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Tranche de vie à la fac

Chapitre 1

Hétéro
Sébastien avait fait sa scolarité dans un établissement catholique privé assez strict, de sorte qu’il est arrivé à la fac encore vierge de tout acte sexuel. Mais l’envie était là, de sorte que chaque soir, celui-ci se branlait vigoureusement dans son lit, en pensant à ses amies de classe ou en matant des vidéos sur le net. Il était plutôt beau garçon, bien bâti, au torse poilu et musclé et surtout avec ce qu’il faut entre les jambes, mais son éducation et peut être aussi sa timidité lui ont interdit les plaisirs charnels. Le soir, afin de se détendre, il aimait aller nager à la piscine ou faire un peu de sport (badminton/foot). Dans les vestiaires, comme tous les mecs, il aimait mater les autres qui prenaient leurs douches avec moi, pour comparer. Après avoir réussi brillamment son baccalauréat scientifique, il a donc intégrer une faculté de chimie. Dans son optique de rencontrer du monde, il avait loué un petit logement dans la cité universitaire qui était meublé et comprenait une douche/WC et cuisine, de sorte qu’il pouvait être autonome s’il le souhaitait. Celui-ci a donc emménagé début septembre pour préparer sa rentrée qui avait lieu 2 jours après. Les premiers jours furent très calmes : rencontre des voisins, et de nouvelles connaissances qui lui ont fait découvrir la vie sur le campus. Et il a surtout rencontré sa voisine, pulpeuse fille blonde au sourire ravageur et au décolleté plongeant. Très vite, elle lui parut être une fille décomplexée, qui profite à fond.
La fin d’après-midi approchait et il décida d’aller courir pour découvrir un peu le site. Il faisait chaud et après quelques centaines de mètre, Sébastien se mit torse nu. Les filles qu’il croisait semblaient apprécier et cela le réconforta dans son idée de faire des rencontres à la fac. Après une bonne heure de footing, il décida de rentrer, pressé de prendre une bonne douche froide et revigorante. Tout en se déshabillant, il entendait à travers la cloison, sa voisine discuter avec un jeune mec. En prenant sa douche, il repensa à cette jeune fille sympa, ses formes généreuses, son sourire. Sans s’en apercevoir, il s’était mis à se caresser le sexe tout en pensant à elle. Trêve de rêverie, il se rinça, se sécha et enfila juste un caleçon de façon à supporter la température en ce début de mois de septembre. Il s’étendit de tout mon long sur son lit et s’endormi, les rayons du soleil léchant mon torse. Deux heures plus tard, il fut réveillé par des coups dans le mur. D’abord sonné, il réalisa bien vite ce qui se passait, entendant le lit grincer et les gémissements… Sa charmante voisine était en train de se faire baiser par un mec. Cette situation l’excitait et déjà son sexe gonflait à cette pensée. Toujours étendu sur son lit, il retira son calebut et commença à se caresser. Bien vite, il bandait dur et cala le mouvement de sa main sur le rythme des deux amoureux. Elle prenait beaucoup de plaisir et cela l’excitait. Enfin, il entendit le mec parler, les mouvements s’intensifier. Il l’imagina entrain de jouir à l’intérieur d’elle, emporté par leurs passions. Cette pensée le fit jouir également et de longs jets de sperme lui arrosèrent le ventre et le torse.
Les jours et les semaines passèrent sans qu’il avance d’un poil. Sa voisine recevait de nombreuses visites de partenaires masculins. De son côté, il s’était inscrit à plusieurs sports dispensés à la faculté, ce qui lui permit de faire des connaissances, et de se rapprocher de quelques personnes de sa promo. Ainsi, 3 soirs par semaine il retrouvait ses nouveaux amis pour faire de la piscine, du badminton ou du foot. Le sport était l’occasion de se défouler, de penser à autre chose qu’aux études. La douche qui suivait à toujours été un plaisir. Il n’était pas de ces jeunes mecs qui ont peur du regard des autres… et ce certainement parce qu’il a eu très tôt l’habitude des douches communes. Ces séances de sport le rapprochèrent d’un jeune mec, Thibault, qui est toujours son ami des années après. Il avait raté sa première année et avait donc redoublé pour se retrouver avec sa nouvelle promo. Un soir, en discutant de nos amours respectifs, il lui confia son intérêt pour sa voisine de chambrée. Il lui avoua alors ce qu’il supposait plus ou moins : que c’était une fille collectionneuse de mec. Lui-même en avait profité plusieurs fois. Evidemment, après de telles révélations, il lui demanda ce qu’il en était pour lui, s’il avait une copine. Il répondit par la négative, un peu honteux, mais sans avouer qu’il était encore puceau… Il le rassura en lui disant que le campus était rempli de filles et qu’à la prochaine soirée, il repartirait au bras d’une belle blonde…Cette révélation le hantait. Comment une aussi jolie fille pouvait collectionner les conquêtes ? Pourquoi ne choisissait elle pas un seul homme à aimer ? Cette fille lui plaisait de plus en plus, et loin de le dégoûter, savoir qu’elle avait de nombreuses conquêtes, l’excitait. il l’imaginait, tenant un petit cahier dans lequel elle noterait ses amants, leurs performances, leurs physiques, leurs sexes…Cette nuit-là Sébastien dormit mal, ce n’était pas son cerveau qui le commandait, c’était sa bite. Il avait envie d’elle, il ne pensait qu’à elle, comme une obsession. Il avait envie de la posséder. Il avait mal au sexe de rester en érection. Rallumant son pc, il entreprit une longue branlette minutieuse, histoire de se sentir mieux. Sur fond de vidéos porno, il s’astiquait doucement, alternant de main, changeant de rythme et se caressant. Enfin, sentant l’éjaculation proche, il se branla frénétiquement jusqu’à cracher son jus. Cela le calma pour la nuit et il put s’endormir rapidement, les couilles vidées et l’esprit apaisé.
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