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Travaux agricoles

Chapitre 1

Erotique
Mais que vois-je venir ? Florence et Annie me rendent visite ! Elles ne sont pas à la coopérative où elles travaillent, bénéficiant de quelques jours de congé comme mon fils aîné Francis qui opère en tant que mécanicien. Au fait pourquoi n’est-il pas venu celui-là ? Il m’avait pourtant promis de me remplacer. On ne peut pas dire qu’il soit fana des travaux agricoles ! Enfin je me passerai de lui mais un petit arrêt sera le bienvenu. Cela fait deux heures que je tracte l’engin qui compacte le foin en gros rouleaux et je commence à avoir soif. Je me prénomme François, j’ai 43 ans, dans la force de l’âge. J’ai épousé Fabienne de deux ans ma cadette qui m’a donné deux enfants, Francis, 20 ans et demi l’aîné, et Florence. Elle et Annie viennent de fêter ensemble leur dix-neuvième anniversaire le week-end dernier. Je souris de voir s’avancer ma fille et sa copine de toujours. Annie et André son frère jumeau, sont les enfants d’Anémone une voisine. Nous les connaissons depuis leur plus jeune âge. Leur père, Albert, a eu la mauvaise idée (Fabienne dit plutôt la bonne idée…) de périr dans un accident d’auto l’année dernière. Il n’a pas été beaucoup regretté dans le village, car il trainait une réputation de brutal et d’alcoolique. J’étais un des rares à encore le supporter à cause de l’amitié liant nos enfants. Après sa mort, Anémone m’a demandé de m’occuper de ses terres. Je les cultive en lui versant un fermage qui lui permet de vivre avec l’emploi que je lui ai trouvé à la coopérative. Nous lui avons même proposé de venir s’installer à la ferme avec ses enfants. Elle a refusé notre offre et s’est retranchée dans sa solitude. Elle a même tenté d’empêcher les jumeaux de nous fréquenter. Heureusement ceux-ci s’entendent bien avec nos enfants et ne lui ont pas obéi.
Je descends de machine et me dirige vers les deux gamines… euh… pas si gamines que ça à 19 ans… Florence la blonde, Annie la brune… C’est un plaisir des yeux de les voir évoluer. Elles sont à croquer dans leur robe légère qui ondule au rythme de leur pas. Bandantes même si j’osais leur appliquer cet adjectif. Dans leur innocence elles ne se rendent pas compte du sexy de leur tenue. Ah si elles n’étaient pas si jeunes et si Florence n’était pas ma fille… C’est horrible qu’après 22 ans de mariage sans jamais tromper mon épouse même en rêve j’ai de telles pensées ! Est-ce l’âge ? Le démon de midi ? Jusqu’à ces derniers temps nos nombreuses étreintes conjugales satisfaisaient ma libido : Fabienne est une amante passionnée et imaginative. Voilà qu’à présent les regards que je lance à ma fille ne sont plus ceux d’un père mais d’un homme ému par la femme qu’elle est devenue… qu’elles sont devenues car Annie aussi réveille la bête qui sommeille en moi. Je ne peux les rencontrer sans imaginer découvrir leur jeune corps, le caresser… Je secoue la tête pour effacer les pensées lubriques qui m’assaillent. — C’est gentil de me rendre une petite visite, leur dis-je en les rejoignant à l’orée du champ. Florence met le panier à l’ombre d’un chêne. Elle étale une serviette sur l’herbe et y dépose le pain, du pâté et un morceau de saucisson. Je vais chercher dans le ruisseau proche la petite bonbonne mise au frais. Je remplis le verre unique du mélange d’eau et de vin et le tend à Annie. — Tiens bois un coup. — C’est pas de refus monsieur. — Annie ! Combien de fois faut-il te dire de m’appeler François et de me tutoyer ! — Excusez-moi, pardon, excuse-moi, je ferai attention à l’avenir. Elle tend le verre à Florence. Ici à la campagne on ne s’embarrasse pas de chichi et tout le monde boit dans le même godet. Je me sers à la suite. — Aah ! Ça fait du bien ! C’est qu’il fait soif aujourd’hui… Dis Florence, t’as pas vu Francis ? Il devait me remplacer. — Heu… — Votre femme avait un travail urgent à lui faire faire, s’empresse de préciser Annie. — Ce n’est pas grave je terminerai tout seul. Ma fille découpe des tanches de pain qu’elle tartine de pâté et nous les distribue. Tout en mastiquant avec application, je ne peux m’empêcher de l’admirer ainsi que sa copine. Leur robe largement décolletée remonte sur leurs cuisses bronzées de fille de la campagne. Que cette peau doit-être tendre à patouiller… Voyons François, du calme ! Ce n’est pas une chose à penser surtout à propos de ta fille !
— Qu’il fait chaud, soupire Florence. Elle a raison. C’est la première journée de grosse chaleur de l’été. — Heureusement qu’on s’est habillé léger, déclare Annie en s’éventant avec sa jupe fleurie. Oups ! J’avale sec, il m’a semblé voir jusqu’à l’aine. Une brusque flambée de désir déforme ma salopette. Je m’agenouille pour camoufler l’érection. — Mesdemoiselles, ce n’est pas que votre présence ne soit pas agréable, mais je dois continuer à travailler si je veux finir ce pré cet après-midi. Voulez-vous encore boire ? — Non merci Papa.
Je me sers un dernier verre et je rebouche la bonbonne que je remets à rafraîchir dans le ruisseau. Ma fille ramasse la serviette qu’elle plie dans le panier. — Dis Florence, ça te fait rien je te laisse retourner au village toute seule ? demande timidement Annie. — Oh ! On fait pas comme on a décidé ? — S’il te plait… Euh… J’aimerais voir comment fonctionne la machine. Ça vous… ça t’embête pas… euh… François ? — Euh… non… Tu peux rester si tu veux. Je suis partagé. D’un coté il est flatteur que cette jolie fille veuille rester avec moi, et de l’autre j’ai peur, peur de ne pouvoir me contrôler dans la cabine étroite propice aux rapprochements sensuels. Avec ces gamines on ne sait jamais. Ça vous aguiche puis ça crie au viol si on les touche par inadvertance. La catastrophe si elle se plaignait à ma femme ! — Puisque c’est comme ça, je vous laisse. Ma fille embrasse sa copine et nous quitte rapidement. Serait-elle de mauvaise humeur ? Je la suis des yeux. Ses jambes se dessinent en ombre chinoise lorsqu’elle traverse une tache de lumière, c’est charmant… — Elle est drôlement jolie Florence, n’est-ce pas ? Annie me regarde en coin un sourire moqueur aux lèvres. Je me retourne trop brusquement vexé de me sentir deviné. — Il est temps de remettre la machine en route, dis-je en accélérant le pas. La jeune fille me suit en silence. Je la fais monter dans la cabine à mes cotés. Elle m’interroge sur les divers boutons et commandes. Nous parcourons un aller et retour dans le champ. Les rouleaux de foins tombent de la machine à bonne cadence. La récolte est bonne, j’aurai de quoi nourrir le bétail cet hiver.
— Est-ce que je peux conduire ? Ma foi, pourquoi pas. En réduisant la vitesse il ne devrait pas y avoir de problème. — Prends ma place. — Non, j’aurais trop peur. Je me mets devant vo… toi juste pour tenir le volant. — Si tu veux. Elle se glisse entre mes genoux, les fesses contre mon ventre. La réaction est immédiate ! Les mouvements irréguliers du tracteur qui roule sur la terre accentuent l’effet du massage. Je bande comme un taureau. Je devrais m’écarter mais j’en suis incapable. Une douce torpeur m’envahit. Je suis bien. — Vo… euh… Tu n’aurais pas de la musique ? — Attends, j’allume la radio. Je me penche en avant pour atteindre le bouton, accentuant la pression de ses fesses. La queue hoquette dans la salopette. Annie, ignorante de l’effet qu’elle me fait, cherche une station qui diffuse un rythme techno. Tout en maintenant le volant elle ondule du croupion en mesure. Ce n’est pas cela qui va me calmer ! Heureusement nous arrivons au bout du champ et je dois tourner. — S’il te plait, laisse-moi manœuvrer. Elle s’écarte me laissant maître de la direction. La bosse qui déforme le tissu devant moi est éloquente tout comme son regard moqueur. La coquine ! Elle était consciente de l’effet produit et s’en amuse ! Mais je m’en fiche, au diable la morale ! Ce n’est plus la gamine que j’ai vu grandir qui s’appuie sur mon épaule, mais une jeune femme terriblement attirante ! Je n’ai qu’une hâte, qu’Annie retrouve sa place et recommence à masser mon sexe avec les fesses. Je n’en demande pas plus… pour l’instant. Une fois le tracteur remis dans l’axe je lui propose de conduire à nouveau. — Avec plaisir, répond-elle, mais auparavant je veux contrôler quelque chose. Avant que j’aie pu faire un mouvement, elle s’assied sur mes cuisses et commence à descendre les deux fermetures éclair de ma salopette. Je tente de bloquer ses mains. — Qu’est-ce que tu fais ?… Je… je ne porte rien dessous. — Moi non plus. Avec cette chaleur il faut s’habiller léger, réplique-t-elle en soulevant le tissu de sa robe. A la vue de la touffe de poil sombre qui voile son pubis, mon sexe fait un bond. Je devrais réagir, expliquer à cette imprudente que nous allons trop loin, que je ne veux pas tromper Fabienne, que ce que nous faisons n’est pas bien… Mes testostérones ont pris les commandes de mon corps, les mots restent bloqués dans ma gorge. Le démon qui me contrôle me susurre qu’une occasion pareille ne se représentera pas. Annie est majeure et personne ne nous voit. Qui le saura ? Ce n’est pas moi qui irai m’en vanter ni elle je pense. La jeune fille dégage les derniers centimètres de la fermeture et le dard jaillit, heureux de sa soudaine liberté ! — Whaou ! Cette queue ! Elle est splendide ! Son admiration me remplit d’orgueil. Je sais que mon sexe atteint des proportions respectables en érection mais je manque de critère de comparaison. — Tu… tu crois ? — Que si ! C’est la première que je vois de cette taille ! Si elle le dit… Je ne la savais pas si expérimentée. D’où tient-elle cette connaissance ? Je la soupçonne d’entretenir avec mon fils Francis des relations plus poussées que la simple amitié. Bah ! Ce n’est pas grave… Elle caresse doucement la tige. J’en frémis de la tête aux pieds. Brusquement elle se penche. — Que fais-tu… Aaah !… Mmmh ! J’adore cette caresse que Fabienne, ma femme, me prodigue souvent. La bouche d’Annie est aussi experte. Surtout me retenir… Prolonger l’état de béatitude dans lequel je plonge… Oh ! Pourquoi s’arrête-t-elle ? — Bouge pas ! Sans lâcher ma queue, elle s’installe à califourchon sur mes cuisses et présente le gland face à sa fente. J’avance le ventre. — Aah ! Ouiii !… Ça c’est une bonne queue ! Je l’attire contre moi et veux prendre ses lèvres. — Laisse-moi faire, ça ira mieux. Tant pis pour le baiser. Elle prend appui sur mes épaules et monte et descend sur ma queue qui a rarement été aussi raide. — Pourquoi… Aah !… tu… Aah !… tu mets pas en rou… Aah !… route ? — Je… je… je ne vois rien. — Ah ?… Bon, j’ai compris. Elle se soulève. Le gland sort du vagin dans un bruit de succion. Avant que j’exprime un regret elle se tourne face au volant, vision fugitive de ses fesses roses vite cachées par le tissu de la robe qui retombe. La main entre les cuisses écartées tâte, trouve mon sexe, empoigne la tige et la guide dans sa grotte humide. — Voilà… Aaah !soupire-t-elle en se rasseyant. Quelques coups de bassin et : — Alors on y va ? — Euh… Oui, oui ! J’actionne la manette des gaz. Le tracteur s’ébranle. Tout en montant et descendant sur la verge, Annie maintient le volant. — A… Attention… Mmmh !… suis bien la… la ligne du fo… du foin. — Pas… Aah !… pas de prob… Aah !… problème. J’ai devant les yeux la fermeture de la robe. Je descends la tirette de quelques centimètres. Aucune réaction. J’ouvre en totalité. Pas de soutien-gorge, tant mieux. J’insinue les mains sous les aisselles et empoigne les seins. — Une seconde… Elle fait glisser les fines bretelles, dégage les bras avant de reprendre le contrôle de la direction du tracteur. Rien ne s’oppose à mes investigations tactiles sur les tétons que je triture pendant qu’Annie chevauche mes cuisses. — Fran… Aah !… François… — Ou… Oui ? — On arrive… Aah !… au bout qu’est-ce qu’il… Aah !… qu’il faut faire ? J’abandonne à regret les tendres mamelons. Annie toujours sur mes cuisses la verge bien enfichées dans le vagin, suit mes instructions. Nous parvenons à faire demi-tour et reprendre la ligne. — Aah… C’est le pied ! Je regrette pas d’être restée ! Moi non plus ! Baiser dans ces conditions c’est formidable ! Aux frottements sur la queue dus aux mouvements de bassin, se superpose les trépidations du tracteur. Dire que j’ai attendu la quarantaine pour le découvrir et avec une toute jeune fille en plus ! Annie se déchaîne sur mon zob. La pression monte dans la tige, je ne vais pas résister longtemps… Par bonheur l’orgasme la rattrape avant que j’éclate. — Hiiii !… Meuhhh ! Je me laisse aller. — Aarrgghh ! — Ouiiii ! Elle s’effondre sur le volant. Nous mettons plusieurs secondes à reprendre nos esprits. — Attention ! Le tracteur déviait de la ligne. D’un coup de volant Annie rétablit la situation. Elle se maintient à cheval sur mes cuisses. Ma queue quoique ramollie, reste prisonnière du vagin qui l’enserre et palpite encore. Arrivé en bout de champ, ni elle ni moi ne changeons de position. Nous faisons demi-tour pour un nouveau passage. Les vibrations de la machine se transmettent à nos sexes emboités et me plongent dans une douce béatitude. Je pense qu’il en est de même pour Annie qui chantonne doucement. Avec fierté je sens ma queue grossir à nouveau. Ce regain de vigueur ne passe pas inaperçu. — Ben toi alors ! T’en veux encore ? — Que veux-tu, de t’avoir ainsi dans les bras décuple mon énergie. Elle pistonne doucement sur la tige qui raidit. — Non, ça va pas ! — Oh ! Tu ne veux plus ? — Si mais pas comme ça ! Elle attrape les pans de sa robe et la fait passer par dessus la tête. — Elle me gênait, dit-elle en manière d’excuse. Je ne la contredis pas ! Elle doit se soulever sur la pointe des pieds pour que la queue sorte de son logement. Quelques gouttes de sperme (ou de cyprine ?) coulent sur mes testicules. Que veut-elle faire ? Sa main plonge entre nous, attrape ma verge et la guide vers… Elle veut que je l’encule ! Quelle merveilleuse idée ! Le gland, bien lubrifié par le précédent orgasme s’enfonce sans difficulté. Ce n’est pas la première fois qu’Annie pratique cet exercice ! Moi, je suis aux anges : Fabienne n’est pas fana de sodomie et m’accorde rarement ce plaisir. - Caresse-moi devant s’il te plait. Vos désirs sont des ordres mademoiselle ! Une main sur un sein l’autre chatouillant le clitoris, je laisse les muscles du sphincter masser tendrement ma queue. Annie grogne sa satisfaction. Ses gémissements et borborygmes s’amplifient. L’orgasme la rattrape bien avant le bout du champ. — Aah !… Aaah !… Aaaah !… Ouiiii !… Mmmmh ! Elle s’affaisse sur le volant que je maintiens pour conserver la ligne. — Aah ! Tu m’as vidée ! Après quelques secondes d’immobilité elle tente de se dégager. Difficile car je n’ai pas joui moi et ma queue conserve une longueur et une raideur inaccoutumée! — Excuse-moi je croyais que pour toi aussi… — Ce n’est rien, je n’en mourrai pas. Elle s’agenouille à mes cotés me laissant maître de la conduite. — Ce serait dommage de ne pas en profiter, murmure-t-elle. T’as un mouchoir ? Je désigne un coffret derrière le siège. Annie nettoie la queue maculée de traînées brunes. — J’aime pas quand ça a le goût de merde, s’excuse-t-elle avant d’enfourner le gland. — Aah !… tu… tu es pardonnée… Mmh !… Attention s’il te plait ! — Je t’ai fait mal ? s’inquiète-t-elle. — Pas du tout, mais je dois manœuvrer pour faire demi-tour. — J’attends que tu aie fini pour recommencer. Elle maintient la raideur par une douce masturbation. — Ça y est ? — Oui. En route pour le dernier passage et le ramassage du foin sera terminé. — J’ai intérêt à me presser alors. Elle reprend le dard en bouche. Quelle suceuse ! Aussi douée que Fabienne. Malgré mon désir de faire durer le plaisir au maximum je m’effondre avant la fin du champ. — Aarrgghh ! Annie ne se laisse pas surprendre par le flot de sperme qu’elle avale consciencieusement. — Voilà, voilà, voilà ! s’amuse-t-elle en remontant les deux fermetures éclair de ma salopette. Elle reprend sa robe. — Tu sais, ça ne me gêne pas que tu restes à poil. — Tst ! Tst ! Tst ! Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Malgré ma moue de dépit, elle cache sous le tissu les courbes gracieuses de son corps. Nous arrivons en bout de course. Tout est ramassé à part un petit tas là où le tracteur a dévié de sa trajectoire quand nous avons joui tous les deux. — Voilà ! C’est terminé pour ce soir. Elle m’embrasse sur la joue. — Merci. — C’est à moi de te remercier. — Tu es un champion tu sais. J’ai rarement autant joui. — Je te retourne le compliment.
Je récupère la bonbonne. Un verre à Annie, puis un pour moi, nous étanchons notre soif. Nous restons silencieux sur le chemin du retour vers la ferme. L’excitation sexuelle retombée je réalise mon imprudence : Je viens de tromper ma femme pour la première fois et en plus, avec la copine de notre fille ! Qu’est-ce qui m’a pris ? D’accord, elle m’a aguiché, s’est jetée dans mes bras, mais ce n’est pas une excuse ! C’est moi l’adulte, c’était à moi de contrôler, lui faire comprendre l’erreur que nous allions commettre, que nous avons commise… Dieu que la chair est faible !… Rien de tel pour foutre en l’air un ménage ! Pourvu qu’elle ne s’en vante pas… Malgré cela je n’arrive pas à regretter. Cette étreinte, ces étreintes sur le tracteur en mouvement sont une découverte. Faudra le refaire avec Flo… Pourquoi le nom de ma fille se présente spontanément à mon esprit au lieu de celui de ma femme ? Est-ce parce que je viens de faire l’amour à un tendron de son âge ? Annie chatonne gaiement. D’où tient-elle son expérience ? De mon fils ? Peut-être… Elle au moins n’exprime pas de regrets. Serait-elle partante pour ‘m’aider’ un autre jour dans les travaux agricole ? Je n’ose lui demander. Devant la remise nous rencontrons Florence. — Vous en avez mis du temps ! — J’ai voulu terminer le pré. Demain je ramasserai le foin au Clos. Annie descend du tracteur. — Ton père m’a expliqué comment ça marche et j’ai même conduit pendant un moment. — T’as de la chance, moi il a jamais voulu. — Euh… Tu étais trop petite. Maintenant tu pourrais si tu voulais. — Je saurais te le rappeler, sourit-elle en ouvrant le portail de la remise. Je rentre l’engin et arrête le moteur. Inutile de dételer puisque demain je recommence le ramassage du foin. Dans le silence revenu j’entends ma fille, dehors, interroger sa copine. — Alors ? Raconte ! Ça s’est passé comment ? Inquiet, je tends l’oreille, pourvu qu’Annie ne révèle rien de l’après-midi. — Ton père est un champion ! Oups ! Mon cœur loupe un battement. Je tente de me rassurer en imaginant qu’elle parle de mon habileté à conduire un engin agricole. — Ce qu’il m’a fait jouir ! Je suis atterré et m’affale sur un ballot de paille. — Plus que Francis ? — Beaucoup plus ! — C’est ce que dit Maman. — Tu devrais essayer toi aussi. — Tu crois que… Une moto pétaradante couvre la conversation…
Les filles sont parties. Je reste immobile, abasourdi. « C’est ce que dit Maman, ce que dit Maman, ce que dit Maman »… La phrase tourne en boucle dans ma tête. Je tente de remettre de l’ordre dans mon esprit. Que Francis et Annie fricotent ensemble, je m’en doutais, mais que la jeune fille s’en vante auprès de sa copine est plus étonnant, comme est surprenante la réaction de Florence ou plutôt son manque de réaction à la révélation de mes turpitudes… Et que penser de sa réflexion : « C’est ce que dit Maman » à la comparaison des performances sexuelles de mon fils et de moi ? Cela voudrait-il dire… Je n’ose poursuivre mon raisonnement… Un inceste ! Entre la mère et son fils ! Impensable ! Pourquoi pas entre Florence et moi… — Oh ! L’évidence me submerge : c’est ce qu’Annie conseille à ma fille : « Tu devrais essayer toi aussi » ! Et la signification du ‘aussi’ m’apparait clairement : Florence et son frère forniquent ensemble, peut-être même avec la bénédiction de leur mère ! J’étouffe de colère. — Je vais te me les… Je vais faire quoi ? Je retombe sur mon ballot. Je dois reconnaître que je meurs d’envie de faire l’amour à Florence… Et cela ne date pas d’aujourd’hui… Si je suis furieux, ce n’est pas de savoir que mes enfants et ma femme ont transgressé le tabou de l’inceste, mais de ne pas en avoir eu le courage. Comment leur reprocher ce dont je rêve ? C’est contre moi que je suis en colère et non contre eux… Mais cela va changer ! Un François nouveau est né ! Et si cela ne plait pas à la famille tant pis pour elle !
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