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La transformation de Kévin

Chapitre 14

Trash
Comme on lui avait demandé de le faire, Salope fit son lavement, sortit faire ses besoins dehors, à quatre pattes puis est retournée se laver et se préparer. Elle admira sa garde-robe et ne put s’empêcher de sourire. Elle adorait chaque vêtement qui y était rangé. Elle opta pour une mini-jupe rose, des mules de la même couleur avec un petit pompon blanc sur le dessus ainsi qu’un petit top blanc et un soutien-gorge de la même couleur. Lorsqu’elle plaça les prothèses en silicone, elle éprouva une forte douleur au niveau de sa poitrine. Elle était persuadée d’être allergique au silicone. Elle se força cependant à se faire belle et à se maquiller pour ses Maîtres. Après un regard dans le miroir, elle se sentait vraiment désirable. Elle monta dans la cuisine avec le sourire aux lèvres et était très heureuse. Elle mourait d’envie de savoir ce que ses Maîtres penseraient d’elle dans cette tenue. Elle avait toujours son pansement sur son ventre et ne savait toujours pas ce que représentait son tatouage.

Il était presque sept heures. Elle prépara donc un plateau avec du pain grillé et du café pour son Maître et alla lui apporter en faisant attention de ne rien renverser. Elle était toute heureuse et impatiente de retrouver son Maître comme une adolescente qui devait retrouver son premier amoureux. Depuis très longtemps, elle ne s’était pas sentie aussi légère. Depuis de nombreuse années, elle avait appris à travailler dur pour gravir les échelons dans son entreprise et obtenir un poste de cadre supérieur avec tout le stress qui va avec la fonction. Elle avait l’habitude de gérer des gens, des problèmes et d’être en permanence préoccupée, même en dehors de ses heures de travail. A cela s’ajoutait sa vie de famille qui était également compliquée. Elle devait chaque jour, après son travail jongler entre sa femme et ses enfants. Jamais elle n’avait l’esprit libre et tranquille. Cela faisait plus de quinze ans que c’était comme ça. Pour la première fois, elle n’avait rien d’autre à penser que procurer du plaisir à ses Maîtres et se faire plaisir par la même occasion. Comme plus rien ne la préoccupait, cela ne lui laissait qu’un sentiment de bonheur et de légèreté. C’était tellement bon, qu’elle avait de moins en moins envie de revenir en arrière, même si cela avait été possible.

Elle monta l’escalier en dandinant ses fesses comme elle l’avait lu dans le livre et arriva devant la porte de son Maître. Avant de frapper, elle ajusta ses habits et remis ses faux seins en place. Elle faillit pousser un cri tellement ses tétons étaient douloureux. Elle avait l’impression qu’elle était enflée à l’endroit où étaient placées les prothèses en silicone. Elle se décida à en parler à son Maître dès que l’occasion se présenterait. Elle frappa doucement à la porte et entendit son Maître l’inviter à entrer avec une voix douce et sensuelle. Elle poussa la porte avec un grand sourire aguicheur et avança lentement avec un air provocateur et féminin.

•    C’est bien Salope, tu es ponctuelle. Pose le plateau sur la table de chevet et approche-toi du lit.•    Oui Maître.
Salope S’approcha et instinctivement, sans savoir pourquoi, s’assit sur le rebord du lit et s’abaissa pour approcher ses lèvres de celles de son Maître. En même temps, elle approcha sa main de la nuque de ce dernier et posa ses lèvres teintes en rose sur celles de son Maître. Elle commença par un petit baiser timide puis un second un peu plus long et un troisième en appliquant une petite pression de sa main sur la nuque de son Maître pour intensifier le contact de leurs lèvres. Elle senti son Maître lui rendre son baiser et attrapa la tête de salope à son tour. Les baisers devinrent de plus en plus vigoureux et leurs respirations plus intenses. Leurs bouches s’ouvrirent et leurs langues se caressèrent doucement ou début puis de plus en plus vite au fur et à mesure. Leurs respirations devinrent haletantes et Salope avait une main sur la nuque de son Maître alors que la seconde se promenait sur son corps et descendait lentement jusqu’à trouver sa queue. Elle entreprit donc de masser les couilles lentement et avec douceur puis elle caressa sa queue. Elle continuait d’embrasser son Maître avec passion tout en commençant des va et vient le long de la queue de son Maître qui gémissait tout en embrassant Salope avec passion. Il était aux anges et semblait complètement sous le charme de Salope. De son côté, il avait également une main sur la nuque de Salope mais sa seconde main caressait son corps jusqu’à saisir les couilles prisonnières de la cage de chasteté. Il serra de plus en plus fort, ce qui provoqua une douleur jusque dans le bas ventre de la petite chienne qui embrassa son Maître avec une passion décuplée. Elle retira le T-shirt de son Maître et entreprit d’embrasser son torse et de mordiller ses tétons. Cela sembla porter ses fruits lorsqu’elle entendit les gémissements que cela provoquait. Elle descendit et arriva jusqu’à la queue dont elle avait tellement envie. Elle la prit en bouche et commença une fellation digne des plus grandes salopes qu’elle avait vue dans les films pornos à la télévision. Elle appliqua également toutes les leçons qu’elle avait apprise dans le livre la veille. Son Maître était totalement sous le contrôle de Salope, incapable de parler, gémissant comme s’il allait bientôt exploser, serrant maintenant les draps de ses deux mains tellement il était au bord de l’explosion. Le bruit était tel que toute la maison devait maintenant être réveillée. Dans un effort surhumain, il parvint à repousser Salope et éjacula dans un verre à vin transparent.

Ils recommencèrent à s’embrasser lentement en regardant le verre en face d’eux qui contenait une bonne quantité de sperme. Salope vint ensuite se coucher dans les bras de son Maître comme une amante voulant sentir la chaleur de son homme. Ce dernier massait les fesses et les couilles de Salope tout en lui déposant de petits baisers dans le cou. Salope se rendit alors compte que malgré l’intense excitation de ce qu’elle venait de faire, elle n’avait pas bandé. Cette maudite cage avait joué son rôle et elle commençait probablement à devenir impuissante. Cela importait peu maintenant, elle savait que ce qu’elle voulait, c’était le plaisir de ses Maîtres et que sa queue ne lui était donc plus utile. Elle sourit alors à l’idée de devenir impuissante pour ses Maîtres et serra la main qui l’enlaçait en lui déposant deux petits baisers. Cette scène sembla durer une éternité et une fraction de seconde à la fois.

•    Et bien dis donc Salope, tu es en forme aujourd’hui. J’ai cru que je n’allais jamais parvenir à te stopper pour éjaculer dans le verre. Tu t’es surpassée. Je te remercie pour ce réveil et espère que ce sera tous les jours ainsi. Vas vite te refaire une beauté avant d’aller voir Maxime car je t’ai mise dans un drôle d’état. Amène lui le verre, il saura quoi en faire.•    Oui Maître.
Sa voix était à nouveau très féminine, comme si elle avait oublié de muer. Elle essaya plusieurs fois mais cela ne s’arrangea pas.

•    Je vois que tu n’as toujours pas retrouvé ta voix. Il te faudra probablement quelques jours.
•    Puis-je poser une question, Maître ?•    Oui Salope.•    Est-ce possible que je fasse une allergie au silicone de mes faux seins ?
Elle dit à nouveau cela avec une voix très féminine sans pouvoir faire autrement.

•    C’est probablement une petite irritation. Applique une petite crème hydratante et ça devrait aller mieux. Tu en trouveras un tube dans ma salle de bain. Je t’en fais cadeau pour le magnifique réveil que tu m’as offert. •    Merci Maître, je suis trop contente.

Elle lui fit rapidement un dernier baiser avant de s’en aller avec le verre. Elle descendit l’escalier avec un sourire jusqu’aux oreilles. Elle se sentait bien et légère. Elle réajusta sa tenue et son maquillage puis prépara le petit déjeuner de maxime composé d’une tasse de café, un morceau de baguette, du chocolat à tartiner et un jus d’orange.

A nouveau, elle monta l’escalier en dandinant des fesses comme une prostituée et frappa à la porte.
•    Ouais, entre !
L’accueil était moins engageant mais Salope entra doucement avec un grand sourire et aperçut Maxime encore à moitié endormi au-dessus des draps, ne portant qu’un caleçon.

•    Pose le plateau sur le côté !
Salope s’exécuta et vit une grosse bosse dans le caleçon. Elle était toujours excitée par ce qu’elle venait de vivre et n’avait toujours pas éjaculé depuis des jours. Elle était au supplice et à la vision de cette bosse dans le caleçon, elle ne put résister. Maxime était à moitié endormi et avait les yeux fermés. Lentement, sans faire de bruit, Salope baissa l’élastique du caleçon et pris la queue en bouche. Elle commença par gober toute la queue entièrement molle tout en léchant les couilles. Cette dernière devint presqu’instantanément dure. Elle commença donc à faire des va et vient tout en caressant le corps de Maxime qui se réveilla presqu’instantanément. Il gémissait et criait si fort que tout le monde devait à nouveau être au courant de ce qui se passait. Maxime attrapa la tête de Salope à deux mains et imposa le rythme de la fellation. Chaque fois, il appuyait plus forts sur sa tête pour la forcer à avaler un peu plus sa queue. Alors que Salope s’étranglait à chaque mouvement, Maxime hurlait le plus en plus fort. La scène s’accéléra de plus en plus et devint presque bestiale. Elle sentait les ongles de Maxime entrer dans son cuir chevelu tellement c’était intense. Elle sentit la queue gonfler et savait qu’elle aurait son petit déjeuner complet directement à la source. Cependant, il s’arrêta et éjacula également dans le verre une quantité importante. Le verre était à moitié plein maintenant.
Salope était à bout de souffle, à genoux au bout du lit avec son maquillage ruiné par la fellation imposée. Maxime était assis sur le lit, essayant également de reprendre son souffle. Salope ne savait pas s’il serait content de sa fellation ou si elle se ferait punir pour l’avoir sucé sans sa permission. De toute façon, elle ne regretterait pas car elle en avait tellement eu envie que ça en valait la peine. Maxime s’approcha de Salope à quatre pattes sur le lit alors que cette dernière était tétanisée et ne savait pas ce qui l’attendait. Maxime la poussa en arrière la faisant tomber couchée sur le dos, sur le lit. Il se positionna au-dessus d’elle et commença à l’embrasser. Sur les lèvres d’abord puis dans son cou et posa quelques minutes sa tête sur la fausse poitrine de Salope.

•    Merci. C’était tellement bon et inattendu. J’ai adoré et j’espère que t’y a pris autant de plaisir que moi. •    Oui, c’était très intense et très bon. Je suis ravie que cela vous ait plu.•    Tu m’as l’air très heureuse aujourd’hui. Sois sincère avec moi, tu ne seras pas punie pour ta franchise, je te le promets. Fais-tu semblant d’être heureuse parce qu’on te l’a demandé et pour que nous te récompensions ou l’es-tu réellement ? •    Je suis réellement heureuse, je vous le jure.  Au début, je ne l’étais pas du tout mais lorsque j’ai commencé à accepter à me soumettre à vous et à vous obéir, j’ai pris du plaisir. Depuis, au plus je prends de plaisir, au plus j’ai envie de vous le rendre et ainsi de suite. Je prends plus de plaisir en vous en procurant que lorsque je faisais l’amour avec ma queue auparavant. C’est différent mais très agréable. •    Je te remercie pour ces paroles et j’espère que tu viendras régulièrement partager mon lit car moi aussi, je prends beaucoup de plaisir grâce à toi. Moi aussi, je pensais que ce serait une perte de temps mais ces deux derniers jours ont été très agréables pour moi et je n’avais pas ressenti ce que je ressens avec toi depuis longtemps.

Tous deux s’embrassèrent tendrement en se caressant s’échangeant lentement et tendrement leur langue. Cette scène dura quelques minutes puis ils se séparèrent lentement.

•    File car je pense que je commence à tomber amoureux.

Salope lui déposa rapidement un petit baiser sur les lèvres et partit en courant. Les larmes perlèrent sur ses joues alors qu’elle s’éloignait du lit. C’était sans doute la captivité qui la mettait dans cet état mais elle semblait anormalement sensible. Ces paroles l’avaient chamboulée et elle était alors si émue qu’elle en pleura. Contrairement aux jours précédents, ces larmes n’étaient pas des larmes de tristesse mais des larmes de joie. Elle sortit de la chambre avec le verre à moitié plein de sperme et vit Driss et Jamal qui étaient déjà réveillés et debout sur le palier. Driss fut le premier à parler.
•    Avec tout le bruit que vous avez fait, nous sommes réveillés maintenant et allons prendre notre petit déjeuner en bas finalement.

Jamal vit Salope pleurer et ajouta :
•    Tu as du mal à rester à ta place et tu veux partir ? C’est pour ça que tu pleures ? Il faudra que tu te rendes compte que tu ne peux pas t’en aller et que c’est là que tu finiras.
Elle sauta dans les ras de Jamal et le serra.
•    Non, au contraire, je suis très contente d’être ici et je ferais tout pour que vous me gardiez près de vous.

Cette phrase leur cloua le bec et ils restèrent planté là, incapable de faire ou dire quoi que ce soit.
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