Soutenue par Maxime, Salope essaya de faire un pas en avant pour aller se blottir dans ses bras mais sentit une douleur fulgurante provenir de son anus. Il était si dilaté que la mandarine tenait à peine à l’intérieur bien que faisant son office de bouchon. Maxime passa sa main sur la joue de Salope avec un regard plein de compassion puis la serra dans ses bras dans un geste de tendresse. Ensuite, son regard se dirigea vers Driss, chargé de haine et de reproches.
Putain Driss, t’es con ou quoi ? Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le fait d’y aller doucement ? Elle se fout de notre gueule et cherchera à mettre les voiles dès qu’on aura le dos tourné. En plus, elle est là pour nous donner du plaisir, non ? Moi, j’en ai marre d’attendre et je veux en profiter. Si on voulait prendre notre temps à draguer des salopes, on irait en boite !!! Et on doit tous se fier à ton intuition, c’est ça ? La situation était un peu tendue dans la cuisine. Salope sanglotait dans les bras de Maxime qui lui passait maintenant lentement la main dans les cheveux avec un regard plein de tendresse. Jamal, malgré son énorme carrure était incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit. Son malaise était presque palpable. Celui qui semblait représenter l’autorité dans cette maison prit alors la parole d’un ton calme et posé, ni chargé de reproches, ni de compassion. Maxime, emmène Salope à la salle de bain de l’étage et aide là à se refaire une beauté. Tu peux lui mettre de la crème dans la chatte pour apaiser la douleur mais ne lui retire pas encore la mandarine. OK Salope était toujours sous le choc et était incapable de penser à autre chose que la douleur qu’elle avait ressentie en même temps que la sensation que tout s’arrachait en elle. Cette brulure qui continuait à irradier en permanence. Elle essayait de marcher du mieux qu’elle le pouvait en s’appuyant sur l’épaule de Maxime. Le plus difficile fut le monter l’escalier. À chaque marche, elle sentait la brulure qui lui lançait mais en plus, elle sentait la mandarine qui presser sur ses blessures. Celui lui lançait tellement qu’elle faillit perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Heureusement que Maxime était là. En haut de l’escalier elle entendait ses autres Maîtres parler quelques instants avant d’entrer dans la salle de bain et de se retrouver seule avec son jeune Maître. Ecoute Driss, je comprends ta réaction mais je t’avais prévenu que cela pourrait arriver et d’ailleurs que cela aller probablement arriver. Avant d’arriver ici, il était le stéréotype du mâle dominant, hétérosexuel, carriériste et même homophobe à ses heures. Il méprisait les gens et ce qu’ils pensaient, il était constamment stressé entre sa vie privée et professionnelle et en plus, il avait l’habitude de recevoir ce qu’il voulait sans se fatiguer. Les gens lui obéissaient au doigt et à l’il. On l’a enfermé ici et on a brisé sa volonté, on lui a montré qui était le chef ici. Non seulement, il a compris que sa vie serait plus facile s’il obéissait mais en plus, il a découvert une palette de sensations qu’il ne connaissait pas. En obéissant, il s’est rendu compte qu’il ne souffrait plus mais qu’en plus, il éprouvait beaucoup de plaisir, de nouvelles sensations. Entre l’isolement et les sensations nouvelles, il a dû reconstruire sa façon de penser. Maintenant, il ne ressent plus le stress quotidien qu’il ressentait auparavant, ce qui amplifie son sentiment de plaisir et de bien-être. Comme il a perdu tout ses repères et que nous sommes désormais ses seuls repères, il associe toutes ses sensations à nous. Dès lors, c’est normal qu’il éprouve des sentiments envers nous. Lorsque nous auront terminé sa transformation, il ne voudra plus faire machine arrière même s’il en a la possibilité. Désormais, c’est plus une chienne qu’un homme car c’est ce en quoi nous l’avons transformé. Cette chienne est autant à mois qu’à toi Jamal ou Maxime mais évite de trop la brusquer au début car je ne voudrais pas qu’il y ait une rupture dans le processus qui se déroule parfaitement pour l’instant. Dès le départ, je ne voulais pas être impliqué là-dedans. Comme vous y teniez, j’ai accepté mais je n’ai pas besoin de ça pour défoncer des culs ou des chattes. Si j’en ai envie, je vais en boite et en quelques minutes je trouve ce dont j’ai besoin. Tu m’avais dit que ça me plairait et ce que je viens de faire me plait. Je ne peux pas t’en empêcher et si tu la vois comme un trou sur patte, libre à toi mais tu passes à côté de quelque chose, je pense. Je m’en vais à la salle de sport, l’ambiance est trop malsaine ce matin. Pendant ce temps, salope se regardait dans le miroir avec le regard vide. Son maquillage était ruiné, ses joues étaient rouges et ses yeux étaient gonflés à cause des larmes. Elle ne bougeait plus, elle était figée et le temps semblait s’être arrêté pour elle. Maxime entreprit de lui laver le visage avec un gant de toilette et un peu d’eau chaude. Il pressa lentement le gant sur sa joue et frotta délicatement. Il avait le regard ému et plein de compassion. Il entreprit ensuite de mettre de la crème apaisante sur sa chatte et de la remaquiller en commençant par le fard à joue, à paupière et le mascara puis une nouvelle couche de rouge à lèvres. Salope était toujours immobile avec le regard vague. Maxime en profita pour lui faire un petit baiser dans le cou puis un second et ainsi de suite. Les baisers restèrent lents et langoureux mais devinrent de plus en plus intenses. Ses baisers se déplacèrent lentement du cou de Salope vers ses lèvres. Par réflexe, Salope lui rendit son baiser puis sentit la langue de Maxime pénétrer dans sa bouche. À nouveau, elle lui rendit son baiser et leurs langues se mêlèrent. Ce baiser était lent mais très intense. Elle sentit les mains de Maxime passer sur ses reins et son cou. Elle en fit de même.
Au cours de cette étreinte, Salope repensa à la situation de ce matin et la façon dont elle avait été prise de force par Driss. Elle avait été choquée sur le moment mais en y repensant, c’était tellement excitant. Sa tête tirée en arrière par les cheveux tout en étant incapable de bouger, la violence des claques et fessées ainsi que la violence des propos que Driss lui avait tenu résonnaient encore dans sa tête. Le total mépris dont il avait fait preuve la faisait se sentir comme une moins que rien. C’était tellement nouveau et ne lui était encore jamais arrivé. Elle repensa également au fait qu’elle avait un fruit et le sperme de quatre personnes dans l’anus et qu’elle ne tentait même pas de l’enlever. Tout était totalement dégradant et humiliant dans cette situation et cela commençait maintenant à l’exciter. En fait, elle se sentait comme si elle venait de se faire violer mais maintenant ses brulures et déchirures étaient engourdies par la crème. En fait, même sans s’en rendre compte, au cours de sa brutale sodomie, elle avait gémi et eu un terrible orgasme par sa chatte. Elle y pensa de plus en plus et se surprit à espérer que ce genre de situation se reproduise. Cette violence avait été excitante finalement. En y repensant, elle devint très excitée et sans bander totalement, sa queue devint serrée dans la cage.
Maxime continua à embrasser Salope avec passion. Il ouvrit la porte de la salle de bain et la poussa délicatement jusqu’à sa chambre sans s’arrêter de l’embrasser. Il la coucha délicatement sur le lit il dégrafa le soutien-gorge de salope et fit passer ses mains sur son corps. Il joua d’abord avec ses tétons puis entreprit de passer sa langue autour et de les mordiller légèrement. Ses mains se déplaçaient lentement sur le corps de Salope en des caresses sensuelles jusqu’à atteindre la cage de chasteté. Il se rendit compte que la queue était plus gonflée que d’habitude dans sa cage. Pendant se temps, salope était toujours plongée dans les sensations du matin et devenait de plus en plus excitée par la brutalité et le mépris dont Driss avait fait preuve au matin.
Quand je vois ta queue dans sa cage, j’ai l’impression que je te fais de l’effet. Tu sais que toi aussi tu m’en fais ? Salope revint lentement à la réalité et se rendit compte qu’elle aurait dû répondre quelque chose mais ne sut pas quoi dire. Elle n’osa pas dire qu’elle pensait à autre chose et que c’est cela qui l’excitait. Ne sachant pas quoi répondre, elle se contenta de replacer ses lèvres sur celles de Maxime et de continuer à l’embrasser. Très vite elle sortit de ses pensées et revint à la réalité. Même si le contact avec Maxime était excitant, sa queue se ramollit instantanément. Pour ne pas décevoir Maxime qui était très gentil avec elle, se retourna pour se placer au-dessus de lui en mordant sa lèvre pour compenser la douleur qu’elle ressentait toujours. Elle continua de l’embrasser, descendit sur tout son corps avec sa langue et le suça comme elle savait de mieux en mieux le faire. Elle devenait tellement experte qu’il explosa très rapidement dans sa bouche. Elle avala bien tout et nettoya la queue qui ramollissait déjà avec sa langue. Elle vint se blottir quelques minutes dans les bras de Maxime en plaçant sa tête sur sa poitrine. Elle fit de son mieux pour ne plus penser à ce qui s’était passé au matin et profiter de l’instant présent. Maxime était plein d’attentions envers elle et elle était bien dans ses bras. Après ce tendre câlin et un rapide remaquillage, ils descendirent tous les deux jusqu’au salon.
Driss n’était plus là, il était probablement parti à la salle de sport comme il lavait dit. Seuls ses deux autres Maîtres étaient présents. Le plus âgé, toujours aussi séduisant, lui fit signe de s’assoir dans le canapé. Dès qu’elle le voyait, Salope se liquéfiait presque tellement il était séduisant et sûr de lui. Il dégageait un sentiment de puissance. Viens t’assoir dans le canapé, on va enlever le pansement que tu as sur le ventre maintenant que le tatouage est cicatrisé.
Salope avait envie de sauter de joie tellement elle était impatiente. Cela faisait plusieurs jours qu’elle touchait le pansement en se demandant ce qui avait été tatoué sur son ventre. Elle s’était imaginé des milliers de choses. Comme elle n’avait plus aucun poil sur le corps, les collants s’enlevèrent avec facilité. Ils retirèrent les compresses et elle sentit l’air frais sur le tatouage mais comme elle était penchée en arrière, elle ne put voir le tatouage tout de suite. Contrairement à ses trois Maîtres qui étaient présents dans la pièce. Ils semblaient très satisfaits du résultat.
Ça donne mieux que ce que je pensais. Oui, maintenant, elle ne voudra plus mettre que des tops pour que l’on voit son ventre.
Salope était de plus en plus intriguée et trépignait d’impatience. Ses Maître la laissèrent se lever et se déplacer jusqu’à la salle à manger où il y avait un miroir. Elle jeta un coup d’il et fut encore plus intriguée. En effet, son nom était tatoué en grand sous son nombril avec un effet 3D avec une encre très noire. Le O se Salope arrivait juste sous le nombril et le piercing de nombril pendait au centre de la lettre. C’était magnifique et, en effet, immanquable si elle mettait un top. Ce qui la laissa perplexe et curieuse, c’était le QR code tatoué juste après son nom. Elle savait ce que c’était mais ne savait pas ce que cela signifiait. Elle savait que si quelqu’un la photographiait et zoomait sur le code, cela ouvrirait une page internet particulière. Cependant, elle ne savait pas quelle était cette page ni ce qu’elle contiendrait. Cela était à la fois intrigant et excitant. De plus, comme elle n’avait pas accès à un smartphone, elle ne pourrait pas le découvrir par elle-même.
Cela te plait-il ? Oui, énormément. Puis-je poser une question ? Oui, vas-y. À quoi correspond le QR code ? Ça, tu le sauras en temps voulu. Nous ne voulons pas te gâcher la surprise. Le temps passe et il est temps de nous préparer à manger. Ensuite, nous aurons une discussion importante avec toi. Oui Maîtres. Salope ouvrit le réfrigérateur pour voir son contenu. Elle aperçut une volaille et entreprit de préparer un canard à l’orange avec de petites pommes de terre cuites à la vapeur et une petite sauce à base d’agrumes. Cela lui prit longtemps et lui ouvrit grandement l’appétit. Elle savait cependant qu’elle n’aurait probablement pas le droit d’y gouter. Elle mit la table et servit les trois Maîtres qui étaient présents. Ses Maîtres mangèrent pendant qu’elle resta à genoux par terre. Elle ne se leva que pour servir le vin ou débarrasser la table.
Félicitation Salope, c’était très bon. Il en reste pour toi demain en plus. Merci Maîtres. Elle savait qu’elle ne mangerait pas dans les mêmes conditions qu’eux mais que ce serait mixé avec plein d’autres aliments pour donner une mixture plus ou moins équilibrée mais au mieux sans saveur et au pire très mauvaise.
On va te préparer ton repas. Ils ouvrirent le réfrigérateur à leur tour et mirent dans le mixeur des céréales, du lait, deux ufs, une boite de thon et un peu de ketchup pour le goût. Le tout était une bouillie plus ou moins solide de couleur brune. Ils mirent le tout dans l’écuelle de Salope. Ils remplirent également sa seconde écuelle avec de l’eau en bouteille.
Place-toi au-dessus de ton écuelle et retire la mandarine qui est dans ta chatte pour laisser le nappage couler sur ton plat. Oui Maître. Elle ôta la mandarine sans trop de soucis et une quantité surprenante de sperme coula sur son repas en formant une petite flaque gluante sur toute la surface. Maintenant que le bouchon était parti, elle était tellement dilatée qu’elle sentait l’air frais à travers son intestin. Elle avait tellement faim qu’elle manga l’intégralité de son écuelle, à quatre pattes, en léchant bien pour ne rien laisser et elle termina en buvant l’intégralité de sa seconde écuelle. Elle était habituée à cette nourriture et cela ne la dérangeait même plus. Elle avait perdu beaucoup de poids maintenant et commençait à perdre ses poignets d’amour. Elle commençait à avoir une silhouette plutôt élégante et féminine.
Reviens dans le canapé, nous devons avoir une conversation importante.
Salope se posa des questions et commença à stresser mais vint s’asseoir dans le canapé à côté de ses Maîtres.
Demain, tu auras une décision importante à prendre. Elle sera si importante qu’elle va changer le reste de ta vie. Nous n’attendons qu’un simple oui ou non mais ta réponse sera très lourde de conséquences. Nous n’attendons pas une réponse aujourd’hui. Nous te laissons le reste de la journée et la nuit pour réfléchir mais nous aurons besoin de ta réponse demain matin. C’est bien compris ? Oui Maîtres. Voila, ça fait quelques semaines que tu es parmi nous maintenant. Tu nous dis que tu es heureuse et que tu ne voudrais pas revenir en arrière. Nous attendons de toi que tu t’engages à rester avec nous ou à partir et retourner à ton ancienne vie. Tu ne sais pas où on est, tu ne connais pas nos noms et tu ne pourrais pas remonter jusqu’à nous donc si nous te laissons partir, nous savons que nous ne risquons rien. Si c’est ce que tu veux, je te promets que nous respecterons notre parole et te déposerons près de chez toi et que tu n’auras plus signe de vie de nous. Par contre, si tu désires rester avec nous, nous allons te transformer. Depuis que tu es parmi nous, nous te faisons prendre des hormones féminines qui sont dans ton eau. Cela explique ta poitrine qui commence à pousser, tes tétons sensibles, ta voie qui devient aigue et ta queue qui ne bande plus. Si tu souhaites rester, nous allons recourir à la chirurgie pour te poser une vraie poitrine. Dans la foulée, nous aurons recours à la chirurgie laser pour t’épiler définitivement. Nous te referons de nouveau papiers avec une nouvelle identité et te permettrons de sortir de la propriété et d’aller te promener dehors. Tu te doutes que les choses se feront progressivement mais ce sera irréversible. Le choix t’appartient mais tu dois le faire avant demain matin
