Cette histoire est une histoire vraie que j’ai juste un peu romancée. J’ai changé les noms et prénoms, ainsi que lieux afin que nul ne puisse y reconnaître ses voisins, ses amis ou des membres de sa famille.
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Je me suis marié avec Marie-Cécile quand elle avait 27 ans. C’est une femme merveilleuse sous tous les rapports, que ce soit physique ou relationnel. Elle n’a pas changé, d’origine asiatique, avec ses 43 kilos et son 1,55 mètre, elle ressemble à une poupée Barbie.Elle a été élevée dans la plus pure tradition asiatique, j’étais son premier époux, et le soir de nos noces, elle m’a offert sa virginité... En ce qui me concerne, je suis sensiblement plus âgé qu’elle, ce n’est pas ma première femme, je suis candauliste, BI et libertin depuis fort longtemps. J’ai donc eu la très agréable tâche de lui apprendre à utiliser son corps pour prendre et donner du plaisir. Ce fut une élève studieuse, désireuse d’apprendre, donc il ne lui fallut pas longtemps pour devenir une amante exceptionnelle. Cependant, la routine s’installait et mes vieux démons de libertinage revenaient en surface. Compte tenu de son éducation, j’avais peur de ne pas pouvoir l’entraîner dans des jeux que la morale réprouve.Je me suis attelé à la tâche, engagé des discussions, lire des livres et voir des films érotiques. Aller sur des sites coquins, me faire surprendre (volontairement) à regarder des films pornos, etc. 3 ans après notre mariage, la voyant plus ouverte et plus compréhensible à la différence, je me suis enhardi à lui proposer d’aller dîner dans un club échangistes, d’y passer la soirée et d’observer les participants, sans participer nous-mêmes. Je n’ai pas eu beaucoup de difficultés à la convaincre et le samedi soir, nous dînions dans un célèbre club parisien. Elle a peu discuté avec les clients, s’est promenée dans les coins câlins, a longuement observé, je lui ai dit que si elle avait envie de faire un bisou à un client, elle pouvait le faire et que je fermerais les yeux. Comme je m’y attendais, elle n’a pas profité de mon autorisation, et nous sommes rentrés à la maison. Cette escapade lui permit de se rendre compte que les clients étaient des gens plutôt bien, et que ce sont toujours les femmes qui ont le dernier mot : elles acceptent ou refusent, et leur choix est toujours respecté.Bien que rien ne se soit passé, je n’étais pas mécontent de cette première soirée, elle n’était plus rétive à discuter de sexe et de libertinage. Quelque temps après, elle a facilement accepté de passer une nouvelle soirée dans ce même établissement, et ce soir là encore, il ne s’est rien passé, sinon qu’elle acceptait plus facilement de discuter avec les hommes qui lui faisaient la cour. Elle a même accepté de se faire embrasser. J’ai remarqué le vif intérêt qu’elle avait pour 2 belles filles qu’elle a vues faire connaissance au bar, qui ont fini par s’embrasser goulûment et monter dans les étages, trouver un coin câlin. Elle m’a entraîné à l’étage et s’est arrêtée à regarder les 2 filles se faire l’amour. Beaucoup de monde assistait au spectacle, et Marie-Cécile n’en perdait pas une miette, durant fort longtemps, ses yeux ont été rivés sur ces 2 corps enlacés. Quand les filles sont redescendues au bar, ma femme a souhaité rentrer à la maison. Nous avons beaucoup commenté cette soirée, les hommes qui la draguaient, les bisous qu’elle a acceptés, les couples faisant l’amour, le très beau spectacle des 2 filles. Je la sentais prête à sauter le pas... Alors je lui ai parlé des saunas mixtes, et lui ai proposé d’aller voir comment c’est. Son accord fut facile à obtenir, et le dimanche suivant, nous étions dans un très bel établissement de la banlieue parisienne, noire de monde. Beaucoup de couples et beaucoup d’hommes seuls.Elle était magnifique, nue sous son paréo, elle était la plus belle des femmes présentes, et les hommes se pressaient autour d’elle, espérant bénéficier de ses faveurs. J’étais en retrait et l’observais, elle discutait, souriait, visiblement, elle choisissait... Quand nous sommes arrivés près du jacuzzi, seul un couple l’occupait, elle a enlevé son paréo, est apparue nue pour la première fois. J’ai été bousculé, le jacuzzi s’est rempli instantanément et elle s’est trouvée encadrée par 2 garçons, dont l’un que j’avais remarqué, qui ne l’avait pas laissée indifférente lorsqu’il lui faisait sa cour au bar. C’est celui-là qui l’a embrassée dans le jacuzzi, visiblement, elle a répondu à ce fougueux baiser. J’étais en face d’eux, leurs mains étaient sous l’eau, les bulles m’empêchaient de bien distinguer ce qui se passait, mais j’avais mon idée que Marie-Cécile m’a confirmée par la suite. Il lui avait saisi la main et l’avait porté sur son sexe, elle s’est laissé faire et a entamé une mini-masturbation. Ça n’a pas duré très longtemps, il s’est levé, la prenant par la main, docilement, elle l’a suivi, moi aussi.
Nous sommes montés à l’étage et sommes entrés dans un grand salon ouvert à tous, des coins câlins dans la pénombre le long des murs, et au centre de la pièce, un très grand lit suffisamment éclairé pour que les spectateurs se contentant d’être voyeurs ne perdent rien du spectacle s’y déroulant. C’est sur ce lit qu’ils se sont installés, moi également. Ils étaient magnifiques tous les 2 à faire l ‘amour, c’était un amant formidable, bien meilleur que moi, et Marie-Cécile a utilisé tout le savoir que je lui avais enseigné pour donner un immense plaisir à son partenaire de rencontre. Je me masturbais en admirant leurs ébats, les spectateurs et spectatrices étaient nombreux. J’aidais Marie-Cécile à repousser ceux qui voulaient participer, jusqu’à ce qu’une très jolie fille jeune fille a tendu un bras pour la caresser, elle s’est laissée faire, puis c’est elle qui l’a caressée. Elle a écarté l’homme qui venait de jouir sans qu’elle ait atteint l’orgasme. Elles se sont enlacées, embrassées. Pour expliquer son inexpérience, ma femme a dû expliquer que c’était la première fois qu’elle se trouvait dans un sauna, la première fois qu’elle avait fait l’amour avec un homme qui n’était pas son mari, la première fois qu’elle se trouvait dans les bras d’une fille en train de l’embrasser. Probablement ravie de ces confidences et de cette rare occasion, cette partenaire a déployé tout son savoir, rapidement, ma chérie s’est mise à gémir, se cambrait sous les caresses et le long et doux cunnilingus dont elle bénéficiait. Et elle a eu son premier orgasme avec une fille. Les spectateurs ont applaudi. De retour à la maison, elle était très inquiète de ma réaction, je lui ai dit combien j’étais ravi de ce qui s’était passé, et nous avons eu une nuit d’amour extraordinaire. Quinze jours après, nous étions de retour dans cet établissement, ce jour-là, elle a eu plusieurs amants.Le pli était pris, elle était maintenant une femme libérée, une libertine. Nous avons alors fait régulièrement des rencontres sur internet, nous privilégions les couples dont les femmes sont BI, car Marie-Cécile aime autant les filles que les garçons. Elle a un amant régulier qui est devenu notre ami. Elle a aussi été la reine d’un gang bang. Je ne participe jamais, je me masturbe en la regardant. Elle avait ainsi satisfait un grand nombre de mes fantasmes, mais il y en a un qui m’occupait souvent l’esprit, j’avais tenté d’aborder le sujet avec elle, elle prétendait ne pas vouloir le satisfaire, mais sa négation ne me convainquait pas... J’aimerais la voir se faire saillir par un chien. Je ne sais pas trop d’où vient ce fantasme. Quand j’étais enfant, j’aimais quand de jeunes chiens venaient jouer et s’exciter avec nous (les enfants), en nous saisissant les jambes avec leurs pattes et donner de grands coups de reins. Je ne comprenais rien, mais j’aimais bien voir les adultes rire et prendre plaisir à ce spectacle... Est-ce l’origine de ce fantasme ? Elle avait 35 ans quand je me suis décidé à publier une annonce sur le présent site, demandant si quelqu’un pourrait m’aider à transformer mon fantasme en réalité.J’ai eu de nombreuses réponses, mais à l’évidence, elles émanaient toutes de fantasmeurs, et ça ne pouvait pas déboucher sur une aventure satisfaisante.Toutes sauf une qui m’a intrigué et à qui j’ai répondu pour en savoir plus.Cette réponse émanait d’un couple légitime vivant dans une maison de la banlieue d’Orléans. Fabien, 51 ans, Pascaline, 44 ans et BI (tout comme Marie-Cécile). Pendant 15 jours, nous avons échangé de nombreux emails et bien sûr des photos. Fabien portant beau ses 51 ans, grand libertin, autoritaire et amateur de jolies femmes (Marie-Cécile est très jolie), Pascaline, une très belle femme, soumise à son mari qui lui fait faire à peu près tout ce qu’il veut. Ils organisent souvent des parties chez eux, réunissant 2 ou 3 couples, et parfois 1 ou 2 hommes seuls en plus, pour le plaisir de ces dames. Ils possèdent un chien, un labrador de couleur sable, 5 ans environ 55 à 60 centimètres au garrot et plus de 35 kilos. Il y a 1 an et demi, Pascaline sur ordre de Fabien a laissé César la lécher (c’est le nom de leur chien). Réticente la première fois, le lendemain, suite au même ordre, elle ne s’est pas fait prier. Au bout d’une semaine, elle était devenue la chienne de César pour le plus grand plaisir de Fabien qui adore la voir se faire saillir. Deux mois plus tard, ils ont fait la connaissance de Jean-Louis et Laetitia (BI elle aussi) un couple fin de la quarantaine, adeptes de zoophilie depuis toujours. Ils se sont raconté leurs expériences, et bien évidemment, ces dames ont échangé leurs amants canins. Au cours de nos échanges de mails, j’ai expliqué combien j’aimerais voir Marie devenir une vraie chienne, Fabien étant passé par là, m’a fort bien compris, mais j’ai expliqué que si Marie-Cécile était préalablement informée de ce qui lui était réservé, malgré son envie que je détectais, elle n’accepterait probablement pas la rencontre, il fallait donc la leurrer, la mettre en condition, la surprendre. Aussi, nous avons échafaudé le scénario suivant:Je parle à Marie-Cécile de ce couple dont Madame et BI et que Monsieur aime bien les femmes. Ils nous invitent à passer un week-end chez eux et ils invitent un autre couple, ces dames câlineront ensemble et Marie-Cécile donnera à ces messieurs tout le plaisir qu’ils méritent. Bien évidemment, elle accepte ce scénario, surtout avec l’idée de partager du bon temps avec 2 jolies femmes.Nous habitons Paris, et de ce fait, nous n’avons pas de véhicule personnel, nous utilisons les transports en commun, les taxis, et si besoin, nous louons une voiture. Fabien me conseille de venir en train, comme ils habitent dans un petit village à une dizaine de kilomètres d’Orléans, si une première tentative se passe mal, et que Marie-Cécile veuille rentrer à Paris, elle sera obligée d’attendre le bon vouloir de notre hôte pour se rendre à la gare, ce qui nous donnera l’occasion d’avoir une deuxième chance.
