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Un tramway nommé désir

Chapitre 1

Erotique
Ce soir là je n’ai pas reconduit directement Patricia chez elle après une soirée chez des amis communs.C’est une fille un peu spéciale; 40 ans à l’époque et vivant toujours chez ses parents. Très joli visage, corps nerveux, cheveux extraordinaires et des yeux brillants. Belle poitrine. Un problème de coordination motrice et même d’élocution. Donc peu de contacts avec les autres. Sans doute intelligente mais ne sachant pas le montrer. Apparemment elle est en manque de sexe et de copains, car la première fois que je l’avais embrassée, puis caressée dans la voiture elle s’est enflammée de façon frénétique. Elle s’arquait en arrière pendant que je la pelotais ouvrait largement les cuisses en mouillant abondamment. J’en étais renversé, et elle aussi d’ailleurs ! J’avais même réussi à lui doigter le cul avec l’index . N’aurais jamais cru que cela pouvait exister.
Plus tard je l’avais amenée à l’hôtel à 2 reprises - c’était pas extraordinaire mais surprenant- donc cette fois j’avais eu envie d’une ambiance encore plus insolite et de réaliser un fantasme.
J’avais accès à un bâtiment vide à Uccle (Bruxelles) , le site était à l’origine un ancien dépôt de tramway, puis un dépôt de camions de collecte des immondices Il était vide depuis quelques mois et j’en avais les clés. Grand hall de stationnement, des fosses de réparation des véhicules, un réfectoire et des sanitaires pour les ouvriers avec les photos sexy au murs. La veille j’étais passé vérifier les lieux et préparer quelques accessoires. C’est très excitant comme ambiance. Dans l’atelier il reste un palan à chaîne. C’est un mécanisme sans moteur électrique qui permet de lever les charges et de les déplacer latéralement. Je l’avais essayé et descendu le crochet : cela fait un bruit infernal et c’est quasi inutilisable la nuit.
Il devait être minuit passé; Le portail roule difficilement nous entrons et je le referme. Il n’y a pas de voisins immédiats heureusement. Nous traversons la cour en silence. Il y a une porte pour piéton dans le volet principal. Elle se doute bien de mes intentions mais pas qu’elle passera un moment aussi spécial. Aucun scrupule à avoir; elle est bien plus délurée qu’on le pense, d’ailleurs j’ai eu quelques échos par d’autres personnes.
Le garage est faiblement éclairé par les grandes fenêtres du toit. Cela sent la graisse de machine, mais nous sommes en été et il fait encore chaud. Tout l’espace est vide sauf une chaise à quelques mètres de l’entrée et au milieu de nulle part. Je l’y assied, lui relève le menton et l’embrasse de la façon la plus appuyée possible, ma langue explore sa bouche agréable. Elle aime cela, je suis déjà fort excité, sa figure est à hauteur de mon sexe, je lui fait déjà sentir la dureté de l’engin Puis je lui retire son chemisier, son soutien, déboutonne et ouvre un peu son jean. J’avais bricolé 2 bracelets reliés par une cordelette de 20cm et je lui attache les poignets par devant. Elle n’a pas l’impression d’être entravée mais elle à tort. A part cela je ne la touche pas trop; Elle n’a pas froid aux yeux et rit nerveusement. Bon signe. On va pouvoir commencer. Je joue à lui suggérer la fellation en poussant sa bouche sur la bosse de mon pantalon. Elle joue à faire semblant de ne pas comprendre....
Je la lève et la tire en avant afin de traverser maintenant tout le garage seins nus pour approcher de la partie atelier. Il reste des établis, les fosses, quelques pneus de camion.... Le crochet du palan est bien visible. C’est très spectaculaire ce truc qui pend à 2m de haut et attend de façon menaçante. J’avais disposé dessous une palette de bois et la fait monter . Je lui demande de d’attraper elle même le crochet . A ce moment je passe la cordelette reliant ses poignets dans le crochet du palan et fais une boucle pour qu’elle reste en place Dès ce moment elle sera bien soumise à mes caprices.
Cette fois elle semble inquiète et regrette sans doute d’avoir joué à ce jeu bizarre. C’est de l’inconscience, je pourrais la bâillonner, la fouetter, avoir des envies sadiques, la violer etc... Heureusement pour elle ce n’est pas du tout mon genre. Par contre la voir ainsi bien droite, les seins dressés et en attente est un régal et je me demande comment faire durer ce plaisir. C’est ahurissant comme situation
Elle est à bonne hauteur. J’actionne tout de même la chaîne du palan; le mécanisme claque très fort et la corde est tendue. Je la laisse donc imaginer la suite et part chercher dans la voiture un sac d’accessoires. Elle reste seule dans ce lieu désert, j’imagine la catastrophe si jamais quelqu’un me voit sortir et rentrer à nouveau.Je suis terriblement excité et je bande sérieusement en revenant vers elle. C’’est quasi douloureux. Je ne vois pas comment préluder.
Elle a de beaux seins assez lourd, je commence par les chatouiller avec un chasse mouches égyptien en crin de cheval. Il siffle et parfois lui cingle les mamelons. Elle serre les lèvres et se contorsionne. Ses mamelons durcissent mais j’essaye de retarder le plus possible le moment où je la toucherai des mains. C’est de plus en plus difficile donc il est temps de continuer le déballage. Bataille classique et désagréable, en plus elle a mis un collant que je déteste. Je descend tout ce paquet en pensant à "Orange Mécanique" Quelques petits coups sur les fesses la font sursauter puis je continue de baisser ses fringues qui lui restent aux chevilles. Moi je reste tout habillé alors qu’elle est nue et entravée.
Il y a maintenant une nouvelle zone à travailler, c’est une zone humide que je vais m’appliquer à explorer très lentement. Je veux l’exciter à tel point qu’elle se prêtera à des jeux de plus en plus osés par la suite.
Je ne peux plus résister et décide d’utiliser mes accessoires. J’ai l’intention de lui faire subir quelques pénétrations insolites avant de la détacher et continuer de façon plus classique. Je lui montre les objets : un concombre, une belle carotte, un chapelet de boules anales et mon rasoir Braun sur batteries...
C’est lui qui va entrer en jeu car c’est aussi un vibro sensationnel Je commence par lui raser les aisselles puis je fais un peu de nettoyage du pubis; elle a beau serrer les genoux et gigoter je fais un peu de débroussaillage. Je garderai une touffe de poils frisés en trophée. Puis je retire la tête de rasage et le promène sur son corps, j’excite les mamelons, le dos, la raie des fesses. Ensuite je descend lentement vers son sexe, je trouve son clitoris elle se tortille, rit et gémit à la fois. J’ai du mal à rester calme je lui fais lécher mes doigts puis les introduit en elle. Elle est parfaitement lubrifiée, son vagin est doux et élastique, et bien serrant. Je fais frétiller deux doigts, caresse le col de l’utérus, puis change de stratégie Un pouce par devant, un index par derrière, je la tiens fermement en place comme un pack de bouteilles de bière.
Je lui fais ensuite enduire de salive une belle carotte qui caressera sa vulve avant d’entre doucement dans sa chatte, et bien à fond. Après elle goûtera le concombre encore plus envahissant. J’ai un solide rival en lui. Mes va et vient sont lents ou rapides jusqu’au moment ou je dilate son anus de deux doigts pendant que le gode-légume continue son travail par devant. Les carottes au beurre sont meilleures : j’ouvre une petite portion de beurre et lui montre les préparatifs du "dernier tango à Paris" La carotte trouve son passage par derrière et le concombre attend devant. Ensuite le dialogue des légumes va commencer : je la trifouille donc à deux mains, une par devant et l’autre par derrière, avec des mouvements rapides et puissants. Ensemble ou alternés. Je ne l’avais jamais travaillé de la sorte et compte bien la sodomiser un peu plus tard car la voie est libre.
Ces objets improvisés ne tiennent pas bien en place mais ils ont un côté improvisé qui m’excite. En plus ils sont comestibles et je luis fais croquer la carotte, J’avais tout de même pris des boules anales. L’introduction est une expérience qu’elle ne connaissait pas, les boules passent par à-coups et ensuite les retirer rapidement lui provoque des spasmes. Je le fais plusieurs fois en provoquant des contractions violentes de tout son ventre. Je n’arrive plus à me contenir, il est temps de sortir mon engin personnel. Mais je lui laisserai le chapelet de boules bien en place.
Comme maintenant j’ai envie de la culbuter en arrière ou de la prendre en levrette j’actionne le déplacement horizontal du palan et la force à se rapprocher des tables. Elle n’a que quelques pas à faire, tirée en avant par le roulement du palan.
Elle est bien obligée de se pencher en avant en s’appuyant au bord de la table . Elle est arquée en avant, les seins pendants les bras relevés et tendue comme un arc. Moi je suis également bandé et je serai donc sa flèche. Je m’agenouille sur la table devant elle, sort enfin mon sexe la prend par les seins à pleine mains et impose une fellation très spectaculaire. Superbe : c’est la première fois qu’elle me la fait réellement. J’ai bien envie de lui jouir en bouche mais cela compromet la suite. Je lui fais déchirer avec les dents l’emballage Durex , me protège et descend de mon perchoir. Elle est magnifiquement mise pour une bonne prise en levrette. Bien tenue pas les hanches elle se fait enfin prendre "comme un petit chien" selon ses propres mots Les boules anales qui sont restées dans son joli cul frottent mon sexe; C’est une sensation curieuse : on se bouscule là dedans.
Dommage de ne pas avoir un miroir pour voir à la fois son visage et mon sexe qui s’enfonce. Difficile de se contrôler. Je crois qu’elle a son premier petit orgasme. Une vibration la parcourt et je retire les boules d’un coup sec.
Cette fois il est temps de la pousser dans ses derniers retranchements, je lubrifie mon sexe, vérifie Durex et appuie fermement sur sa rondelle. Elle se crispe, une étoile se serre, je lui file quelques petites claques sur les fesses, puis 2 ou 3 bien fortes qui la secouent. Je lui demande d’inspirer et ensuite expirer bien à fond. Relâchement de son œillet et entrée en douceur de mon gland. Un moment d’attente et une nouvelle poussée pour avancer Elle proteste, gémit, pourvu qu’elle ne crie pas réellement dans ce hangar qui résonne comme une église. Je la tiens fermement par les hanches et poursuit lentement mon avancée en terre inconnue. Elle respire rapidement, je suis profondément en elle et ne bouge presque plus. Mes couilles touchent ses petites fesses, le point tant attendu est enfin atteint.
J’arrive à ne pas jouir et a retarder le moment de la limer et lorsque je me retire elle gémit fortement, sa position est très inconfortable, j’ai eu le plus beau moment et je détache donc du crochet. Elle est épuisée reste penché sur l’établi en frissonnant.
Moi je n’en peux plus d’attendre et la culbute sur le dos . Je lui relève les cuisses en les écartant au maximum. En une volée de coups je la pistonne violemment et la lime de façon rapide et brutale bien décidé à jouir et à décharger enfin mes petits spermatozoïdes. Fin presque classique : je sors de sa chatte et revient dans son cul puis retour coté face à plusieurs reprises. Épuisant. Après avoir joui et perdu ma belle vigueur je lui demande de sucer ma queue mais elle restera ramollie.....pas de miracle
Quelques mois plus tard je suis retourné dans le bâtiment qui est devenu un commerce de meubles , 1232 Chaussée de Waterloo. Une vendeuse à du se demander pourquoi je la regardais de façon bizarre, j’ai senti mon sexe gonfler. Au fait sur StreetView on voit toujours les anciens rails du tram.
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