Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 138 J'aime
  • 0 Commentaire

Travaux agricoles

Chapitre 4

Erotique
Samedi soir. Fabienne m’a convaincu de la nécessité d’une mise au point avec les enfants. Après le repas, nous passons au salon. Je mets une musique d’ambiance et viens m’installer à coté de ma femme qui m’embrasse dans le cou. — Merci ma chérie. — Je crois, déclare Francis à Florence, que nous sommes de trop dans cette pièce. Viens on va les laisser en paix. — Non, non, restez, votre père a quelque chose à vous dire. Le frère et la sœur s’assoient sur l’autre canapé, l’un contre l’autre comme deux amoureux, puis, un peu gêné s’écartent. — Voilà… Hum… J’ai récemment appris… euh… comment pourrai-je le formuler… disons que, il semblerait que vous vous comportiez plus en amants qu’en frère et sœur et… — Et alors ? déclare ma fille sur la défensive. Par bravade elle se rapproche de Francis et passe une main sur ses épaules. — On l’a jamais caché, poursuit-elle. C’est pas notre faute si tu voyais rien. Maman n’a rien dit, elle. — Je ne vous reproche rien. Ce qui est fait est fait. — Tu aurais l’intention de nous en empêcher ? menace Francis qui se lève à demi du siège. — Laisse-moi finir je te prie. Je disais que j’ai appris vos coucheries et presque en même temps que votre mère a succombé aux avances de son fils. — Tu as quelque chose à dire Papa ! s’insurge Florence. Je souris à sa véhémence. — Oui ! J’ai à dire que moi aussi j’ai goûté à tes charmes ma chérie. C’est au tour de Francis de réagir ! — Comment ? Tu as baisé avec Papa ? C’est dégueulasse ! — Et alors ? Tu le fais bien avec Maman ! — C’est pas pareil. — Et pourquoi donc ? — Tst ! Tst ! Tst ! Calmez-vous les enfants ! Nous en avons discuté votre mère et moi et sommes convenu que ni l’un ni l’autre ne souhaitions cesser ces relations que le commun des mortels qualifient d’incestueuses, et je subodore qu’il en est de même pour vous. — Ben dis donc Papa, où t’as appris à parler comme ça ? se moque Florence. — Ton père était le meilleur en Français au lycée agricole, explique Fabienne. — En clair ça veux dire quoi ? Je reconnais là le sens pratique de mon fils.
— Ben maintenant que je suis au courant, comptes-tu toujours baiser ta mère et ta sœur ? — Euh… — Nous dirons que ta réponse est affirmative. Et toi Florence, veux-tu cesser toutes relations sexuelles avec ton frère ou moi ? — Non, Papa. — Vous voyez, nous sommes tous d’accord pour continuer. — Tu ne m’as pas demandé mon avis chéri, intervient Fabienne. — Pardon, mais comme nous en avions discutés auparavant… — Je tiens à le proclamer à mes enfants, moi non plus je ne veux… euh… je veux que rien ne change entre nous mes chéris. « Mes chéris » ? Qu’est-ce à dire ? Bah ! On verra plus tard. — Vous voyez, il n’y a pas de raison de s’interdire ce qui nous fait plaisir. Par contre je souhaiterais apprendre comment vous avez commencé entre vous, qui en a eu l’idée. C’est toi Francis ? — Euh… non. — Alors toi Florence ? — Euh… C’est Annie qui m’en a parlé… — Annie ? Parce qu’elle avec son frère ?… — Ou-oui… Je me tourne vers Fabienne. — Tu savais ça ma chérie ? — Non, je n’avais jamais posée la question. — Ainsi d’apprendre que les deux jumeaux faisaient l’amour entre eux vous a donné l’idée ? — Ou-oui Papa. — Ma foi, c’est peut-être mieux ainsi. Dorénavant, entre nous il sera inutile de se cacher, par contre je vous demande la plus grande discrétion vis-à-vis de l’extérieur. Les gens ne comprendraient pas. Le frère et la sœur se regardent en souriant. Ce que je leur propose leur va à merveille. — Dis Papa, on pourra quand même recevoir Annie et André ? s’inquiète Francis. — Ah ! Parce que vous… euh… vous amusez… ensemble ? — Euh… Oui. J’en apprends de belles ! Des parties carrées entre les jeunes ! Ces gosses ! Quelle imagination ! — Bah ! Du moment que cela ne s’ébruite pas. Vous êtes sûr qu’ils sont discrets? — Ils ont autant à perdre que nous, affirme Francis. On a confiance en eux. — Dans ces conditions, il me semble que nous pourrons les incorporer au cercle familial. — Les incorporer ? Cela veut dire agir avec eux comme avec nos enfants ? me murmure Fabienne. — Ne m’as-tu pas dit que tu trouvais André intéressant ? lui dis-je sur le même ton. — C’est bien ce que j’avais compris que tu voulais dire. Tu n’as pas honte ? Je poursuis à haute voix. — Vous pouvez les inviter quand il vous plaira les enfants. Je compte sur vous pour leur réclamer la plus grande prudence. — Tu peux nous faire confiance Papa, affirme mon fils très sûr de lui. — Bon, une bonne chose de faite cette mise au point. Il faut fêter ça. Florence ma puce, peux-tu sortir quatre flutes de champagne et toi Francis, va chercher la bouteille qui refroidit au réfrigérateur. Tu la mettras dans un seau à glace. Les deux jeunes se lèvent. Fabienne m’apostrophe. — Toi, je te retiens ! — Tu n’es pas satisfaite de la manière dont les enfants acceptent la situation? — Je ne parle pas de ça. Qu’est-ce qui t’a pris de me mettre André dans les pattes ? Pour te donner l’excuse de fricoter avec Annie ? — Avoue qu’il ne t’est pas indifférent. — Oh ce culot ! — Blague à part, si les jeunes sont aussi intimes que je le suppose, il nous aurait été difficile de garder le secret. Il est préférable de le partager avec eux. Francis dépose le seau à glace. Je débouche la bouteille et remplis les verres. — A notre santé et à nos amours ! — A la notre !
Francis repose sa flute. — Je crois que nous allons vous laisser terminer la bouteille. Tu viens Florence ? — Mais non, vous n’allez pas partir comme ça, la soirée n’est pas terminée, intervient Fabienne. Dis mon chou, tu n’as rien à solliciter de ta fille ? — Euh… — Viens ici Florence, ton père veut te demander quelque chose… Je lui avais fais part de mon fantasme de me faire sucer par mon enfant. Je n’imaginais pas que ma femme allait me le proposer dès ce soir. Ma fille s’approche curieuse. Voyant que je ne bouge pas Fabienne me houspille. — Alors chéri qu’est-ce que tu attends ? J’hésite. — Si tu étais gentille… — Oui Papa ? Je me décide à ouvrir ma braguette et extraire un sexe encore mou. — Euh… Tu me sucerais. Interloquée Florence regarde alternativement la hampe qui se développe et sa mère. — Fais ce que dit ton père ma chérie. — Je… j’ai jamais fait. — Je te montre, Francis viens ici !… Assieds-toi à coté de ton père !… Ôtez votre pantalon !… Tous les deux ! — A condition que vous vous déshabilliez aussi. — D’accord François, tout le monde à poil ! C’est à qui sera nu le premier. Francis gagne haut la main, puis moi et Florence. Fabienne termine la dernière. Il faut dire qu’elle a pris la précaution de ranger ses vêtements sur une chaise. — Qu’est-ce que c’est ce foutoir ! Rangez-moi vite vos affaires ! rouspète-t-elle… Mieux que ça ! Francis ! Veux-tu plier correctement ton pantalon ! Nous nous regardons les yeux brillants un peu gênés. C’est la première fois que nous nous exposons nu en famille. Fabienne prend la direction des opérations. — Les hommes ! Vous vous asseyez là !… Écartez les genoux ! Elle s’accroupit devant Francis. Tout en me regardant avec un large sourire, elle saisit la verge de son fils et la masturbe doucement. — Fais comme moi ma chérie. Florence s’agenouille à mes pieds. — Tu commences par caresser la tige pour qu’elle raidisse… Les doigts touchent ma queue qui réagit immédiatement. Que la masturbation est douce ! — Tu donnes des petits bécots sur le bout… Les deux femmes se penchent sur leur trophée. — Bien… Tu décalottes le gland… — Sssh ! Un même gémissement sourd de nos lèvres à Francis et moi. Fabienne commente sa démonstration. — Tu donnes des petits coups de langue sur la pointe… sur le bouclier du gland… sur la tige… Tu remontes au sommet… Tu arrondis les lèvres et tu enfournes le gland… Mmmh ! — Aah ! gémit Francis à mes cotés. — J’y arrive pas, se plaint Florence. Sa bouche est trop petite, le bouclier ne passe pas. — Mais si tu y arrives ! Ouvre grand la bouche… Tu vois… Attention à tes dents c’est fragile un homme… Tu fais entrer et sortir… plus profond… — Arrgg ! Florence se redresse brutalement : — Rheu ! Rheu ! Rheu ! — Respire ma chérie, reprends ton calme, va doucement, tu verras comme c’est bon de sentir le gland envahir la gorge. Ma fille recommence. C’est divin ! A chaque pénétration elle enfonce un peu plus ma queue. C’est une bonne élève. Avec un peu de pratique elle sucera aussi bien que ma femme. — C’est bien… Arrête ! (Oh non !)… Tu lèches le sexe maintenant comme une sucette (Oh oui !)… Redonne des coups de langue… Passe une main sous les couilles… amuse-toi à les triturer… — Aïe ! — Excuse-moi Papa. — Pas si fort ma chérie, je te l’ai dit, c’est fragile un homme !… Remets le gland en bouche… Enfonce-le… Bien profond… Masturbe la tige en même temps… Les deux femmes s’activent sur nos sexes. Francis gémit les yeux fermés je devine qu’il est au bord de l’explosion. — Fais attention ma chérie, quand tu sens la queue gonfler tu serres à la base pour freiner la montée du sperme… Puis quand ça se calme tu recommences, petits baisers, sucette, bouche… Mmmh !
Jamais une fellation ne m’avait procuré autant de plaisir. Est-ce parce que ma fille la pratique ou plutôt parce que Fabienne la guide, et que nous faisons cela en famille ? Je résiste du mieux que je peux pour profiter au maximum de ces instants privilégiés. Il n’en est pas de même pour Francis qui s’abandonne avec force gémissements. Sa mère déglutit sans sourciller. Ah ! Si Florence pouvait faire de même… — S’il te plait ma chérie, arrête ! ordonne Fabienne. Je t’apprendrai plus tard à avaler. Ma queue hoquète de désappointement, mais ma femme a raison. Ce ne serait pas une bonne idée pour une première fellation. — Tu… tu avales… ça ? — Oui, ma chérie, au début c’est bizarre mais on s’y fait très bien. Puis les hommes adorent. — C’est vrai Papa ? — Oui ma puce, mais je ne suis pas pressé, nous avons le temps. — Par contre moi je n’ai pas le temps. Allez ! Debout les hommes ! Nous prenons votre place. A votre tour de nous procurer du plaisir ! J’extirpe Francis encore à moitié groggy du canapé et l’installe entre les jambes de Fabienne. Moi, je m’agenouille devant Florence. J’ai sous les yeux sa chatte blonde aux poils clairsemés. On devine très bien le sexe rose. A coté la touffe châtain de Fabienne beaucoup plus drue parait anormalement sombre. Je la connais bien cette chatte, je sais comment extraire le clitoris des poils pour satisfaire ma bien aimée. Francis saura-t-il faire ? J’avance et donne un coup de langue dans la fente rose. — Oh oui Papa ! — Tu lui fais quoi ? s’inquiète Francis. — Tu n’as jamais embrassé une fille sur le sexe ? — Euh… Pourquoi faire ? — Si je comprends bien, toi en dehors de tremper ta quéquette dans un trou tu ne connais rien aux choses de l’amour. Je lève les yeux vers Fabienne. — Tu ne lui as rien appris d’autre ma chérie ? — J’ai essayé, mais il était toujours trop pressé. D’accord il ne fait que pénétrer mais il le fait bien. — Ben de toute façon on en arrive là, quel est le problème ? s’étonne mon fils. — Oui, mais on peut y parvenir aussi par de jolis chemins de traverse, sourit ma femme. — Il faut tout lui apprendre à ce garnement. Florence est plus délurée de ce coté, influence d’Annie ou de son frère André ? Elle écarte les lèvres du sexe avec les doigts et présente le clitoris à mes lèvres. — Mmmh ! Ouiii Papa ! Francis est vexé. — D’après vous je suis un arriéré ! C’est votre faute. En tant que parent vous devez veiller à mon éducation ! — Dans ce domaine l’enseignement pratique n’est pas de notre ressort si on en croit la moralité publique, précise Fabienne. Mais on veut bien faire une exception. Imite ton père. J’ai posé les cuisses de Florence sur mes épaules et j’enfouis la figure dans ses poils. Alternativement j’agace le clitoris ou j’introduis un bout de langue dans l’ouverture du vagin. — C’est dégoutant ce qu’il fait ! — Pas plus dégoutant que de sucer ta queue, sale gamin ! le houspille sa mère. Allez ! Montre que tu es un homme. Francis prend à son tour les cuisses sur les épaules. Fabienne écarte les lèvres de son sexe. — Tu vois ce petit bout ? Tu le prends entre tes lèvres… Vas-y ! N’ait pas peur, ça ne mord pas… Oui… Ssh !… Tu t’en sors bi… Mmh !… bien… Oui… Continue… Passe la langue dessus… Bi… Bien… Lèche autour… Francis a un mouvement de recul. — Si !… Mais si ! Tu y arrives si tu veux… Aah !… Plus bas… Écarte les poils avec les doigts… Caresse avec la langue… Oui… Encore plus bas… Oui dans le petit trou… Si !… Enfonce la pointe de la langue… Aaah ! Que c’est bon !… Je l’encourage. — Tu fais honneur à tes parents fiston. J’introduis un doigt puis deux dans le vagin de Florence. — Aaah ! Papa-a-a ! Poussant la main plus loin je pénètre une phalange trempée dans l’anus. — Oh Oui ! J’alterne les pénétrations dans les deux orifices tout en suçotant le clitoris. J’ai de la peine à maintenir le bassin car Florence se tortille de plaisir sur le canapé. Je ne sais pas ce que Francis fait à sa mère, mais celle-ci ne se plaint pas ! — Oui !… Tu conti… continues ! Oui !… Je… je pars… Ouiiii ! — Mmeuhhh ! gémit Florence en écho.
Nous nous dégageons laissant les femmes pantelantes reprendre leur souffle. Je remarque que Francis a récupéré de la fellation. Sa queue pointe devant son ventre. Une belle queue presque aussi longue que la mienne mais plus fine. Il est temps de conclure. Je m’approche de Fabienne le dard en main. — Non mon chéri, c’est la fête à nos enfants. Elle attire Francis par la verge. — Montre à ton père comment tu m’aimes… Ouch ! Du calme mon chou… Ouiii !… Aah!… Aah !… Aah ! Mon fils pilonne ma femme avec la fougue de la jeunesse. Je me tourne vers ma fille. — Tu veux bien ma puce ? En guise de réponse elle m’attire violemment en elle. J’ai à peine le temps de positionner le gland qu’une chatte avide l’engloutit. Le surplus de cyprine accumulé pendant le cunnilingus coule autour de la verge jusque sur les testicules chatouillés par les gouttes. N’ayant pas encore déchargé de la soirée, ma queue est d’une raideur extrême. Ne martyrise-t-elle pas Florence ? Il ne semble pas. Elle fait pratiquement tout le travail lançant et retirant le bassin au devant du pieu qui la transperce. — Papa-aah !… Papa-a-aah !… Paaaah ! Je tente de calmer la cadence, je ne veux pas m’effondrer trop tôt. Rien n’y fait. — Papa-a-aah !… Paaapaaa-aah !… Ouiiiii !
Diffuse en direct !
Regarder son live