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En train de jouir, jouir en train

Chapitre 3

Les rousses sont diaboliques

SM / Fétichisme
« Il faut que je te raconte quelque chose » me dis-tu avec un grand sourire coquin… Tu me tends un petit papier. Je le lis, découvrant une écriture féminine et surtout un aveu… Comme cela tu as joui sans mon autorisation… Et entre les mains d’une femme…Mon cerveau tourne à toute vitesse, cherchant la punition la plus appropriée. Perdu dans ces pensées, encore surpris par l’état dans lequel je t’ai trouvée, j’ai oublié de verrouiller la porte… qui s’ouvre… Et la jolie rousse se trouve à nouveau dans l’encadrement de la porte.« J’ai oublié ma culotte » nous glisse-t-elle avec un grand sourire. Je comprends immédiatement de qui il s’agit et je lui souris également.« C’est vous qui l’avez fait fauter ? — Oui, j’avoue, répond-elle malicieuse. Vous allez la punir ?— Bien sûr, elle a désobéi ».Je vois dans ses yeux une lueur à la fois lubrique et intéressée. Je décide alors de pousser ma chance.« Entrez donc si cela vous intéresse… ». Elle n’hésite pas un instant, et elle referme la porte derrière elle pour la seconde fois. Nous sommes trois dans ce petit espace, nos corps se frôlent délicieusement, la tension est à son comble.
« Tes mains contre la paroi, les fesses offertes ! », te dis-je d’un ton ferme. La jolie rousse veut voir une punition, elle va en voir une… Tu te retournes docilement et tu poses tes mains de part et d’autre du mur, cambrant fortement pour bien faire jaillir tes fesses vers l’arrière.Elles sont ainsi magnifiquement offertes, comme je te l’ai enseigné. La jeune femme s’est appuyée contre le lavabo et elle ne rate pas une miette du spectacle. Je prends le temps de caresser tes fesses avant toute chose. Mais très vite, la première fessée s’abat sur ton cul merveilleux. Un claquement sec, ponctuée par un « Un, merci Maître ». La seconde suit dans la foulée. Je vois du coin de l’oeil la jolie rousse qui tend le cou et le regard pour mieux voir ; ses yeux brillent à chaque fois que ma main s’abat sur tes fesses tendues et que tu me remercies. Elle hésite un instant puis elle finit par passer sa main dans sa jupe ; très vite elle se masturbe frénétiquement alors que tu reçois la correction méritée que te vaut ta désobéissance.Lorsque je cesse, je la sens presque déçue. Sa main continue pour autant de s’agiter entre ses cuisses, mais je comprends qu’elle aurait aimé jouir alors que tu te faisais punir. Décidément, elle respire le vice…
Cette séance n’a pas manqué de provoquer mon excitation. D’ailleurs, à la base, j’étais venu pour te prendre dans ce WC. Je décide donc de ne pas m’arrêter là. Je déboutonne mon jean et à ce seul son, tu te penches vers l’avant pour mieux m’offrir ton intimité ; et je m’enfonce en toi presque aussitôt ; une fois de plus la correction t’a rendue plus humide que jamais.La jolie rousse cesse ses caresses et elle s’approche de nous. Elle passe doucement sa main dans tes cheveux, sur ta nuque et dans ton dos tandis que je vais et viens en toi à un rythme régulier. Très vite, ses doigts viennent glisser sur tes seins, tirant légèrement leur pointe et te faisant gémir davantage. Puis la main descend le long de ton ventre pour venir envelopper ton clitoris que ses phalanges caressent avec des petits mouvement rapides, du bas vers le haut. Tu te mets à crier en ruant du bassin contre mon sexe ; la caresse est infernale, et je vois bien à son regard que notre invitée surprise rêve de te faire jouir une nouvelle fois, provoquant ainsi une punition supplémentaire. Elle est diabolique de sadisme…J’interromps mes coups de bassin en toi et je me retire. « C’est un peu facile, vous ne trouvez pas ? Vous essayez de la faire jouir à nouveau pour qu’elle soit punie…Vous proposez quoi alors ? », répond-elle de son air mutin.Je réfléchis un court instant, puis je décide de la pousser dans ses retranchements.
« Et bien il faut qu’il y ait un enjeu pour que ce soit intéressant… Je propose de vous prendre chacune à tour de rôle, et la première qui jouit sera punie…. sévèrement ».Elle réfléchit un court instant, mais son esprit joueur est plus fort qu’elle, je m’en doutais. Elle acquiesce et elle se retourne contre le lavabo, tout en remontant sa jupe. Là encore, je ne me fais pas prier et je la prends jusqu’à la garde, sans difficulté non plus tant elle est trempée elle aussi. Je la prends ainsi quelques minutes avant de me retirer et de te prendre à nouveau.
Elle vient se positionner contre toi une fois de plus et elle reprend ses caresses infernales sur ton bouton de plaisir. Tu sens à quel point elle a envie de gagner et tu résistes de toutes tes forces. Enfin, les pénétration cessent et je prends à nouveau la petite rousse. Cette fois tu décides de ne pas te rendre sans combattre. Tu viens toi aussi te frotter contre son corps doux et tes doigts partent à l’assaut de son intimité. Elle ne s’y attendait visiblement pas et elle manque presque de jouir au premier contact. Tu redoubles d’ingéniosité dans tes caresses, mais elle résiste en se crispant contre le lavabo. Quant à moi, je profite de son vagin qui se contracte sous les effets du plaisir, redoublant le mien.Je m’arrête pour te prendre à nouveau, puis je la prends à son tour. Vous êtes toutes les deux au bord de la rupture, l’extase est proche dans les deux cas. Quand vient ton tour, la jeune femme tente le tout pour le tout. Alors qu’elle se met à caresser ton clitoris en feu, tu sens ses lèvres venir se poser à l’orée de tes fesses ; et très vite la chaleur humide de sa langue vient envelopper ton petit trou. Elle salive abondamment en te léchant avidement. La sensation est fabuleuse et tu es proche de l’orgasme ; je n’en suis pas loin non plus, tant la vue est fabuleuse : toi, cambrée contre la paroi, mon sexe allant et venant dans ton sexe humide tandis que la jolie rousse lèche abondamment ton anus. Mais elle n’a pas prévu d’en rester là… Profitant d’un de mes mouvement amples, elle saisit mon sexe qu’elle caresse un cours instant ; puis elle le dirige vers ta petite rondelle trempée de salive. Elle me regarde en souriant. C’est déloyal, mais c’est le jeu… et j’appuie lentement, aidé par sa main qui me guide. Je m’enfonce en toi sans difficulté, te sodomisant jusqu’à la garde, t’arrachant des cris de plaisir intenses.Quand j’ai enfin pris mes marques, je me mets à nouveau à aller et venir sans relâche tandis qu’elle masturbe ton clitoris avec le même rythme infernal. Cette fois tu ne peux plus résister, en fait tu ne veux plus résister. Ton orgasme éclate enfin ; tu hurles de plaisir sous le double effet des caresses sur ton bouton et des va et vient entre tes fesses.
Tu peines à te remettre, les jambes encore flageolantes quand tu entends la jolie rousse ouvrir la bouche :pour faire remarquer qu’elle a gagné. La garce… ne peux-tu t’empêcher de penser. Mais oui, elle a gagné… Et au fond, l’idée t’excite.Tu l’entends me parler à l’oreille. J’acquiesce. Elle appuie son dos contre le lavabo, écartant ses cuisses pour te présenter son sexe luisant. Tu comprends évidemment ce qu’elle attend. Tu veux t’asseoir sur le toilette pour pouvoir la lécher, mais elle te fais signe que non.« Tends bien tes fesses pendant que tu me fais un cuni ! ».Tu t’exécutes, et tu commences à lécher sa chatte trempée en te courbant vers l’avant. Tu as joui, tu dois être punie… Et la première fessée tombe… Tu continues de lécher consciencieusement. « Je n’ai rien entendu ! » crie la jolie rousse. Une nouvelle claque sonore vient s’abattre sur tes fesses. Tu prononces un « merci Maître » étouffé par le sexe humide, ce qui ne le rend que plus érotique.« Les fessées s’arrêtent quand je jouis », te murmure la jeune femme.Elle est décidément diabolique… tu redoubles d’attention pour son clitoris et sa vulve en feu. Elle était déjà au bord de l’extase et heureusement elle ne tarde pas à jouir, même si tu peux la voir résister au maximum, se délectant de la vue de tes fesses qui rosissent sous la paume de mes mains. Elle jouit presque autant de ta langue que de te voir punie. Elle crie son plaisir en frottant son sexe contre ta bouche tandis que la dernière fessée s’abat sur ton petit cul.
Elle se redresse après quelques instants, encore rouge de plaisir. Elle te repousse pour te faire asseoir sur le WC. « Je n’en ai pas fini avec toi » dit-elle malicieusement. Elle passe derrière moi et elle saisit mon sexe dur dans sa main. Je ne suis pas très loin non plus de l’orgasme. Elle m’approche de toi, mon sexe face à ton visage, et elle commence une masturbation délicieuse. Tu la vois me caresser le sexe à quelques centimètres de ta bouche, rêvant de me prendre entre tes lèvres. Mais elle ne te laisse pas faire, t’intimant de ne pas bouger. Mon plaisir monte progressivement mais inexorablement et enfin je jouis… Mes giclées de sperme atteignent ta joue, tes lèvres, ton cou. Elle prend un grand plaisir à t’arroser ainsi de mon foutre chaud, visant comme elle le peut ton visage offert.Nous nous rhabillons enfin, nous occupons les lieux depuis un moment… Tu tends la main vers le papier toilette pour te nettoyer, mais je retiens ton poignet. « Non, non… Tu es punie, tu te souviens ? Tu nettoieras ton visage quand tu seras à ton siège, pas avant » te dit-elle avec un sourire malicieux…Et elle part la première, suivie de près par moi. Tu nous suis finalement, le visage et le cou ornés de ma semence abondante. La rangée qui mène à nos sièges te parait faire des kilomètres…Alors que tu avances, essayant d’être la plus discrète possible, une voix t’interpelle bruyamment ; c’est bien entendu la jolie rousse qui joue une amie croisée par hasard dans le train et qui te propose de prendre la place libre à coté d’elle. Tu crains que sa voix n’attire l’attention et que des personnes ne te remarquent, alors tu t’assois alors à coté d’elle. Tu la regardes intriguée. elle se penche à ton oreille.« J’ai passé un deal avec ton Maître ; tu es à moi jusqu’au terminus. Je pensais que çà te plairait. Ça nous laisse trois heures pour bien nous amuser… ». Tu lèves la tête et tu me vois de l’autre coté, je te souris pour te signifier qu’elle ne ment pas. Tu sors alors un mouchoir pour essuyer ton visage. Elle saisit à nouveau ton poignet. « Tu vas voir, te dit-elle, je suis un peu plus dure que lui… Tu t’essuieras quand tu m’auras fait jouir deux fois, pas avant ». Tu la regardes, interdite. Elle saisit alors ta main et la glisse entre ses cuisses. « Ne perd pas de temps, sinon quelqu’un va finir par se rendre compte que tu es couverte de sperme… ».
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