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En train de jouir, jouir en train

Chapitre 4

L’inconnue du train

SM / Fétichisme
Ce chapitre est une « aparté » par rapport au reste de l’histoire. C’est en effet une « surprise » que m’a faite ma compagne en écrivant une suite alternative au chapitre 2 (« quand Monsieur est occupé »). Une sorte de chapitre 3bis écrit par Elle.
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…Quelques secondes plus tard, j’entends de nouveau toquer à la porte : C’est toi qui apparaît dans l’embrasure de la porte des WC et je m’empresse de te faire rentrer dans le réduit.« Excuse-moi mon Coeur, j’étais au téléphone, tu ne m’as pas attendu trop longtemps ? me demandes-tu.Mon visage encore légèrement rosi par le plaisir semble me trahir.« Aurais-je manqué quelque chose ? ajoutes-tu ».Je m’empresse de t’embrasser mais cela ne fait qu’accroître ton trouble quand je te tends le mot de la jolie rousse. Tu saisis rapidement le papier et je lis sur ton visage ta stupéfaction.« Ah la petite coquine que voilà ! Et toi, tu m’as désobéi ? Tu as osé jouir sans mon autorisation ? » me sermonnes-tu.À cet instant tu comprends que la jolie rousse qui t’a bousculé au moment de me rejoindre n’est autre que l’autrice du mot sulfureux. Je me répands en excuses mais tu ne l’entends pas de cette oreille.« Cette gourgandine me donne une idée : Attends-moi là, tu ne perds rien pour attendre ! » m’ordonnes-tu.Tu ressors illico du réduit et je t’entrevois griffonner quelques mots sur un papier. Je ne puis lire ce que tu lui écris distinctement ce qui ajoute de la confusion à mon émoi. Tu repars à notre place tout en laissant négligemment tomber le petit mot à la hauteur de la jolie rousse.Perdue dans ses pensées, elle ne fait pas tout de suite attention à ce papier, tombé là, dans l’allée, puis elle le ramasse machinalement pour aller le mettre à la poubelle... D’un naturel plutôt curieux, elle le lit distraitement.... Elle manque de le faire tomber à nouveau.Au lieu de se diriger vers la poubelle, elle marche rapidement vers les WC et sans même toquer à la porte, je sais déjà que c’est elle à son pas décidé. Elle m’embrasse goulûment et me demandes je me suis remise de mes émotions. Je reste interdite ne sachant quelle conduite adopter. Elle prend les devants et se penche à mon oreille.« En tout cas tu suces comme une reine, tu sais… » me dit-elle langoureusement.Elle entreprend de me lécher les seins tout en posant ses mains un peu partout sur mon corps, dénudant tout ce qui peut l’être. Dans la folie de son étreinte, je finis entièrement nue, dévorée de toute part par ses baisers, ses mains, son corps enlacé contre le mien.A cet instant, elle s’attarde plus précisément sur mon clitoris érigé de plaisir et plus particulièrement sur sa tige tendue à l’extrême tant le désir qui me dévore le corps est à son apogée. Elle me lèche délicieusement, elle se délecte de mes gémissements que j’ai grand-peine à contenir. À cet effet, elle insère ma culotte trempée de désir dans ma bouche.« Ne crie pas si fort, sinon tu vas rameuter tout le wagon ! » me murmure-t-elle, comme pour justifier son geste.Elle s’attarde un moment sur mon petit trou très réactif, en effet ce dernier ne demandait que ça et quelque part je suis soulagée car cela « repose » quelque peu mon clitoris qui était de nouveau sur le point de jouir.Elle a en effet cet art consommé de me lécher très délicatement le sommet du clitoris tout en tirant quelque peu sur mon Mont de Venus afin de bien le dégager pour mieux le savourer. Ses doigts appuient très délicatement sur ma tige pour m’arracher encore et encore des pépiements de plaisir.Elle passe et repasse sa langue à l’orée de mon anus, forçant très légèrement l’entrée qui ne résiste pas bien longtemps à ses assauts. Elle glisse un doigt puis deux, fortement lubrifiée par la mouille qui ne cesse de couler à flots de mon sexe gorgé de désir.Elle ne manque pas de venir titiller mon clitoris de sa langue agile, si bien que je suis de nouveau au bord de l’orgasme. C’est cet instant que tu choisis pour venir nous rejoindre…En effet, tu as de nouveau été retenu, cette fois par le contrôleur que tu as tôt fait d’envoyer fort loin dans le train afin de nous laisser le champ libre. Tu surgis sans frapper et tu viens directement te placer derrière moi.
« C’est bien, tu as fait du bon travail : elle est bien ouverte à présent. » glisses-tu à la jolie rousse.Et sans plus de solennité, tu me positionnes en levrette et tu viens me sodomiser très délicatement. Elle a bien travaillé certes mais ton sexe, à l’apogée de son érection, est décidément fort gros pour un si petit orifice. Mais tu n’en as cure, et, par un coup de rein rigoureux, tu pénètres mon orifice le plus intime. Tu sens l’étroitesse de mon anus à cet instant.Ton sexe, terriblement enserré dans cet étui de velours, peine à se frayer un chemin : la rousse comprend ce qui se joue et magnanime, vient poser ses doigts sur mon clitoris : elle m’arrache un énième gémissement de plaisir et tu en profites pour t’enfoncer en moi jusqu’à la garde.Elle continue de me masturber avec ferveur ce qui ne manque pas de t’exciter, tu perçois mes cris malgré mon bâillon de circonstance et tu accrois la fréquence de tes allers-retours ; assez lent au début, le désir te subjugue et nous sommes embarqués par une folle chevauchée de plaisir. Tu me prends terriblement fort et je ne puis retenir les mille cris qui sortent de ma bouche. Elle met sa main sur mes lèvres pour tenter de me faire taire mais rien n’y fait : elle décide donc de m’embrasser à perdre haleine et mes cris se perdent dans nos baisers tumultueux.Ton corps est tout contre le mien, elle s’est glissée en dessous de moi pour se tenir face à moi : tu peux à loisir contempler ses seins venant titiller mes pointes dardées de plaisir.Elle m’embrasse encore et encore et je sens à la grosseur de ton sexe que tu n’es pas loin de jouir et c’est heureux car j’étais moi-même sur le point de venir. Tu as juste le temps de t’extirper de mon anus dilaté pour te répandre sur le visage de la jolie rousse : Elle avale tout ce qui peut l’être et ensuite me le redonne afin de m’en délecter.
A cet instant, la porte s’ouvre : le contrôleur du train nous découvre ébahi dans cette étrange posture : la jolie rousse le visage maculé de foutre, moi entièrement nue et toi le pantalon sur les genoux, te rhabillant à la hâte.Il ne dit mot et nous fait signe de le suivre : la jolie rousse m’aide à me rhabiller pendant que tu te mets en tête de négocier avec le contrôleur. Il nous amène dans le wagon-bar, interdit aux voyageurs pour cause de COVID : il nous dirige vers ce qui fait office de banquette. Tu tentes de parlementer mais ce dernier ne t’écoute pas et me prend le bras avec autorité« Vous ne voudriez pas que vos gentils amis aient à payer une amende à cause de vos frasques ? Me demande-t-il. Alors faites bien ce que je vous dis et tout se passera bien ».Lors de notre montée dans le train, il s’avère que j’avais repéré le contrôleur et que je t’avais fait part de mon vif intérêt pour ce petit brun. Tu n’as pas entendu ce qu’il m’a dit mais nul doute que tu as compris l’esprit de ses menaces : comme tu es d’un naturel joueur et que je semble apprécier la tournure de la situation, tu attends de voir ce qu’il va advenir.Tu n’as pas à attendre longtemps : ayant compris que personne n’a intérêt à ce que notre « folle échappée » soit « éventée », je défais fébrilement la braguette du contrôleur et je m’agenouille pour le sucer. La jolie rousse, ne perdant pas une miette du spectacle, profite que je suis fort affairée avec le contrôleur pour poser sa main sur ton entrejambe, fortement revigorée par la vue.Elle se délecte de ton sexe turgescent et sans minauderie finit par sucer goulument ton chibre tendu d’excitation. Le contrôleur s’en aperçoit et m’indique d’un signe de tête ce qui est en train de se passer. Je sens son sexe grossir encore et encore entre mes lèvres, je salive beaucoup car j’ai dans l’idée qu’il ne va pas se contenter de ma bouche.Et c’est exactement ce qui se produit : il ôte de mes lèvres sa queue au bord de l’explosion et me demande de me retourner. Il s’allonge au sol et m’invite à le chevaucher : il te fait alors un signe qui se veut discret, tu aurais bien tort de te priver de mon petit trou pendant que je suis en pareille posture.Il me baise assez rigoureusement et tu en profites pour venir te placer derrière moi : je sens de nouveau ton sexe gorgé de désir entreprendre mon petit trou déjà bien dilaté ; tu t’enfonces comme dans du beurre dans mon fessier rebondi qui t’accueille bien volontiers.La jolie rousse m’invite à la lécher pendant que chacun s’affaire à me faire crier de plus belle. La sensation de vos deux sexes dans mes orifices est sublime : je me sens totalement "prise", enserrée par vos deux chibres et je ne sais plus où donner des cris tant chaque centimètre de mon corps veut crier son plaisir.Ohh si tu savais comme ton sexe me rend folle de plaisir à cet instant : j’ai l’impression qu’il n’a jamais été aussi énorme et qu’il grossit à mesure que ton excitation croît encore et encore.Je tente de m’appliquer tant bien que mal à sucer la jolie rousse et je sens qu’elle n’est pas très loin de jouir tant le spectacle que nous offrons est toute en sensualité bestiale.En effet, le contrôleur se sent fort à l’étroit lui aussi, bien qu’il baise mon sexe dégoulinant de mouille. Il joue de son chibre en rut de façon à bien me posséder et il ne ménage pas ses efforts pour coordonner ses coups de rein vigoureux avec les tiens.La jolie rousse part dans un orgasme très bruyant et je sens que le petit contrôleur ne va pas tarder à en faire autant. D’ailleurs, il me fait signe de me relever : je me tiens à genoux et il en profite pour se masturber et jouir sur mon visage dans un râle.Les cris de la jolie rousse ne t’ont pas laissé insensible et tu viens parfaire le tableau de mon visage maculé de foutre en y ajoutant ta touche personnelle. Le contrôleur m’aide à me relever« "Cela restera donc bien entre nous Madame » me glisse-t-il à l’oreille avant de partir.Nous repartons du wagon-bar non sans un certain sourire malicieux impossible à décrocher de nos joues pour le restant du trajet.« Je suis très fier de toi mon Amour, me chuchotes-tu finalement. Mais tu ne perds rien pour attendre quant à ta punition pour m’avoir désobéi ! »Nous arrivons au bout du voyage ; nous sommes debout, en train d’attendre dans l’allée quand la jolie rousse glisse imperceptiblement dans ma poche un petit papier : c’est un petit mot de remerciement qui précise également son numéro de téléphone...
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