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Traité simplifié de la levrette et variations

Chapitre 1

Divers
Le titre de mon petit récit peut véritablement vous rendre perplexe, est-ce la curiosité, le gout de la découverte, qui puisse vous faire choisir de lire la suite. Quelque soit votre motivation, j’espère vous offrir un plaisir simple de me lire, qu’importe l’origine des bulles, profitons de l’ivresse possible….
Gabrielle, antillaise de 44 ans en vie maritale depuis 17 ans, un enfant, deux chiens, une jolie villa, bref….une vie ordinaire de petite bourgeoise un peu engoncée dans son confort et ses habitudes de femme précieuse, délicate et vertueuse dans mon quotidien trépidant. Mon concubin est un très coquin métropolitain, a ma mesure pour tout vous avouer, d’aucun nous qualifierons peut être de partouzeurs, d’autre juste de libertins, nous aimons les plaisir du sexe sans vraiment de tabous pénalisants …. Si ce n’est celui d’évoluer dans une discrétion absolue. Nous avons eu la chance de nous rencontrer chacun avec ses prédispositions libertines en usant de nos expériences réciproques passées. Vous imaginez aisément que par mon âge et mon expérience je puis revendiquer un certain vécu.
Je vous avoue aussi avoir sévi sur d’autres gammes, en d’autres temps en qualité de gourmande, de curieuse, d’insatiable pour plaire aux partenaires a qui je m’offrais.J’ai une sensible tendance à insinuer une fausse soumission naturelle, je me plais a pouvoir devenir une poupée bandante et compétente, un jouet surprenant au service d’amants que je choisis suivant mes envies du moment…. Ma curiosité d’adolescente m’a converti aussi et sans regret au plaisir lesbiens que j’aime m’offrir au gré de mes éruptions saphiques chroniques. Vous comprenez d’ores et déjà que ma vie « sociale » actuelle n’est presque qu’un rôle de composition, appréciable cependant, mais en rien une conclusion de ma vie acquise et consommée de jeune fille dite « coquine ». J’ai appris à devenir courtisane pour certain, garce et catin pour d’autres, inaccessible pour les plus improbables, je fus aussi une petite pute en boulot d’été, pour personne en particulier, mais précisément pour le financement de mes études.
Jouisseuse de la vie de par mon corps, j’aime intégrer de la cérébralité a des actes qui sans, paraissent facilement glauques et sans intérêts. Je n’ai honte de rien et je comptabilise avec optimisme mon plaisir pris et celui donner….. En plus de vingt cinq ans de vie sexuelle je puis croire que l’équilibre du pris pour donner est presque parfais, et j’espère avoir laissé quelques bons souvenirs a certains ou certaines pour qu’ils puissent ressentir une nostalgie d’avoir joué de mon petit corps volontaire. Ceux-ci peuvent encore croire à mes meilleurs sentiments à leurs égards même si je ne puis me rappeler tous les noms bien sur.
La levrette….une position sexuelle classée dans les positions amoureuses les plus pratiquées, l’une des plus appréciée autant pour les femmes que pour les hommes, et pourtant semblablement pas pour les mêmes raisons, il me plait de savoir pourquoi un homme choisit de me prendre de la sorte, il me plait aussi de pouvoir lui faire comprendre pourquoi il pourra ou pas user de moi en glissant au milieu de mon petit arrière train rebondi…..Peut être ne soupçonnez vous pas l’approche intellectuelle si différente que puissent avoir un homme et une femme a s’échanger du plaisir ensemble sans avoir la même appréciation de l’instant.
Avec humilité, je me permets d’argumenter mes prochains propos avec mes expériences vécues….Bien sur il n’y a pas que la levrette dans ma vie, je m’amuse pourtant souvent a l’analyse de cette position si particulière…. Par évidence elle remonte du fond des âges, elle se veut la première position de copulation de l’animal, primitive et bestial pour les premiers hommes aussi dans nos lointains usages avant l’évolution de notre espèce. Aujourd’hui il est encore facile de traiter une femme de chienne au seul regard de cette singulière position animale….rendons aussi aux hommes leur du, car ils ont aussi leurs gènes de male dominant avant pendant et après la chevauchée auquel ils aspirent.
Commençons par La levrette dit passive…..avec un dominant par exemple.Le hasard du moment et la volonté de votre partenaire vous installe sur vos petit genoux, qu’importe votre ambition retenue le male vous retiens par les reins, fixe votre alignement postérieur en bonne place, règle la hauteur de votre croupe par l’écartement de vos cuisses, vous pouvez déjà sentir l’impatience et la puissance à venir.Par cette initiative j’aime présumer d’une prise en main virile et efficace, je me love seins plaqué, la tête engloutis dans un moelleux coussin…. Mon petit cul bien en l’air, les reins rompus pour accentuer la proéminence de ma croupe patiente d’une visite prochaine…..Dans cette circonstance, mille petites choses m’excitent abondement…..imaginez l’homme de derrière fébrile a engager son action, les quelques barbouillages de son gland possible pour maroufler une cyprine évidente au milieu de ma fente rose vif et autres tendres muqueuses…. J’exagère ma posture avec de petits gloussements de gourmandise.
Bien que je puisse dénoncer sans réserve cette action machiste, j’ai encore a mon bon souvenir quelques expériences ou la queue de derrière se barbouille de la salive gluante de son maitre, voir parfois le maitre lui-même qui s’improvise en « Lama cracheur « d’une salive baveuse sur mon sexe tel un lubrifiant complémentaire. Cette initiative triviale et vulgaire pourtant emballe néanmoins ma libido sur ma réalité de passive léguant la propriété le plus en arrière de mon être à autrui. La première pénétration est la plus sensible, la plus informative, elle peut aussi vous révéler la dimension de l’engagement demandé si par négligence vous ne connaissiez point votre partenaire quelques minutes plus tôt….
Pour la continuité du coït vigoureux, la cadence vous renseigne de la volonté, de l’ambition de votre hôte, de ses mains il peut vous démontrer sa volonté de contrainte physique verrouillant d’une poigne puissante votre petite taille de guêpe, asphyxiant vos hanches délicates mais résistantes. Je déteste absolument les maladroits va et vient s’achevant comme des coups de butoirs giflant mon fessier innocent…. Ma préférence se dévoile plus facilement avec une cadence souple même si elle demeure sévère, un glissement harmonieux révélant toute la dimension de la queue rabotant ma matrice génitale, pour cela nulle doute que le coup de reins efficace de votre invité reste le meilleur gage d’une levrette réussie. Offrez lui des couettes ou une queue de cheval, il saura probablement vous domptez en vous agrippant par la crinière, confiez lui un gros ceinturon de cuir arraché sur vos reins, il tentera de maitriser probablement les cabrioles de vos petites pattes arrières, chaussez vos porte jarretelles il les fera claquer sur votre fessier doux et délicat….nulle doute que vous restez responsable principalement de la levrette que vous offrez.
Chaque verge sous contrôle de son propriétaire a sa méthode pour vous suggérer votre rôle, parfois je puis me sentir chienne bien sur, serviable et patiente, fantasme trop évident pour qu’il soit le seul, d’autres fois la subtilité infligée me rend telle une fringante pouliche arrachée du char avec son BEN HUR aux commandes, ou tel le bolide d’un pilote chevronné dans cette position bien cruel du petit DRAGSTER performant….. Je me sentis parfois aussi, imaginez le ! Tel un FLIPPEUR de bar tabac ou L’occasion fait le larron, le joueur de derrière n’avait point besoin de sa pièce dans ma fente pour engager une partie, a sa guise de TILTER ma petite mécanique pour comptabiliser quelques extras balles pour prolonger sa performance. Assurez-vous pour le moins qu’ils ne jouent pas en équipe ou prévoyez alors du temps et de l’énergie, pour ne pas être la victime d’une compétition de score à battre de piliers de comptoir !!!

Dans tout les cas, je me surprends moi-même exacerbée, libérée de toute retenue, haletante, laissant poindre cris et gloussements furtifs, petit grognement aigue s’échappant de ma bouche et gage du plaisir atteint.
Cette levrette, la plus radicale reste la plus propice aux exhibitions comprenez moi bien et sous réserve que vous soyez de ceux qui aimait partager du plaisir a plusieurs, si dans vos invités vous avez retenus quelques voyeurs, l’exercice les ravira au plus au point. Il me plait de pouvoir donner du plaisir au delà du ou des prétendants qui m’essayeront avec appétit, le regard figé d’une assistance au première loge de vos cabrioles est excitant au plus haut point….. Spécialement en ce qui me concerne le profil choisi du vieux monsieur pervers déléguant par obligation, tel est mon choix, le spectacle impudique de mes vices assumés.
D’ores et déjà, et a la vue de mes bavardages, j’imagine mal pouvoir faire mon exposé complet et en totalité sur ma synthèse sociologique de la Levrette…. Sans que vous ne subissiez la lecture d’une encyclopédie « UNIVERSALIS » spéciale LEVRETTE. Continuons peut être sur mes expériences très personnelle de cette pratique, puissent elles inspirer certains coquins pour le plaisir de certaines coquines.
Tiens ! Pour exemple Il me revient une expérience singulière à ce propos vécus il y a quelques années…. Un soir de St Valentin nous dinions en couple dans un restaurant très agréable de l’ile, un diner emprunt de tendresse et de complicité avec mon WINSTON, l’ambiance aidant dans cette salle composée exclusivement de couple amoureux ou presque, nous sympathisions avec notre table voisine, un beau couple début de trentaine en vacances dans notre région. Je me souviens de l’humour de monsieur et de l’élégance singulière de Madame. Nos nouveaux invités a notre table pour le dessert chassait L’information pour débusquer les attractions possibles pour la nuit venue, casino, boite, et autres lieux festifs, après renseignements donnés de notre part sur le sujet , la demande fut plus insistante mais quelque peu gênée pour savoir s’il existait des lieux libertins…. Nos regards se croisaient avec mon tendre jetant l’embarra auprès de nos hôtes….ils furent soulager lorsqu’instinctivement je les renseignais sur le club « LEVRETTE & CUNNI » le club le plus chouette de L’ile. Ravi au plus au point ils nous demandèrent explicitement l’itinéraire pour la suite de leur soirée et ajoutant d’un ton malicieux : « LEVRETTE ET CUNNI ….c’est le nom des propriétaires ? ha ha ha »
Pauvres naïfs faisaient ils nos nouveaux amis lorsque je leur avouais que ce club est nomade et informel….les propriétaires étaient devant eux, et que l’invitation était particulièrement personnelle pour ce soir….nous pourrions par conséquent rejoindre a point nommer le club qui nous servait encore il y a quelques instants d’humble demeure familiale…. Pour poser les jalons d’une soirée vitement convenues WINSTON proposa que le nom du fameux CLUB puisse être le thème de la soirée. Bénédicte une petite brune pétillante et Boris un gascon probablement rugbyman s’empressait de valider l’opportunité de cette invitation. Pour ma part, et avec discrétion je pestais de l’habilité de Winston, fort malin, il venait, par quelques mots de se réserver le clitoris de la jeune femme en guise de digestif…..si jalousie je percevais, c’était celle de devoir partager les compétences cunni-linguistique de mon époux. C’est un furieux le bougre qui mérite un palme académique dans la discipline. Mon clitoris bouillonnait par cette concurrence déloyale soudaine, la garce….elle a une tête a aimé ca en plus….. je suis certaine que c’est un INTERRUPTEUR qu’elle a entre les cuisses cette gamine, pauvre de moi, Winston ce n’est pas le dernier de abrutis en électricité …sauf a devoir changer une ampoule a la maison bien sur.
Mon homme, abject et cynique rajouta pour finir sa proposition, en m’achevant, tout en s’adressant à Boris :« Mon amis choisissez la levrette avec ma femme, je prend mon petit reste avec la votre… » Tout le monde avait compris son inspiration et cela ne gênait personne….ou presque ! Puis il rajouta :« Clitoris a une sonorité de friandise, laissez moi vous convaincre petite Bénédicte!!! »Boris se sentant redevable de reprendre un verbe opportun et au milieu de cette salle bruyante nous chuchota :« Je vais avoir le privilège de pouvoir butiner quelque spécialités locales antillaises auprès de vous Gabrielle c’est une première pour moi »
Aussi mignon soit il mon p’tit Boris, il venait de dire poliment « chauffe la petite black, je vais lui rectifier sa petite culasse a quatre pattes »Grand bien me fasse qu’il puisse le faire, je voyais déjà la nouveauté luire dans ces yeux…..se taper une négresse dans la plus belle position que mon postérieur puisse inspirerJe sais par expérience que pour pas mal de blancs ca restent une légende à essayer et le jeune homme avait accidentellement déclaré les hostilités pour y parvenir.Je puis vous avouer maintenant et avec « mon grand âge acquis » que j’aime être la première négresse d’un métropolitain en quête d’exotisme sexuel sous nos latitudes.
Les dés étant jetés, nulle possibilité de changer la donne sans paraitre pinailleuse et compliquée, mon devenir prochain m’excitait cependant outrageusement…..Tan pis pour l’orgueil jaloux de mon clito, ma collègue saura en user pour moi et je lui souhaite le pire du meilleur…. A en perdre ces petites guiboles agiles de grenouille baveuse.
A la fin de notre repas nous organisions un intermède en proposant de boire un dernier verre dans un bar musical voisin, l’ivresse de quelques cocktails partagées et de quelques déhanchés sur des airs latinos devraient entretenir l’ambiance pour le moins. Bénédicte me plaisait bien dans les premiers pas qu’elle engagea pour sortir du restaurant et son mari accompagnait ma sortie d’une délicate caresse subtile de sa main sur ma taille, nos vacanciers n’étaient point farouche. Je pris la main de mon valentin de mari pour m’assurer de son allégeance à mon égard alors que son regard évaluait déjà la croupe de ma collègue sous sa petite jupe affriolante. Boris racontait en marchand sa passion pour les Harley le Weekend sur les petites routes du sud de la France, grosse cylindrée sur pour route escarpées….étais-ce un message subliminal ?
Lorsque nous arrivions a la maison en voiture, les hommes était a l’avant, Bénédicte avait déjà perdue sa culotte sur la banquette arrière, étais-je responsable de ce forfait, je ne sais plus, la belle m’avait embrassée goulument a pleine bouche depuis notre départ du bar quelques minutes plus tot, ses doigts pianotant innocemment ma culotte devenue poisseuse, elle me griffait l’intérieur des cuisses de ses ongles avec une précaution féline pour me contrainte a lui offrir plus vertement ma chatte, quelque doigts d’une de mes mains perdues dans sa fente clapotaient sur un petit abricot lisse et doux.
Notre nouveau club recevait ses premiers clients de la soirée….fallait il que les affaires marchent si mal pour que nous racolions les restaurants et capter la clientèle involontairement, Winston sortis une dernière bouteille a bulle et quelques flutes pour entretenir nos gorges presque sèches. Sans somation je culbutais la femme de Boris sur le divan, allongée sur le dos, les chevilles prisonnières de mes empoignades, les cuisses de la chaudasse s’écartèrent instinctivement, elle releva sa petite jupe trop courte sur son bas ventre en signe d’approbation. L’assaut fut facile et J’admirais une chatte charnue a la portée obligatoire de ma bouche impatiente. De ma langue je lapais le jus déjà initié durant notre petit parcours en voiture, une mouille grasse, épaisse et visqueuse vernissait la croupe de la belle, j’avais la primeur de la dégustation avant qu’elle ne passe sous le contrôle de mon suceur de mari.
Debout sur mes hauts talons étroits, la tete enfouis dans l’intimité de la promise a Winston, ma culotte était descendue a mi cuisse et ma petite robe noire troussée sur mes reins, Boris caressait langoureusement le galbe de mon petit cul avec une curiosité certaine de quelques doigts a vouloir glisser plus encore vers le peu de reste de ma vertu déculottée. Winston ayant semblablement terminé son service sur la table du salon rejoignait mon caresseur et finis de me hotter ma culotte avec une précaution toute habituelle a sa personne lors du passage du petit bout de tissus au passage de mes talons. Je puis m’installer plus aisément avec l’écartement de mes jambes pour que les deux gloutons butinent a tour de rôle ma croupe dégagée.
Winston remis vite de l’ordre dans nos premières improvisations coquines et servit une coupe a chacun, m’attrapa par les hanches pour m’installer sur la table basse a quatre pattes puis invita Boris a prendre ses aises pour négocier au plus vite sa négresse exquise en attente de tout, que je suis parait-il… Dans cette position bien incongrue lorsqu’il ne se passe rien, tel un statut sur son surmontoir étais-je ridicule ou excitante…. Seul Boris serai pour les prochains instants a aux commandes de ma personne, Winston installait Bénédicte encore plus pratiquement sur le canapé pour la consommer avec aisance, les reins de la friandise a Winston reposaient sur deux gros coussins pour accentuer la proéminence de sa croupe logée entre deux jolies jambes dansant dans les airs. La pauvre n’avait pas eu l’opportunité d’enlever ses escarpins de la soirée, mais cela donnait un effet érotique supplémentaire. Il en était de même de ma personne chaussure encore chaussées, c’est tout ce qu’il me restait de ma tenue de sortie, la petite robe noire trainait a terre tel un paillasson de satin …..
Winston n’attendit pas plus pour étancher sa soif de cyprine, Boris debout devant moi déballa de son caleçon un beau bâton de chair a quelques centimètres de ma bouche, sans le sucer, je gobais insolemment ce gland qui roulait entre mes lèvres, l’érection était suffisante et a point pour me prendre d’ores et déjà, étais t-il venu pour une pipe ou pour m’attraper en levrette, je lui rappelais les obligations du deal proposé par Winston…. Quelques secondes suffirent pour que mon invité face le tour de moi, chaussa son préservatif en évaluant ma situation et s’installa à ma suite pour m’entreprendre expressément. La queue chaude tournoyait sur mes fesses, les mains caressantes, le mari de Bénédicte contemplait ma posture, le galbe et les rondeurs chocolat de sa promise était dorénavant a portée certaines de sa queue… sans je le voir, je présumais de la scène.
L’instant se faisait attendre pourtant, curieuse de ressentir le premier glissement de cette nouveauté au fond de moi, je cambrai par ondulation lascive mais rien ne venait encore, le bellâtre avait choisi de me surprendre a défaut de me prendre simplement. Il avait saisi le flacon de lubrifiant que Winston avait déposé a coté de la bouteille de champagne, ma voisine de table depuis quelques minutes. Boris, d’une sérénité certaine croisa mon regard qui évaluait son avancement, il décapsula le flacon et m’aspergea sans retenue d’une bonne moitié de la lotion, des épaules aux reins, la croupe dégoulinantes, les cuisse ruisselantes, les mains du lubrificateur parcoururent l’entièreté de mon corps de la nuque aux chevilles dans de larges caresses lentes et appuyées. Pour la première fois je me sentis petite pâtisserie orientale, celle que l’on accuse d’être grasse et calorique hélas, l’idée et la sensation de me sentir luisante, glissante, enduite, nappée, onctueuse et appétissante faisait de moi une chose insaisissable pour m’immobiliser facilement. Boris aussi pragmatique que pratique choisit de m’empoigner par les talons de mes hauts souliers de chaque coté de ses cuisses, je sentis sa queue raide fixe enfin fendre mon abricot et glisser au fin fond de mon vagin sans précipitation mais de toute sa longueur , le rythme gardé d’une découverte courtoise, le va et vient s’engagea avec une douceur infinie.
Bénédicte se tortillait comme un vers, couineuse et râleuse, elle joignait ses chaussures dans un arc aérien esthétique lorsque Winston butinait sereinement le sexe a la base de l’arche, je puis estimer que celui-ci n’était encore et que dans son tour de chauffe, sa bouche fouillait les plis d’une chatte charnue, en attendant de se mettre sous la dent un clitoris qu’il extirpera des plis qui le protège encore…. Winston octroya quelques pauses a sa partenaire pour reporté la jouissance afin de la concentrer plus amplement, les deux amants nous regardait officiant sur la petite table. Boris calme est serein continuait son petit bout de chemin fait de va et refait de vient….une tendre vitesse de croisière acquise et tranquille lui permettait de vaquer a ses occupations annexe le coquin, il remplissait ma coupe puis la sienne et nous buvions tranquillement notre breuvage a la place qui était la notre, connecté et ravis. Boris à son aise extrême papotait de tout et de rien avec qui voulait lui répondre, lorsqu’il m’apostropha personnellement :
Gabrielle, savez vous ce que j’aime chez vous et que vous avez en commun avec mon épouse…. Je ne répondis pas perplexe de ce qui allait suivre aussitôt« Eh bien, vous avez une BOUILLE D ANGE avec un CORPS DE SALOPE !!!! »…. « Excusez-moi de ma franchise alors que je me glisse chez vous sans vous connaitre »Et je lui répondis du tac au tac« Boris, Boris, Booooooris…. la supériorité de votre posture vous rend bien cavalier, contentez vous de ce que vous avez monsieur, le contraire serait moins pratique »….. Il me répondit :« Mon engin glissant entre vos reins ne vous empêche pas de réfléchir délicieuse Gabrielle, reconnait-on a cet instant une femme facile a négocier, mais difficile a contre dire, les hommes réfléchissent avec leurs queues parait il parfois, je crois que la mienne logée aussi profondément vous inspire bien. Ne me prenez pas tout mes neurones, il ne m’en reste déjà plus beaucoup, juste quelque uns pour me finir et espérer vous faire jouir… »
Tiens j’étais tombé sur un bavard…. Ca change des grognements masculins rappelant l’idée fréquente d’une puissance presque muette, son verbe me plaisait bien, son ton insolent aussi, ne savait-il pas que je pouvais largement tenir la conversion en pareille circonstance. Il s’adressa maintenant à Winston, qui ne voulait pas sauver le soldat RYAN mais avait lancé l’offensive pour débusquer un orgasme bénédictin. « Winston, je vous conseille de lever le pied mon amis, je vous vois a l’aise et compétant, pour la sécurité de votre joli canapé je vous préviens qu’une seule fois, Bénédicte a la jouissance abondante, faites ce que vous voulez de vous mais épargnez votre canapé, trop bien léchée elle se transforme en fontaine compulsive… »Winston attentif s’exécuta a changer son organisation et repris :« Quotidiennement je me fais huer pour quelques miettes sur le divan, je propose donc que l’on vous abandonne, j’installe Bénédicte dans le hamac de la terrasse et nous reviendrons pour le mi temps »…. Et les deux s’échappèrent avec espièglerie. Boris repris vite notre conversation :
« Vous voila seule avec le grand méchant loup petit chaperon rouge a quatre pattes »….. Je lui répondis :« Sans beurre pour ma grand-mère, vous l’avez gaspillé sur mon derrière, ne faites pas votre malin depuis le début vous êtes a ma suite, incapable de me doubler….accélérez !!! »« Pff…. Gabrielle, je reste dans votre sillage….. Attention au plein phare dans votre rétroviseur, je puis être éblouissant parfois ha ha ha »
Boris devait s’engager sur une voix rapide probablement, il me souleva facilement pour me reposer a terre, sur le carrelage glacial puis repris monture derrière moi. Lorsque j’eu imaginé vite que le rythme chaloupé des débuts se transformait en une petite baise agile et frénétique. Je reprenais ma serpillère de robe pour soulager mes genoux sur ce carrelage rude. Il me fallait ou moins ca pour me soulager, car l’autre de derrière ne se préoccupait point de mon confort. Pouvait je lui en tenir rigueur, il s’occupait déjà de mon plaisir parfaitement, et je commençais à sentir pleinement des frottements appuyés de la queue sur les parois de mon vagin complètement formatés au gabarit suite a son essayage préliminaire
« Boris, pouvez vous encore parlé ? » avec moins d’aisance ces quelques mots sortis de ma bouche…. Je parlais encore tant que je le pouvais et Boris reprenais« Savez-vous ce qu’est un RIDE Gabrielle ? Une sortie de plusieurs dizaine de kilomètres en moto par exemple….. Pour simplement abuser du plaisir de conduire, de piloter…. »« Oui je vois Boris, vous me prenez pour votre Harley maintenant ? »« Non pas du tout, je vous prends pour ce que vous êtes Gabrielle…. » Il accéléra la cadence et continua sa phrase :« Un merveilleux cul intelligent, bavard, et bougrement bandant pas plus pas moins, je ne peux pas vous complimentez sur votre cuisine, vous ne m’avez jamais invité Hélas…. »« C’est vrai, mais il faut avouer que vous êtes arriver comme un voleur sans prévenir et par derrière, en plus a cette heure je n’ai qu’un abricot, un berlingot au plus a vous proposer….vous vouliez en venir ou avec votre RIDE en moto avant que vous trouviez mon..Cul ….intelligent. »« Je disais chère Gabrielle heu oui un RIDE… eh bien lorsque l’on a la chance de pouvoir essayé un prototype comme vous l’êtes ca inspire au moins de faire un petit RIDE avec… »
Plus il parlait plus il s’appliquait le bougre dans la chevauchée de mon train arrière qu’il avait entreprit…Je vais te faire parler mon garçon, pensais-je au fond de moi…..et il reprit :« Permettez moi de vous essayé sur la distance, quelques kilomètres humm en va et vient me comblerais fâcheusement…. »« On est la pour ca mon amis, et les kilomètres ne m’ont jamais fait peur je les engloutis d’un coup et d’un seul, allons y soyons fou….. »« Winston m’a dit que vous sortiez de révision justement, je vais pousser un peu votre petite mécanique et titiller le turbo petite berline des iles…. »« Faites ce que vous voulez mais soyez prudent, le matériel est fiable et révisé, un seul conseil ne casser pas les affaires a Winston, il ne prête jamais sa voiture !!! »« Haaa…moi non plus, ca se finit toujours mal…. Trop bon trop con !!!!! Mais la je dirais trop bonne, en voiture Simone LOL »« Bahhhhh gros malin, c’est pas en me prenant pour une Simone que vous allez me faire jouir facilement, l’effet fut inverse sans vous contrarier »« Flut …zut …et opps désolé du dérapage…. Tenez ! Prenez cela comme excuses !!!…. »
Et Boris repris un rythme suffisamment soutenu pour décrasser un peu plus cylindre, piston et petite culasse de mon prototype créole improvisé.
Plusieurs fois je le sentis venir, juste perdre le contrôle et reprendre le dessus in-extremis, plusieurs fois je me suis senti venir sans rien retenir du plaisir subi si ce n’est ma posture pour gouter plus encore l’action que je voulais perpétuelle. Boris m’amena évidemment a la jouissance plusieurs fois mais je puis aussi me rappeler de cette sensation fantastique de la frôler perpétuellement, mes terminaisons nerveuses électrisées en continu par toutes les attentions qu’il m’infligeait. Le coït durant j’appréciais la chaleur insoutenable de sa verge curieuse et disciplinée, j’imaginais dans mon entre cuisses ses petites balloches ballotantes pleine de jus crémeux prés à jaillir au moindre faux pas. Le gentleman m’offrait une jouissance masculine tout en commentaire, chose suffisemment rare pour être appréciée. De lors qu’il voulut s’engager sur sa dernière ligne droite je compris qu’il disait ce qu’il faisait et il faisait ce qu’il disait…..
« Gabrielle, je ne sais pas ou vous en êtes ? Mais je suis si fébrile et impatient de jouir….. Sans le vouloir encore vraiment…. PourtantJe serai soulagé et heureux par ces quelques gouttes en vous mais tellement frustré de ne pas avoir abusé quelques instants de plus….Vous me rendez frénétiques et égoïste, puis-je être assuré de votre accord sur mon comportement si égocentrique….Lorsque je regarde ma queue jouer avec gourmandise ainsi au fond de vous…..haha ca me rend fou…. »
Vous abusez Boris sur votre égocentrisme, je suis agrippé a votre talent depuis déjà longtemps et je ne puis m’en défaire seule, si vous ne venez pas en moi….Faites vous plaisir encore, si vous le pouvez ou jouissez alors, mais dites moi votre dernière raison de prendre plaisir au fond de moi…..
Humm… Douces contractions et un flux bouillant de mon bassin rende ma queue si sensible à vous ressentir, j’imagine un jet brulant et visqueux envahir votre chatte si accueillanteDepuis que je joue dedans….je reste encore très excité de vous savoir la a attendre plus encore de moi…..vous êtes un parc d’attraction a vous toute seule Gabrielle !!!!
Taisez-vous à présent mon grand !!!! Par mon mensonge à venir, vous n’y résisterez pas…..Pensez, songez à m’inonder de votre sperme abondant, oublier la capote que vous portez pour mieux la remplir…..Fécondez-moi de cette tige qui me chauffe les entrailles, petite femelle chaude comme une braise que je suis en attente de votre spermeuse donation…..Tous vos efforts de male reproducteur resteront vain mon ami….Dans votre petit latex….comme un trophée, que vous m’offrirez lorsque je serai remise sur mes deux pieds promis ?
Mais n’est-ce pas le plus important encore, écoutez moi bien !!!! J’aime, j’adore, j’en redemande de votre étreinte formidable que vous m’infligez si bien, elle est superbe et mémorable pourtant….Le saviez vousLorsque vous m’aurez donné votre semence avec bonté et dextérité, Winston reprendra la charge pour une bonne partie de la nuit….EvidemmentCela l’excite à l’ extrême, de m’aimer en second et glisser dans les outrages d’un autre….. Et de pouvoir me faire réviser de nouveaux mes jouissances au cas où je les oublierais….
Voila tout, je vous sens venir à présent, n’être que la première moitié de mon chemin de ce soir vous émoustille et vous fait perdre contrôle, je le sensGrand bien vous fasse, lâchez prise et donnez moi quelques souvenirs poisseux…..et onctueux de vous…..
Humm….humm ouiiiiiiiii je vous sens souffrir maintenant……. Voyez ce que vous m’avez infligez plusieurs fois durant….. Délicieux BORIS !!!!!!Quelques derniers coups de reins désespérés achevaient son éjaculation, je sentis la crispation générale paralyser son corps jusqu’à l’extrémité de ses doigts plantés dans les plis de ma taille de la petite guêpe tropicale comblées par le dard reproducteur de son bourdon adultère.De tout son poids, le corps tétanisé, Boris se laissa tomber sur mon dos, mes genoux partirent en glissade, mes seins s’écrasèrent sur le carrelage froid, son bassin enveloppais le mien, ses cuisses faisaient de même, le souffle chaud de sa respiration caressait ma nuque, je laissais le pauvre bougre reprendre ses esprits…. Sa verge reprit une souplesse glissante encore plantée au milieu de mon fessier, je ressentais quelques contractions du gland entre mes lèvres bouillantes et boursoufflée de mon sexe si sollicité. Boris repris cette dernière tirade pour solde de tout compte en me chuchotant a l’oreille:
« Vous m’avez énervé en me traitant que de votre première moitié, mais sans nulle doute Winston aura le privilège de vous achever, vous que j’imaginais petite joueuse…chapeau bas Madame !!!! »
Lorsqu’il put se relever, je vis Boris presque confus, silencieux et quelques peu étourdis par la petite tornade que nous avions vécu, je jetais un œil sur l’extérieur et j’aperçus Bénédicte et Winston installé dans le Jacuzzi bouillonnant….complice et inséparablement enlacés certainement sous une voie lactée propice a de la tendresse partagée….Je me remis début devant mon amant sur mes hauts talons qui ne me faisait pas encore équivaloir sa taille imposante, les yeux dans les yeux, je caressais ma chatte de quelque doigt pour évaluer les ravages d’autant de baise. Mon male se tenait la queue encore sans vraiment prendre d’initiative, je lui hottai ses doigts de son sexe, le gland noyé dans une capote laiteuse à souhait pour déchausser l’engin d’une main délicate et caressante de reconnaissance, de ma seconde la même attention sur une petite paire de couilles tendre et généreuse.
De la capote remplie, j’en fis un nœud solide, pour emprisonner les preuves du forfait de mon cambrioleur baiseur, je jouais de ce petit ballon plein de foutre jusqu’au moment ou je le mis a ma bouche et le goba entre mes lèvres pulpeuses et luisantes pour l’occasion…. Je voulais offrir a mon male éteint la gourmandise de mon appétit encore inassouvis, qu’il puisse repartir avec une rage machiste de tous les outrages qu’il n’aura pas pu me faire subir….. Le geste fit briller son regard amusé….
Il me parait important de soignée la sortie, pour insinuer un vouloir de continuation, une offrande ultime de gratitude pour l’instant partagé…. Quel désastre de laisser un homme se décalotter seul pour partir jeter tout ce qu’il a voulu vous donner dans une poubelle anonyme. Apres avoir joué goulument de ce préservatif dans ma bouche, je la posais prêt de mon verre et nous allâmes rejoindre nos moitiés respectives dans le jacuzzi.
Pour épilogue je peux vous confirmer que la route fut agréable et superbe, un gentleman Biker ce Boris le béarnais, nous fîmes probablement de nombreux kilomètres sans que je puisse savoir combien et sans pouvoir retrouver le chemin par lequel il m’a fait passer, une jolie ballade de plus de deux heures dans cette unique position routière et sportive, et je puis vous avouez que les voyages forment la jeunesse, même sur place pour l’occasion…. « C’est un gars qui mérite à être connu » comme aurait dit ma grand mère qui ne fait pas de moto.
Pour Winston, les choses furent différentes bien sur, Bénédicte lui donna non ce qu’elle pouvait mais tout ce qu’elle ne put contenir plus encore, d’âpres mon tendre mari, la jouisseuse a révélé des orgasmes fulgurants par trois fois….Cependant et jusqu’à ce jour ne n’entendit rien de mon mari qui puisse faire croire que des jets de cyprine en pleine figure soit désagréable. Ma conclusion fut qu’il eu ce qu’il méritait…. En tout Humilité ce fut aussi vrai pour moi.
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