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Transformation de ma femme

Chapitre 2

Première fois

Zoophilie
Cette histoire est une histoire vraie que j’ai juste un peu romancée. J’ai changé les noms et prénoms, ainsi que lieux, afin que nul ne puisse y reconnaître ses voisins, ses amis ou des membres de sa famille.
Ça faisait huit ans que Marie-Cécile, le soir de notre mariage, m’avait donné sa virginité. Cinq ans qu’elle avait commencé à apprendre les bases du libertinage... Pour mon plus grand plaisir (je suis candauliste et BI), elle était devenue recherchée tant par les hommes que par les filles, et nos rencontres libertines étaient fréquentes.
Elle avait ainsi satisfait un grand nombre de mes fantasmes, mais il y en a un qui m’occupait souvent l’esprit, j’avais tenté d’aborder le sujet avec elle, elle prétendait ne pas vouloir le satisfaire, mais sa négation ne me convainquait pas...
Je voulais la voir se faire saillir par un chien.
C’est dans cet espoir que j’avais fait la connaissance sur Internet de Fabien et Pascaline... (voir Transformation de ma femme (1))
Ainsi donc, un vendredi après-midi, nous avons pris le train pour Orléans.Fabien et Pascaline nous attendaient à la gare, ils étaient très sympathiques, le courant passa de suite.Arrivés chez eux, César nous accueillit dans le jardin en frétillant de la queue, Marie le caressa et dit que c’était un beau chien... clin d’ œil... se doutait-elle de quelque chose ?
Ils habitent une très grande et belle maison avec un jardin bien entretenu. Les chambres à l’étage, au rez-de-chaussée, une très grande salle de séjour, fort bien décorée, avec espace salle à manger, espace salon. Autour de la table du salon, deux grands canapés en vis-à-vis et deux fauteuils en vis-à-vis. Contre un mur, une espèce d’estrade d’environ 50 centimètres de haut sur 1m x 1,50 m. Sur cette estrade, de nombreuses plantes grasses et pots de fleurs agencés avec beaucoup de goût.
Vers 17 :00, Fabien et moi sommes allés au village, prétextant quelques courses, Marie-Cécile et Pascaline restant à la maison pour finir de préparer le repas.
En fait, nous avons été chez leurs amis Jean-Louis et Laetitia qui habitent à 20 mn de voiture.Jean-Louis est un solide gaillard d’environ 1,85 m, et plus de 100 kilos. Laetitia, une jolie femme très gaie et très communicative.Autour d’un verre, ils m’ont expliqué qu’ils étaient zoophiles depuis 15 ans, que Laetitia aime particulièrement les très grands chiens, et ils m’ont présenté Canaille, leur chien actuel, un gigantesque mâle dogue allemand de 75 centimètres au garrot et pesant 65 kilos (Marie pèse 43 kilos). J’étais fort inquiet, car je craignais une rébellion de Marie-Cécile en voyant ce monstre, d’autant que Laetitia me parle avec excitation de son sexe et de son nœud tous deux énormes.
Fabien me tranquillisa, m’assura qu’il se chargerait de la faire accepter, et qu’il aménagera la place pour faciliter ces rapports.Comme il est le plus naturellement le plus autoritaire de nous trois, je lui donne carte blanche et tout pouvoir sur Marie-Cécile pour tout le week-end.Rendez-vous est pris, ils arriveront pour déjeuner le lendemain, samedi.

Quand nous sommes rentrés, nos femmes, pour nous montrer qu’elles ont bien fait connaissance, nous accueillirent en se faisant un long, langoureux et passionné baiser.
A l’heure de l’apéritif, nos hôtes s’installèrent sur un canapé, et nous en vis-à-vis sur l’autre.Marie-Cécile but un porto, son apéritif préféré, elle n’est pas habituée à boire et perd vite les pédales. Quand elle a bu son deuxième verre, elle n’était déjà plus la même. C’est alors que Fabien s’adressa à moi :
— Déshabille ta femme.
Pourquoi s’adressait-il à moi en me donnant cet ordre donné sur un ton sans appel ?
J’hésite...
— Dépêche-toi.
Interloqué, je me suis levé, fait se lever mon épouse qui renâcle.
— Obéissez tous les deux.
J’obéis, je descends la fermeture éclair de sa robe, et la lui retire. Elle est en slip et soutien-gorge.
— Toute nue et offre-la-moi pour tout le week-end.
Je lui enlève son slip et son soutien-gorge, la prends par la main, la conduis toute à côté de Fabien et lui dis :
— Elle est à toi pour le week-end.
C’est alors qu’il sort son sexe, ordonne à Marie-Cécile de se mettre à genoux entre ses jambes, il saisit sa nuque, elle ouvre sa bouche et commence une fellation comme elle est la seule à savoir les faire. (Elle adore ça et elle suce à merveille).Pendant ce temps, Pascaline s’est glissée derrière ma femme, lui délivre un délicieux cunnilingus qui renforce son ardeur sur la bite à Fabien. Puis Marie-Cécile se met à cheval sur les cuisses de Fabien qui est alors en position pour plonger son sexe dans son intimité. Pascaline se joint à eux, embrasse et caresse mon épouse.
Assis en face, je me masturbe en admirant le spectacle.
Je suis confiant pour la suite, il semble que Fabien a pris de l’ascendant sur Marie-Cécile qui a su lui obéir. Fabien sort de la femelle, éjacule dans la bouche de sa femme. Mon épouse va prendre une douche, redescend, habillée.
— Tant que tu es à l’intérieur de cette maison, durant tout le week-end, tu dois rester nue, déshabille-toi, lui dit Fabien, elle obéit sans la moindre objection.

Les présentations étant faites, nous passons à table pour le dîner.Durant le repas, Marie-Cécile boit deux verres de vin... c’est beaucoup trop...
Nous prenons le café, Fabien assis sur le canapé, remet son sexe à l’air, Marie-Cécile, toujours nue, comprend ce qu’il attend d’elle, se cale entre ses genoux et entame une nouvelle fellation dont elle a le secret, ses fesses sont bien relevées, Pascaline se met à genoux derrière elle la met en condition en lui faisant un nouveau cunnilingus qui la fait gémir de plaisir malgré sa bouche pleine du sexe de Fabien.
C’est le moment que choisit César pour gratter à la porte. Pascaline me demande d’aller lui ouvrir, il entre et se précipite vers le trio, il bouscule Pascaline pour qu’elle lui laisse la place et il lèche Marie-Cécile avec avidité. Elle n’est pas d’accord et essaie de se dégager, mais Fabien lui maintient fermement la tête pour qu’elle ne lâche pas sa sucette, elle cherche à se coucher pour empêcher César de se régaler, mais Pascaline la maintient fermement dans la position à genoux, et César lèche, lèche, elle se défend... se défend moins... ne se défend plus... Pascaline relâche son étreinte, Marie-Cécile tend les fesses, et César se délecte autant de l’anus que de la foufoune de Marie-Cécile qui gémit de plus en plus.
Entracte, le temps de reprendre ses esprits et de se désaltérer. C’est l’occasion qu’attendait Pascaline pour dire qu’elle adore quand César la lèche, pour que Fabien dise qu’il prend un grand plaisir à regarder les ébats de César et Pascaline en laissant entendre que César ne régale pas Pascaline uniquement avec des cunnis... Ma chérie écoute avec attention ces commentaires, à quoi pense-t-elle ?Je confirme avoir pris beaucoup de plaisir à voir César s’occuper d’elle. Et elle dit qu’un cunnilingus fait avec la longue langue d’un chien donne des sensations différentes que ceux faits par un homme ou une femme, et que c’est fort agréable, je comprends alors qu’elle veut dire que c’est meilleur. Parfait, la suite sera facilitée...
Clin d’œil entre Fabien et Pascaline, il faut battre le fer quand il est chaud, Fabien ordonne une nouvelle fellation, obéissance immédiate... Pascaline la fait bénéficier d’un mini-fist qui a pour résultat de bien lubrifier la foufoune de ma femme, puis elle fait de nouveau entrer César qui avait été faire un tour dans le jardin, il revoit sa femelle les fesses à l’air, il se précipite et recommence à la lécher... Sa partenaire ne se défend pas et accepte ce témoignage d’intérêt.
C’est alors que Fabien enlace Marie-Cécile pour l’embrasser et l’empêcher de bouger, Pascaline tapote les fesses de Marie, César arrête son cunni, se jette sur Marie-Cécile, enserre sa taille avec ses pattes, Pascaline dirige immédiatement le sexe de César dans la grotte de Marie-Cécile qui devient une chienne sans avoir eu le temps de réagir. Elle se débat violemment, mais Fabien, Pascaline et César sont plus forts qu’elle, et la maintiennent en position de se faire saillir. La défense s’affaiblit, les gémissements de plaisir remplacent les cris de rage et de douleur.
Quand Fabien et Pascaline voient que l’assistance qu’il donne à César n’est plus utile, il laisse les deux amants à leurs violents ébats. Puis les râles de Marie-Cécile deviennent de plus en plus marqués alors que César a cessé ses mouvements, ils sont restés soudés pendant presque 15 minutes pour faire passer le temps encore plus agréablement, Pascaline a donné sa foufoune à lécher à ma chérie. Puis César s’est dégagé, s’est nettoyé avant de venir consciencieusement nettoyer sa chienne. C’est seulement quand cette toilette fut terminée que Marie-Cécile s’est laissée tomber sur le sol et que le foutre de son maître s’est écoulé d’elle.
Elle a passé la nuit, blottie dans mes bras...
Lors du petit-déjeuner, bien évidemment, la conversation n’a concerné que cette première expérience, Pascaline expliquant que César est son amant une ou deux fois par semaine... plus souvent que Fabien, et que Fabien ne lui fait jamais aussi bien l’amour qu’après avoir été le témoin de leur union.
Ils ont longuement insisté pour connaître les impressions de ma femme qui ne voulait pas se dévoiler. Ce n’est qu’après un long interrogatoire qu’elle a fini par avouer qu’elle avait beaucoup, beaucoup aimé. Ils ont ri de moi parce que je m’étais masturbé en contemplant le spectacle.
Ils nous ont informé que leurs amis Jean-Louis et Laetitia, eux aussi zoophiles, accompagnés de leur chien Canaille viendraient déjeuner à midi, ils nous ont dit les voir assez souvent et que ces dames aimaient échanger leurs amants canins. Marie-Cécile n’ayant pas demandé des détails concernant Canaille, il ne lui en fut pas donné.
Marie-Cécile a imploré Fabien pour qu’il lui donne l’autorisation de revêtir une robe pour les accueillir, le refus fut net, elle devait obéir durant tout le week-end, et ne pas demander de faveur.
Ils sont arrivés à l’heure de l’apéritif, Marie-Cécile, nue, s’est réfugiée dans les toilettes, elle n’est pas sortie pour les accueillir et n’a donc pas vu le monstre qui occupait l’arrière du break. Ce monstre fut tout frétillant en reconnaissant l’endroit où ils étaient et en voyant Pascaline.
En rentrant dans la maison et ne voyant pas mon épouse, Fabien d’une voix tonitruante hurla :
— Viens ici immédiatement.

Penaude, elle sortit de sa cache, une main sur son sexe, et l’autre cachant ses petits seins.
— Durant tout ce week-end, tu m’appartiens et tu feras ce que je te dis de faire. OK ?— Elle acquiesça d’un murmure et un signe de tête.— Ce sont mes amis et ils sont venus pour te baiser, tu baises avec les chiens, alors tu baiseras avec eux, OK ?— Nouveau murmure et nouveau signe de tête.— Mets tes mains sur ta tête, et tourne sur toi-même qu’ils voient un peu à quoi tu ressembles.

Elle obéit et je suis félicité d’avoir une si jolie femme. J’en suis très fier...
Durant l’apéritif, les deux filles habillées jouent avec ma chérie toujours nue, et qui maintenant n’a plus de retenue, Pascaline a été chercher des sex-toys, elles lui font avoir un orgasme en lui introduisant un gode électrique dans son minou... puis elles lui introduisent un plug muni d’une queue-de-cheval dans l’anus, et elle lui donne des petits coups de cravache sur les fesses pour la faire trottiner comme une jument dans la pièce. Le spectacle nous divertit. Parfois, elle s’arrête à notre table pour s’abreuver de son porto préféré. Je ne reconnais plus ma « Marie-Cécile »...
Il n’y a que le premier pas qui coûte, et je suis bien convaincu qu’elle se complait dans cette situation.
Jean-Louis fait signe à Pascaline de venir près de lui, Laetitia continue de faire le cocher, Jean-Louis sort son sexe et l’introduit dans la bouche de Pascaline, ce sexe est immensément long et d’une épaisseur en accord avec la taille du gaillard. Quand il a pris toute son ampleur, Laetitia dirige sa jument vers l’abreuvoir où Jean-Louis retire brusquement le plug de son anus, ce qui lui arrache un cri de douleur et le remplace immédiatement par son gigantesque vit, c’est alors un hurlement de douleur qu’elle émet. Mais docile, elle laisse Jean-Louis prendre tout le plaisir qu’il mérite. Au bout de peu de temps c’est elle qui a un orgasme, Jean-Louis sort de la caverne et déverse sa semence dans la bouche avide de Marie-Cécile.
Il est bien tard quand nous passons à table qui a été dressée par l’amour de ma vie et c’est elle qui fait docilement l’essentiel du service.
Après le repas, les trois filles sont alors montées se pomponner, se faire une beauté et se câliner à l’étage en vue de la suite de la journée.Fabien nous demande de l’aider à mettre dehors dans le jardin les plantes grasses et les pots de fleurs qui se trouvent sur l’estrade. Je m’exécute, mais intrigué, je demande pourquoi. Il me donne les explications sollicitées, je comprends et suis impatient de la voir utilisée.
Les filles sont redescendues, nues toutes les trois, elles veulent déshabiller les hommes, je leur rappelle que je ne suis qu’un spectateur, elles ôtent les vêtements des deux autres mâles, les voilà nus tous les cinq, ils se mêlent et s’entremêlent les râles, les mots crus, les cris fusent durant plus d’une heure en fonction des différentes actions entreprises par l’un ou par l’autre, les sex toys sont souvent utilisés.
Je me masturbe en les regardant.
Puis, Fabien ordonne alors à Laetitia d’aller chercher son deuxième mâle qui doit attendre impatiemment, elle se couvre pour aller extraire Canaille du break de ses maîtres.
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