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Transformée

Chapitre 1

Découverte

Lesbienne
Bonjour,
Je m’appelle Emily, j’ai 19 ans et je tiens à vous raconter l’histoire qui a complètement changé ma vie.
L’été de mes 19 ans, j’ai décidé de voler de mes propres ailes et quitter le nid familial. Je n’étais pas très douée à l’école donc j’ai abandonné mes études. Je ne suis pas un mannequin non plus ; je suis un peu petite : je mesure 1,69 m, j’ai un joli corps qui me vaut beaucoup de compliments, des seins fermes et bien en place avec un joli 80 B et de jolies fesses bien moulées. Bref, je suis plutôt bien gâtée par la nature ; mais, étant timide, je n’avais pas de relations avec les mecs, et du coup je suis toujours vierge.
Je vous passe les détails, mais en cherchant un boulot et un logement, j’ai été contactée par une femme qui se disait prête à m’offrir du boulot et qu’on devait se rencontrer dans un endroit de mon choix. On fixa rapidement le rendez-vous et je m’y rendis, tout excitée à l’idée d’avoir un entretien d’embauche. Il me parut bizarre que ce fût dans une cafétéria ; mais bon, je voulais travailler et quitter mes parents.
* * *
J’arrive aux environs dix minutes avant l’heure prévue, et cinq minutes plus tard mon téléphone sonne : c’est la dame qui cherche ou je suis. Je lui indique et je la vois venir vers moi. À vrai dire, je suis charmée en la voyant ; une vraie actrice de cinéma ! Elle a environ 35 ans, de longues jambes fines, des fesses bien moulées dans sa jupe qui lui arrive aux genoux, une jolie poitrine, un 90 B, du moins c’est ce que je me suis dit. Elle est divinement maquillée et a de jolis cheveux noirs attachés. Une divinité ! Et moi qui suis hétéro, je suis séduite par elle.
Elle s’installe et me dit :
— Emily, je présume ? Je suis Sylvie. Enchantée.— Oui, c’est moi ; enchantée, balbutié-je.— Alors tu veux travailler, mais tu es jeune pour ça, non ?— En fait, j’en ai marre de rester chez mes parents, et comme je suis timide je veux quitter tout ça et voler de mes propres ailes. Pourquoi pas louer un appartement ou vivre en colocation ? Mais quitter mes parents, voilà.— J’ai peut-être ce que tu cherches. Je t’offre un boulot : tu travailleras pour moi ; u toucheras 80 euros par mois. Tu auras à t’occuper des choses que mon mari et moi nous ne pouvons faire, comme les courses, prendre des messages, payer les factures ; bref, faire les tâches de la maison, et tu n’auras pas à payer de loyer vu que tu logeras chez moi.— Vous cherchez une bonne ?— Qui parle de bonne ? Il y a une personne qui fait le ménage ; toi, tu auras à t’occuper des courses, des papiers, et tu seras logée, nourrie et payée. J’attends une réponse très rapidement, donc…— Quand est-ce que je commence ? lui dis-je immédiatement.— Dès que tes affaires sont prêtes. Tu me contactes et je viens te chercher en voiture.— D’accord !
Elle me serre la main et s’en va.
Trois jour plus tard elle vient me chercher pour aller vivre dans son grand manoir, qui est immense : deux étages. En bas, le séjour-salle à manger, la cuisine, et une salle de bain. En haut, cinq chambres dont une très spacieuse avec un grand lit, et une armoire si vaste que tous mes vêtements ne peuvent la remplir qu’à moitié. Une large fenêtre donne sur le magnifique jardin, et j’ai une salle de bain rien que pour moi !
Lorsque j’ai eu installé mes affaires, Sylvie vient me voir. Elle toque à la porte et me dit :
— Tu voudras peut-être prendre une douche ; je t’apporte des serviettes propres.— Merci, Madame. — « Sylvie », pas « Madame » voyons ! Va prendre ta douche, je t’attends pour te présenter à Christophe, mon mari.
Je remplis la baignoire, me déshabille, et rentre dans l’eau. Je commence à me savonner délicatement tout le corps. Chez nous, il n’y a pas de baignoire ; du coup, j’en profite.
Quelques minutes plus tard, Sylvie entre dans la salle de bain. Gênée, je couvre mon corps.
— Pas de ça entre nous ; pas entres filles, non. En plus, tu as un très joli corps que tu devrais exposer et non pas cacher. Pas comme moi qui commence à me faire vieille…
Elle continue d’avancer avant de s’installer sur le bord de la baignoire derrière mon dos.
— Vous êtes très belle, Sylvie ; c’est la première chose que je me suis dite en vous voyant.— Mon Dieu, je rougis ! Merci de me dire que je suis toujours belle. S’il te plaît, on se tutoie, OK ?— Oui.
Puis, sans rien dire, elle pose sa main sur mon épaule et me propose :
— Penche-toi, s’il te plaît ; je vais t’aider à te frotter le dos.
Ne sachant pas quoi faire ou dire, je m’exécute. Elle prend un gant de toilette, met de du savon, et commence à me frotter le dos délicatement. D’abord le cou et les épaules, puis elle descend jusqu’en bas.
— Lève-toi, s’il te plaît, pour que je frotte le bas du dos. Ne sois pas gênée : on est entre filles.
Je m’exécute. Elle me frotte le bas de mon dos au niveau des reins, puis elle descend sur mes fesses. Je sursaute, mais j’aime bien ses caresses et la laisse faire. Elle me demande de ressortir et de terminer seule. Dès que je m’assieds, elle me fait un bisou sur l’épaule. Je me retourne, toute surprise, puis elle m’en fait un autre sur la joue. Je reste statique, et là elle m’embrasse délicatement sur les lèvres ! Elle embrasse très bien, mieux que les garçons. Quand nos lèvres ses décollent, je lui demande pardon.
— Ne t’excuse pas : c’était très bon, et je le referai avec plaisir.
Je baisse les yeux et ne dis plus rien.

A suivre...
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