Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 102 J'aime
  • 8 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Transformation par amour.

Chapitre 2

Travesti / Trans
La journée s’est passée comme d’habitude, mais certains mecs me semblaient jaloux que les filles soient venues me voir pour me complimenter sur mon style.Un des mecs est venu me parler. Il s’appelait Kader.
— Putain t’as de beaux habits toi. Et puis c’est quoi sur tes chaussures, c’est du rose. Tu nous fais quoi là, tu es gay ?— Non, non Kader, c’est ma sœur et une de ses copines qui ont voulu me relooker.— Oui bien sûr, tu t’habilles avec des vêtements de meuf et c’est ta sœur qui t’a forcé.— Oui, c’est ça. Heu... non.— Ah tu avoues.— Ce n’est pas ça, mais...— Ta gueule et dégage.
Je suis retournée dans la cour, la tête baissée, j’étais un peu décontenancée.Mélanie s’est approchée de moi en me disant :
— Ca ne va pas ?— Si.— J’ai vu ce qui s’est passé avec Kader. Ne t’inquiète pas, n’écoutez pas Kader, il est un peu grognon parce qu’il est tout simplement jaloux.
J’étais rassuré et je me sentais me rapprocher de Mélanie, ce qui était mon plus grand souhait.Quand je suis rentré chez moi, j’avais oublié l’histoire avec Kader. Les mots de Mélanie résonnaient dans ma tête. « Kader devait être jaloux ! ».Je chantais dans ma chambre quand ma sœur, qui a entendu ma bonne humeur, est venue vers moi avec son téléphone.
— Voilà, je suis dans sa chambre.
Karine était au téléphone avec le haut-parleur.

— Alors, comment ça s’est passé ?— Super, elle est venue me parler et m’a dit que mon nouveau style lui plaisait bien.— Génial, c’est la preuve qu’il faut continuer.— Continuer ? — Oui, ce week-end, je t’apporte de nouveaux vêtements. Tu vas voir, tu vas être sublime, je connais Mélanie et je connais le genre de mec qu’elle aime donc fais-moi confiance.
Le week-end suivant, Karine a sorti les vêtements de son sac. Un nouveau jean, mais un peu différent de l’autre. Celui-là était très moulant, un peu élastique et délavé, un Marcel blanc d’une matière très fine, ainsi que des chaussures avec de petits talons un ou deux centimètres.
— Essaie ça, je soupçonne Mélanie d’être attirée par des mecs ambigus. Tu verras, elle va adorer.
Alors, je me dis que la dernière fois, j’avais fait des ravages et que Karine s’y connaissait, de ce fait, j’ai mis le pantalon. C’était très dur à enfiler, mais j’ai réussi.
— Les talons, c’est parce que tu n’es pas très grand et que les filles aiment le mec plus grand.
J’ai enfilé les chaussures, bien que je les ai trouvées étranges, car, à mon sens, elles étaient destinées aux filles.
— Canon, tu es au top.
J’étais content, d’après elles, j’avais enfin l’air de quelque chose. De plus, je commençais à comprendre ce que voulaient me dire ma sœur et sa copine sur le style qui d’après elle me mettait en valeur. Quand je suis retournée à l’école, Mélanie est venue me voir et était très gentille avec moi. Une de ses copines est venue nous parler.
— Plutôt bien le style androgyne, j’ai déjà vu ce débardeur sur ma grande sœur, je crois.
Je suis devenue rouge écarlate. Mélanie m’a défendu.
— Peut-être, c’est un débardeur unisexe.
Un peu plus tard, dans la cour.
— Ca m’a un peu gêné ce qu’a dit ta copine sur mon haut.— Tu sais elle n’y connaît rien, moi, j’adore ce débardeur. De plus, il te va très bien. N’écoute pas les autres, si tu es bien dans ces vêtements... Continue à essayer de nouvelles choses. Je te trouve craquant.— Merci Mélanie, c’est gentil.— D’ailleurs, j’ai remarqué tes petits talons, ça te va très bien.— Merci.— Si tu veux en mettre des plus hauts, fais-toi plaisir. J’aime bien les mecs quand ils sont plus grands que moi. Hein (clin d’œil). Si tu veux, on peut faire la route ensemble pour aller à l’école le matin et rentrer le soir...
J’étais ravi qu’elle me le propose.
— Oui, ce serait avec plaisir.
Mélanie ne m’avait jamais parlé avant de changer de style. Et, quand j’allais à l’école, je l’ai croisée sur le chemin plusieurs fois, mais elle a toujours fait mine de ne pas me voir.Mais, ce jour-là, c’était différent, c’était comme si j’avais une valeur à ses yeux.
Le week-end d’après, Karine est revenue une nouvelle fois à la maison avec de nouveaux vêtements. Cette fois-ci, j’ai eu le droit à un pantalon blanc en soie moulant slim, un genre de t-shirt moulant gris. J’ai vu l’étiquette du pantalon avec une silhouette de femme dessus. Cependant, je me suis rappelé ce que m’avait dit Karine. « Mélanie aimait le mec efféminé ». Finalement, au vu des événements, je n’avais jamais été mal conseillé par Karine.J’ai donc enfilé le pantalon et le t-shirt moulant et je me suis regardée dans le miroir. J’ai pensé que si Mélanie appréciait les mecs efféminés, je devais m’habiller de la sorte.
La semaine s’est passée comme les deux autres, quelques railleries à l’école. Kader me traite de lopette, mais Mélanie me rassure encore. Elle se rapprochait de moi comme jamais auparavant. De plus, elle s’était collée à moi et pendant une des pauses, elle m’a même fait un bisou (sur la joue).J’étais très excité de voir Mélanie proche de moi, et cela devait se voir dans mon pantalon moulant.
Karine est venue le week-end suivant sans vêtements, mais avec une copine.
— Je te présente Monique, elle est coiffeuse. Elle va te faire une coupe qui te ressemble et qui va mettre en valeur ton nouveau style et ton visage d’ange.
J’entendais parler les trois filles autour de moi.
— Un carré serait parfait.— Non, je préférerais les laisser longs et lui faire une couleur.— Moi, je souhaiterais qu’il ne puisse plus les attacher.— Blablabla, etc.
Finalement, elles se sont mises d’accord. La coiffeuse a commencé à couper, couper, couper... Quand je me suis regardé dans la glace, j’avais une sorte de carré, mais court derrière et plus long devant. Cependant, j’étais perplexe, mais la coiffeuse m’a dit que c’était comme la coupe de Johnny Depp, en mieux. Alors, j’ai pensé que si Karine validait la coupe, cela plairait à Mélanie.
Le lendemain, la boule au ventre, je retrouve Mélanie sur le chemin. J’espère qu’elle va apprécier ma nouvelle coupe.
— Ta coupe te va bien, tu es magnifique. De plus, j’aurais choisi le même coup si tu m’avais demandé.
Fière de ma nouvelle coupe de cheveux, on marcha jusqu’à l’école.Je me sentais de mieux en mieux dans mon nouveau style. J’avais aussi l’impression que Mélanie était ravie de rester avec moi à parler de tout et de rien.
Les semaines passaient ainsi et chaque week-end Karine venait avec de nouvelles affaires. Elle avait aussi instauré un rituel :
— Pour chaque affaire que je t’amène, tu en jettes une ou plusieurs de ce qui est dans ta penderie de vieux garçon.— Mais...— Pas de « Mais ». Là, tu prends deux pantalons et tu me les donnes, je vais les amener à une friperie.
Le week-end suivant, Karine est venue avec des culottes.
— Les coutures de tes caleçons se voient au travers de tes nouveaux pantalons, ça ne fait pas classe. — Je ne vais quand même pas porter des culottes de filles ? Déjà le rose sur les chaussures, les talons, le débardeur !— Je peux te poser une question indiscrète.— Oui bien sûr.— As-tu déjà fait l’amour ?— Non, mais j’ai très envie.— Je peux t’aider si tu le désires.— C’est vrai ?— Oui, bien entendu, dans moins de six mois, ce sera fait si tu fais tout ce que je te dis de faire.— Je suis prêt, Karine. Je ferais tout ce que tu dirais. Mais, les culottes, c’est obligatoire ?— Écoute, c’est simple ou tu fais ce que je te demande ou j’arrête de t’aider. Les culottes, ce n’est que le début. Il va y avoir beaucoup de changements dans ta vie. Il faut que tu me promettes qu’à partir de maintenant, tu ne me contrediras plus.— OK.— Promets-le-moi à voix haute et distinctement.— Je ne te contredirai plus.— Plus fort, en me regardant et en ajoutant mon prénom à la fin.— Je ne te contredirai plus Karine, je te le promets. Je ferai aussi tout ce que tu me demanderas.— D’accord, alors, rose sur les chaussures, talons, débardeur, c’est ton quotidien désormais.
J’ai grommelé, mais je me suis résigné à accepter le traitement que me faisait subir Karine par amour. De plus, j’avais tellement envie de faire l’amour avec Mélanie.Au moment de partir, je vis dans le sac de Karine des caleçons.
— Mais c’est mes caleçons dans ton sac...— Oui, tu n’en as plus besoin. C’est le rituel. Une fringue apportée, une fringue jetée, non ? De plus, j’ai apporté plus de culottes que tu n’avais de caleçons. Bonne nuit, chéri.
La semaine est passée et Mélanie a remarqué mes culottes à travers mon jeans. J’étais gêné, mais elle m’a félicité encore sur mon style et s’est rapproché encore plus de moi. À la fin de la semaine, avec tous les compliments de Mélanie, je ne me voyais plus remettre mes caleçons.Quand Karine est arrivée à la maison, pour me ramener de nouveaux vêtements, je ne me doutais pas de ce qui allait se passer.
— Je t’ai ramené un jeans slim taille haute, tu vois en bas, on voit tes mollets, quelque chose ne va pas.— Ha bon, qu’est-ce que c’est ?— Ce sont tes poils, ce qui serait le mieux de les enlever. Je t’ai apporté le nécessaire pour t’épiler.— Mais je ne vais pas m’épiler quand même.— Comme tu veux. Par ailleurs, je tiens à te dire que Mélanie n’aime pas les poils.— Ha bon.— Oui, l’autre jour, elle m’a même dit que c’était vraiment dégoûtant.— OK, allons-y alors pour l’épilation.— OK, on va le faire ensemble la première fois. En revanche, il faudra le faire au moins une fois par semaine ensuite.
Elle sortit de son sac ce qu’elle a appelé des « bandes de cire froide ».Elle en a posé une sur ma jambe et a tiré dans le sens inverse de la pousse des poils. Comme je n’étais pas très poilue, je n’ai senti qu’une pression. J’entendais à ce moment-là un pchit... après ça a commencé à brûler un peu et elle m’a dit que quand j’aurais terminé, il faudrait passer ce produit pour atténuer les douleurs.
— Tu sais, si tu veux faire l’amour, tu dois être tout nu, non ?— Ha oui, c’est juste.— Alors, on fait le reste ? Pas uniquement les jambes, mais également tout le corps, les jambes, les aisselles, le torse, etc. il ne doit pas rester un seul poil.— Tu es sûre ?— C’est comme tu veux, mais Mélanie n’apprécie pas les poils, si elle en voit, ce sera fini pour toi. Tu es quasiment imberbe, ça va être facile.
Une heure plus tard, on avait fini et je n’avais plus aucun poil sur le corps. Ça faisait bizarre, mais si c’était pour conquérir Mélanie.
— Pour Mélanie, tu dois aussi avoir la peau douce. Les mecs ont une peau moins douce que les filles et il est désagréable de caresser une peau dure et rugueuse. Pour cela, tu dois mettre cette huile de corps tous les soirs et tous les matins pour que ta peau soit la plus douce possible. C’est une huile spéciale qui permettait de rendre la peau douce comme une fille. N’hésite pas à en mettre sur ta poitrine, car il est agréable de toucher, embrasser, et parfois de suçoter.
J’ai bien appliqué la pommade et les huiles tous les soirs et tous les matins.Mélanie l’avait remarqué et elle m’a fait un compliment sur la douceur de ma peau et m’a dit qu’elle appréciait mes efforts pour être plus d’accord avec moi-même.Karine passa tous les week-ends. Quelques semaines plus tard, j’eus un des plus beaux compliments de Mélanie qui me disait qu’elle trouvait que je m’étais trouvé dans cette allure et qu’elle n’aurait jamais cru que je sois comme ça.Que j’étais vraiment magnifique ainsi !
Diffuse en direct !
Regarder son live