Après s’être pompé le dard par la mère de Morgane, donc en fait par la sienne, Steven se rend tout affolé auprès de sa petite amie. Il ignore que Stewy, qui occupe le corps de celle-ci, est non seulement au courant de ce qui c’est passé mais qu’il a en fait tout manigancé.
— Morgane, Morgane, tu ne va jamais me croire.— Calme toi Steven, tu m’as l’air complétement paniqué.— C’est ta mère, enfin la mienne. Oh et puis zut à la je finis par m’y perdre à la fin, on va dire Brigitte comme ça il n’y aura pas de confusion.— Ok, d’accord pour Brigitte. Qu’est ce qui c’est passé avec elle?— Elle est devenue folle. Elle s’est jeté sur ma queue et elle l’a sucé. Morgane feint la stupeur. — Vraiment?— Oui, et je n’ai rien pu faire pour l’en empêcher.— Comment ça ! Un grand garçon comme toi, fort et musclé, tu n’as pas pu empêcher une mère de famille de te sucer la queue ?— Allez c’est ça vas-y. Moque toi bien de moi. Je n’ai rien pu faire je te dis, c’était une vraie furie.Je ne pouvais quand même pas l’en empêcher de force ! Tu aurais fait quoi à ma place ?— Oh moi, et bien heu...— Inutile de répondre Stewy, je le sais très bien. Non seulement tu l’aurais laisser faire, mais en plus tu en aurais redemandé.— Hi hi hi, je vois que tu commences à bien me connaître. Bon et alors ma mère, enfin la tienne, elle suce bien?— Stewy, si tu n’occupais pas mon corps de fille, je crois que je te giflerais. Morgane lui présente ses fesses. — Venge toi sur mon cul si tu veux!— Ne rêve pas, je sais que ça te ferait trop plaisir.
Steven se met à bouder et Morgane s’approche de lui pour le consoler. — Allons, allons. Ce n’est pas bien grave, il n’y a pas mort d’homme.— C’est facile pour toi de dire ça. C’est pas toi que ta mère a sucé sans le savoir.— Non en effet, et c’est bien dommage.— STEWY !— Ok ok, j’arrête. Et bien en tout cas, ça prouve que j’avais raison dés le début. Ta mère est une sacrée petite vicieuse.— Stewy, je t’interdis de parler de maman de cette façon !— D’accord, je retire ce que j’ai dit. Mais bon, on en revient toujours au même point. Le problème vient du fait que Brigitte est persuadée que sa fille est incapable de tailler une pipe.— Oui je sais, mais que peut-on y faire ?— Vu que tu ne veux pas passer pour une salope à ses yeux, je ne vois pas trente six solutions et j’en reviens à mon idée de départ. Il faut suggérer habilement à ta mère d’apprendre à sucer à sa fille.— Mais je suis incapable de faire ça— Tu n’auras rien à faire, ni a demander à ta mère ni à sucer qui que se soit, vu que c’est moi qui suis dans ton corps.— C’est vrai, j’ai parfois tendance à l’oublier. Mais je ne sais pas si j’ai raison de te faire confiance Stewy pose une main sur sa poitrine avant de dire avec la plus mauvaise foi : — Alors là Steven, tu me vexes. En raison de l’amour que je te porte, j’oublierais ces paroles désobligeantes. Après le départ de Steven, Stewy/ Morgane se frotte les mains. Son plan fonctionne encore mieux qu’il ne l’avait espéré. Il faut dire qu’il était loin de penser que Brigitte était aussi salope, et qu’il trouverait en elle une alliée aussi perverse."Il est temps d’aller la voir se dit-il. J’ai hâte d’entendre sa version des faits." Reprenant l’air innocent de Morgane, Stewy s’empresse de questionner Brigitte. — Alors maman, raconte moi comment ça c’est passé. — Oh il n’y a pas grand chose à dire. Il a catégoriquement refusé que je le touche et je n’ai rien pu faire. Pourtant j’étais vraiment habillée de façon très excitante et je mettais faite une magnifique bouche à pipe. Mais bon, cela prouve au moins qu’il est très fidèle "Et bien se dit Stewy, je n’ai rien a lui envier question mauvaise foi mais ça n’arrange pas vraiment mes affaires. Comment lui demander de m’apprendre à sucer Steven s’il ne risque pas de me tromper ? Il y a cependant quelque chose qui me chiffonne : pourquoi Brigitte ment-elle ainsi ? Aurait elle une idée derrière la tête elle aussi?Le mieux est de continuer de jouer la petite ingénue et de voir jusqu’ou ça nous mène."— Oui pour le moment, mais dans quelques mois, a force d’être tenté par toutes les petites salopes à la fac...— Morgane, comment tu parles des autres filles. Ce n’est pas comme ça que je t’ai élevée!— Excuse moi maman, c’est parce que j’ai vraiment peur de perdre Steven. Vois-tu, j’ai beaucoup réfléchit à la question et je suis arrivée à la conclusion suivante : ce qu’il faudrait, c’est que je le suce moi. — Oh ma fille, comme je suis contente de d’entendre dire ça. Tu verras comme c’est plaisant pour une femme d’allumer le désir d’un homme en passant la langue sur ses lèvres aguicheuses, de défaire un à un les boutons de son pantalon du bout des doigt, de faire jaillir une queue bien raide, de l’emboucher, de la faire cracher au fond de sa gorge..... Brigitte semble décrit la scène comme si elle la vivait réellement, et une de ses main glisse entre ses jambes."J’en étais sure, la mère de Morgane tient absolument à ce que sa petite fille chérie apprenne à tailler des pipes. C’est donc pour ça qu’elle a menti tout à l’heure, pour qu’elle en vienne elle-même à cette conclusion. C’est génial, si je me débrouille bien je pourrais même lui suggérer de me donner des cours. Je suis certaine qu’elle n’attend que ça." — Hum, hum, maman, s’il te plait. Brigitte retire brusquement les doigts de sa chatte. — Excuse-moi Morgane, je me suis laissée un peu trop aller. Mais que veux tu, c’est tellement bon de sucer une queue.— Je te crois sur parole maman, et j’ai décidé de me jeter à l’eau. Mais le problème, c’est que je le l’ai jamais fait. Or Steven a fréquenté beaucoup de filles avant moi qui étaient probablement de bonnes suceuses et j’ai peur de passer pour une gourde à ses yeux. Brigitte regarde sa fille avec tendresse. — En fait, si je comprends bien, l’idéal serait qu’une femme expérimenté t’apprenne à faire juter une queue avant que tu ne goutes celle de Steven. — Je n’osais pas le dire maman. Heu..., à tout hasard, connaitrais-tu quelqu’un dans tes relations qui pourrait m’apprendre?— Dans mes relations non, mais... Morgane tourne un regard implorant vers sa mère. — Mais quoi maman, dis-moi.— Et bien moi, je pourrais le faire si tu veux.— Toi maman ?— Oui moi. Sans vouloir me vanter, ta mère est une véritable experte en la matière.— Oh merci maman, merci, tu est géniale. Mais surtout tu ne dis pas à Steven que c’est moi qui t’ai demandé, je ne veux toujours pas qu’il me prenne pour une petite salope. — Oui je comprends en effet, mais comment faire pour éviter ça?— Et bien en fait, l’idéal serait qu’il croit que l’idée vient de toi— Ah, parce que moi ce n’est pas grave si je passe pour une pute à ses yeux ! Morgane s’affole, elle a peut-être été trop loin. — Ce n’est pas ce que je voulais dire maman.— Ha ha ha ha. Je sais ma chérie, je disais ça pour te taquiner. Il y a belle lurette que Steven a compris que sa belle mère était une sacrée garce ! Allez ne t’inquiète pas, je ne vais pas trahir notre petit secret. Mais par contre il va nous falloir trouver un plan.D’ailleurs, je crois que l’en ai déjà un, poursuit Brigitte les yeux pleins de malice. Et Brigitte explique à Stewy un plan aussi pervers qu’alambiqué, ou il est question d’yeux bandés et de mains attachées. — Ecoute Morgane, voilà ce que je te propose : j’aguiche Steven et je lui propose de lui bander les yeux avant de le sucer, comme ça il sera moins réticent.— Tu crois qu’il accepteras? Tu m’as dit qu’il avait catégoriquement refusé de se laisser faire.— Ne t’inquiète pas, ta mère est très persuasive et cette fois-ci j’y arriverais. — Puisque tu le dis maman.— Voilà, je l’attache, lui bande les yeux et commence à le sucer. Ensuite, quand je serai en pleine action, tu entres discrètement en faisant semblant d’être surprise. Après quelques petites explications, je te demande de venir nous rejoindre et tu acceptes en protestant juste un peu pour que l’honneur soit sauf. Alors qu’en dis tu?— Oh maman, tu es géniale! Au fond de lui, Stewy ne peut s’empêcher d’admirer la perversité de sa belle-mère. "Ca c’est une salope digne de moi" se dit-il. — Heu maman, ton plan est génial mais il y a quand même un petit problème.— Lequel ma chérie.— Comme tu le sais, je n’ai encore jamais taillé une pipe. Si je suce Steven sans avoir appris auparavant, il va me prendre pour une gourde.— Il faudrait savoir ce que tu veux Morgane. Tu ne veux pas passer pour une salope, mais tu ne veux pas non plus être ridicule. Tu n’es vraiment pas facile à contenter ! Morgane se colle contre sa mère. — Je sais maman, c’est jusque que je ne veux pas décevoir Steven, que ce soit dans un sens ou dans un autre.— Hum, je vois. Mais de toute façon tu as entièrement raison, il vaut mieux que tu prennes des cours avant de t’occuper de la queue de ton petit copain. Et puis tu as de la chance, je connais justement quelqu’un pas loin d’ici qui sera ravi de servir de cobaye. Morgane exulte. "Bon sang se dit-elle", pourvu que se soit Thierry, mon grand-frère, enfin celui de la vrai Morgane. J’ai envie de lui pomper le dard depuis la première fois ou je l’ai vu !" Morgane est persuadé que c’est lui le cobaye dont parle sa mère. En effet, elle a appris de la bouche de Steven que Brigitte le suçait souvent. — Oh ouiiii maman, tu es géniale!— Et bien lui répond sa mère surprise de sa réaction, je ne pensais pas que tu accueillerais l’idée de sucer une queue avec un tel empressement ! Je sais que tu tiens beaucoup à Steven mais tout de même. Ma petite fille chérie serait elle moins innocente qu’elle en a l’air ? Morgane se mord la lèvre, pourvu que Brigitte ne trouve pas sa réaction trop bizarre. Elle lui fait des yeux doux et répond timidement : — Je crois que..., je crois que depuis que je fréquente Steven, j’ai tendance à me dévergonder un peu trop. Tu ne m’en veux pas?— Mais bien sur que non ma chérie bien au contraire, je suis très contente de voir que tu n’es plus aussi coincée qu’avant. — Oui comme tu vois, je me soigne. Mais dis-moi, c’est qui la personne qui va me servir de cobaye, est-ce que je la connais ? Morgane croise les doigts et se répète dans son fort intérieur : "pourvu que ce soit Thierry, pourvu que ce soit Thierry, ..." — Si tu le connais? Non je ne pense pas. Richard est un collègue de travail de ton père. Il n’habite pas loin et c’est un très bon amant.— Ah, heu, c’est bien. Stewy a du mal à masquer sa déception tout en se disant que Brigitte est encore plus salope qu’il ne l’avait imaginé. Manifestement elle trompe son mari avec un de ses collègue de travail.Constatant son changement d’attitude, Brigitte prend sa fille par le menton. — Dis-moi Morgane, on dirait que tu es déçue. Tu aurais voulu apprendre à sucer avec quelqu’un d’autre?— Moi ? Mais heu..., mais non enfin... Qui voudrais-tu que ce soit?— Je ne sais pas. Surement pas ton frère en tout cas, je sais que vous êtes chien et chat tout les deux.Thierry, ce grand con ? Même pas dans le pire de mes cauchemars !— Bien surrrrrr...., c’est évident répond Brigitte avec une pointe d’ironie. Manifestement Brigitte commence à se poser des questions sur le caractère réel de sa fille, mais comment pourrait-elle découvrir la réalité. "Ouf, j’ai eu chaud se dit Morgane, il va falloir que je fasse attention". Ce petit moment de frayeur passé, elle va expliquer à Steven le plan de sa propre mère. — Voilà Steven : Brigitte vas t’attacher aux montant du lit et te bander les yeux avant de te sucer. Pendant qu’elle sera en pleine action, j’entrerais dans la chambre et je vous surprendrais. Après quelques explications rapides, ta mère va me proposer d’essayer. Je vais protester un peu pour la forme, comme ça ton honneur sera sauf, puis ensuite je prendrais part au jeu. Alors qu’est ce que tu en penses ?— C’est complétement tordu.— Mais pas du tout, c’est très simple au contraire. Pour ne pas que Brigitte prenne sa fille chérie pour une salope, il fallait que ce soit elle qui prenne l’initiative de sucer en premier son gendre, c’est à dire toi, puis qui enseigne ensuite la fellation à Morgane, c’est à dire à moi. Tu me suis ?— Non, j’ai rien compris.— Bon c’est pas grave Steven, contente toi de faire ce que je te dis. Tout ce que tu as à faire, c’est de laisser ta mère te bander les yeux et te sucer. Le reste, je m’en occupe.
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