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Transformations

Chapitre 1

Le commencement

Avec plusieurs femmes
Chercheur et enseignant dans une université, j’ai consacré mon année de doctorat à essayer d’ouvrir des voies pour aider celles et ceux dont la libido s’est effacée à retrouver une vie et des désirs sexuels "normaux". Cela n’a rien à voir avec le Viagra et autres pilules, c’est quelque chose de complètement différent et nouveau. Mon travail est plus en profondeur et cherche à modifier et à libérer certains blocages physiques et psychologiques.Dernièrement, alors que j’étais proche du but et que je n’avais plus qu’à lancer la longue série de tests de validation, je subis de plein fouet la réduction des lignes budgétaires que m’accorde mon université !J’ai donc décidé, même si ma libido était normale, d’être mon propre cobaye.___________________________________________

J’ai donc prévenu mon service, prétextant un état de fatigue généralisé, que je ne serais pas joignable ce week-end. Il n’y avait de toute façon  aucun cas urgent ou sensible à traité. Je pris donc congé sans aucun problème. Sachant que je vivais seul, Cindy, une infirmière de mon service, me proposa gentiment de passer chez moi le samedi matin à 9h00 pour vérifier que tout allait bien et pour procéder à quelques examens de routine. J’ai gentiment accepté sa proposition et lui ai laissé les clés de ma villa.Vendredi soir je décidais de ne pas attendre et de prendre mon "remède" pour observez les effets de mon produit durant le week-end. Je m’endormis immédiatement sous l’effet de ces produits que j’avais mis tant de temps à associer de façon très minutieuse.

En me réveillant le lendemain, je sentis en moi une envie de sexe énorme. C’est à ce moment que j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Comme convenu, Cindy était la pour vérifier que tout allait bien et me poser des questions sur ma santé, bref, un examen routinier pour elle. Pour moi l’examen fut un enfer à cause de mon envie d’éjaculer au plus vite. Je priais pour qu’elle parte le plus rapidement possible pour que je puisse retourner dans ma chambre pour enfin me soulager.

Cindy fit, comme à son habitude, très bien son boulot et termina l’examen sans se rendre compte de mon état. Lorsque elle  s’apprêta à faire demi-tour pour repartir, je lui mis une main aux fesses, sans savoir pourquoi.
Autant surpris qu’elle, je m’attendais à me prendre une claque dans ma gueule. Mais au lieu de ça, je sentis une petite décharge électrique dans ma main et je vis ma collègue tressaillir comme si elle venait de prendre peur. 
Mais quand elle se retourna je remarqua qu’elle me regardais d’un air songeur et non de colère. Puis elle se pencha vers moi jusqu’à mettre sa magnifique paire de seins en face de mon visage et me dis:— Si vous vouliez un moment de sexe, mon cher Vincent, il suffisait juste de me le demander...

Je fus abasourdi par ce que je venais d’entendre et, évidemment mon érection redoubla. Elle s’approcha encore de moi et me roula une pelle sauvage, nos langues se bataillant un chemin, tandis que sa main glissait vers ma verge tendue à l’extrême et que mon cœur bondi presque en dehors de ma poitrine.

— Je vois que vous avez très envie, dit-elle avec un sourire coquin après avoir remarquer mon pénis qui pointait vers le ciel.

Et là, tout dériva. Elle me traina jusqu’à ma propre chambre et fit valser mon drap, pour se jeter sur mon lit ensuite. Lorsque elle fut installée confortablement, elle se pencha vers mon pantalon qu’elle retira en moins d’une seconde. Mon sexe jailli en dehors de mon boxers devenu bien trop serré pour moi et elle commença à le lécher de haut en bas. Ensuite elle s’arrêta sur mon gland pour me le sucer en me caressant les couilles.

Savourant cette pipe, je glissa ma main vers son cul pour caresser ses douces fesses rebondies, et je fis descendre son string pour lui caresser sa chatte. Quand elle fut assez humide je lui inséra mes doigts en elle, ce qui lui fit redresser la tête pour gémir.

Après avoir relevé la tête elle me regarda intensément et me fit un sourire coquin, et là engloutit ma bite jusqu’au fond de sa gorge. Je ressenti une vague de chaleur et je gémis aussi. Je lui mis mon autre main sur la tête et appuyais dessus jusqu’à ce que son nez touche mon pubis, tout ça toujours en activant mes doigts en elle. Je senti son sexe se serrer autour de mes doigts, elle fut prise d’un frisson, puis jouit toujours avec ma queue au fond de sa gorge.

Elle se redressa immédiatement et en déboutonnant sa veste me dit :— Mon cochon, tu m’as rendue folle, alors en piste...

Ses gros seins à l’air libre, elle se posta au-dessus de mon pénis et se l’inséra lentement, en gémissant au passage. Une fois pénétrée en entier, elle remua un peu le bassin puis commença à monter et à descendre sur ma verge. Elle accéléra le rythme et je vis ses gros seins se balancer en face de mon visage. J’étais au paradis. Je lui serrais une fesse, tandis que mon autre main pinçait ses tétons. Ce qui la fit crier de plus en plus en fort

Je lui dis :— Allonge-toi sur le lit, que je te finisse, petite salope.

Elle obéit avec joie, sortit mon sexe du sien, le lapa avec plaisir puis s’étendit sur le lit, m’offrant son cul tout en caressant sa chatte. Je n’hésitais pas une seconde et pénétrais son anus, lui arrachant un petit cri de douleur et de plaisir, puis je m’activais en elle. Mes coups de bite la secouaient tandis que je serrais fort ses seins et qu’elle se caressait le minou. Avec un tel traitement elle ne mit pas plus de 2 minutes avant de subir un nouvelle orgasme, encore plus puissant que le premier.

Moi-même je me sentis sur le point de jouir et, la prévenant, elle prit ma bite entre ses seins. Tandis qu’elle me branlait avec ses magnifiques seins, j’éjaculais une bonne dose de sperme sur elle, recouvrant son visage et ses seins.

Nous nous allongeâmes l’un sur l’autre pour nous reposer, tandis que dans ma tête se posait une question :— Comment ai-je pu baiser une si belle infirmière avec qui, jusqu’alors, je n’avais que des relations strictement professionnelles ?

C’était le début de la prise de conscience de ma transformation...

___________________________________________

Cindy me laissa avec regrets pour rejoindre son petit ami qui lui avait déjà laissé plusieurs messages sur son portable. J’avais la tête pleine de fantasmes, mais surtout pleine de questions.

"Avais-je un don ?" "Celui de rendre une femme nymphomane ?" Il me fallait tester et, pour cela, je me devais de prendre pour "cobaye" une femme que je connaissais bien et avec qui mes chances de coucher étaient nulles.

Cette occasion se présenta en la personne d’Anne. C’était une bonne amie de fac qui était depuis longtemps un de mes fantasmes, mais jamais je n’avais osé lui faire des avances, par peur de détruire notre amitié. Je me décidais donc à lui envoyer un message pour qu’elle vienne me rendre visite.

Elle vint me rendre visite le samedi après-midi, après le départ de Cindy, pour savoir comment j’allais. Nous nous sommes installés dans mon petit salon et avons bien papoté. Pas de remarques salaces, pas de proposition ou de provocation. Rien de sexuel, pour l’instant...

C’est là que je sentis en moi la chaleur de l’excitation et je me devais de trouver un moyen de la libérer. Je renversai négligemment un verre d’eau sur elle. Elle se leva d’un bond et, discrètement, je frôlais son corps. Mais rien ne se passa.

Je pris un second risque et frôlais ses fesses. Et Là, la même décharge électrique que ce matin se déclencha. Nous sursautâmes en même temps et elle se mit à tressaillir .

Anne se mit à geindre: 
— Me voilà toute mouillée...
— Tu n’as qu’à tout enlever pour faire sécher. Lui répondis-je pour la taquiner

Elle me glissa un regard en coin et, sous mes yeux ébahis, retira ses affaires, révélant un corps de rêve. Des seins d’une belle taille et agréables. Un sexe épilé avec un petit ticket de métro sur le pubis. Il ne m’en fallut pas plus pour bander.

Anne me glissa que, si elle devait rester nue, autant partager cette condition. Je me mis nu également, avec mon sexe déjà fièrement dressé devant elle. Elle se mit à rire de gêne puis s’avança vers moi, nos lèvres à quelques millimètres l’une de l’autre, puis, d’un coup, elle se pencha pour sucer mon sexe avec ardeur.

C’était trop bon, elle aspirait littéralement mon sexe, comme si elle voulait drainer mon sperme. Machinalement, je commençai à jouer avec ses seins qui se balançaient, mais j’étais surtout concentré sur cette fellation incroyable que mon amie me procurait.

J’appuyai sur sa tête pour enfoncer mon sexe loin et un frisson me parcourut, je jouis tout dans sa gorge, l’étouffant à moitié. Elle déglutit pour bien avaler et me dit d’un air coquin :— C’était bon, mais tu vas être tout mou, maintenant !
— Tu es sûre ? répondis-je avec un air tout aussi coquin que le sien.

Je la poussais alors sur une chaise, lui écartais les jambes et fis courir ma langue sur son sexe. J’aimais les préliminaires et je ne m’en lassais pas. J’introduisis mes doigts tout en léchant son petit bouton, et elle ne se retenait pas de gémir, sa main agrippant mes cheveux. Elle était déjà au bord de la jouissance.

Il ne m’en fallu pas plus, je sentis que ma verge durcit à nouveau et, sans prévenir, je plaçai mon gland devant son trou et enfonçai ma hampe d’un coup, ce qui la fît râler de plaisir.

— Vas-y, lâche-toi, vas-y vite et fort, me cria-t-elle.

Alors je la besognais, la pénétrant avec ardeur, sans faux romantisme, agrippant sa belle poitrine tandis qu’elle poussait son bassin pour m’accueillir en elle, son portable se mit à sonner. Je pensais qu’elle allait l’ignorer, mais elle décrocha tandis que je continuais à la pénétrer.

— Alors Maryline ? Oui, je suis chez Vincent, tu me rejoins ? Entre sans frapper, on t’attend.

Je fus stupéfait ! Une autre fille allait venir alors que je baisais déjà Anne. Une idée me vint et je l’expliquai à Anne, qui acquiesça tout en me demandant de la prendre encore plus fort.

10 minutes plus tard, je vis Maryline arriver par la fenêtre et je me dissimulais derrière la porte. Anne était restée dans le salon. Quand Maryline entra, je lui plaquais les mains aux fesses. La décharge électrique la fit sursauter, autant que lorsqu’elle me vit nu, la verge dure, et Anne débouler, nue également.

— Vous faites du naturisme ? demanda-t-elle. Si vous baisiez, vous auriez dû me le dire !

Sous l’agréable surprise de sa phrase, Anne s’approcha d’elle et l’embrassa, tout en la déshabillant. Une fois que Maryline fut nue aussi, les filles allèrent au salon pour continuer leurs ébats. Je les suivis évidemment. Une fois dans le salon je me rendis compte de la situation. J’étais chez moi, avec deux femmes qui n’avaient qu’une envie : faire l’amour. Ma transformation m’avait donné un don qui était une réelle bénédiction ! 
Anne tenait la tête de Maryline entre ses mains et lui roulait une pelle tout en la caressant. Et moi, la queue fièrement dressée, je faisais glisser ma main sur leurs corps, passant les courbes de la belle poitrine d’Anne, caressant l’adorable fessier de Maryline, pinçant un téton de Maryline, caressant le bouton d’Anne. Bref, j’étais aux anges. 
La main de Maryline se glissa sur mon sexe et elle fit de doux va-et-vient agréables. Ma main était toujours sur ses fesses, et je me décidais à faire glisser mes doigts entre elles, et frôlais donc l’anus de Maryline à plusieurs reprise. Un autre frisson la parcourut.

Je frôlais son anus sans y entrer, la faisant frissonner de plaisir, elle s’en mordillait la lèvre... Pris d’une soudaine envie, je lui enfonçai un doigt dans son cul, ce qui la fit sursauter.— Je suis vierge de ce côté-là, s’excusa-t-elle.— Pas grave. Lui repondis-je avec un air coquin qui voulait tout dire...

Je me mis donc derrière Maryline et plaça mon gland devant son cul et je m’enfonça lentement en elle. Je fis doucement des va-et-vient en elle, tandis qu’elle reprenait son souffle. Je sentais à quel point c’était serré à l’intérieur. J’étais littéralement aux anges et accéléra le rythme de mes va-et-vient dans son trou du cul.

Maryline hurla littéralement tandis que je lui baisais le cul d’une force inouï. Les yeux révulsés, elle se mit à en demander encore plus. Décidément c’était une vrai salope pour quelqu’un qui était vierge du cul il y a encore 5 minutes. Au  final, elle hurla un bon coup et je sentis son anus se contracter autour de ma verge. Elle venait d’avoir son premier orgasme de cette façon.

À peine remise de son orgasme, elle me susurra d’une voix encore chaude et sensuelle :— Mets-la-moi dans la chatte, je veux la sentir aussi de ce côté...

J’obtempérai et, alors que je la baisais, elle s’inclina vers la chatte offerte d’Anne pour lui prodiguer un magistral cunnilingus. Anne, excitée comme jamais, réclama en haletant :
— Oh ouiiiii, Maryline ! J’adore ta langue ! Elle me... rend folle...! Laisse-moi profiter aussi de la queue de Vincent !

J’étais tellement excité que je m’allongeais derrière Anne et la pénétrais sauvagement, mais sans difficulté tant elle était mouillée par l’excitation et le cunni que sa copine lui avait donné. En l’empalant sur mon sexe dressé, je lui arrachais des cris de plaisir.

Derrière moi, Maryline s’agitait, mais je ne voyais pas en quoi. Je fus surpris de la voir apparaître avec un gode. Mise en appétit par ma bite, elle avait besoin de quelque chose de dur dans son sexe. Elle l’utilisa d’abord pour se caresser la chatte tandis qu’elle titillait de l’autre main le clitoris d’Anne, érigé par la pénétration de ma queue.

L’une, pénétrée par ma bite, et l’autre, pénétrée par son gode, jouirent en même temps dans des cris et spasmes de plaisirs intenses.

Je me redressais, la bite raide, et la présenta aux filles. Elles se redressèrent et je sentis leurs langues et leurs lèvres se battre sur ma verge. C’était si bon, d’avoir deux salopes affamées en train de littéralement se battre pour me sucer la bite et récolter le sperme qui allait en jaillir dans peu de temps.

Je finis par jouir, les arrosant de mon foutre qu’elles avalèrent à moitié. Le reste glissa sur leurs corps déjà bien salit par leur sueur. Elles prirent plaisir à se lécher mutuellement pour en boire chaque goutte.

Épuisées, elles s’allongèrent côte à côte et s’endormirent rapidement.

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L’eau coulait sur mon corps, tandis que je réfléchissais à ce qu’il venait de se passer. J’ai carrément baisé (plus que faire l’amour, car, ici, il n’y avait eu que du sexe au programme) deux amies que je connaissais depuis quelques années.

"Comment réagiront mes deux amies en se rendant compte de ce qu’on a fait ?" Il fallait que je fasse attention à ce pouvoir, pour ne pas perdre toutes mes amies juste pour un plan sexe... Le monde regorge de jeunes filles inconnues.

Après cette bonne douche, je descendis voir si elles s’étaient réveillées. Je ne vis aucune trace d’elles et, un peu déçu, je retourna dans ma cuisine. Avec surprise, je découvris Anne, toujours nue, en train de grignoter des biscuits.

— Maryline est déjà partie, toute gênée, car elle devait rejoindre son copain, m’expliqua-t-elle.
— Et toi, tu ne t’es pas enfuie ?
— Pourquoi m’en irais-je ? J’ai pris un pied d’enfer tout à l’heure, maintenant j’ai faim.

Je fus abasourdi.
— Ça ne t’as pas dérangée un plan à trois avec Maryline et moi ?
— C’est vrai que j’ai été surprise que ça ait dégénéré, mais bon, c’est fait, alors autant en garder de bons souvenirs. Et toi, tu fais super bien l’amour. Je peux emprunter ta douche ?

Un peu surpris par cet aveu, je lui indiquai le chemin d’un air absent. En passant, elle glissa sa main sur mon sexe et me murmura à l’oreille :— Je laisse la porte ouverte, puisqu’il n’y a que nous deux.

Je mis quelques secondes à comprendre et je courus la rejoindre sous la douche, où nous fîmes à nouveau l’amour.
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