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Transport(ée)

Chapitre 1

Coralie, jeune brune fraîchement divorcée est contrainte de prendre les transports en commun pour se rendre à son travail. Une rencontre particulière va la mener bien plus loin qu'elle l'aurait imaginé.

Avec plusieurs hommes
Transport (ée)

Ce matin-là, Coralie a une bien mauvaise surprise en partant au travail. Sa voiture, une antiquité, vient de rendre l’âme. Elle panique. Son patron déteste les retards et ses finances ne lui permettent pas de perdre ce job d’hôtesse d’accueil.
Cinq heures. Il est bien trop tôt pour songer à appeler un proche, mais pas encore pour trouver une autre solution. Le taxi, on oublie, bien trop cher. Depuis son divorce, Coralie peine à joindre les deux bouts. Elle a dû déménager dans un petit studio loué par un couple en banlieue parisienne. C’est plus loin de son lieu de travail, mais beaucoup moins cher qu’en plein Paris.
Séparée depuis peu, Coralie a partagé sa vie avec le même homme pendant six ans. Quand Patrick l’a quittée quelques mois plus tôt pour refaire sa vie avec une autre, elle n’a pas été surprise, au contraire. Cela faisait des années que leur couple battait de l’aile. Monotonie et absence de rapports sexuels ont eu raison de leur amour et voilà qu’à 26ans, Coralie se retrouve célibataire.
Elle consulte les horaires de bus et s’aperçoit avec joie qu’elle arrivera dans les temps au travail. Le plus long trajet se fera en bus, puis elle devra changer pour prendre le métro.
Soulagée, elle se dirige vers l’abribus. Son déménagement est récent et elle n’a encore jamais pris le bus à cette station. La matinée est froide, le brouillard a envahi les rues. Grelottante, Coralie regrette d’avoir mis cette robe. Malgré son trench-coat, le froid s’engouffre sous sa robe et ses fesses sont gelées.
— Quelle idée de mettre un string et des bas aussi !
Se fustige-t-elle intérieurement.

Coralie a toujours apprécié porter des tenues sexy, elle aime se sentir désirable, ça renforce sa confiance en soi. Son ex-mari lui reprochait souvent ces accoutrements : il la traitait de salope, de perverse. Tout comme au lit, alors qu’elle aspirait à un peu de fougue et de nouveauté, lui ne trouvait de plaisir que dans des ébats tièdes et insipides. Lasse d’attendre un quelconque changement, elle préférait s’adonner aux plaisirs solitaires qui avaient le mérite de la faire jouir, eux au moins.
A l’arrêt de bus, deux hommes arrêtent leur discussion pour la saluer poliment. Elle leur rend timidement. Les minutes passent et bien qu’ils aient repris leur conversation, elle sent leurs regards posés sur elle. Étrangement, cela ne l’angoisse pas. Elle en est même flattée. Il y a si longtemps qu’un homme ne l’a pas touchée qu’elle en est toute troublée. Ce picotement dans le bas-ventre, signe évident de son excitation, lui avait tant manqué!
Du coin de l’œil, elle les observe: environ une trentaine d’années, l’un est brun, plutôt grand et bien bâti, l’autre blond, de taille moyenne. A ce qu’elle constate, ce sont des hommes normaux, certainement des pères de famille, contents de voir leur routine matinale un peu pimentée en cette froide matinée.
Quand le bus arrive enfin, ils la laissent passer en premier et elle en profite pour onduler un peu plus qu’à l’accoutumée son sublime fessier. Elle s’assoit au fond du bus, peu rempli à cette heure, et n’est pas surprise de voir les deux hommes s’installer derrière elle. Coralie sent monter en elle un désir intense, comme si ces dernières semaines d’abstinence avaient levé ses inhibitions.
Trente minutes. C’est la durée du trajet avant son changement. Si elle veut faire quelque chose, c’est maintenant ou jamais. Coralie ouvre les premiers boutons de son trench-coat et joue négligemment avec une mèche de ses cheveux bruns. Les deux hommes ne parlent pas, mais elle entend leurs respirations. Allumer ces hommes la rend si fière et si audacieuse... elle ne se savait pas capable d’un tel comportement et pourtant c’est bien elle qui est en train de dévoiler une vue imprenable sur son décolleté plongeant.
Elle a de quoi être fière d’exhiber sa belle poitrine, quand on est autant gâtée par la nature, il est normal de vouloir en faire profiter les autres. L’homme brun est le mieux placé pour admirer ce beau spectacle et il n’en loupe pas une miette.
Elle pousse le jeu un peu plus loin en écartant les cuisses qu’elle gardait serrées jusqu’à présent. Le trench-coat ouvert, les hommes peuvent maintenant apercevoir la lisière de ses bas. Coralie continue de jouer avec ses cheveux, passant la mèche sur sa poitrine généreuse comme de douces caresses. Derrière elle, les deux trentenaires commencent à remuer sur leurs sièges et leur respiration est de plus en plus erratique. Elle ne regarde pas en arrière, pas besoin pour deviner ce qu’ils font, les bruits parlent d’eux même. Même si elle meurt d’envie de les voir en train de se masturber, elle sait que si elle croise leurs regards, cela signifierait qu’elle veut aller plus loin. Et pour le moment, elle ignore encore comment elle envisage la suite.
L’exhibition est une chose, passer à l’acte en est une autre. Jusqu’où est-elle prête à aller ?
Elle sent au fond d’elle quelque chose de profondément endormi surgir petit à petit. Un sentiment de luxure exquis. Voilà des mois qu’elle n’a pas eu de relations sexuelles avec un autre homme et avant son ex-mari, elle n’a eu que très peu d’amants.
Quand elle se décide enfin à plonger son regard bleu azur dans les yeux sombres de l’homme brun, elle y discerne une lueur de convoitise bien agréable qui la fait frissonner. Hélas, le bus est arrivé à destination et elle redescend vite sur terre, craignant de manquer son métro. A contrecœur, elle jette un dernier regard empli de regrets aux deux inconnus avant de descendre du bus.
Encore toute retournée par cet épisode, elle s’engouffre dans la rame de métro sans remarquer qu’elle est suivie. Il y a beaucoup de monde à cette heure, la rame est bondée. Les passagers, agglutinés, semblent tous dans leur bulle, encore mal réveillés. Coralie se cramponne à une barre métallique, essayant de garder l’équilibre sans entrer en contact avec d’autres. Entre ses cuisses, son string est trempé et, idiotement, elle a l’impression que les autres peuvent le deviner.
Une main se pose au-dessus de la sienne, puis une autre en dessous et la voilà prise en sandwich entre deux hommes, presque collée à eux.
Ce n’est que lorsqu’elle lève les yeux et croise le regard sombre de l’homme du bus qu’elle comprend que son petit jeu de tout à l’heure entraîne des conséquences, et qu’elle est sur le point de les assumer.
Les yeux bruns de l’homme sont animés d’une flamme de désir si intense, que Coralie reste figée, incapable du moindre mouvement. Petit à petit, ils se rapprochent et bientôt, elle sent contre ses fesses l’envie impérieuse de l’homme derrière elle. Il se frotte doucement, se presse entre ses fesses tandis que l’autre fait de même de son côté. Le balancement est discret et personne ne peut deviner sans observer attentivement ce qu’il se passe dans cette rame de métro. Coralie se mord les lèvres pour retenir ses gémissements. Cela fait si longtemps qu’elle ne s’était pas sentie si femme, si désirable. Elle en veut plus, mais impossible pour elle de faire ça ici, devant tous ces gens !
Pourtant, quand le brun commence discrètement à passer sa main sur sa cuisse, remontant jusqu’à la peau dénudée, elle ne l’arrête pas. Pire, elle écarte un peu plus les cuisses pour lui permettre d’accéder à son intimité. Ce dernier ne se fait pas prier et glisse directement un doigt dans sa grotte humide.
L’homme derrière elle continue de presser son érection sur ses fesses et sa main libre se faufile elle aussi entre ses cuisses pour y titiller le clitoris. Coralie se sent défaillir quand un deuxième doigt s’enfonce en elle et soudainement, elle est prise d’un orgasme bref, mais si intense que ses jambes cèdent sous son poids.
Heureusement, l’inconnu derrière la retient par la taille, pendant que l’autre amène ses doigts à sa bouche pour savourer le goût de sa cyprine.
Ils continuent leurs frottements, jusqu’à ce qu’elle entende la respiration du blond s’affoler. Il est visiblement en train de jouir.
Audacieuse, Coralie passe sa main sur le renflement du jean de l’homme brun. Elle est ravie d’y trouver une bosse de belle taille et bien ferme. Ca lui donne furieusement envie d’y goûter, mais impossible...
Au lieu de ça, elle enfouit sa main dans le jean du brun, entoure ce sexe tendu de ses doigts agiles et le presse doucement. Il grogne lorsque son pouce frôle le méat et étale la perle de liquide préséminal sur son gland qui maintenant dépasse du pantalon. Coralie étreint plus fort le membre gonflé d’excitation. Au moment où son plaisir atteint son apogée, elle referme le poing sur le gland, recueillant la semence épaisse dans sa paume.
Alors qu’elle reprend ses esprits, l’homme se rapproche de son oreille et lui souffle :
— C’était très agréable, merci.
Elle rougit, gardant sa main poisseuse serrée contre elle. Maintenant que les effets de l’orgasme se sont dissipés, elle se sent honteuse et lance des regards alertes autour d’elle.
— Les autres passagers n’ont pas l’air d’avoir remarqué quelque chose, ouf !
Songe-t-elle avec soulagement

Les deux inconnus se sont écartés légèrement et le contact chaud de leurs corps lui manque. Honte et fierté, confusion et maîtrise de soi, frustration et désir: Coralie est chamboulée par toutes ces émotions contradictoires.
Elle n’a jamais ressenti ça auparavant, pouvoir laisser libre cours à ses pulsions sans se préoccuper de la réalité, savourer la moindre seconde de plaisir volé.
Dans sa tête, un combat fait rage entre raison et désir. Son appétit est loin d’être rassasié, elle a envie de bien plus que de simples caresses. Se sentir remplie, possédée par ces deux hommes comme jamais encore elle n’avait été prise.
Pourtant, il faut à tout prix qu’elle se rende au travail. Perdre son emploi n’est pas une option envisageable. Et elle n’a aucune idée de qui sont réellement ces hommes. Il se pourrait bien que ce soient des psychopathes.
Le métro arrive enfin à la station, précipitant sa décision. Elle franchit les portes du wagon, les yeux baissés, honteuse de son comportement si scandaleux.
Dès qu’elle arrive au travail, elle se rue aux toilettes pour laver ses mains, les preuves de sa dépravation. En apercevant son reflet dans le miroir, elle reste figée.
Qui est cette femme échevelée, au maquillage légèrement entaché par les événements précédents et dont les yeux bleus brûlent d’un désir inassouvi ? Coralie ne se reconnaît plus.
Ce qu’elle a fait la rend honteuse, mais pas plus que ce qu’elle aurait pu faire si elle avait eu plus de temps.
La journée passe, lentement. L’envie, elle, demeure, sourde et tenace. En sortant du travail, elle repense à cette matinée intense et rejoint le bouche de métro, la tête dans les nuages.
Elle se heurte au torse ferme d’un homme et se retrouve enserrée par deux bras puissants qui l’empêchent de vaciller. En levant les yeux pour s’excuser auprès de cet inconnu, elle réalise qu’il n’en est pas vraiment un. L’homme qui la serre entre ses bras et plonge ses yeux dans les siens n’est autre que le brun de ce matin.
Sa découverte déclenche en elle un frisson et cette douce chaleur dans son bas-ventre revient s’imposer à elle. Il desserre son étreinte, lui laissant la liberté de reculer, mais elle reste contre lui.
— J’ai pensé à vous toute la journée, dit-il, je n’ai pas pu m’empêcher d’essayer de vous retrouver. — Notre petite expérience dans le métro vous a donné des idées ? S’amuse-t-elle.— Disons qu’elle m’a laissé sur ma faim, rétorque-t-il avec un sourire narquois. Je déteste ce sentiment d’inachevé et je compte bien y remédier.— Comment ? Fait elle, surprise.— Suivez-moi, ordonne-t-il, sûr de lui.
Il lui prend la main et la conduit d’un pas assuré vers une voiture qui attendait là. Elle se fige quand elle réalise qu’elle ne sait pas où il compte l’emmener. Elle a beau avoir très envie de lui, la façon dont il a orchestré tout ça la laisse perplexe.
— Où va-t-on ? — Chez mon ami Christophe, celui qui était avec moi ce matin. Il nous attend. Cela fait une heure que je vous cherchais dans la foule.— Et comment pouviez-vous être certain que j’accepte de vous suivre ?— Ma belle, vous êtes chaude comme la braise, dit-il en plongeant ses yeux sombres dans les siens, j’ai senti que vous aviez envie de bien plus qu’un simple frottement dans les transports publics. Je l’ai lu dans vos yeux. Soyez honnête.
Coralie reste muette, incapable de se décider.
— Venez, je vous assure que vous n’aurez rien à craindre, si ce n’est de prendre beaucoup de plaisir.
Parfois, le manque de sexe peut vous faire faire des choses dont vous ne vous croiriez pas capable. Et c’est le cas pour Coralie. Jamais avant elle n’aurait osé suivre un inconnu sans rien savoir sur la suite des événements. Elle prend le risque, attirée par sa proposition et le suit dans la voiture.
L’homme reste silencieux tandis qu’ils se faufilent hors de la capitale. Le trajet prend du temps et Coralie commence à avoir chaud.
— C’est encore loin ? ose-t-elle demander d’une toute petite voix.— Une bonne demi-heure, dit-il en fixant la route.
Légèrement vexée qu’il ne lui accorde pas un regard, elle contemple le paysage défiler à travers la vitre. La circulation est fluide, assez pour ce qui lui vient en tête. Coralie ouvre son trench-coat en grand et écarte bien les cuisses. Elle pose ses mains sur ses genoux puis remonte lentement jusqu’à ses hanches, emmenant le tissu de sa robe dans son sillage.
— Au fait, je m’appelle Coralie, dit-elle pour attirer son attention.
Et c’est chose faite, car quand il la voit, assise sur le siège à côté en train de glisser ses doigts entre ses jambes, son flegme s’effrite d’un seul coup.
— Éric, dit-il dans un soupir.— Ca ne vous dérange pas si je me déshabille ? Il fait vraiment trop chaud dans cette voiture...— Mettez-vous à l’aise, articule-t-il en reprenant un semblant de calme.
Coralie enlève alors le string déjà trempé et expose un peu plus sa vulve gonflée aux yeux du conducteur plus vraiment concentré sur la route. Il ralentit et profite d’un changement de vitesse pour poser sa main sur sa cuisse et remonter jusqu’à ce que ses doigts atteignent la moiteur de son désir.
— Vous m’avez l’air bien impatiente... commente-t-il en agaçant son bourgeon de chair tendu.
Elle se trémousse sur le siège et pousse des soupirs impossibles à contenir. Le plaisir est tel qu’elle se laisse aller aux caresses de cet homme, ferme les yeux pour mieux savourer.
Elle sursaute presque quand ce dernier se retire et repose sa main sur le volant. Il lui jette un coup d’œil entendu en direction de la grosse bosse qui déforme son jean. Coralie ouvre la braguette et en sort le membre imposant qui y était prisonnier.
— Il est déjà bien dur. Hmmm belle taille... se dit-elle en empoignant son sexe dressé.

Alors qu’elle fait coulisser ses doigts le long de sa hampe, elle décide d’aller plus loin et se penche pour venir goûter cette verge qui lui fait tant envie. Elle lèche ce morceau de chair de fond en comble, pas le moindre carré de peau ne lui échappe. Sa langue glisse de ses bourses jusqu’au méat puis s’enroule autour de son gland. Quelle douce et chaude étreinte ! Enfin, elle le prend dans sa bouche, l’engloutit aussi loin qu’elle peut.
Éric ne s’attendait pas à tant d’engouement. Il essaie de se concentrer sur la route, mais Coralie y met tout son cœur, aspirant et suçant son sexe déjà presque à bout. Il se gare sur le bord de la route. Inutile de résister, il est bien trop près de la jouissance. Il pose sa main dans la longue chevelure brune de Coralie et lui impose une gorge profonde dans laquelle il explose en de grosses giclées, rugissant de plaisir.
Coralie est obligée d’avaler pour ne pas s’étouffer et le goût lui plaît particulièrement. C’est la première fois qu’elle goûtait le sperme d’un homme. Son ex trouvait qu’avaler était vulgaire.
Au diable la vulgarité ! Toutes ces années, elle est passée à côté de tellement de choses sous prétexte de passer pour une perverse. Assumer sa sexualité et vivre ses fantasmes, c’est donc ça être une salope ? Et bien soit, elle en sera une alors. Peu importe le regard des autres, ce qui compte réellement, c’est ce plaisir qu’elle prend, cette liberté d’être soi-même.
— J’ai hâte que Christophe goûte à tes talents en matière de fellation, tu es particulièrement douée. — Ce n’est pas ce que mon ex-mari disait...— Et bien tant mieux pour nous s’il est aveugle à ce point. Quel homme sain d’esprit refuserait une telle pipe de ta part ?— Disons qu’il préférait le sexe tout ce qu’il y était de plus basique. — Tu parles du sempiternel missionnaire ? Alors tu ne seras pas déçue ma belle, on va très bien s’occuper de toi. Plus que quelques minutes et nous arrivons. J’ai hâte de goûter à ta petite chatte...
Coralie frissonne d’anticipation. L’idée de recevoir ce genre de caresses l’excite terriblement. Son ex pratiquait le cunnilingus aussi souvent qu’elle la fellation, c’est-à-dire rarement. Décidément, cette journée est pleine de surprises et de nouveauté.
Ils arrivent jusqu’à un quartier dans une banlieue en campagne et Eric se gare devant une maison mitoyenne, copie conforme de ses voisines. Le genre de quartier récemment construit, empli de petites familles bien sous tout rapport.
Le dénommé Christophe leur ouvre la porte avec un grand sourire. Les deux hommes accompagnent Coralie au salon où elle peut apprécier la simplicité des lieux. Seules quelques photos, disséminées par-ci par-là montrent l’hôte en compagnie de sa femme, prouvant que c’est bien le propriétaire des lieux.
Elle s’installe sur le canapé et décline poliment le verre que Christophe lui propose.
— Bien, passons aux choses sérieuses, dit Eric en se déshabillant, montrez-moi ce que vous dissimulez sous cette robe.
Coralie contemple cet homme bien bâti et tandis que son acolyte se dévêt lui aussi, elle salive d’impatience à l’idée de ce qui va suivre.
Elle fait glisser doucement les bretelles de sa robe, dénudant ses épaules, puis dégrafe son soutien-gorge pour libérer sa poitrine. Les deux hommes observent son effeuillage, leurs sexes déjà bien dressés en main. Coralie prend tout son temps pour retirer la robe en coton noire qui lui moulait le corps à la perfection. La voilà maintenant entièrement dévêtue à l’exception de ses bas, assise sur le canapé, jambes écartées, attendant que l’un des hommes fasse le premier pas.
C’est Éric qui s’agenouille le premier pour parsemer de baisers la jambe de Coralie, partant de son genou pour arriver jusqu’à sa vulve déjà ouverte et luisante de son excitation. Elle frémit quand elle sent son souffle chaud entre ses cuisses et ferme les yeux pour savourer la douceur de ces caresses.
Le contact chaud du sexe de Christophe venant se frotter contre sa joue lui fait ouvrir les yeux. Par réflexe, elle ouvre la bouche, ravie d’avoir une autre verge à goûter et aspire le gland présenté devant elle. Ses lèvres l’enserrent et coulissent le long de son membre, l’avalant de moitié, puis elle vient lécher ses bourses, les gobe une à une. Christophe empaume un de ses seins, le presse sans délicatesse, le masse. Il vient ensuite pincer son mamelon, doucement puis un peu plus fort.
Elle ne peut s’empêcher de se figer quand Eric commence à glisser sa langue entre ses lèvres et use de ses doigts pour agacer son clitoris. Coralie laisse échapper un cri lorsque ce dernier aspire entre ses lèvres le bourgeon de chair et Christophe profite de cette occasion pour lui enfiler son sexe dans la bouche.
Elle gémit et se trémousse pour échapper à ces incursions, mais il passe ses mains dans sa crinière et l’empoigne d’une main ferme pour forcer le passage de sa gorge. Elle réussit à engloutir son sexe en entier, la tête collée à son torse et bloque sa respiration afin de tenir le plus longtemps possible. C’est si bon de se sentir possédée ainsi. Jamais encore elle n’a connu ça. Les larmes coulent sur ses joues, mais elle n’en a cure. Tout ce qui lui importe c’est le plaisir, la volupté intense dont elle est envahie. Eric ne rend pas les choses faciles. Il dévore sa petite chatte gourmande, y enfonce quelques doigts et tandis que Christophe fait aller et venir son sexe dans la gorge de Coralie tout en lui maintenant la tête, il l’amène aux frontières de l’orgasme.
Ils l’abandonnent, tremblante de désir et de frustration, sur le canapé de cuir blanc. Éric enfile un préservatif et revient directement s’immiscer en elle.
Elle manque presque de jouir tant le plaisir de sentir un membre imposant investir son jardin secret, en jachère depuis trop longtemps, est grand. Éric grogne, ses coups de bassins sont de plus en plus secs. Il fait encore quelques aller-retour, mais se retire presque aussitôt pour la prendre par la taille et la retourner à quatre pattes sur l’accoudoir.
Christophe en profite pour lui présenter son sexe et elle n’hésite pas une seconde à le prendre en bouche alors que Eric écarte les globes de ses fesses pour dévoiler ses orifices. Il positionne son gland devant son anus, exerce quelques poussées, mais s’arrête lorsque Coralie grogne pour signaler son mécontentement. Il pénètre alors sa grotte exquise et laisse échapper un grondement de satisfaction :
— Tu es si serrée... c’est trop bon, dit-il en allant et venant à un rythme lent, Christophe, viens l’essayer, j’ai bien envie de me faire sucer.
Ils changent de place et tandis que l’un enlève son préservatif pour glisser son sexe dans la bouche d’une Coralie ivre de sensations, l’autre en enfile un avant de s’enfoncer dans son antre humide. Ils ne sont plus que plaisirs et griseries. Coralie s’active avec ferveur sur le membre d’Éric, ce dernier la laissant guider la profondeur et le rythme qu’elle désire. Christophe s’est emparé de ses hanches et ramène la croupe vers lui pour s’empaler à un rythme de plus en plus fou.
Le son du claquement de la peau couvre presque les gémissements étouffés de Coralie tellement Christophe semble déchaîné. Son sexe sort de son fourreau et alors qu’il rencontre une étrange résistance, il pousse plus fort pour s’enfoncer dans ses tréfonds. Il ne réalise qu’une fois son gland compressé dans cet étroit orifice qu’il est en train de la sodomiser. Coralie recrache le sexe d’Éric pour s’insurger.
— Tu te trompes de trou... lance-t-elle en le foudroyant du regard.— Oh ! fait-il en s’immobilisant.
Il ne rentre pas plus, mais ne se retire pas non plus, la tentation est bien trop grande... Il la tient toujours par les hanches, pour éviter qu’elle ne se dérobe.
— Maintenant que je suis dedans, dit-il, je fais juste un aller et je sors.
Et il pousse d’un seul coup son sexe bien au fond de son rectum, sous les cris de Coralie, vite étouffés par le membre d’Éric venu reprendre sa place dans sa gorge. Bien ancré dans ses tréfonds, Christophe savoure la chaleur de cette chair qui l’enserre si fort.Coralie grimace. Elle n’a jamais essayé la sodomie et ne pensait pas tester aujourd’hui. Elle se sent déchirée, la présence de ce sexe en elle est vraiment inconfortable. La douleur est forte, mais s’atténue petit à petit. Éric lui impose une gorge profonde comme elle adore et l’excitation refait surface.
Christophe reste fiché un moment, se délecte des accoups donnés par son ami en train de baiser la bouche de Coralie et appose sa main sur sa vulve pour en agacer le clitoris. Il maltraite ce bouton de chair gonflé d’excitation, joue avec, le pousse à bout avant de l’abandonner, la faisant frémir.
C’est d’elle même qu’elle ondule maintenant, cherchant la main malicieuse qui s’amuse à la frustrer. Le sexe dans son cul coulisse, pour le plus grand plaisir de Christophe qui commence à adopter un rythme effréné.
— Putain son cul est divin Eric ! Prends-la, j’ai envie de jouir sur ses beaux yeux bleus.
A nouveau, ils échangent leurs places et Éric ne se fait pas prier pour s’introduire directement jusqu’à la garde dans son petit cul tout juste défloré. Il l’assaille de coups de reins puissants tandis que Christophe hurle presque en éjaculant de longues giclées de sperme épais qui viennent s’étaler sur son front, ses joues et ses lèvres.
Coralie sent la jouissance monter, un plaisir encore inconnu provenant d’un endroit inexploré auparavant. Alors que l’imposant membre d’Éric martèle son postérieur, elle est prise d’un violent orgasme et atteint les sommets de l’extase. Toute sa chair se resserre spasmodiquement autour de cette verge inquisitrice qui s’acharne encore et encore jusqu’à ce qu’enfin, il ne se retire pour se débarrasser du préservatif et exploser sur sa croupe sublime. La semence épaisse coule dans le sillon de ses fesses, atteint son anus dilaté par ces deux hommes pour venir dégouliner entre ses lèvres.
Coralie s’écroule sur le canapé, tremblante et encore sur un petit nuage.
— Wahou ! s’écrie Christophe, c’était intense. Tu es vraiment douée. J’espère que je ne t’ai pas trop fait mal. Je suis désolé, j’aurais dû sortir, mais c’était si bon...— Non, ça va ne t’inquiète pas. Je n’avais encore jamais essayé la sodomie et malgré la douleur du début, j’ai trouvé ça exceptionnel. Vous m’avez fait découvrir des sensations inédites, messieurs, je vous en remercie.
Éric lui prend la main et lui propose :
— Viens, je vais te montrer la salle de bain, tu pourras prendre une douche.— Merci, répond-elle en peinant à se lever.
Eric la mène dans la grande salle de bain où une superbe douche à l’italienne occupe la majeure partie de la pièce. Il reste en retrait, lui laissant un peu de calme pour se remettre de ses émotions. Coralie retire ses bas sous le regard avide d’Eric qui voit son érection refaire surface à sa plus grande surprise. Il a déjà joui plusieurs fois aujourd’hui et s’est complètement vidé il y a peu de temps, pourtant, son corps réclame encore cette femme si sensuelle, si maîtresse de ses désirs. La vision de cette femme entièrement nue, à la silhouette divine et au visage recouvert de sperme le rend dingue. Il recule et marmonne dans sa barbe de trois jours.
— Tu as faim ? Je vais voir à la cuisine si Christophe a de quoi nous sustenter.
Coralie contemple l’homme qui lui fait face, habitée par une langueur peu habituelle. La douce chaleur qu’elle sent dans son bas-ventre lui indique que son corps est en effet affamé, mais de tout autre chose que de nourriture. Elle ne lui répond pas et le fixe intensément en allumant la douche.
Eric ravale péniblement sa salive en l’observant passer ses mains sur sa poitrine rebondie. Elle se prélasse sous l’eau chaude, caresse son corps avec sensualité.
— Je n’ai pas très faim, minaude-t-elle en descendant sa main vers le triangle parfaitement épilé, enfin pas de ça...
Eric n’en revient pas de l’appétit insatiable de cette femme, mais ce qui l’étonne encore plus, c’est l’état d’excitation permanente dans lequel elle le met. Sa petite amie actuelle n’arrive jamais à le faire rebander tout de suite et après cette journée, il va sûrement mettre un terme à leur histoire. Ca ne dérange peut-être pas Christophe de tromper son épouse, mais Eric lui, préfère être franc et ne se complait dans une relation que s’il n’est pleinement satisfait sexuellement.
C’est pourquoi il n’hésite pas longtemps avant d’entrer dans cette douche et de s’emparer de ses lèvres avec avidité. Leur baiser est fiévreux. Leurs langues se cherchent, se chevauchent, pendant que leurs mains explorent chaque parcelle de leur peau.
Eric empoigne ses fesses et son membre vient s’imbriquer contre son sexe, cherche à s’infiltrer en restant à l’entrée de sa grotte frémissante. Coralie ondule contre lui, essaie de s’empaler pour prendre le contrôle, mais elle se retrouve vite plaquée contre la paroi de la douche. Bloquée entre le carrelage froid sur son dos et le corps si chaud de cet homme, elle est envahie par tellement de sensations, qu’elle en oublie presque qu’il n’a pas de préservatif.
Eric se recule et découvre son ami sur le pas de la porte, son engin à demi dressé dans la main.
— Vous remettez ça sans moi ? J’ai bien fait de venir voir ce qu’il se passe.— Tu as des capotes ? Les miennes sont dans mon pantalon. — Tiens, dit-il en lui en lançant une qu’il s’empresse d’enfiler, continuez, faites comme si je n’étais pas là. Je vais profiter un peu du spectacle.
De nouveau, Eric se colle contre le corps de cette sublime brune et s’empare de ses cuisses pour la hisser sur ses hanches. Il s’enfonce dans sa chatte brûlante et pousse un gémissement rauque en la possédant avec ardeur. Ses accoups sont si intenses qu’elle est propulsée contre le mur à chacun de ses coups de reins. Coralie aime cette brutalité, cette façon sauvage qu’il a de la prendre et de la faire sienne. Elle se sent exaltée, en communion parfaite avec son corps et ses besoins.
Christophe n’en peut plus de voir cette femme crier de plaisir, il est maintenant bien dur et s’approche d’eux pour participer. Comprenant son intention, Éric se retire et laisse sa place à un Christophe impatient qui investit sa chatte avec empressement.
Tandis que Christophe poursuit ses assauts, les yeux d’Éric ne peuvent quitter ceux de Coralie, dans lesquels brille une flamme de désir presque animal. Il ne peut rester passif devant ce spectacle si enivrant.
— On va la prendre tous les deux, annonce-t-il, Christophe, allonge-toi sur le sol, Coralie va venir sur toi.
Il obtempère et voilà maintenant une Coralie toute pantelante qui se retrouve telle une poupée de chiffon, manipulée avec dextérité pour venir s’empaler sur son membre érigé. Elle s’écroule sur son corps, n’ayant plus de force dans les bras. Eric écarte ses fesses avec ses mains, observant avec envie le sexe de son ami coulisser dans son vagin insatiable et le petit trou encore inoccupé qui l’appelle tellement.
Coralie appréhende un peu le moment où il s’enfoncera en elle, mais étrangement, son corps réclame ce sexe si dur, exigeant ce plaisir inconnu, ressenti lorsque l’on se fait prendre par deux hommes en même temps.
Enfin, son gland se fraye un passage dans son étroit fourreau. L’espace est si restreint qu’il doit pousser lentement pour la pénétrer entièrement. Christophe continue ses mouvements et Éric arrive à sentir le sexe de son ami, tellement la paroi entre ses deux orifices est fine. Ce dernier se met alors à s’agiter de plus en plus brutalement, saisissant ses hanches pour la pilonner rageusement.
Elle crie, exaltée par cette sensation si intense, entre douleur et plaisir. Enfin, elle se sent pleine, remplie de toute part, regrettant presque de n’avoir une troisième verge à contenter avec sa bouche. Leur rythme effréné ne semble jamais prendre fin.
L’orgasme s’empare d’elle subitement et se prolonge encore et encore tandis que les deux hommes continuent de la marteler. Elle a à peine le temps de voir les derniers soubresauts de l’orgasme s’envoler qu’un autre surgit, déferlant sur elle en une vague intense, emportant tout sur son passage. Elle ne réalise pas que Christophe, trop excité par les spasmes de sa jouissance, a lui aussi atteint l’apogée de son plaisir, emplissant le préservatif de son jus épais.
Eric quant à lui, veut finir dans sa bouche, alors il se relève, retire la capote et attrape la chevelure brune de Coralie pour la guider. Gourmande, elle prend un grand plaisir à sucer son gland et parcourir ses veines de sa langue agile. Mais il ressent une envie impérieuse de jouir et ce traitement n’en est que trop frustrant. Il resserre sa poigne dans ses cheveux et force alors l’entrée de sa gorge dans laquelle il explose, tapissant le fond de semence épaisse à chaque coup de reins.
Vidé, il la relâche enfin et elle le regarde droit dans les yeux en lui montrant sa bouche bien propre, signe qu’elle a tout avalé. Il l’embrasse alors avec passion, caresse doucement ses cheveux et l’aide à se relever.Les deux hommes s’occupent avec application et douceur de Coralie, pantelante, en la lavant, puis en l’emmenant se reposer au salon.
Un peu plus tard, ayant repris des forces, elle se prépare à partir.Elle n’a aucune idée de l’heure qu’il est, seul un coup d’œil par la fenêtre lui informe que la nuit est déjà tombée.
— Ma femme va bientôt rentrer, j’espère que cela ne te dérange pas, lui demande Christophe, tu peux rester si tu veux, je n’ai qu’à dire que tu es la copine de Eric. — Je ne veux surtout pas créer de problèmes. Je vais retourner chez moi, je pense, s’excuse-t-elle.— Bien, acquiesce-t-il, c’était vraiment génial, merci pour toute cette journée.— Je vais te ramener, dit Eric.
Il ne la lâche pas des yeux. Il ne veut pas laisser partir cette femme avec qui il a passé une journée si exceptionnelle. Ils sortent tous les deux de la demeure et saluent leur hôte avant de monter dans la voiture. Un silence s’installe entre eux. Eric finit enfin par poser la question qui lui brûle les lèvres depuis un moment.
— Tu es mariée ? ose-t-il demander.— Divorcée, depuis quelques mois. — Et tu as quelqu’un dans ta vie ?— Personne depuis mon ex-mari. Tu, enfin vous êtes les premiers hommes avec qui je couche depuis mon divorce. Et toi tu as quelqu’un ? — Oui, avoue-t-il avec une boule dans la gorge ; mais considère que c’est terminé après ce qui s’est passé aujourd’hui. Tu vas me prendre pour un fou, mais c’est comme si je venais de trouver la femme idéale, qui me complète alors que je ne sais rien de toi.— Tu n’es pas fou, ou alors c’est que je le suis encore plus. Franchement, qui d’autre qu’une folle aurait suivi un parfait inconnu sans savoir à quoi s’attendre ? Je n’ai pas réfléchi un instant et je ne regrette rien. Tu as réveillé la femme audacieuse et sûre d’elle qui sommeillait en moi sans même me connaître. Je ne sais pas pour toi, mais jamais avant je n’ai ressenti un truc pareil et je n’ai pas envie que ça s’arrête. Rentre avec moi ce soir, s’il te plaît.— Ce n’est pas raisonnable...— Crois-moi, rit-elle, on a dépassé depuis longtemps les limites du raisonnable ! — Tu as raison. Et ta proposition est particulièrement alléchante... je crois que je vais me laisser tenter. J’ai bien envie d’explorer à nouveau ton corps sublime...
Fin.
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