Sur le chemin du retour, je ne sais pas pourquoi j’ai ressenti un peu de stress, je sais que c’est moi qui ai proposé à Sylvie que je passe un cap, mais le stress me guette, me range. Sylvie le remarque bien, ses attouchements ne sont plus coquins, mais réconfortants et doux. Une caresse sur la joue, une autre dans les cheveux pour les arranger. Elle me prend la main, et l’embrasse. Pourtant elle ne dit rien jusqu’à ce que nous arrivions dans un carrefour : Petite chatte, ne sois pas nerveuse, écoute, on ne dit rien à Christophe pour ce que tu m’as dit aujourd’hui... Non... mais j’en ai envie ... Enfin, je sais... Emily ma chérie, on ne lui dit rien et on laisse les choses venir toutes seules, c’est mieux, dans nos moments de partage, il faut que ce soit spontané, naturel, et intuitif. On ne programme rien, on laisse les choses se dérouler, OK ? Oui, lui répondis-je. Une fois à la maison, on range les courses, Sylvie prend le téléphone pour commander à manger. Quant à moi, je prends la direction de la chambre pour me changer.Je retire le seul bout de tissus que je porte, cette robe d’été légère et fine que je laisse glisser tout au long de mon corps. Je me mets face au miroir, je palpe mes seins, que je trouve à vrai dire beaux. Je détache mes cheveux, et je repense à toutes les aventures que j’ai pu vivre ces dernières semaines ici. Je suis passée de cette jeune fille naïve, qui s’exprime que par des bouts de phrases timidement prononcés, à cette jeune femme qui ose des attouchements sexuels en public et qui ne fait point fi de ses inhibitions, qui laisse parler ses envies et ses désirs les plus enfouis.En rêvassant ainsi, je n’entends pas Sylvie entrer dans la chambre, une fois proche de moi, je l’entends dire : Tu as raison d’admirer ton corps, il est juste divin. Oh non... enfin ... Non ? Non quoi ? Je voulais dire merci.
Je deviens toute rouge face à elle. Sylvie s’approche de moi, met ses mains autour de ma taille, m’enlace tendrement, me regarde dans les yeux puis m’embrasse. Ce baiser, je l’ai senti vraiment d’une manière très spéciale. Le contact des lèvres de ma compagne sur les miennes me donne des frissons sur tout le corps. Je me blottis encore plus contre elle, et Sylvie renforce son étreinte et je me laisse aller dans ses bras. Une fois que nos bouches se décollent, je garde les yeux fermés. Sylvie en profite pour me faire un bisou sur le front : Va remplir ta baignoire, prends un bain, tu en as besoin, ça t’aidera à te détendre mon ange. Je lui souris, lui donne un bisou sur la bouche et prends la direction de la salle de bain. En me retournant, elle me donne une petite tape sur les fesses. Une fois la baignoire pleine, je mets les lotions que m’a offertes Sylvie. Je rentre dans l’eau chaude et je me laisse aller. Quelques instants plus tard, Sylvie ouvre la porte, me salue, puis prend des bougies parfumées, les dispose tout autour de la baignoire, éteint la lumière, une vraie ambiance romantique.
Sylvie se déshabille et vient me rejoindre dans l’eau. La baignoire est large, j’écarte les jambes et elle vient s’adosser contre moi. Instinctivement, je lui caresse les épaules, puis je mets mes deux mains autour de la taille de ma douce. Elle tourne un peu la tête, et on commence à s’embrasser tendrement. On s’effleure les lèvres doucement, c’est doux, tant de douceur qu’on se donne l’une l’autre. Elle me caresse tant bien que mal les cuisses, et moi, je mets mes mains sur ses seins que je caresse et malaxe doucement. Je fais rouler mes mains sur ses seins puis, je lui pince les tétons, elle gémit doucement. Je continue de l’embrasser sur la bouche, puis je commence à lui faire des bisous sur la nuque, elle gémit de nouveau. J’en profite alors pour aller chercher son intimité. Je lui caresse la chatte doucement, et je continue de lui donner des bisous sur la joue, puis on commence à s’embrasser de nouveau. Cela m’excite et excite Sylvie au plus haut point. Mes mouvements sur sa chatte commencent à être plus rapides plus frénétiques. Soudain, elle se cambre ; elle hurle son plaisir puis elle se retire. Elle se retourne vers moi, je me mets à genoux, tout comme elle, on s’enlace, puis on s’embrasse à nouveau. Sylvie ouvre le robinet, me rince puis fait de même, on se roule dans une serviette pour nous sécher et on prend la direction de la chambre. Sylvie me bouscule, me jette littéralement sur le lit, et vient se coucher sur moi. Nos bouches se collent, nos lèvres se touchent, nos langues s’en mêlent et nos mains voyagent sur nos corps. Sylvie va sur mes tétons, lèche mes aréoles, puis prend dans sa bouche mon téton. Elle le suce bruyamment, elle me regarde et son visage s’illumine. Quant à moi, je me laisse aller à cette caresse buccale. Je gémis doucement. Sa main droite va sur ma chatte cherche mon clito qu’elle n’a pas eu trop de difficulté à trouver, tant il était déjà dur. Elle se sert de ma mouille pour me branler. Et je ne tarde pas à jouir : Ouiiiiiiiiiiiiiii Mon Dieu ; que c’est bon, ouiiiiiiiiiii. Appelle-moi Sylvie ; me dit-elle en me faisant un clin d’il. Elle descend sur mon ventre ; puis m’écarte les cuisses de manière fort vigoureuse, et sans crier gare, elle met sa bouche sur ma vulve, et commence à me lécher. Je sens sa langue sur ma chatte, sur mes lèvres vaginales. Elle le fait tellement bien que là aussi. Je m’agrippe sur les draps et je ne tarde pas à venir. Je lui plaque la tête contre ma chatte et je crie mon plaisir.Une fois calmé, je relâche la tête de Sylvie et je garde les yeux fermés. Soudain, je sens une bouche venir se coller contre la mienne. Surprise, j’ouvre les yeux et je constate pour mon plus grand plaisir que Christophe est venu nous rejoindre. Tu es là depuis quand ? L’interrogea Sylvie. Depuis assez longtemps, pour que vous me fassiez bander très dur mes déesses. Sylvie me quitte un moment et va embrasser son mari, qui se déshabille déjà. En effet, il bande fort. Il vient vers moi, qui suis toujours allongée, Sylvie reprend sa place entre mes cuisses.Christophe s’installe devant moi et commence par m’embrasser. Il me met ensuite sa bite devant ma bouche, je la prends en bouche sans utiliser les mains. Ma tête fait des va-et-vient, pour lui donner de bonnes sensations. Un moment plus tard, il commence à me donner des coups de reins, comme s’il pénètre ma bouche. J’ai eu du mal au début, mais après l’avoir entendu râler de plaisir, j’arrive à m’oublier. Sylvie quitte ma chatte et va vers la bouche de son mari pour l’embrasser. Il en profite pour lui mettre la main sur la chatte et il se met à la masturber. De là où j’étais, je pouvais le voir lui mettre deux doigts dans la chatte. Après quelques minutes, Christophe se retire de ma bouche, j’aime son goût. Il va derrière Sylvie qui se met à quatre pattes pour venir me sucer les seins. Christophe en profite pour pénétrer sa femme en levrette. Elle soupire profondément quand son homme l’embroche. Elle respire fort, son mari commence doucement, puis je sens les coups de boutoir s’accélérer au fur et à mesure, et les gémissements de Sylvie suivent le rythme. Sylvie et à la grande surprise de son mari, se retire de lui et se retourne pour l’embrasser, elle le prend ensuite par la main et lui demande de me lécher. Ils le font ensemble en même temps. Deux bouches, deux langues qui me font le plus grand bien. Je mouille abondamment, je ne sais plus si c’est ma mouille ou la salive, je m’en fous, je jouis. Sylvie lève la tête et me regarde. Je comprends que c’est pour me demander si je suis prête pour recevoir ma première pénétration. Je lui fais oui de la tête. Elle se baisse alors et dit : Mon chéri, fais d’elle une femme. Elle te veut.
Christophe sourit et monte sur moi pour m’embrasser langoureusement. Puis sa femme vient le remplacer. Lui va se placer contre mon con. Je sens sa bite frôler ma chatte. Sylvie m’embrasse en me prenant la main. Son homme commence à me pénétrer doucement. Je sens ce membre viril entrer en moi. Je serre la main de Sylvie qui continue de m’embrasser puis me souffle à l’oreille : Détends-toi, et oublie-toi. C’est ce que je fais. Je laisse cet homme se faire un passage dans ma chatte. Je sens une légère gêne à un certain moment, je pense que lui aussi, mais il sait rester doux et continue doucement à entrer en moi.Une fois totalement entré, il reste un moment sans bouger. Puis il commence un léger va-et-vient, tout doucement. Sylvie et moi continuons de nous embrasser. Mais plus les va-et-vient allaient, plus je sentais le besoin de gémir de crier mon plaisir. Je décolle ma bouche de celle de Sylvie et commence à gémir doucement, avec chaque coup, je gémis encore et encore. Christophe vient m’embrasser, je sens tout son corps contre moi, et je ne voudrais être nulle part ailleurs qu’ici. J’enroule mes mains contre lui, il me regarde droit dans les yeux, et accélère un peu. Je lui fais signe que j’aime et il continue alors à aller de plus en plus vite. On échange les baisers tous les trois. Moi je jouis une fois puis deux, tout mon corps sent le plaisir.Je sens que Christophe se redit un peu, et comprends qu’il va jouir, je plaque mes mains contre ses fesses : Viens en moi, ne sors pas. Il accélère alors et sa respiration devient plus bruyante. Ses coups sont plus secs et me procurent les meilleures sensations. Il se baisse, vient mettre sa tête au creux de mon épaule et je le sens se déverser en moi, il lance un grand râle de plaisir. Une fois remis, il me caresse les cheveux, se retire de moi, et m’embrasse tendrement, puis c’est le tour de Sylvie de m’embrasser.Depuis ce jour, je suis la femme de Christophe et de Sylvie, nous formons un couple à trois, tous ensemble, nous dormons dans le même lit, on fait l’amour tous ensemble à trois. Aujourd’hui, j’ai 30 ans et j’ose raconter mon aventure à une autre personne. L’histoire de ma transformation, mon passage vers la vie d’une femme épanouie.Mon fils, notre fils a très bien intégré le fait d’avoir trois parents et nous formons une famille pas classique, mais extrêmement heureuse. À bientôt pour de nouvelles aventures.
