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Transports en communs, transports peu communs

Chapitre 1

Fantasme vu par lui

Hétéro
Cette histoire est un pur fantasme. Écrite au départ pour Vénus, ma maîtresse, elle a vu un second chapitre, écrit par Elle. Peut-être fera-t-il l’objet d’une publication.
Une gare, celle de Nancy. Un train, de nuit. Un voyage d’affaires. Surtout 1000 bornes à faire ! Alors un train de nuit et une couchette. La compagnie des wagons-lits. Bon c’est sûr, ça tient un peu plus du train à bestiaux que du PLM saint Jacques. Ça tient encore plus de la loterie d’ailleurs, combien de compagnons de voyage ? Hommes ? Femmes ? Jolie ? Même pas sur le quai et déjà en train de fantasmer ! Il faut que j’arrête ou mon cerveau va se mettre à bouillir...
Le quai, le wagon, je monte. Premier arrivé. Compartiment habituel de ces trains-là, 03 couchettes à droite, 03 couchettes à gauche. La mienne en bas. J’ai horreur de ça, quand celui du dessus s’assoit, vous voyez pendre ses guibolles et ses pieds au ras de votre nez. On n’est pas assez intimes pour que je mette mon nez dans ses chaussettes. Enfin, ce n’est que pour 1000 bornes...
Le train démarre, personne. J’ai le compartiment pour moi. Ça ne va pas durer, c’est sûr, je vais me taper des vieux prostatiques qui se lèveront vingt fois pour pisser ou des jeunes cons qui vont refaire le monde sans dormir. Premier arrêt, Neufchâteau, chef-lieu de canton des Vosges. Le train redémarre, la porte du compartiment coulisse... Et merde ! Je jette un œil, quand même, histoire de saluer.
Un couple de quadras. Lui, la quarantaine bien portée, un homme qui apparemment fait attention à lui, s’il n’est pas sportif, il en a le profil, il a surtout l’air contrarié pour ne pas dire renfrogné. Elle, je regarde un peu mieux, discrètement, enfin autant que je peux être discret...
Jolie femme, un peu pulpeuse, mais portant bien ses formes, très féminine dans sa tenue autant que dans ses gestes. Je mène plus loin mon ‘’investigation’’, en partant du bas. Escarpins, talons, des jambes gainées d’un léger voile noir sans être opaque, les talons lui font ressortit un mollet qui caresse l’œil, la jupe est au-dessus du genou, les fesses tendent le tissu de sa jupe droite, noire, satinée, une veste rouge, cintrée...
Très élégante. Un parfum qui remplit la cabine et qui vous chatouille agréablement les narines, elle se retourne, les lèvres bien dessinées, avec un trait de rose, sans ostentation, et surtout...Un chemisier tendu par les courbes d’une poitrine qui met à mal toutes les théories d’Isaac Newton...
Ils s’installent, apparemment ils ont les deux couchettes du milieu, face à face. Lui s’installe au-dessus de moi. Elle sera donc en face. Il grommelle : ‘‘J’aime pas le train, j’aime pas les couchettes, on aurait dû prendre la voiture’’ Elle s’en fout, s’il est dans le train, c’est qu’elle a gagné. Lui continue ‘’Déjà que j’ai du mal à dormir !’’ Elle lui répond qu’elle a ce qu’il faut, qu’elle lui a pris ses somnifères. Elle s’assoit sur la couchette du bas, en face de moi, fouille dans son sac qu’elle a posé sur ses genoux, en sort une petite bouteille d’eau et une plaquette de pilules en lui disant ‘’tu vas prendre un somnifère et tu vas dormir’’.
Je remue un peu pour qu’elle lève les yeux vers moi, et je lève deux doigts, lui faisant signe discrètement de lui en donner deux. A ça, j’essaye d’associer un sourire et un regard chargé de tout ce que je peux. Elle a l’air surprise, je vois dans ses yeux que son cerveau tourne à 100 000 tours, puis elle se remet debout et je l’entends lui dire ‘’Prends-en plutôt deux, tu n’es déjà pas dans ton élément habituel, ne t’inquiète pas, je te réveillerai.
Il avale ses deux pilules le bon petit et elle se rassoit pour ranger la bouteille d’eau. Je lui souris, mais elle n’ose même pas me regarder. Elle se relève pour discuter un peu avec lui, elle est là, debout à côté de ma couchette, je vois ses mollets, ses genoux, sa jupe sous laquelle elle renferme toute cette féminité que j’ai envie de découvrir, de humer, de caresser, d’abuser... je fantasme comme un fou ! j’écoute un peu quand même, et je l’entends lui dire ‘’je vois tes yeux qui papillotent mon chéri, je crois que ça commence à faire effet’’. Je saisis le moment, j’avance délicatement la main que je pose derrière son mollet... je sens son corps surpris tressaillir un peu, mais elle ne bouge pas. Moi je bouge...
Les doigts pour l’instant. Je fais connaissance avec cette Femme, avec son corps, j’ai envie de déchirer ce voile pour caresser sa peau. Envie mais bon, j’ai été bien éduqué et j’aime trop les femmes pour leur faire violence. Maintenant, je bouge toute la main pour caresser son mollet, le galbe de celui-ci, de haut en bas, le dos de ma main caresse sa cheville, puis tout naturellement, ma main se glisse entre ses jambes pour caresser son second mollet...
Quelques secondes qui me paraissent être une éternité, puis ma main remonte sous sa jupe, caressant sa cuisse... jolie surprise ! Je sens la lisière d’un bas. Pas de jarretelles ni de serre taille, ce sont donc des dim-up...
Je pense en atteignant et en caressant la rondeur de ses fesses ‘’Femme partout, surtout dans les endroits les plus dissimulés’’. Je l’entends essayer de maintenir une conversation naturelle avec son mari, heureusement que celui-ci est déjà passablement sous l’effet de ses pilules. Moi je caresse ses fesses, ma main descend sur ses cuisses, remonte lentement, mon pouce vient tout naturellement se poser sur son sexe, tourne un peu, en se faisant léger. Elle serre un peu les cuisses. Ma main redescend jusqu’entre ses genoux, j’exerce une petite pression et elle déplace un peu son pied pour écarter les jambes. Je prends donc cela comme un accord muet et je remonte lentement. Toute ma main est maintenant posée sur son ventre. J’essaye de lui faire ressentir dans le mouvement de ma main et de mes doigts que c’est là une prise de possession de sa personne tout autant qu’une promesse de plaisir...
Elle ne dit plus rien, lui non plus. J’en déduis qu’il dort. Je me lève, je la découvre les yeux fermés, les deux mains sur le bord de la couchette de son mari. Je commence par baisser les rideaux du compartiment côté couloir, je reviens me placer dans son dos, elle n’a pas bougé d’un millimètre. Je la sens là offerte, disponible, dans l’attente des caresses et du plaisir que je lui ai implicitement promis...
Je pose les mains sur ses hanches, je l’embrasse dans le cou pour que mes lèvres fassent la connaissance de sa peau, je la respire puis je lui dis à l’oreille ‘’Bonsoir, vous êtes une très jolie femme, très désirable. Maintenant, vous allez vider votre tête, je ne veux plus que vous pensiez à quoi que ce soit. Concentrez-vous sur moi, sur ma bouche, sur mes doigts, suivez leurs parcours, essayez de deviner leurs destinations. Je vais faire courir mes mains et ma bouche partout sur votre corps, je vais ouvrir votre chemisier, vous caresser, je vais relever votre jupe, prendre possession de votre sexe avec mes doigts, avec ma bouche. Pas un centimètre de votre corps n’échappera à mes caresses. Et quand ce sera insupportable pour vous, alors je vous baiserai. Je ne vous ferai pas l’amour, je vous baiserai. Notre accouplement sera animal dans sa forme, n’y cherchez rien d’autre que le plaisir. Je veux vous entendre gémir.
Je veux que dans ce compartiment, votre odeur de Femme ‘’Honnête’’ se mélange à l’odeur de la Femme qui s’offre. Je veux sentir vos jambes s’ouvrir pour m’accueillir et flageoler quand le plaisir vous envahira’’.
Mes mains quittent ses hanches pour lui enlever sa veste, que je pose sur une couchette derrière moi. Je passe mes mains sous ses bras, doucement, je caresse légèrement ses seins sans m’arrêter et je commence à déboutonner son chemisier, que je sors de sa jupe et que j’ouvre lentement de bas en haut. Je caresse le dessus de sa poitrine, je descends un peu, j’attrape les bonnets que je baisse et je fais jaillir sa magnifique poitrine. Je passe les mains sous ses seins, je les caresse, je remonte, attrape les pointes, les faits rouler entre mes doigts. Je serre un peu, très légèrement, elle gémit, ses mains quittent le bord de la couchette et se posent sur les miennes. Son mari grogne un peu, on ne bouge pas...
Il dort. Je recommence à jouer avec ses tétons, Elle repose les mains sur le bord de la couchette. J’avance un peu mon bassin pour me frotter à Elle, Elle recule ses fesses et commence un petit mouvement circulaire. Ce n’est vraiment pas la peine, je bande déjà comme un cerf. Ça n’en est pas moins très agréable, ma main droite quitte son sein pour descendre sur son sexe, en caressant son ventre au passage. Je la sens frémir quand ma main se pose sur son mont de Vénus. Je l’imagine qui pense ‘’je suis folle’’. Et l’idée est très excitante ! Du coup, je descends la fermeture éclair dans le dos de sa jupe, je passe les pouces de chaque côté, sur les hanches, et je la fais glisser le long de ses jambes. Au moment où elle tombe en petit tas sur ses escarpins, j’entends sa respiration se bloquer...
Elle est là, en culotte et soutien-gorge, dans un compartiment de train, devant un homme qu’elle ne connaît pas, et en présence de son mari qui peut se réveiller à n’importe quel moment...Je m’accroupis pour ramasser sa jupe, et au passage, je pose un baiser sur ses fesses. Je me redresse, mes mains retrouvent le chemin de ses seins, et à nouveau, ma main droite descend. Mes doigts s’insinuent sous sa culotte et s’égarent dans sa toison. Il me semble d’ailleurs que celle-ci est soigneusement taillée, je la sens douce et courte sous mes doigts. Je la retourne vers moi, doucement, en gardant une main dans sa culotte, puis ma bouche s’abaisse vers ses seins que je caresse avec ma langue. J’aime beaucoup happer ses tétons, les serrer entre mes lèvres, faire tourner autour ma langue. Mes doigts s’activent dans sa culotte, je la caresse, je sens son sexe s’ouvrir, se mouiller, je m’accroupis pour lui enlever sa culotte, je prends son pied droit que je pose sur mon épaule. Sa chatte est là, devant ma bouche, je la lèche, je l’aspire, je la gobe. Je me délecte de son parfum de Femme. Je veux la sentir couler dans ma gorge.
J’ai les mains sous ses fesses, je la presse contre mon visage, je m’en enivre ! Son bassin s’agite, je la sens monter vers son plaisir, elle sent le sexe, j’accélère autant que je peux, ses mains se posent sur ma tête et elle jouit dans ma bouche...
Je repose son pied par terre, je me redresse, je la regarde, belle comme une Femme qui vient de prendre son pied, puis je l’embrasse, ma bouche encore pleine de son plaisir. Je déboucle ma ceinture, j’ouvre mon pantalon, ma queue se dresse. Je la retourne, face à son mari, je plie un peu les genoux et je me glisse dans son ventre... Exquise sensation ! Ce ventre qui s’ouvre, qui m’accueille. Je devine qu’Elle a fermé les yeux, Elle creuse ses reins et répond à chacun de mes coups de reins...
Le haut-parleur annonce l’arrivée en gare de Dijon, 2mn d’arrêt. Nous entrons en gare et je suis toujours au fond de son ventre. Je me dis que si quelqu’un monte et arrive maintenant, c’est le scandale assuré, mais c’est vraiment trop bon. Si Elle n’a rien entendu, ce n’est pas moi qui vais le lui dire. Et même, je vais pousser encore plus loin le jeu...
Je me retire de son ventre, je la pousse doucement vers l’extrémité du compartiment, contre la vitre, qui heureusement donne côté voie et pas côté quai. Avant qu’Elle se rende compte que nous sommes en gare, j’ai réinvesti son ventre ! Je prends ses mains que je pose bien à plat sur la vitre, en mettant les miennes par-dessus. Elle a la poitrine écrasée sur la vitre, et je suis derrière à me jeter dans son ventre. Le train redémarre, il y a quelques personnes sur l’autre quai, à quelques mètres... Le train passe doucement devant eux, Elle les voit, Elle voit son plaisir offert à leurs regards... Ses reins s’agitent, Elle m’excite. Elle jouit en devenant molle dans mes bras au moment même où je me répands dans son ventre...
Le reste du voyage se passera plus calmement... ½ heure après, la pince du contrôleur fera vibrer le carreau de la porte, Elle lui présentera leurs billets sans me regarder, sans le regarder non plus d’ailleurs ! Peut-être de peur qu’on lise dans ses yeux un chapitre de sa vie de femme sur lequel elle avait déjà refermé la dernière de couverture...
Nous arriverons au terme du voyage avec l’aube. Elle réveillera son mari comme elle le lui avait promis. Il la retrouve comme il l’a laissée, jupe, chemisier, escarpin, très élégante, très femme.
Mais je sais que sous cette nature calme et classique, sommeille un volcan. Un puits de lave chaude qui sait vous accueillir avec douceur et volupté.
Un enfer peut-être... Mais comme on en sort moins vaillant qu’on y est entré, on est sans doute déjà à moitié pardonné...
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