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La transformation de Kévin

Chapitre 18

Trash
La semaine qui séparait le choix de Salope et son opération est passée très vite malgré son impatience. Tous les jours, elle se lavait, s’habillait et préparait puis allait dans la cuisine. Chaque jour elle était émerveillée par sa garde-robe. Elle essayait de varier les plaisirs mais à chaque fois, elle ressemblait à une pute aguicheuse.

Elle commençait toujours par aller servir le petit-déjeuner de son premier Maître. Au moment de frapper à sa porte, ses jambes tremblaient et semblaient être en coton à chaque fois. Elle avait du mal à trouver ses mots et le couvrait de tendres baisers puis lui vidait les couilles avec sa bouche. Elle aimait quand il la prenait dans ses bras et qu’elle posait sa tête sur son torse. Ce moment était chaque jour son rayon de soleil et son moment privilégié. Elle aimait cet instant par-dessus tout. Lui, il était toujours doux et délicat avec Salope. Après cela, elle allait réveiller Maxime. Tous les matins, conformément à son rituel, elle lui vidait les couilles avec sa bouche, avalait tout et nettoyait bien sa queue. Cependant, Maxime passait tout le reste du temps à l’embrasser, alternant tendresse et passion. Il la caressait parfois avec délicatesse et parfois avec la fougue du moment. Il lui demandait comment elle allait et ce qu’il pouvait faire pour rendre sa journée plus agréable. Il lui avait même fait un massage au milieu de la semaine. Il était tellement gentil avec elle qu’elle ne savait jamais quoi dire et pour toute réponse, elle le serrait très fort dans ses bras avec un grand sourire. Pour Jamal et Driss, c’était très différent. Quand elle arrivait dans leur chambre, c’était très bestial, très violent. Elle avait tous les jours la gorge en feu et les fesses rouge, parfois les joues également. Cependant, il n’y avait pas de méchanceté dans leur comportement. Ils aimaient être bestiaux au lit et étaient très brutaux dans leurs actes. Une fois vidés, ils prenaient du temps pour discuter avec elle. Ce n’était jamais très tendre mais ils lui demandaient ses goûts, si elle aimait le sport, si elle avait déjà eu des expériences sexuelles avec des animaux, ...Le reste de la journée lui servait à faire le ménage et les repas. Depuis qu’elle avait accepté de rester avec eux, elle avait le droit de se promener à volonté dans le terrain. Elle en profitait pour faire du sport dans son minishort rose très moulant et son petit top assorti. Entre le régime que lui imposait ses Maître et ses séances de sport quotidiennes, elle avait déjà perdu quelques kilos et son ventre devenait plus plat et ses poignées d’amour disparaissaient. Elle se faisait sodomiser plusieurs fois par jour par chacun de ses Maîtres. Elle avait en permanence du sperme dans la chatte. Pour éviter d’en mettre partout, elle mettait des plugs de plus en plus gros pour tout retenir à l’intérieur. Elle le retirait le soir pour vider le contenu de sa chatte sur son repas.

Une certaine routine s’était installée mais les jours avançaient et le grand jour arriva. Ils prirent la voiture et seuls deux de ses Maîtres l’accompagnèrent, Maxime et le leader du groupe. Ils lui expliquèrent qu’ils se rendaient dans une clinique privée en Suisse où ils ne posaient pas de questions et ne demandaient pas l’identité. Lorsqu’ils arrivèrent, ils furent directement pris en charge. Elle fut entièrement déshabillée et ils lui expliquèrent ce qui allait être fait. Ils lui implanteraient de faux seins de la taille 95C, qu’ils auraient recours à la castration chimique, qu’ils enlèveraient sa pomme d’Adam, qu’ils modifieraient légèrement son visage pour le rendre plus féminin et qu’ils l’épileraient intégralement au laser. Suite à son régime, sa corpulence avait diminuée et ses faux seins paraitraient démesurés. Cela ne dérangea pas Salope et encore moins ses Maîtres. La castration chimique aurait pour effet de l’empêcher de bander et d’éjaculer. Lorsqu’elle toucherait sa queue ou son gland, tout paraitrait engourdi et elle ne ressentirait aucun effet, aucun plaisir. Cependant, ses couilles et sa queue seraient toujours là. Salope était si heureuse qu’elle accepta le plan sans hésiter et elle paraissait impatiente. Maxime l’embrassa langoureusement avant qu’elle parte au bloc, avec la larme à l’œil. Elle vit le liquide qu’on lui injectait remonter jusqu’à son bras puis elle s’endormit. À son réveil, elle avait les mains attachées et avait une forte douleur à la poitrine, au visage et à la gorge. De plus, tout son corps semblait brulé et ses couilles lui faisaient aussi mal que si un camion lui était passé dessus. Elle essaya de bouger lorsqu’elle entendit une voix :
— Elle est réveillée !— J’arrive Maxime.
Elle essaya de parler mais rien de compréhensible sortait de sa bouche. Ses Maîtres luis expliquèrent la situation :
— Salut Salope, tu es attachée pour que tu ne puisses pas paniquer à ton réveil. Nous allons t’enlever ça dans quelques minutes. Tout s’est bien passé. On ne peut pas encore juger du résultat car tu es couverte de bandages mais on découvrira cela très prochainement. Tu ne peux pas encore parler car on a enlevé ta pomme d’Adam et on a rendu ta mâchoire plus féminine. Il faut attendre que ça cicatrise. La castration s’est bien passée également mais cela devrait être un peu douloureux pendant quelques jours.

— Je suis impatient de te voir sans tes bandages Salope. Je veux être le premier à profiter de ton nouveau corps.
Elle reconnaissait la voix de Maxime qui était toujours aussi spontané. Cela fit sourire Salope en lui faisant atrocement mal au visage.
— Moi je dois retourner à mes affaires et ne pourrait pas rester avec toi durant ta convalescence mais Maxime a insisté pour rester. Je viendrai vous chercher dans une semaine.
Avant de partir, son Maître lui fit un délicat baiser sur le front. Cela provoqua une sensation de bien-être à Salope.


La semaine passa très vite et elle fut très heureuse lorsqu’on lui enleva les bandages et qu’elle put se voir dans le miroir. Comme attendu, sa poitrine était magnifique et démesurée par rapport à sa corpulence. Ses traits étaient maintenant très féminins et ne laissaient plus paraitre le moindre détail masculin. Elle était nue devant le miroir et se trouvait très excitante. Cependant, sa queue ne broncha pas et pendait toute petite entre ses jambes. Cela faisait de l’effet à Maxime par contre qui avait une énorme bosse dans son pantalon.

Dès que les médecins furent sortis, Maxime prit Salope dans ses bras et l’embrassa avec passion. Elle lui rendait ses baiser avec autant de passion. Elle lui arracha son T-shirt avec désir tout en l’embrassant puis en embrassant son cou puis en descendant sur ses tétons qu’elle mordilla et avec lesquels elle joua. Maxime gémissait et semblait sur le point d’exploser. Elle défit le bouton de son jean et le baissa d’un seul coup en même temps que son caleçon. Elle avait envie de son membre comme une droguée a envie de sa dose. Elle le suça avec passion, comme une furie. Maxime gémissait comme jamais. Il était si excité que toutes les chambres du couloir devaient l’entendre. Il finit par exploser dans sa bouche. Bien que la quantité semblait plus importante que d’habitude, elle avala tout d’une seule traite. Ce goût lui avait tellement manqué car depuis qu’elle y avait goûté, elle adorait le goût du sperme.

Maxime l’aida à se relever, la pris dans ses bras et l’embrassa.

— Tu es magnifique tu sais.— Merci. Je suis très heureuse.

Salope sautait presque sur place tellement elle était heureuse. Elle prit soin d’enfiler la tenue que Maxime lui avait préparée, une petite robe blanche légère, sans manche. Comme à son habitude, elle ne portait pas de culotte. Par contre, elle mit des escarpins blancs ouverts avec des talons de 10 centimètres. Elle prit également son petit sac à main assorti qui ne contenais qu’un mouchoir, un stylo et son nécessaire de maquillage. Tous deux sortirent pour aller visiter le parc. Maxime lui prit la main et ils marchèrent tous deux dans la pelouse, entre les arbres. Ils passèrent devant un sous-bois bien fourni lorsque Salope dit :
— J’ai envie de vous.— On est en plein milieu du parc, on pourrait nous voir.— On peut aller dans les sous-bois, derrière le talus, on ne nous verra pas.
Salope passa sa main sur la queue de Maxime qui était déjà bien dure.
— On dirait que je vous fais de l’effet.— J’ai tellement envie de toi. Allons vite dans les sous-bois.
Toujours main dans la main, ils se dirigèrent vers les sous-bois et contournèrent le talus. Maxime enleva la robe de Salope sans aucune difficulté. Elle se retrouva totalement nue à l’exception de ses chaussures qui laissait apparaître ses ongles vernis de rouge. Il la regarda et passa ses mains sur le corps de Salope et caressa sa nouvelle poitrine doucement pour commencer.
— Ça te fais mal ?— Non, au contraire. Je trouve même que ma peau est hyper sensible, ce qui décuple l’effet quand vous les touchez. — C’est excitant tout ça.
Il commença à malaxer lentement les seins de Salope qui gémissait de plus en plus bruyamment. Il continua de l’embrasser puis embrassa ses seins et mordilla le bout de ses tétons. Elle hurlait littéralement de plaisir. Il continua de l’embrasser lorsqu’elle lui dit :
— Pourquoi suis-je la seule à être nue ?
Elle arracha littéralement les habits de Maxime qui était maintenant nu lui aussi. Ils étaient dans les bras l’un de l’autre et se caressaient tout en s’embrassant. Maxime se plaça derrière Salope, la força à se cambrer puis se mit à genoux. Il entama un anulingus sur sa petite chatte toute lisse. C’était la première fois qu’on lui en faisait un. C’était tellement bon qu’elle en hurlait presque de plaisir. Elle y prit tellement de plaisir qu’elle failli jouir avant même d’avoir accueilli la queue de Maxime. Il se redressa, mis Salope sur le dos, releva ses jambes et plaça son gland devant sa chatte. Il commença doucement la sodomie, avec délicatesse. Tout en faisant cela, il embrassait Salope, caressait son corps et malaxait ses seins. Tous deux gémissaient très fortement jusqu’au moment fatidique où ils furent simultanément dévastés par un puissant orgasme. Ils continuèrent à s’embrasser en se relevant lorsqu’ils virent que deux hommes les regardaient.

— On peut se joindre à vous ? Nous aussi, on aimerait bien que Sissy nous fasse plaisir.
Salope fit sa mijaurée avec un grand sourire et se mordit même la lèvre inférieure. Non seulement, elle était impatiente d’être prise par ces deux jeunes mâles d’une vingtaine d’année mais en plus elle adorait appliquer les techniques qu’elle avait appris pour chauffer les hommes. Elle savait qu’elle se ferait littéralement violer.
— Dégagez de là, ce que nous faisons ne vous regarde pas. — Dans ce cas-là, il fallait faire moins de bruit si ce n’était pas pour attirer des participants.

Maxime prit Salope par la main et activa le pas pour rentrer à la chambre dans la clinique.

— Ne t’inquiète pas, je ne les laisserai pas t’importuner.
Salope était tellement déçue de ne pas se faire saillir par ces deux hommes mais elle ne pouvait pas le dire. Elle tourna donc la tête et leur fit signe de la suivre. Discrètement, elle nota un rendez-vous sur un de ses mouchoirs en papier et le laissa discrètement tomber par terre. Les deux hommes qui la suivaient le ramassèrent et lurent le message.

— Cette Salope nous donne rendez-vous au même endroit à minuit.— J’ai passé cinq ans en taule avant mon évasion et mon nouveau visage, je peux te dire qu’elle va morfler.— Je n’aurais pas mieux dit.
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