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La transformation d'Amandine

Chapitre 2

Confirmation de son talent

Voyeur / Exhibition
Après avoir découvert au travers d’une première rencontre le penchant exhibitionniste tout au moins en cercle restreint pour le moment d’Amandine, j’envisageais d’explorer un peu plus ses envies et sa docilité.
Toujours dans un souci de discrétion, j’attendais qu’Amandine trouve la disponibilité lui permettant de nous retrouver sans que cela ne représente un risque à l’image parfaite de bonne épouse qu’elle tient tant à préserver. Je suis donc le seul à connaître ses fantasmes et ses envies.
C’est donc quelques jours plus tard qu’un nouveau texto m’annonce sa disponibilité pour l’après-midi du lendemain. Ayant une petite idée en tête, je lui propose de se retrouver pas très loin de chez moi, c’est-à-dire dans la ville voisine à la sienne et dans un quartier où nous jouirons d’un parfait anonymat.
A l’heure convenue, je vois Amandine arriver toujours aussi sexy et appétissante. Elle a opté aujourd’hui pour une petite robe à motifs colorés, avec un haut bustier lui arrivant à ras de son superbe petit cul. Elle vient vers moi d’une démarche assurée, cachée derrière ses lunettes de soleil. Après un baiser rapide, nous allons vers mon appartement. Il s’ agit d’un bel attique au sommet d’un petit immeuble sans voisin.
Nous prenons l’ascenseur, nous profitons de cette intimité pour nous embrasser furieusement, Amandine se colle à moi et pour me dévorer la bouche. Je la plaque à moi, et en bon voyeur profite du miroir de l’ascenseur pour mater son cul que j’ai empoigné. Je remonte sa robe courte pour admirer ses formes, je ne vois aucun tissu sur le galbe de ses fesses, à peine une ficelle semblant coincée entre les deux magnifiques globes.
Avant de sortir de la cabine, elle me susurre à l’oreille :
— Si tu savais comme j’ai envie de jouir, depuis ce matin, je suis trempée, et je me suis fait violence pour ne pas me caresser au bureau.— La prochaine fois, fais-le, mais en branchant ta webcam que je puisse en profiter.
Incorrigible.J’ouvre et nous entrons, mais je la retiens dans l’entrée.
— Attends, j’ai un truc à t’imposer.
J’attrape sur le meuble derrière moi un foulard et lui bande les yeux. Je lui passe également un collier de cuir noir autour du cou. Même si elle se doute de quoi il s’agit. Elle prendra mieux conscience de cela plus tard.La tenant par la main, je la guide jusqu’au salon. Voyant le beau temps, je change d’avis et la conduis à l’extérieur sur la grande terrasse, je l’emmène sous le dais à l’ombre. La laissant là, je vais m’installer dans un fauteuil :
— Tu as donc des choses à montrer...
Elle reste immobile, interdite, ne sachant que faire. Je l’encourage donc.
— Montre-moi tes seins arrogants.
Sans hésiter, elle dégage sa poitrine et tirant le haut de sa robe bustier, pas de soutien-gorge. Elle se tient droite, jambes légèrement écartées, elle empaume ses seins comme pour me les offrir. Elle joue avec ses tétons, les excite, les fait pointer. Elle se prend au jeu de son exhibition, ses doigts se crispent sur ses seins, elle contribue à sa propre excitation et pas uniquement à m’offrir la vision de sa poitrine de rêve.
— Fais tomber ta robe.
Sans hésitation, le tissu finit de s’affaler sur ses pieds, toujours à l’aveugle, elle dégage ses pieds. Elle n’a plus sur elle qu’un micro-string blanc qui ne cache absolument rien et qui suit rapidement la robe. Elle n’a plus que ses sandales à hauts talons et son collier de cuir noir et son bandeau. Beau spectacle- Ses mains quittent sa poitrine, elle se caresse le ventre, les hanches, le haut des cuisses dans une sorte de danse lascive et provocante. Très vite ses doigts filent vers sa fente, tendant son pubis, d’une main, du bout de l’ongle, elle agace ses lèvres et son clito qui pointe.
— Tu as une table basse juste derrière toi.
Elle comprend et recule prudemment. Quand ses mollets rencontrent le meuble, elle se baisse prudemment pour s’asseoir. Elle ouvre très largement le compas de ses cuisses et reprend sa caresse, elle alterne les caresses de son clitoris qu’elle m’offre sans pudeur et la fouille plus profonde de son antre bouillonnant. Je vois ses doigts en ressortir luisants de sa mouille. La voyant accélérer ses caresses, je la soupçonne de vouloir se faire jouir rapidement. Calmer un peu ce feu qui semble la dévorer depuis un moment.Arrête et tourne-toi, offre-moi le spectacle de ton cul.Amandine obtempère. Elle se retourne et se met à quatre pattes, genoux écartés sur la table.
— Pose tes seins sur la table, cambre-toi mieux que ça.
Elle s’exécute. J’ai une vue splendide sur son superbe cul tendu, offert impudique. Elle reprend sa masturbation, enfonçant ses doigts de plus en plus profondément, elle cherche résolument à masser son point G pour se faire jouir.Je veux encore qu’elle dure.
— Ecarte tes fesses mieux que ça. On veut voir ton cul s’ouvrir.
J’ai volontairement utilisé « on ». Mettre le doute dans son esprit. Et ça marche, elle marque un temps d’arrêt. Ne serais-je pas seul ? Il y aurait-il d’autres spectateurs ? Soit son excitation tombe d’un coup se sentant trahie, ou au contraire cela va stimuler son imaginaire. La seconde alternative semble l’emporter. Je vois Amandine empoigner ses fesses et les tirer à l’extrême, écartelant son cul au maximum. Sa rosette plissée palpite semblant appeler une pénétration.
— Très bien, tu as mérité de jouir.
Amandine n’attendant que ça, s’emploie à repartir à l’assaut de sa chatte en feu. Elle se crochète au plus profond que ses doigts fins le lui permettent. Elle part dans un gémissement ininterrompu alors que toujours en appui sur ses seins, une main la fouille sans vergogne alors de que l’autre elle martyrise son clito. Tout à coup prise de tremblement, elle s’immobilise alors que son sexe pris de spasme expulse sa mouille par vague abondante. Une fontaine, génial.
Amandine ne bouge plus, terrassée par son orgasme. Je m’approche d’elle. Pose mes mains sur son cul tendu. Elle frémit à ce contact, mais ne bouge pas. J’approche mon sexe que j’avais sorti il y a déjà un moment et le frotte sur sa chatte détrempée, remontant vers son cul. Amandine dans une offrande a repris ses fesses en mains pour mieux s’ouvrir. Je me glisse dans sa chatte brûlante. Je pénètre avec facilité son sexe détrempé. Et pourtant je sens sa fente élastique et qui m’enserre bien. Je la baise paisiblement au rythme de mon envie et de la montée de mon plaisir. Amandine ne fait pas que subir, je la sens réagir et pousser du cul pour venir au-devant de ma pénétration. Je sens qu’elle va repartir pour un nouvel orgasme, moins violent et moins libérateur que le premier. Mais à chaque mouvement, elle pousse plus fort et lâche un petit cri. Maîtrisant mon rythme, je tâche de ne pas accélérer, mais vient le moment où dans sa jouissance Amandine crispe ses muscles vaginaux sur ma bite.
Cela provoque ma jouissance et dans un dernier aller-retour puissant, je me libère tout au fond de sa matrice.Après un court temps de récupération, je sors de sa chatte libérant un flot de sperme et de cyprine mêlés.
— Ne bouge pas, je reviens.
Je file à la cuisine, la bite pendante et reviens avec une bouteille d’eau et des verres. Amandine avec mon aide, se redresse restant à genoux. Toujours aveuglé par le bandeau. Je lui donne un verre et elle boit avidement.Je vois son reflet dans la baie vitrée face à nous. Elle est superbe, et cela me donne une idée. Je la fais mettre accroupie, buste droite sur la table basse, cuisses bien ouvertes. Je lui fais mettre les mains dans le dos, cela a pour effet de faire encore plus ressortir sa poitrine. Je glisse ma main par-devant et caressant ses seins d’une main, je reprends une caresse de son sexe.
— Encore ??!! me dit-elle.— Tu ne veux plus ?— Siiiii.
Ainsi offerte et impudique, elle se laisse aller à ma masturbation. Quelle santé !! Je la sens repartir. Mes doigts sont en train de patauger dans son jus. C’est à ce moment-là que d’un geste brusque, je lui enlève le bandeau.
— Que vois-tu ?— Une salope impudique, une chienne avec ce beau collier.— Elle te plaît ?— Oui beaucoup.
Je lui présente mes doigts pleins de sa mouille, elle me les lèche comme une affamée.
— Tu aimes ton goût ?— Oui beaucoup.— Ne ferme pas les yeux, regarde-toi jouir.
Et j’entreprends de la conduire une nouvelle fois vers un orgasme. Bonne élève studieuse, elle ne quitte pas son image dans la baie vitrée. Doublement excitée par ce qu’elle ressent et ce qu’elle voit.Là maintenant cambrée, je la fouille sans retenue au plus profond de sa chatte. C’est dans une nouvelle série de gémissements qu’elle jouit sur ma main, libère un nouveau flot de cyprine. – Ma pauvre table-Enfin repue, je la libère et lui propose une douche. Elle revient un moment plus tard et vient s’allonger à mes côtés sur le sofa de la terrasse. Elle a remis ses talons et son collier de chienne. Qu’elle est belle !!J’aborde le sujet du « on ».
— As-tu cru un moment que je n’étais pas seul ?— Oui bien sûr. Je t’en ai voulu une fraction de seconde, pour de ne pas m’avoir avertie, mais l’idée a en même temps décuplé mon plaisir.— Donc plutôt prête à cela...— Oui, m’avoua-t-elle. Prête à être ton jouet, subir ce que tu m’imposeras.— On va y penser.
Mais il était déjà temps pour elle de retourner à sa vie sage.
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