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Travaux agricoles

Chapitre 3

Erotique
Après une bonne douche, je retrouve la famille réunie. Je suis sur l’expectative. Quelle sera la suite de la conversation entre ma femme et notre fille ? Que va-t-il me tomber dessus ? Contre toute attente c’est une Fabienne enjouée qui m’accueille et me sers l’apéritif. — Alors mon chéri ? Tu as fini les foins ? — Euh… oui, oui. Je n’ai plus qu’à rentrer les rouleaux. Je le ferai la semaine prochaine. — Heureusement que ta fille était là pour t’aider, n’est-ce pas ? — Euh… Ouille, ouille, ouille ! Que répondre ? Je regarde Florence qui arbore un sourire aussi éclatant que sa mère. Même Francis est joyeux. Puisque tout le monde est content, je décide de me mettre au diapason. — Son renfort m’a été précieux. Elle pourra revenir à l’occasion quand son travail à la coopérative lui en laissera le loisir. — Quand tu voudras Papa. — J’en suis heureuse, déclare Fabienne. Tu sais mon chéri, je peux te le dire maintenant, j’étais inquiète. J’avais l’impression que Florence et toi vous ne vous entendiez pas bien. — Mais pas du tout ma chérie, que vas-tu donc imaginer ? — Entre Papa et moi il n’y a pas de problème, n’est-ce pas Papa chéri ? Ma fille s’installe sur mes cuisses et m’embrasse sur les deux joues. Le contact des fesses sur mon bas ventre déclenche une érection instantanée. Je retiens Florence qui voulait retourner à sa place car la bosse de mon pantalon serait trop visible. Ma femme repose son verre. — Il est temps de manger. Ma chérie, peux-tu chercher de l’eau ? On passe à table. — Tout de suite Maman. Je me lève en même temps qu’elle et marche un peu penché espérant dissimuler l’indécente protubérance. Personne ne fait de remarque, je m’installe avec soulagement…
Après le repas Fabienne propose une partie de carte. — Chic ! Un strip-poker ! claironne Francis. — Ne raconte pas de bêtises, le sermonne gentiment ma femme, va plutôt chercher un jeu de belote et le tapis de carte. Nous faisons équipe Fabienne et moi contre nos petits. L’ambiance est joyeuse. Nous gagnons chacun une partie mais c’est nous qui remportons la belle. — Les enfants, propose Fabienne en rangeant les cartes, il est temps de dormir, demain votre père travaille. — Ouah ! dis-je en m’étirant. Tu as raison, il est tard et j’ai sommeil. Nous nous séparons au seuil de notre chambre. — Bonsoir Papa, bonsoir Maman. — Bonsoir mes chéris.
Smack, smack ! Je serais bien resté dans le couloir pour voir si le frère et la sœur allaient dans leur chambre respective mais Fabienne m’entraîne. La porte refermée, elle se love contre moi. — J’espère que tu n’as pas encore trop sommeil. — Pas quand tu es dans mes bras comme maintenant. Un tendre baiser nous unit. Je déboutonne son chemisier, elle sort mon teeshirt du pantalon ; elle ouvre ma ceinture et ma braguette, je dégrafe le soutien-gorge et la jupe. Nous enjambons les vêtements qui jonchent le sol. Je m’agenouille pour faire glisser le mini slip sur ses cuisses. Elle me redresse pour me rendre la pareille. Un bécot sur le sexe, elle me pousse sur lit et m’enlace. Nous nous embrassons tout en roulant sur les couvertures. J’ai le dessus. Je frotte le gland sur les lèvres de sa vulve, insistant sur le clitoris. — Aah ! Je t’aime ! Elle me fait basculer. A califourchon sur mes cuisses elle prend la tige en main elle la présente à l’orée du vagin. — Mmmh ! Ses muqueuses enserrent la verge d’un étau voluptueux. Elle me chevauche avec détermination. Ses seins ballottent devant mes yeux. Je les soutiens de mes paumes. — Aaah ! Une grimace de plaisir, une contraction du vagin, elle s’affaisse sur mon torse essoufflée par ce premier orgasme. La prenant à bras le corps, je nous retourne. Elle git sous moi, cuisses ouvertes, paupières closes, un sourire aux lèvres. De la sueur perle sur le front. Je l’éponge à petits coups de langue. Je suis encore en pleine forme. Je pistonne lentement, pas question de succomber au plaisir avant qu’elle n’ait une autre jouissance. Je m’appuie sur les avant bras pour ne pas l’écraser. Je soulève le bassin, ma queue glisse presque hors de son ventre. Au moment où je sens le gland s’échapper je pousse d’un mouvement lent jusqu’à ce que nos pubis se touchent. Cela dure plusieurs minutes. Je ne suis pas pressé, j’arrive à contrôler mon plaisir. Ah ! Ses ongles s’impriment sur mes omoplates. Un gémissement sourd de ses lèvres. J’accélère la cadence. Elle suit ou plutôt me précède en lançant son bassin à ma rencontre. J’amplifie mes pénétrations. Elle noue ses chevilles autour de ma taille, aurait-elle peur que je m’en aille ? Aucune crainte ! Je la pilonne sans ménagement. Elle ne se plaint pas au contraire. — Ouiii ! mon… mon chériii !… en… encore… Ouiii ! Je ne me contrôle plus. — Han ! Ma… ma belle salope tu… Han !… tu aimes quand je… Han !… je te baise ! — Aaah… Ouiii ! — Tu aimes… Han !… ma grosse queue. — Ouiii ! — Tu aimes… Han !… te faire défoncer par… Han !… ma grosse queue. — Aaah !… Ouiii !… ta grosse !… Aaah !… queue ! — Tiens prend ça… Han ! — Ouiii !… Aaaah ! — Aarrgghh ! Je m’effondre sur elle complètement vidé. — Chéri ? — Oui mon amour ? — Tu peux te soulever j’ai du mal à respirer. — Excuse-moi. Je la libère. Nous gisons cote à cote peinant à reprendre haleine. Elle me serre la main. — Je t’aime chéri. Je dépose un baiser sous l’oreille. — Moi aussi mon amour. J’aime ces moments tendres après une étreinte passionnée. J’entends sa respiration se calmer, devenir régulière. Je devine qu’elle s’endort. Je ne vais pas tarder à en faire de même… — Est-ce que je baise aussi bien que ta fille ? La foudre tomberait dans la chambre ne me ferait pas plus d’effet ! — Que…que… — Calme-toi mon chéri. Je sais ce que vous avez fait cet après-midi. — Je… nous… — Oui, Florence me l’a avoué… J’en suis heureuse. — Tu… tu… — Si je t’assure ! Je suis heureuse que tu aies fait l’amour avec elle. J’étais inquiète à votre sujet. L’atmosphère devenait irrespirable ces derniers temps. — Tu n’exagères pas ? — Pas du tout ! Entre toi qui couvais ta fille avec des yeux de merlan frit… — Oh ! — Mais tu ne te voyais pas ! Tu suais l’envie de la baiser. Cela se remarquait donc tant ? — Et de son coté, poursuit-elle, Florence qui cachait mal qu’elle était amoureuse de toi… — Mais non, c’est impossible, je m’en serais aperçu. — Oh toi ! En dehors de ton travail à la ferme, tu ne t’occupes de rien et semble ne pas voir que nous existons. — Mais si voyons ! — T’étais-tu rendu compte que les enfants couchaient ensemble ? Ça je le savais, depuis peu mais je le savais. — Je m’en doutais. — Ah bon ? Je te crois mais c’est tout récent n’est-ce pas ? Elle devine tout ! — Euh oui… — Pourtant ça fait plus d’un an que ça dure. — Tant que ça ? — Tu vois ! Tu ne remarques rien autour de toi. Ils ne sont pas discrets pourtant. — Comment l’as-tu découvert ? Tu aurais du m’en parler. Ce n’est pas bien du tout ce qu’ils font, il faut les empêcher. — Oh ! Maintenant il est bien tard… Mais tu as raison ce n’est pas bien, aussi mal que ce que tu as fait à ta fille. — Euh… — Réponds-moi franchement, as-tu aimé ton après-midi avec Florence ? Ce ne sont pas des choses à demander ça ! — Tu n’as pas aimé ? insiste-t-elle. — Euh… si… C’était… c’était formidable. — Et tu es prêt à recommencer. — Si tu le demandes j’arrête tout. — Vrai ? — Vrai ! Je t’assure. Elle se tourne vers moi et m’embrasse sur le coin des lèvres. — Merci mon chou, ça fait toujours plaisir à entendre, mais je n’exigerai pas ce sacrifice. Tout ce que je demande c’est que vous soyez discrets vis-à-vis des voisins et de ne rien me dissimuler. — Je te promets. — Et de laisser les enfants s’amuser entre eux. — D’accord. Mais je ne te savais pas si généreuse, aurais-tu un secret douloureux à dissimuler ? Elle se tourne sur le coté vers moi. Les seins pendent entraînés par la pesanteur. Je les compare à la poitrine arrogante de Florence et Annie. Ils sont peut-être moins fermes mais plus émouvants. A mon tour je me tourne et m’amuse à triturer le téton qui raidit entre mes doigts. — Il n’était pas dans mes intentions de te cacher quelque chose, mais j’attendais le moment favorable, murmure-t-elle. Son doigt glisse sur mon ventre, rentre dans la forêt de poils et s’enroule autour de la verge molle. Je ne bouge plus. J’adore cette caresse après l’amour. Au bout d’une minute, la curiosité l’emporte, quel est ce secret qu’elle hésite à me révéler ? J’en ai bien une petite idée mais je veux l’entendre de sa bouche. — Et maintenant le moment est favorable ? — Je crois, murmure-telle. Un long silence, je ne veux pas la brusquer. — Tu te souviens l’automne dernier, tu étais désagréable, si distant… — J’étais préoccupé par le cours du lait. — Peut-être, mais tu ne t’occupais plus de moi. Alors… C’est avec un voisin qu’elle m’aurait trompé ? Lequel ? Je passe en revue les mâles de notre village. Je n’en vois aucun qui pourrait séduire Fabienne, mais sait-on jamais… Son doigt tourne toujours sur mon sexe qui n’est plus aussi mou. Je m’en veux de cette réaction, incongrue quand votre femme vous annonce qu’elle vous cocufie. — Un après-midi, j’ai surpris nos enfants dans la chambre de Francis… Ce n’était pas la première fois, mais ce jour là… au lieu de m’éclipser… J’attends la suite qui ne vient pas. Je décide de l’aider. — Tu es entrée. — Oui… Je me suis approchée du lit… Je les ai caressés pendant qu’ils faisaient l’amour… Ils étaient si beaux… Puis ce sont eux qui m’ont caressée… Toi et moi on s’était disputés au repas… Leurs baisers étaient si doux… Je n’ai pas su résister… Comme moi la veille avec Annie… C’est un barreau bien dur que Fabienne manipule à présent. J’imagine Francis entre les cuisses de ma femme la faisant bramer comme moi tout à l’heure. Une bouffée de jalousie m’empourpre. — Et depuis vous continuez à vous envoyer en l’air. — Francis est exigeant… Je voulais te l’avouer depuis longtemps mais je ne savais pas comment te l’annoncer. — Je comprends mieux pourquoi tu es satisfaite que Florence et moi ayons baisé. Je parie que c’est toi qui l’as encouragée. Tu pourras désormais forniquer sans remords avec ton fils ! — Oh ! Si tu le prends comme ça ! Elle tourne dans le lit me présentant son dos. Confus de ma sortie je tente une caresse. — J’ai sommeil, laisse-moi tranquille ! — Excuse-moi ma chérie, je suis un imbécile. Nous sommes une famille incestueuse ? La belle affaire ! Que les enfants couchent entre eux, que ton fils te baise, cela m’est égal pourvu que tu m’aimes. Mon seul regret c’est d’avoir attendu si longtemps pour vous imiter. Jamais plus je ne t’adresserai de reproche, jamais… Je chatouille sa raie de la pointe du sexe. Fabienne grogne et desserre les cuisses. Je pars à la recherche de la vulve, la trouve et m’enfonce dans un océan de douceur… Nous faisons l’amour doucement, tendrement…
Fabienne n’est plus au lit quand je m’éveille. J’enfile un short et la rejoins à la cuisine. Florence et Francis terminent leur petit déjeuner. — Bonjour Papa ! — Bonjour les enfants ! Je me penche pour les embrasser. Ma main frôle la poitrine de ma fille qui la retient sur le sein. — Et moi ? On ne me dit pas bonjour ? — Tout de suite ma chérie. Fabienne se love dans mes bras, je prends ses lèvres. — Hum ! Hum ! Ça ne vous a pas suffit cette nuit ? se moque Florence. — Oui, vous avez fait un de ses potins, renchérit son frère. — Tu étais jaloux ? interroge Fabienne toujours dans mes bras. Son ventre frotte contre mon sexe qui réagit aussitôt. — Ça se pourrait, déclare Florence, car il voulait entrer dans votre chambre. Heureusement je l’en ai empêché. Se rend-elle compte qu’elle avoue dormir avec son frère ? Bah ! Quelle importance à présent. Les enfants plient leur serviette et se lèvent de table. — Vous partez déjà ? — Déjà ? T’as pas vu l’heure ? rétorque mon fils. — Tu dormais si bien que je ne t’ai pas réveillé, explique Fabienne. Sous le massage de son pubis, ma queue durcit. Je n’ose me séparer pour ne pas exhiber une virilité indécente. — Où allez-vous ? — Chez Annie. Son frère veut nous montrer quelque chose. — Quoi ? — Sais pas… À tout à l’heure ! — Tu peux me lâcher maintenant, je ne vais pas tomber, se moque Fabienne quand la porte se referme… Ah ! Je comprends pourquoi tu me tenais si serré ! Mais tu sais, les enfants sont grands et tu n’as pas à avoir peur de les choquer. Ma queue pointe déformant le short. — C’est d’avoir dormi longtemps qui te rend si… euh… vaillant ? — C’est de tenir dans mes bras, ma chérie. — Au lieu de dire des bêtises, assieds-toi et déjeune. Je m’installe. — Ce ne sont pas des bêtises, c’est la vérité, tu es… euh… vous êtes si bandantes. — Je vois que tu as le courage de nous associer Florence et moi dans ton délire. Après m’avoir servi un bol de café au lait, elle s’assied en face. — Dis chéri… Qu’aurais-tu fait s’ils étaient venu nous surprendre hier soir ? — Je ne sais pas, c’était avant notre discussion n’est-ce pas ? — Oui. — Je crois que je n’aurais pas apprécié. — Et maintenant ? — Je pense que je les inviterai à partager notre plaisir, pas toi ? — Si mon chou. — Au fait, sais-tu comment cela a commencé entre eux ? — Non. — On leur demandera. — Tu ne peux pas les laisser tranquille ? Fabienne me regarde mastiquer une tartine de confiture. Une question me turlupine. Il est vrai que l’automne dernier j’étais particulièrement désagréable. Se pourrait-il qu’elle ait succombé à d’autres sollicitations que son fils ? Elle a toujours du succès quand elle traverse le village en robe légère. — Tu es bien sûre de m’avoir tout dit ? — Hier soir ? Oui, je t’ai tout dit… Je t’assure, précise-t-elle devant ma moue sceptique. Mais toi, à part ta fille, tu n’aurais rien d’autre à te reprocher ? — Euh… Si, une fois. — Une fois seulement ? — Oui, seulement. Ça s’est passé avant-hier après-midi. — Avec Annie ? — Oui, l’unique fois depuis que nous sommes mariés. — Ah, parce quand nous étions fiancés… ? — Je corrige : l’unique fois depuis que nous nous fréquentons. — Je te taquine. Elle éclate d’un rire contenu. — Nous formons un sacré couple mon chéri ! Pendant que tu… euh… avec Annie, moi et Francis… — Ah ! Voilà pourquoi ce sacripant n’est pas venu m’aider ! — Ne lui en tiens pas rigueur, c’est un peu ma faute… Tu m’en veux ? — No… Non ! Je ne t’en… Je ne vous en veux pas. Fabienne emporte les bols dans l’évier. — Tu as donc succombé aux charmes de la copine de notre fille… Ainsi le frère et la sœur, murmure-t-elle tout en rinçant les couverts. — Que veux-tu dire ? — Tu sais, André me tourne autour depuis l’hiver. — Il te plait ? — J’ai résisté moi. Pas comme toi ! Je l’enserre par derrière. — S’il te plait, je fais la vaisselle. — J’ai envie de toi, dis-je en l’embrassant dans le cou. Mes mains fouillent sous le tablier, caressent les cuisses, remontent vers l’aine. Je descends la culotte de coton. — Veux-tu me laisser tranquille… Malgré sa révolte de façade elle se débarrasse du dessous et le lance sur le dossier d’une chaise. J’en profite pour ôter mon short. Je soulève le tablier sur les hanches dévoilant son splendide postérieur. — Je t’en prie… Si quelqu’un entrait ? — Zut pour l’importun ! Il attendra ! Je tourne du doigt autour de l’anus. — Non, pas là ! J’enfonce une phalange. — Mmmh ! … Non… s’il te plait… Je n’insiste pas. Je ne veux pas la forcer. Je trouve l’ouverture du vagin dans lequel j’introduis deux doigts. — Ouiii ! Ma queue les remplace. — Aaah ! La tenant aux hanches je la pilonne de toute mon énergie. Elle s’arque boute contre l’évier pour résister à mes coups de rein. Nous haletons comme des forcenés jusqu’à l’explosion finale. Vrai ! Je ne me lasserai jamais de lui faire l’amour…
— Je te laisse. Je vais réviser la moissonneuse batteuse pour les prochaines moissons. Je m’écarte. Fabienne rabaisse son tablier. — Pfff ! Regarde les saletés que tu as faites ! Fabienne montre les gouttes de sperme et de cyprine qui maculent le carrelage. — Bah ! Ça se voit à peine ! — Moi je le vois, puis si je ne nettoie pas, ça va coller sous les chaussures. Fiche le camp que je passe la serpillière !
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