d’un sanglot alors que ses cheveux roux masquaient la douleur exprimée sur son visage. La crampe qui lui barrait maintenant le ventre témoignait du passage du dominateur d’Evnika dans une région jusque-là inexplorée de son corps possédé.
— Je t’accepte et t’adopte maintenant comme ma femme et ma soumise, annonça solennellement Evnika en amorçant doucement son retrait complet du derrière de Sophie dont elle venait de prendre possession. L’instrument de soumission ressortit immaculé, seule se remarquant à l’extrémité une légère teinte rougeâtre témoignant de cette défloraison hors du commun.
Le soulagement que connurent les entrailles de Sophie lui procura une impression de délivrance salvatrice qui s’exprima par un long soupir de satisfaction. Descendant de la table à l’aide de Tyranny, elle alla embrasser de nouveau sa nouvelle femme et maîtresse, alors qu’une esclave lui essuyait les fesses, sous les cris et applaudissements de l’assistance qui avait jusque-là gardé le silence, ayant laissé place à la douce musique de fond ponctuée à l’occasion par les discrets gémissements de la mariée.
— Chères enfants, annonça gravement Evnika la Grande, soumettez-vous maintenant à votre nouvelle Maîtresse que vous honorerez sous le nom de Miss Slash.
En silence, toutes les esclaves, vêtues chacune d’une guêpière et d’une culotte de couleur assortie, s’approchèrent du couple. Une après l’autre, chaque fille embrassa Evnika puis, offrant son cul à la jeune nouvelle mariée, fit acte de soumission à l’égard de celle-ci en acceptant le bref acte de sodomie servi par le gode maintenant porté par la rouquine. Positionnée en levrette pour la circonstance, chacune formula son allégeance à la nouvelle dominatrice :
— Par ce geste de soumission, je me reconnais, Miss Slash, comme ton esclave soumise et dévouée. Je te jure loyauté, fidélité et obéissance jusqu’à ma libération ou ma mort.
La scène subjuguait la jeune qui réalisait à peine les pouvoirs dont elle venait de se faire investir, à tel point qu’elle demeurait passive dans sa position, les filles s’empalant plutôt sur l’instrument de soumission avec enthousiasme alors qu’elles prononçaient leurs vœux.La cérémonie d’allégeance terminée, le couple se fit de nouveau applaudir alors que Tyranny s’avançait pour remettre à Sophie un présent de noces :
— Acceptez ce petit présent, Maîtresse, de notre part à toutes, vos fidèles esclaves.
Souriante et, pourrait-on le dire, vu les circonstances, enchantée, la rouquine ouvrit sans attendre la boîte emballée de papier de soie et ornée d’une boucle bleue. En sortit une affriolante nuisette de soie transparente bleu ciel assortie d’une petite culotte tout aussi aguichante.
— C’est pour votre nuit de noces, Miss Slash, reprit Tyranny. De notre part à toutes !— Oh merci, les filles ! fit la jeune en embrassant l’autre. Le bleu a toujours été ma couleur préférée. Comment avez-vous deviné ?— Eh bien, répondit Tyranny, disons que nos anciens rapports de collègues d’université ont aidé un peu !
Laissant le harem, le nouveau couple fit son entrée dans la grande suite de la maîtresse. De grandeur moyenne, la première pièce, désignée comme anti-chambre, était meublée d’une luxueuse table en bois massif. Un lit orné de draps de satin occupait un coin en retrait, caché par un demi-mur chapeauté d’un ouvrage de fer ornemental. Deux lustres de grande valeur surmontaient cette pièce relativement bien éclairée et décorée de tableaux de peintres célèbres.
— C’est dans ce lit que je reçois mes concubines, ces filles qui te sont maintenant également soumises, annonça Evnika à sa jeune épouse. Toutes t’appartiennent dorénavant et devront se plier à tous tes désirs lorsque tu les y accueilleras à ton tour.
Sophie fut introduite dans la pièce suivante, ayant traversé deux portes dorées à battants.
— Ceci est ma chambre privée, fit la Grande en montrant du bras une large pièce dont les murs étaient, au-dessus de cimaises surmontant des caissons dorés, couverts de riches tapisseries représentant des scènes de l’Antiquité. Un très large lit à baldaquin trônait au fond entre des statues de femmes nues en position de soumission.— J’ai toujours été la seule à occuper ce lit. C’est maintenant le nôtre, ma chérie. Je suis fière de le partager avec toi.
Sophie ne disait mot. Muette d’étonnement, elle se laissait docilement conduire par sa nouvelle conjointe. Les yeux grand ouverts, toute béate d’admiration, elle se sentait comme une princesse que l’on conduit vers son trône. Elle se ressaisit néanmoins, son esprit étant ramené à la réalité qu’elle vivait malgré tout, se rappelant le pourquoi de sa décision de se donner à sa tortionnaire.De retour dans la pièce précédente, les deux femmes prirent place à la grande table de bois dressée pour un premier repas en tête-à-tête. Deux filles portant J-string et talons-aiguilles assurèrent les différents services du festin privé, arborant chacune une généreuse poitrine dénudée et des mamelons pointant fièrement au centre d’aréoles foncées. Chaque serveuse, après avoir déposé ses plats, demeurait aux côtés de sa maîtresse respective, agenouillée près du fauteuil, assise sur les talons.
— Elles doivent toujours rester dans cette position ? demanda la rouquine, quelque peu mal à l’aise de faire l’objet de tant d’attentions et surtout de voir un tel respect ainsi qu’une telle soumission manifestée à son égard.— Tu t’y feras rapidement, ma belle. Ce sont des chiennes, ne l’oublie pas. Tu peux leur chatouiller le conin ou leur botter le cul à ta guise. Elles n’attendent que ça.
Ayant fini d’avaler sa bouchée, Evnika reprit :
— Descends ta main et caresse le minou de ta servante.
Sophie s’exécuta en se penchant légèrement hors de son fauteuil. Elle passa doucement les doigts sur le tissu délicat couvrant le sexe de sa servante qui s’était redressée sur les genoux à sa demande.
— Mais ? Mais ? fit-elle avec étonnement. C’est un... c’est un...
Elle inséra finalement la main à l’intérieur du J-string bleu que portait l’esclave et :
— Son minou est entravé par un anneau ? fit-elle en palpant l’objet métallique de 4 cm qui lui barrait les grandes lèvres.— Comme pour la mienne, chérie. Monica est ton esclave personnelle. Tu pourras la baiser tant que tu veux. Tu n’en restes pas moins ma femme et j’aurai toujours priorité sur elle.
Elle ajouta :
— Je permets à nos filles de baiser entre elles. Ça les occupe et les récompense en même temps. Mais nos esclaves personnelles ne baisent qu’avec nous seules.— Ça ne les prive pas d’un certain plaisir de ne pas jouer avec les autres ?— Nullement ! C’est au contraire un réel privilège pour elles ! Une place de choix ! Tyranny m’a conté comment elles ont toutes failli se chamailler pour avoir les postes.— Dites, on pourra se les échanger... de temps en temps ?— Coquine ! acquiesça la tortionnaire. Je constate que l’esprit de domination progresse agréablement bien en toi ! C’est quand tu voudras, ma belle. Les deux t’appartiennent aussi bien qu’à moi. En attendant, demande ce que tu veux à Monica. Elle comblera tous tes désirs. Allez, amuse-toi un peu !
Voulant tester son esclave, la jeune se risqua au jeu. Ayant saisi un morceau de viande qu’elle tendit au-dessus de la fille, elle l’interpella :
— Allez, ma fille, fais la belle !
Monica se tourna vers Sophie et, toujours accroupie et s’appuyant sur les orteils, prit la pose du chien qui fait le beau en pliant devant elle les bras.
— Bonne chienne ! approuva la rouquine en laissant tomber le morceau au-dessus de la fille qui l’attrapa au vol avant de l’avaler presque tout rond.
Retroussant sa culotte de soie vers la droite afin d’exposer son conin humide, elle invita ensuite sa servante :
— Viens, ma belle. Viens me lécher le minou.
Sans attendre, l’autre passa sous la table et, s’accroupissant devant le fauteuil de Sophie, appliqua de généreux coups de langue entre les lèvres intimes qui s’offraient à elle. La jeune qui mouillait abondamment se délectait de la situation, alors que sa nouvelle conjointe intima à Kathleen, sa propre esclave, d’imiter sa collègue. Les nouvelles mariées jouirent donc d’un somptueux repas durant lequel les stimulations clitoridiennes se mêlèrent à celles de leurs papilles gustatives.
— Comment te sens-tu, Sophie ? voulut s’enquérir Evnika la Grande.— C’est très agréable, fit candidement Sophie, s’adressant à l’autre la bouche pleine.— Non, je veux parler de cette journée, ma belle. Comment la vis-tu ?— Je me sens beaucoup plus valorisée qu’hier soir, je dirais, ajouta-t-elle non moins innocemment. Vos filles ont vraiment tous les talents !— Tu es ma femme maintenant, Miss Slash. Aussi, j’aimerais connaître tes sentiments à mon égard. Que penses-tu de moi ?
La réponse fut sèche et sans équivoque :
— Je ne vous aime pas, Madame Evnika, et je dois vous dire que vous m’inspirez toujours de la peur.
Et elle ajouta :
— Qu’attendez-vous de moi au juste ?
Evnika soupira longuement. Ce ne fut plus la grande Maîtresse qui parla. Ce fut la femme de toute évidence malheureuse et incomprise, désespérant de remplir un jour sa quête :
— Je ne te forcerai jamais à éprouver de nobles sentiments à mon égard. La franchise étant un de mes plus grands principes, je t’avouerai admirer la tienne. En toi se trouve la simplicité et la spontanéité. Ce que je cherche en toi, je ne peux te le définir mais je crois que tu le possèdes.
Tentant de connaître davantage sa nouvelle soumise, elle poursuivit :
— Que penses-tu des cartes de fidélité émises par les grands magasins ?— Quelle drôle de question ! Vous voulez dire les cartes de points ?— Oui, laissa tomber Evnika. Je sais que ça te semble bizarre de ma part d’en parler. C’est... c’est... oh et puis, laisse tomber !— Ben, Ali et moi, on a la carte PC Optimum, celle de La Baie et celle de Canadian Tire. C’est à peu près tout. Ah, j’oubliais : on accumule aussi des points Air Miles.— Elles sont bien chargées ? Je veux dire... Vous êtes parvenues à accumuler un bon solde de points avec chaque ?— J’pense ben. On était sur le point de se mériter une nouvelle balayeuse sans fil. Vous savez, celle qu’on peut passer dans les marches d’escalier sans problème ?— Ouais... Très intéressant, laissa tomber l’autre tout bas. Mais parlons de toi, à présent, ou plutôt de nous deux.
Sophie écouta attentivement Evnika comme elle lui faisait cette longue déclaration :
— Je ne crois pas à l’amour. Je n’en ai jamais reçu, ni jamais donné, et je ne m’en porte pas plus mal. L’amour est donc pour moi un concept totalement abstrait. Je ne vois pas du tout quel plaisir on peut tirer du fait d’aimer. L’amour rend les gens malheureux et les pousse à faire les pires stupidités, allant jusqu’au suicide si on se fie à certaines pièces classiques. Je conçois donc facilement que tu ne m’aimes pas. Ce que tu possèdes et que je n’ai pas, Sophie, je ne te forcerai jamais à me le donner au point de t’en priver. Je te demanderai seulement de me permettre de le partager et peut-être, un jour, d’en profiter avec toi.
Elle ajouta cependant, d’un ton plus ferme :
— Mais sache une chose, petite : tu es dorénavant ma femme unique parmi toutes mes concubines et tu me seras entièrement soumise, que ça te plaise ou non.
(À venir : Fantasmes d’une nuit de noces)
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