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Train pour le plaisir

Chapitre 2

L'arrivée

Lesbienne
Résumé : Une étudiante, l’esprit agité emprunte chaque jour le même train. Elle y fait la rencontre de deux femmes un peu plus âgées qui la subjuguent …          Je marche derrière elles, les suivant sans même qu’elles ne se retournent pour vérifier si je suis derrière elles, si sûres de leurs charmes. Et charmée je le suis, subjuguée même. Partie comme je le  suis, j’irais jusqu’au bout du monde avec ce duo. Je me rends compte de la folie qu’il y a à faire cela, mais je suis prise dans leurs rets. Je sais que je suis au bord d’une révélation sur laquelle je ne peux, n’ose encore mettre de mots. Des mots d’ailleurs qu’aucune n’a prononcés.  Et malgré cela, nous avançons toujours, je ne vois personne, je ne ressens rien du temps, il pourrait pleuvoir que je le ne remarquerais pas, non la seule chose que je vois est le balancement si sexy de leurs fesses dans leurs jupes moulantes. Dieu qu’elles sont belles, élégantes matures, de vraies femmes dont je ne comprends même pas pourquoi elles s‘encombrent d’une jeune femme comme moi, timide, effacée, tranquille. Sans doute sont-elles comme mes deux presque pères et voient au-delà de l’image que je projette ou alors, plus prosaïquement suis-je de la chair fraiche pour elles, de la jeune fille à déniaiser, à éduquer ? Quoi qu’il en soit, je m’en fiche totalement, je suis là, à les suivre, fascinée par la sensualité qu’elles projettent et qui me rend prête à tout pour en grappiller une petite parcelle.            Enfin, elles s’arrêtent devant un immeuble plutôt cossu, la plus âgée ouvre la porte et elles se se tournent vers moi comme pour m’inviter à entrer. J’avance, entre en m’intercalant entre les deux, j’ai lancé les dés, les jeux sont faits. Nous entrons dans  l’ascenseur et, à peine les portes refermées alors que petit lapin je suis dans mon coin a regarder les deux serpents, qu’elles se roulent une pelle. C’est sensuel, excitant et devient plus chaud de seconde en seconde. J’ai la pensée stupide qu’elles doivent connaitre le temps de montée vu comme elles agissent, leur baiser devient plus intense, leurs langues se combattent et je me sens toute chose dans cet espace réduit. Leurs mains sont baladeuses, passent sous leurs jupes qui se relèvent, dévoilant leurs cuisses bronzées et fines de femmes qui s’entretiennent. C’est beau et, quand elles stoppent et me regardent elles voient une jeune femme, les cuisses serrées l’une contre l’autre, une main coincée dans l’entrejambe et le regard brillant.Elles se sourient, me sourient et cette première manifestation visible sur leurs visages me donne l’impression de recevoir une aumône divine. Elles me prennent la main, m’entraînent dans le couloir de l’étage devant une des deux portes et après que « cheveux noirs » ait ouvert, j’entre dans la tanière avec elles.         Le son lourd et étouffé de la porte qui se referme sonne un peu comme un glas mais c’est celui qui clôt mon autre vie, une vie plutôt terne, une vie de négation de ma vraie personnalité. La porte refermée « cheveux noirs » vient vers moi, pose ses mains sur mes épaules et m’attire très légèrement à elle, je réponds instantanément et viens poser mes lèvres sur les siennes. C’est puissant, fort, un maelstrom de sensation que ce premier baiser avec une femme et je suis emportée, totalement emportée, révélée à moi-même. J’ai plus de plaisir en ce simple baiser que lors de mes caresses solitaires sans parler de la pitoyable séance avec mon second petit copain. Je sens ses seins lourds s’écraser contre les miens, ses mains sur mes fesses, sa langue qui se fait plus fureteuse, plus rapide et plus excitante. Soudain, elle s’écarte, me regarde avec un beau et franc sourire sans doute satisfaite de me voir, la bouche ouverte, les yeux chavirés, vivante image des sens en émoi.        La blonde m’enlace à son tour et me roule une pelle, d’abord très douce puis c’est comme une machine qui s’emballe, sa langue part à l’assaut de ma bouche, c’est sauvage et je vibre de partout. Je perds toute notion du temps, mon corps est tendu, je suis trempée, une boule de nerfs et de sensations. Quand elle stoppe, elle me laisse haletante, que dis-je pantelante ! Sa complice reprend le relais et m’embrasse à nouveau de façon plus sauvage, et puis cela tourne et tourne encore… Je n’arrive plus à suivre, prise dans un tourbillon de coups de langue, de léchouilles sur mon visage, elles se succèdent, m’embrassant comme elles ont envie, jouent avec moi si prête à les suivre dans leurs envies, me caressent, les fesses, collent leurs seins contre les miens, s’arrêtent parfois pour que l’autre me fasse sucer ses doigts couverts de sucs intimes. Leurs goûts différents, le plaisir de recevoir ces offrandes, couplés aux baisers sauvages…  C’en est trop et je m’effondre soudain dans un orgasme intense. J’ai joui, vraiment joui pour la première fois et cela juste avec des baisers, des caresses et des léchouilles..            Elles me relèvent, me soutiennent et viennent m’asseoir sur un grand canapé gris avant d’aller me chercher un grand verre d’eau que j’avale d’une traite. Je suis sonnée mais je suis bien, mieux que je ne l’ai jamais été. Elles se posent chacune d’un côté et enfin, « cheveux noirs » se présente « Sandrine » avant que la trentenaire se désigne à son tour « Liane ». Je parviens à répondre d’une voix un peu chevrotante « Caroline ».Nous rions un peu, face à ses premiers mots échangés et pendant que je reprends doucement mes esprits, elles s’embrassent devant moi, m’offrant le spectacle de leurs langues si habiles, On voit qu’elles ont une certaine habitude et se connaissent. C’est chaud, très chaud et je me ressers un verre d’eau puisque prévoyantes elles ont amenées une bouteille. Elles stoppent, me regardent et je viens rejoindre le duo pour un premier baiser à trois. C’est nouveau, sensuel, excitant et délicieux, d’une langue à l’autre, d’une bouche à l’autre, c’est aussi obscène car cela crée des fils de salive qui coulent et s’accrochent à nos langues et nos bouches mais bon sang que cela est excitant !       On cesse, toutes trois à la recherche d’oxygène et comme elles voient que je regarde leur horloge, elles me demandant si je suis pressée. Je sors mon portable envoie un sms à mon oncle et réponds ensuite que j’ai désormais tout le temps du monde.      Leurs sourires sont merveilleux, lumineux et rehaussent encore leur beauté. Sandrine se lève et se déshabille lentement, lascivement. Elle fait tomber sa jupe, dévoilant des bas auto-fixants ornés d’un fin liseré noir, un tanga noir moulant des fesses rondes et qui appelent aux caresses puis ouvre son chemiser dévoilant un soutien-gorge de qualité coordonné au tanga. Elle est très belle, un peu pulpeuse et ses gestes sont très érotiques. Ensuite elle dégrafe son soutien-gorge faisant apparaitre deux beaux seins lourds à peine tombants et aux pointes tendues trahissant son excitation. Elle saisit les tétons, joue avec en nous regardant, laisse couler un peu de salive dessus et parvient à sucer ses propres seins. La puissance de son geste me met en émoi et quand elle sourit je me rends compte que je marmonne de façon audible des «  mmm, c’est beau , si beau ..  ». Elle descend lentement son dernier rempart, dévoilant un petit triangle sombre très soigné, terriblement sexy. Elle nous laisse l’admirer, sourit devant mon émoi et celui de Liane qui a pourtant déjà dû la voir souvent. Ensuite elle saisit la pièce de dentelle et me la lance. Je les regarde l’une après l’autre puis hume l’entrejambe humide de son miel, pressant le tissu contre ma bouche, contre ma langue. C’est vicieux mais c’est bon et le petit soupir que j’entends me montre que c’est apprécié. Je me tourne vers Liane qui me sourit, se rapproche et viens embrasser avec moi le fond humide du tanga.          Liane qui se lève ensuite pendant que Sandrine vient se serrer contre moi , une  main posée toute naturellement sur mes seins encore cachés par mon t-shirt. Nous regardons la jolie blonde se dévêtir tout aussi doucement que son amie, dévoilant un ensemble qui, s’il est d’un blanc virginal est fait de tulle transparent qui dévoile et amplifie sa beauté. Ses seins une fois dévoilés sont en forme de pomme et tiennent parfaitement, chez elle aussi les tétons d’un rose sombre sont tendus et trahissent son excitation. Elle est épilée intégralement et la brillance de sa jolie fente montre bien sa tension.  Elle prend à son tour un malin plaisir à nous lancer son petit boxer que Sandrine et moi humons de concert tout en échangeant un baiser torride.
        Quand je me lève à mon tour, je dévoile mes dessous simples et verts clairs mais parfaitement coordonnés, cette simplicité les émeut à en juger par leur réaction quand je leur lance ma petite culotte tout juste bonne à essorer ! Je les rejoins sur le canapé pour échanger à nouveau un baiser à trois puis après un instant d’échanges elles se lèvent et m’emmènent dans une chambre claire et lumineuse où un grand lit nous tend les bras. On s’y jette presque et nos corps se collent, se touchent enfin sans barrières. Oh le contact de la peau nue, comme c’est chaud, comme c’est excitant. On se frotte, on se serre, on s’embrasse, on se goûte. Mais on prend -un peu - notre temps, Je quitte la bouche de Sandrine pour le cou de Liane avant de migrer vers les épaules de Sandrine et de glisser vers ses seins. Quand je passe ma langue entre la généreuse vallée de sa poitrine je me sens accomplie, je me sens moi-même, je ne cache plus qui je suis, je ne réfute plus mon goût pour les femmes, j’ai mis un nom sur ces envies informulées et je suis heureuse.        Je suis heureuse aussi, car une me caresse le sein pendant que l’autre aspire avec délicatesse puis sauvagerie un téton, m’arrachant forces soupirs. Mes mains pelotent enfin des fesses féminines, ma bouche goûte enfin, le grain de peau d’une femme, une femme me caresse enfin mon clito pendant que je lui rends la pareille… C’est une déferlante de plaisir, presque une overdose de sensations. Elles jouent de leur expérience et me procurent des sensations torrides qui rapidement me font jouir. C’est évidemment encore plus fort, encore plus intense et le sourire tendre qu’elles arborent me fait chaud au cœur. Oh, je sais bien qu’il n’est pas question d’histoire d’amour, mais la découverte, la révélation à moi-même qu’elles m’offrent est si importante pour moi.      Je me laisse aller, fais comme j’ai envie qu’on me fasse et ose l’impensable encore quelques heures auparavant en léchant et masturbant une femme puis, surcroît de plaisir, une autre. J’avoue que pour un début dans les amours féminines je suis gâtée. Elles aussi trouvent leur pied dans mon apprentissage, dans le fait d’être mes guides mais cette communion sensuelle nous convient à toutes les trois et nous la savourons pleinement.        Dans ma tête je n’arrête pas de me répéter ‘ tu lèches une femme, tu lèches une femme « puis «  tu caresses une femme, tu caresses une femme «  avant d’enfin, pouvoir me dire «  tu fais jouir une femme » car Sandrine vient de jouir dans un grand cri de plaisir. Je suis fière et heureuse et quelques minutes plus tard alors que la quarantenaire nous regarde attendrie, je fais jouir Liane avec mes doigts et ma langue. Ma langue récolte son miel, mes doigts plongent dans sa chaleur, tout explose dans ma tête, toutes mes connexions neuronales changent et se reforment tant le fait de devenir qui je suis vraiment me change. Mais je n’ai pas le temps d’y penser plus avant car les deux s’allient désormais, usant de moi comme d’une poupée de chiffon, l’une caressant mes seins, jouant avec mes tétons durs pendant que l’autre me lape à grands coups de langue tout en me doigtant sur un rythme qui me rend folle et, quand elles me  sentent sur la crète de la vague, elles échangent et me font découvrir d’autres rythmes et donc d’autres sensations. Je suis tournée, retournée, caressée, léchée, dégustée pour mon, leur, notre plaisir et j’ai l’impression que la montée vers l’orgasme n’en finit plus, je crains presque l’explosion tant les sensations sont intenses et, quand je jouis, totalement transformée, totalement moi, je crie mon plaisir dans une longue plainte de bonheur.Mais avant de sombrer, toutes les trois enlacées, je sais que je ne suis qu’au début d’une longue, longue nuit de découverte et plus encore.
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