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Transformée

Chapitre 3

Approfondissement du plaisir féminin

Lesbienne
Je reprends mon souffle, ouvre les yeux ; je la regarde un moment puis je lui dis :
— Merci, je n’avais jamais ressenti ça.— Pas de merci. En guise de remerciement, embrasse-moi plutôt.
Je m’exécute. Cette fois, je l’embrasse avec la langue et je caresse ses seins en même temps, puis je lèche son sein et me mets à le téter encore une fois.
— Hmmmm, j’adore quand tu me fais ça...
Tout en continuant de goûter à son téton, je glisse ma main entre ses cuisses pour toucher sa chatte ; mais comme je n’en ai jamais touché auparavant, je ne sais comment m’y prendre. Alors Sylvie me prend la main et commence à guider mes caresses sur son con. Elle m’explique comment stimuler le clitoris, comment faire jouir une femme. Je sens sa respiration s’accélérer ; elle gémit de plus en plus fort :
— Hmmm, avec plus d’expérience, tu seras une championne au lit... Hmmm, continue, ouiiiii, vas-y !
Je continue de lui caresser la chatte ; je la sens de plus en plus mouillée. Je veux retirer ma bouche de son téton pour voir ce que je fais, mais elle m’en empêche ; elle appuie ma tête contre son sein, alors je continue à la caresser. Je laisse sa main me guider sur sa chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse avec un grand râle de plaisir :
— Aahhhhh, ouiiiii !
Elle saisit ma tête et m’embrasse langoureusement, puis je pose ma tête sur son épaule et ne dis plus rien. Quelques instants plus tard, elle me confie :
— J’ai adoré partager ce moment avec toi, Emily.— Moi aussi. Je n’avais jamais pensé pouvoir ressentir ça avec une femme.— On est plus expertes que les hommes, ma chérie ; et si tu veux, on renouvellera l’expérience.
Je la regarde droit dans les yeux en lui répondant :
— J’ai hâte !
Sylvie se lève alors, prend ses affaires, me fait un bisou sur le front, me souhaite bonne nuit et sort de la chambre. Cela a été tellement bon que je reste longtemps à revoir les images de ce qu’il s’est passé. Je sens l’odeur de ma compagne sur les draps et je m’endors, nue, tout heureuse de mon expérience.

— * *

Le lendemain, je me réveille vers 7 h du matin. Je fais ma toilette, la tête toujours dans les nuages après ma douce nuit avec Sylvie. Je m’habille rapidement, me coiffe et descends prendre le petit-déjeuner. Quand j’arrive en bas, Christophe est déjà levé, buvant un café. J’allais lui dire bonjour quand je vois une femme s’approcher. Une cinquantaine d’années, un peu grosse, pas très coquette, elle fait défaut dans le décor. Je reste immobile jusqu’à ce que Christophe me voie et m’interpelle :
— Approche ; ne t’inquiète pas, ne sois pas timide. C’est Monique, elle nous aide pour le ménage ici.— Bonjour, Monsieur ; bonjour, Madame. Enchantée.— Emily, pas de « Monsieur » : tu vis avec nous maintenant, donc pas de chichi.
J’acquiesce en souriant.Au cours du petit-déjeuner, je vois Sylvie arriver, toujours aussi belle et radieuse. Je n’ose pas trop la regarder de peur que son mari voie ou soupçonne quelque chose. On se dit un bref bonjour et on discute tous ensemble, sans plus. Avant de sortir, le couple me donne des directives sur ce que je devrai faire aujourd’hui : on me donne la liste des courses et on me demande de prendre des messages si quelqu’un en laisse ou vient les voir.
La journée se passe ainsi entre les courses, le retour à la maison pour accueillir une ou deux personnes, écouter ce qu’ils me disent, prendre des notes et répondre au téléphone. Entre toutes ces tâches, je ne peux m’empêcher de penser à Sylvie...Elle rentre vers 16h, et mon premier réflexe c’est d’aller l’accueillir. Monique étant partie, nous sommes seules ; je me jette sur elle et nous nous embrassons. Après avoir demandé de mes nouvelles, elle s’enquiert de ce que j’ai fait au cours de la journée. Je le lui explique, montre ce que j’ai fait ; elle est contente de mon travail.
— Tu as très bien fait ton travail ; je ne regrette pas de t’avoir choisie.— Merci, Sylvie, je lui réponds, toute rouge.— J’ai aimé notre nuit d’hier ; quand l’occasion se représentera, nous referons d’autres expériences, toi et moi.— D’accord !
Mais je me sens mal : je la désire, je la veux, mais c’est une femme mariée ; en plus, nous vivons chez elle, ce qui n’arrange rien.
* * *
Les deux jours suivants, rien ne se passe, mais en fin d’après-midi de mon quatrième jour, Sylvie rentre du travail et m’embrasse passionnément en me disant :
— J’ai envie de toi, tout de suite.
Rien qu’en entendant ces mots, je fonds dans ses bras, l’embrasse puis lui dis :
— Et Christophe ?— Il rentre tard : on a la soirée pour nous. Va préparer ma salle de bain, je vais me doucher d’abord.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne suis jamais entrée dans la chambre de Sylvie et Christophe. Je sais qu’ils ont eux aussi une salle de bain qui jouxte leur chambre. Je monte à l’étage, entre dans cette sublime chambre à coucher, grande, lumineuse et bien décorée. La salle de bain est équipée d’une douche à l’italienne, d’un bidet, d’une cuvette et d’un lavabo. Je pensais y trouver une baignoire, mais non. Je prends les serviettes, les dispose devant la douche, place le shampoing et le gel dans la douche. Soudain, Sylvie arrive et déclare :
— Ah, toujours là ? Très bien, déshabille-toi.
Le temps que je me déshabille que la revoilà ; elle tient dans les mains un kit d’épilation.
— Assieds-toi sur le bidet, je vais t’apprendre à enlever tes poils et prendre soin de toi.
Je m’assieds donc sur le bidet. Elle vient devant moi, m’écarte les jambes puis dépose un bisou sur ma chatte ; ça me fait sursauter. Elle passe une crème sur toute la partie qu’elle va épiler, et à l’aide du rasoir s’applique sur toute la zone, ne laissant rien. Même moi, je ne m’appliquais pas autant. Puis, quand tout est bien rasé, elle me rince la chatte et prend une deuxième crème.
— C’est une crème hydratante ; elle va te soulager, tu ne ressentiras pas de brûlure.
Elle met de la crème sur mon pubis glabre puis en passe un peu sur les lèvres de ma chatte. Plus le massage dure, plus mon excitation devient importante. Je commence à mouiller... Elle me regarde, tout sourire. On dirait qu’elle aime me voir ainsi. Je commence à gémir tellement c’est bon :
— Mmmm, tes caresses sont si douces... Mmmm...
Dès que je prononce ces mots, elle arrête son massage, va vers la douche, ouvre le robinet, règle la température de l’eau et me dit :
— Viens voir si ça te convient.
Je me lève, toute nue, et me dirige vers la douche. Après avoir testé la température de l’eau, je lui dis que c’est parfait. Elle m’invite à y entrer, et c’est ce que je fais. Puis je la vois se déshabiller : elle retire son haut, puis son soutien-gorge, me faisant découvrir ses seins. Ensuite elle retire en même temps son pantalon et sa culotte et vient me rejoindre. À peine entrée, elle me prend par la taille et m’embrasse passionnément ; j’en profite pour lui mettre la langue et lui caresser les seins et les fesses. Elle me caresse elle aussi puis, plaçant sa main sur ma chatte, elle me fait remarquer :
— Tu vois, quand c’est bien rasé, c’est plus agréable au toucher. C’est plus propre, et on ressent plus de choses.— C’est vrai... lui dis-je en soupirant.
Nos bouches se collent encore l’une contre l’autre tandis qu’elle continue de me branler ; je ne résiste pas longtemps et hurle de plaisir. Je me colle contre la paroi de la douche, lève une jambe et mets ma tête sur l’épaule de Sylvie qui continue avec plus de vigueur à stimuler mon clitoris.
— Ouiii... Mmmm, ouiii, je jouis... Ahhhh, je jouis ! Ahhhhhh...
Je ne peux dire autre chose que cela, et Sylvie continue de me branler et de me faire des bisous dans le cou. Finalement, je me convulse comme la première fois ; j’ai du mal à rester debout tandis que je jouis sous les caresses de ma compagne. Elle me rattrape du mieux qu’elle peut, m’embrasse délicatement, puis me donne ses doigts à lécher. Je pensais que cela me dégoûterait, mais non, j’aime le goût de ma mouille, surtout sur les doigts de Sylvie. J’allais poser ma main sur sa chatte quand elle me dit :
— Savonne-moi.
Je reste sur ma faim, mais je m’exécute ; je lui mets du shampoing sur les cheveux, elle frotte sa tête, du gel douche sur tout le corps, sur le cou, sur les épaules. J’en profite pour embrasser ses seins, y mettre du gel et les frotter, puis le ventre, et en arrivant sur sa chatte, je commence à la caresser, mais elle me demande de continuer de frotter le reste de son corps. Je suis vexée, mais je continue de mettre du gel sur ses cuisses, puis ses mollets. Lorsque je me relève, elle me demande :
— Mets-en sur mes pieds, s’il te plaît.
Je ne comprends pas trop, mais je ne suis pas d’humeur bavarde ; j’accède à sa demande et les frotte bien. Puis elle se retourne, et je lui frotte le dos puis les fesses rapidement. Elle se rince et me dit :
— À ton tour !
Elle me met du shampoing sur les cheveux puis me frotte tout le corps. Arrivant sur mes fesses, elle me demande de me pencher. Je me penche, ce qui lui permet de voir mon cul ; elle frotte mon trou, toute ma raie... Dès qu’elle me touche, je sursaute aussi. Je me rince puis on sort de la douche.N’en pouvant plus, je lui dis :
— Sylvie, tu as refusé que je te touche ; j’ai fait un truc qu’il ne fallait pas ?
Elle sourit :
— Voyons, bien sûr que non ! Mais je voulais finir la douche d’abord. Suis-moi.
Elle me tire par le bras, me conduit dans sa chambre, m’embrasse et m’explique :
— L’autre jour, tu n’as pas eu la chance d’expérimenter comment lécher une femme. Et sous la douche, tu aurais perdu tout le goût ; mais ici, non.
Je souris à pleines dents. Elle se met sur le bord du lit, m’invite à me mettre à genoux devant elle, puis me souffle :
— Je mouille, rien qu’à l’idée que tu me touches... Viens, et commence par le clito.
Je dégage son clitoris du bout des doigts et commence à le lécher, le mordiller, puis le mettre complètement dans ma bouche. Elle a un goût divin. Je l’entends respirer, puis gémir :
— Mmmm, c’est exquis ! Mmmm, continue... Maintenant, lèche le reste et goûte ma mouille.
Avant qu’elle n’ait terminé sa phrase, je me mets à lui lécher la totalité de sa vulve. Plaquant ma bouche sur toute sa chatte, j’embrasse ses lèvres roses, j’aspire sa mouille et je remonte sur son clito. Soudain elle écrase ma tête contre sa chatte et crie :
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est BON ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii... mmmmmmmmmmmmmmm... ouiiiiiiiii, n’arrête pas, je viens, oui je viennnnnnns...
Et elle jouit sous mes léchouilles.
À suivre...
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