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Un train nommé Félicité

Chapitre 1

Hétéro
Nous sommes dans les années 20 à Chicago. Le premier train à desservir toute les principales villes jusqu’en Californie s’apprête à arriver. C’est à Clearlake que doit se rendre William De La Foe. Un jeune homme d’une vingtaine d’année blond. Il est habillé d’un veston? une chemise blanche rentré dans un pantalon marron. Il regarde sa montre à gousset.
" Satané train toujours en retard.— Ne vous en faites pas. Un jours ils réglerons ça. Lui réponds une magnifique femme du même âge que lui.— Ce jour là nous pourrons téléphoner n’importe où et les femmes seront — Vous êtes un homme bien étrange.— William De La Foe et vous quel est votre jolie nom?— Elizabeth Newker. Enchanté Monsieur De La Foe.— Appelez moi William.
Le train arrive enfin. William et Elizabeth monte à bord et vont chacun vers leurs chambres. Les chambres du train sont réservé à la première classe et sont assez chers. La chambre fait 15m² elle comporte le lit très confortable un petit placard., une salle d’eau avec les commodités d’usage et une petite sellette en bois massif. William range sa valise dans son placard et sort de sa serviette un carnet noir.
"Elizabeth Newker départ Chicago"
Vers 20 H William se rend dans le wagon restaurant où il croise Elizabeth.
" William. Venez vous asseoir. J’ai horreur de manger seul.— Vos désirs sont des ordres.— Ils ne changent pas vos plan.— J’ai dit sont des ordres et non font désordres.— Vous êtes un tel parleur. Où vous rendez vous?— Clearlake à l’autre bout du pays.— Pourquoi ça?— Je travaille dans l’import export. La compagnie qui m’emploie prévoit de transporter de la marchandise de la cote ouest à la cote est. Mais ils ont besoin d’un entrepôts suffisamment grand. Je me rends à Clearlake pour finaliser l’achat et signer les contrats avec deux entreprises qui veulent déjà nos services.— C’est beaucoup pour un homme de votre âge.
— Non je viens de l’école de la rue. J’ai grandi dans le monde dur. Je ne vous dirais pas de mensonge. J’ai commencé à 13 ans dans cette compagnie, j’ai monté les échelons et maintenant à 25 ans je suis le chef des entrepôts l’homme aux dessus des autres.— Comment faites vous pour être aussi confiant en racontant tant de mensonge?— Ce n’en sont pas. D’ailleurs vous vous arrêtez où?— St Louis dans le Missouri, c’est à deux jours d’ici, je vais rejoindre mon cousin, Damien, il est français et si charmant. Si je peux vous dire une petite chose.
Elle se rapproche et chuchote.
— Il m’as pris ma fleur.— C’est tout? Très chère n’en faites pas une histoire tel. D’ici 15 ans on ne se mariera plus. Tout le monde trompera tout le monde avec son voisin, sa collègue ou un parfait inconnu.
Le franc parlé de William fait se taire l’assistance durant une vingtaine de secondes. Les hommes les plus âgés rigolent, les plus jeunes sourient bêtement et les autres se contente de faire comme s’ils n’avait rien entendue. Les femmes les plus vieilles sont choqué d’un tel parlé et les plus jeunes se mordent la lèvre inférieur. Rapidement le bruit ambiant de la salle reprend et Elizabeth demande à William
— Comme vous?— Oui. Voudriez vous qu’après le repas nous allions voir ma petite cabine.— J’en serais enchanté"
Une fois le repas finie William et Elizabeth ont rejoins sa cabine avec une bouteille de champagne. En se servant deux coupe William cache son petit carnet dans l’armoire. Il donne l’une des deux coupes à Elizabeth et boit l’autre cul sec. Elisabeth porte une tenue assez décontracté, une robe longue mi cheville qui s’ouvre par une grande fermeture éclair à l’arrière. William défait assez vite la robe ainsi que les autres vêtements d’Elizabeth. Celle ci s’allonge sur le lit complètement dénudé. Monsieur De La Foe défait sa ceinture enlève sa chemise et son veston d’un simple trait, baisse son pantalon et son caleçon. Il était déjà bien dur. Il commence par lui lécher la chatte afin de passer plus facilement.
" Vous les bourgeoises vous êtes asséchée et étroite. Mais vous êtes plus belle."
Elizabeth déjà pris dans le plaisir procurée par la langue de son partenaire ne pouvait pas répondre. Au bout de plusieurs minutes William inséra son sexe dans celui d’Elizabeth. Celle ci était étonné de la longueur et de la dureté.
" Mon cousin n’était pas aussi dur ... Ah ... ni si long— Les français Hun ... Ils sont bon qu’à aimer les hommes pas les femmes comme vous."
Ses mais qui tenaient au début les hanches, se sont déplacés et jouent maintenant avec les seins d’Elizabeth. Les mais de cette brune tient les draps du lit comme ci ils allaient partir. Elle enroule ses jambes autour du bassin de son partenaire pour le maintenir. Mais rien n’y fait c’est un animal. Les va et viens se répétaient sans s’arrêter elle ne savait plus quoi faire. Elle avait tant de plaisir mais hors mariage. Son sexe à l’air d’être plus dur à chaque passage. La bite est devenue dure au point de faire mal à son possesseur. Au bout d’une heure de plaisir pour les deux comparses William finit par jouir à l’intérieur d’Elizabeth.

à suivre

Ps: Je tiens à préciser que je ne suis pas spécialiste des trains j’ai essayé de respecter les événement chronologiques majeurs concernant l’histoire du chemin de fer américain. Si par malheur j’ai fait des anachronismes merci de le préciser dans les commentaires afin que je ne refasse pas les mêmes erreurs par la suite merci.
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