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Tranny secretary highschool (bis)

Chapitre 2

La directrice chap 10

Divers
LA DIRECTRICE : 10

Un claquement sec retentit sur le dallage du hall d’entrée d’une grande entreprise. Une belle femme en talon aiguilles s’avance prestement vers le comptoir d’accueil. Elle semble âgée d’une quarantaine d’années mais en a en fait 10 de plus. C’est M. DUPUIS Antoine, alias Mme ANTOINETTE, la directrice de la Tranny Secretary Hight School.Elle porte une perruque blonde, un tailleur rouge, et une magnifique paires d’escarpins assortis aux talons vertigineux. Son look est à mi-chemin entre une business Woman et une bourgeoise en manque.

— Bonjour mademoiselle, je suis Mme DUPUIS. Je suis attendue par M. LEBON, le directeur des ressources humaines.

L’employée vérifie sur son registre et passe un coup de téléphone.

— M. LEBON vous attends dans son bureau : 20ème étage, à gauche en sortant de l’ascenseur, porte 6 sur votre droite."— Merci beaucoup.

L’employé en costume qui entre dans l’ascenseur en même temps qu’ANTOINETTE ne cesse de la reluquer. Il faut reconnaitre qu’elle est une trans magnifique au passing parfait, et qu’il ne viendrait à l’idée de personne de la prendre pour un homme. De plus, elle a revêtu pour l’occasion sa tenue de travail préférée, à savoir un beau tailleur rouge et des escarpins assortis aux talons de 14 cm.L’homme a du mal à respirer en la voyant et doit desserrer le nœud de sa cravate. ANTOINETTE s’amuse à le mettre encore plus mal à l’aise en lui souriant, dévoilant ainsi ses dents blanches qui contrastent avec le rouge carmin de ses lèvres.Elle se demande ce qu’il est en train de penser. Peut-être l’imagine t’elle s’agenouiller et lui tailler une pipe ? L’idée la tente et ce ne serait pas non plus la première fois qu’elle sucerait une queue dans un ascenseur, mais elle est venue ici dans un but précis, pas pour batifoler. Elle lui lance un dernier clin d’œil aguicheur en sortant de la cabine, et l’abandonne à son excitation. Nul doute qu’il va courir au toilette faire disparaitre la boss qui déforme son pantalon.

ANTOINETTE est très contente, l’effet qu’elle a produit sur cet individu lui prouve qu’elle n’a rien perdu de son charme, ce qui est de très bon augure pour la suite des événements. C’est donc toute contente d’elle qu’elle frappe à la porte 6.Un homme d’une quarantaine d’années vient l’accueillir.


— Mme DUPUIS je présume, je suis M. LEBON. Entrez, je vous prie.— Enchantée de faire votre connaissance ! lui répond-elle.

La directrice de la TSHS entre dans un vaste bureau et prend place dans le fauteuil en cuir que lui désigne son hôte. Elle constate tout de suite que le regard du DRH s’est aussitôt posé sur ses talons aiguilles, et qu’il les a suivi jusqu’à ce qu’elle soit assise. "Cela commence bien" pense-t’elle.

M. LEBON prend place, à son tour, derrière le bureau. C’est une grande table en verre à travers laquelle il peut admirer les jambes de son invitée. Mme ANTOINETTE en profite pour prendre la position de Sharon Stone dans Basic Instinct.Le DRH se racle la voix.

— Un de mes confrères m’a parlé de vous. Il vous a chaudement recommandé en me précisant que vous formiez des secrétaires très compétentes.— Oui effectivement, j’ai créé une école de secrétariat d’un genre un peu particulier, mais plutôt qu’un long discours, le mieux est que je vous fasse voir.

Mme ANTOINETTE sort une sorte d’album photographique de son sac, un book comprenant les photos de toutes ses élèves. M LEBON commence à le feuilleter.Le premier cliché représente une jeune fille portant des talons aiguilles, une jupe plissée et un chemisier.

— Toutes vos élèves sont habillées de façon aussi élégante?

— Il s’agit, là, de l’uniforme qu’elles portent durant la première année de leur scolarité. En deuxième année, elles mettent des tailleurs et les talons aiguilles sont évidemment toujours de rigueur.Quand je vois toutes ses secrétaires actuelles avec des chaussures plates, voir même des jeans sans forme, j’en ai la nausée, répond la directrice.

M. LEBON tourne la page. Mme ANTOINETTE connait le shooting par cœur, ayant elle-même choisi les photos. La première représente une secrétaire qui sert le café à son patron en tendant bien les fesses sous son nez. Le DRH déglutit.La photographie suivante représente la même secrétaire, mais cette fois-ci elle a prit un regard mutin et fait semblant de réprimander son patron qui lui touche les fesses.M. LEBON commence à rougir. Il est maintenant en train d’observer la quatrième page.

— Les secrétaires que vous formez sont-elles toutes aussi... serviables? demande-t-il avec difficulté.

Mme ANTOINETTE fait semblant de ne pas savoir de quelle photo il parle.

— Vous permettez?

Elle se lève et vient derrière lui, puis se penche légèrement de façon à lui mettre ses seins sous le nez. L’homme sent son parfum enivrant.Le cliché en question représente le même bureau avec le même patron assit sur son fauteuil. Il a maintenant le regard dirigé vers le plafond et on peut voir une paire escarpins dépasser de sous son bureau.

— A celle là ! Oui tout à fait. Je tiens à ce que mes élèves donnent entière satisfaction à leurs patrons.

Machinalement, elle pose sa main entre les jambes de son hôte. Comme elle prévoyait, il bande déjà comme un âne et elle en profite pour lui caresser la queue à travers l’étoffe.Le DRH tourne la page.La secrétaire est maintenant penchée sur le bureau, jupe relevée, avec son patron derrière elle. La jeune fille semble surprise, elle a les yeux écarquillés derrières ses lunettes et ouvre la bouche.

"Ca me rappelle une candidate" se dit Mme ANTOINETTE en revoyant la photo. "Mais oui je me souviens, une certaine Samantha. Un belle petite coquine".

Le directeur est maintenant à point et elle lui défait la braguette pour extirper sa queue déjà bien raide. Elle s’assoit ensuite sur ses talons :

— Je vous laisse consulter tranquillement le reste de l’album, dit-elle avant de se mettre au travail.

ANTOINETTE gobe la queue du DRH d’un seul coup. Les mains de M LEBON sont crispées sur son bureau, il est incapable de bouger.Après l’avoir pomper quelques minutes, sa fellatrice arrête de le sucer. Elle se lève tout en lui caressant le bout du gland avec le pouce.

— Vous permettez? lui demande-t’elle avant de tourner la page suivante avec son autre main.

La secrétaire tient maintenant une cravache dans la main. Mme ANTOINETTE enfonce d’un coup sec le bout de son index dans le méat, et M. LEBON sursaute en poussant un cri.

— Comme vous pouvez le constater. Nous proposons également des SEVICES, excusez-moi, je voulais dire SERVICES particuliers. Si vous êtes intéressé, faites nous le savoir. C’est une spécialité complémentaire que toutes nos secrétaires n’offrent pas.

Elle sort maintenant de son sac un document. Il s’agit d’un contrat prérempli qu’il n’a plus qu’à compléter et signer. Le DRH commence à le lire.Il a l’habitude de ce genre de documents et ne s’attarde que sur les points essentiels :

"La société X s’engage à prendre en charge la formation de N secrétaire(s) de l’école Tranny Secretary Hight School. En contrepartie, l’élève choisi effectuera ses stages au sein de ladite entreprise et s’engage à y travailler pour une durée d’au moins trois ans."

Mme ANTOINETTE reprend sa fellation mais l’interrompt à nouveau dés qu’elle sent que son sucé va venir. Elle se relève pour voir où il en était dans la lecture du contrat tout en lui pinçant le gland pour éviter toute éjaculation intempestive sur sa jupe.

"la secrétaire s’engage à porter en permanence une tenue chic et élégante telle que définie en annexe 1, à savoir jupe ou robe et talons de 10 cm minimum."

Elle se remet à sucer puis se relève juste avant que le DRH ne jouisse. Elle regarde de nouveau où ce dernier en est dans la lecture du contrat. C’est le paragraphe le plus important :

"En échange du salaire convenu en annexe 2, La secrétaire s’engage à prodiguer à son employeur toute les caresses buccales qu’il désire, et à maintenir son anus à son entière disposition."

La directrice de la TSHS voit que son hôte commence à transpirer à grosses gouttes, et sait qu’il ne va plus tenir très longtemps. Un de plus à son tableau de chasse, aucun de ses clients n’a jamais réussi à lui résister. Encore quelques minutes à souffler tour à tour le chaud et le froid ainsi et il va craquer.Fidèle à sa technique mainte fois éprouvée, elle coupe encore une fois l’érection en plantant ses ongles dans le gland, puis reprend son pompage.Maintenant M/ LEBON halète en lisant, il réussit seulement à prononcer :

— Mais vos secrétaires sont en fait des ...jeunes garçons!— ETAIENT ! lui répond Mme ANTOINETTE.A la sortie de mon école, elles sont bien plus féminines que la plupart des "vraies" femmes. Notre sélection est drastique et nous ne retenons que des candidats âgés de 18 à 25 ans, naturellement efféminés ou androgynes.Comme vous pouvez le constater sur les photographies, le résultat est stupéfiant et personne ne se doutera de rien. D’ailleurs moi-même... aviez vous deviné?— Non, vous...?

ANTOINETTE crache la queue pour poursuivre ses explications :

— Néanmoins, d’un point de vue juridique, elles restent effectivement des hommes. Cela vous donne une garantie contre une éventuelle action en justice du genre « balance ton porc » très à la mode actuellement.

Le DRH sait que trop bien de quoi la directrice de la TSHS parle, pour avoir déjà été confronté à ce genre de problème.ANTOINETTE reprend de nouveau sa fellation, avant de l’interrompre encore et encore dés qu’elle sent qu’il va venir, puis se remet à sucer. Sa longue expérience lui permet de s’arrêter juste avant le point de non retour. Elle fait cela sans interruption. C’est la plus douce, mais peut-être la plus cruelle des tortures imaginables.L’homme n’en peut plus, mais essaie quand même de résister.

— 3000 euros par mois, c’est quand même un peu chère! réussit-il à dire.

ANTOINETTE interromps de nouveau sa fellation pour pouvoir parler, mais cette fois-ci elle a décidé de ne plus le laisser se reprendre. Sitôt le gland sorti de sa bouche, elle enfonce son index dans le méat et commence à gratter l’intérieur du bout de l’ongle. Le DRH se crispe de plaisir pendant qu’il écoute les arguments de sa tortionnaire.

— Pas pour les prestations que nous offrons. La qualité a un prix, et puis nous avons des tarifs dégressifs. Si vous acceptez de prendre en charge la formation de deux de nos élèves, il n’en coutera que 5000 euros par mois à votre société, avec une garantie d’exclusivité de trois ans.— Je vois que le salaire d’embauche est de 4000 euros net mensuel. C’est un peu chère pour une secrétaire débutante, ajoute-t-il entre deux râles.— Il est entièrement justifié, et il ne s’agit que d’un minimum. Si vous tenez à continuer à vous assurer les services de nos secrétaires au delà du délai de trois ans, il vous faudra certainement les augmenter. Dépêchez-vous, la demande est très forte et le nombre d’élèves limité.

ANTOINETTE continue à remuer son index à l’intérieur du sexe du DRH tout en parlant. Le pauvre, il est sur le point de défaillir et parvient seulement à murmurer :

— Une dernière question. Les élèves de cette école sont-elles aussi douées que leur directrice ?— Vous voulez-dire aussi SALOPE ? N’ayez aucune crainte à ce sujet! Celles qui le ne sont pas déjà le deviendrons rapidement. J’assure cette partie des cours en personne.

M. LEBON n’en peut plus. Il faut absolument qu’il jouisse, mais il sait que sa fellatrice ne lui permettra pas tant qu’il n’aura pas apposé sa signature.

— Je dois signer où ? finit-il par demander.

Elle lui désigne les endroit du bout de l’ongle. Il s’engage pour deux secrétaires, en prenant l’option "SEVICES" pour l’une d’entre-elle.  — Vous faites le bon choix, lui dit-elle en souriant.

Le DRH la regarde maintenant dans les yeux. Son regard est implorant, il semble la supplier tel un petit garçon.La directrice de la TSHS est toute puissante. Il a signé et elle pourrait le laisser ainsi. Cela serait très plaisant pour elle et infiniment cruel pour lui.

"Non" se dit-elle. "Ce ne serait pas très professionnel. Et puis j’ai une réputation à tenir !"

Elle réembouche le membre et met fin aux souffrances du DRH en quelques coups de langue. Le pauvre cadre vaincu décharge au fond de sa gorge une énorme quantité de foutre si longtemps retenue. ANTOINETTE l’avale d’un trait et nettoie consciencieusement le gland avec sa langue. On sait maintenant d’où vient l’obsession d’ANNA pour la propreté. Elle remet la verge maintenant molle dans le caleçon, remonte le pantalon, referme sa braguette et va même jusqu’à réajuster la cravate de son hôte. Etre une salope suceuse de bites n’empêche pas d’aimer l’ordre !

M. LEBON la raccompagne jusqu’à la porte de son bureau.

— Merci de votre accueil, et n’hésitez pas à faire de nouveau appel à mes services, lui dit-elle en partant.— Je n’y manquerais pas.

La directrice sort du bureau avec le contrat signé sous le bas. En moins d’une heure, elle a assuré 5000 euros de revenus complémentaires à son école.

"C’est une journée qui commence bien" se dit-elle.

Le claquement des talons aiguilles de la directrice résonne de nouveau sur le sol pendant qu’elle jette un œil sur sa montre.

 "Mince, il faut que je me dépêche. J’ai encore deux autres rendez vous à honorer avant midi."

PS : Je remercie ELEBE qui a une nouvelle fois eu la gentillesse de relire et corriger ce texte avant sa publication.
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