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Travaux agricoles

Chapitre 11

Erotique
Provisoirement calmés, nous rencontrons dans le couloir les jumeaux et leur mère sortir de la chambre de Francis. Anémone retient sur les hanches sa jupe à moitié déchirée. Ses enfants se sont rhabillés. Je suis un peu inquiet. Ne va-t-elle pas nous faire des reproches ? Si elle était seule en cause je m’en ficherais, mais les jumeaux avec qui elle semble avoir fait la paix, ne vont-ils pas s’éloigner de nous ? - Veux-tu qu’Annie aille te chercher des vêtements propres ? propose Fabienne. Pendant ce temps, tu prendras une douche. — Euh… C’est pas de refus. Le silence s’installe. Nous regardons tous la porte par laquelle la jeune fille est sortie. Anémone se décide enfin : — Euh… Les enfants m’ont raconté… je savais pas… Je m’excuse pour tout à l’heure… On vous remercie… — Aucun problème, l’important est que nous soyons réconciliés, dis-je. Notre porte te sera toujours ouverte, n’est-ce pas chérie ? — Et pour moi non ? s’inquiète André. — Mais si gros bêta, intervient Fabienne. Toi et ta sœur vous êtes toujours les bienvenus. En attendant je pense que tu as aussi besoin de te laver. Va avec ta mère dans la salle de bain et montre lui comment on se douche ici. — Oh oui ! Viens Maman ! Il entraîne une Anémone interloquée. Nos enfants sortent de la chambre de Florence. — On va dans la salle de bain. — Attendez, elle est occupée. — Par qui ? Anémone ? — Oui avec André. Les enfants sourient. Ils savent ce que cela veut dire. Annie arrive avec un sac remplit de vêtements.— Où est ma mère ? — Avec ton frère sous la douche. Rejoins-les, invite Fabienne. — Tout de suite ! Nous sourions aux exclamations qui fusent à travers la porte, suivies par des rires, des couinements et des gémissements de plaisir. Il est réconfortant d’apporter la joie autour de soi…
Rien ne change dans notre quotidien, les jumeaux sont toujours aussi assidus. Les labours terminés, finies les galipettes dans les champs. D’ailleurs les derniers jours, la fraîcheur automnale a contrarié le bon déroulement des étreintes et nous devons nous replier dans la maison. Il faudra attendre la saison des foins pour recommencer… A la fin du mois, Anémone m’a prié de lui apporter le fermage au lieu l’expédier par virement. Je doute que recevoir l’argent soit la seule motivation. Fabienne également ! Elle tient à m’accompagner. Le sourire de bienvenue d’Anémone s’efface en la voyant. — Euh… Tu es là Fabienne ? Ma femme met tout de suite les choses au point ! — Anémone ma belle, je ne me laisserai pas voler mon mari.
— Euh… J’en ai pas l’intention. — Tant mieux car j’y tiens ! A la rigueur je veux bien te le prêter mais à condition d’être présente. Je tente une interruption, cela me regarde quand même ! — Vous pourriez demander mon avis… — Pourquoi faire ? Toi, tu feras ce qu’on te dira ! Embrasse-la ! — Euh… On ne pourrait pas régler les comptes avant ? — Si, tu as raison, donne-lui son chèque. Une fois celui-ci rangé, Fabienne enlace Anémone. Voilà pourquoi elle tenait tant à m’accompagner ! — Déshabille-nous mon chéri. — Euh… On ne peut pas aller dans ma chambre ? suggère Anémone. Sitôt dit sitôt fait. J’ôte un a un les habits des femmes qui ne cessent de s’embrasser et de se caresser. Une fois nues, au lieu de me rendre la pareille, elles se couchent tête bêche sur le lit dans un voluptueux 69. — Hé ! Vous pourriez me déshabiller à mon tour. — Tu peux le faire tout seul ! rétorque mon épouse. Le spectacle émoustillant me console. Le dard prêt à l’emploi je grimpe sur le lit. Le cul d’Anémone m’attire. Ma femme ne m’a-t-elle pas conseillé de me défouler dedans ? Elle ne va pas me le refuser… Ben si ! Ses doigts guident ma queue vers le vagin ! Anémone grogne. Je m’enfonce d’un coup de rein, tant pis, ce sera pour une prochaine fois… — Arrête mon chéri, une seconde. Elle retire la queue de l’orifice. Quoi ? Elle veut m’empêcher de baiser ? — Recule juste un peu. Oui ! Ma douce présente le gland face à la rosette brune. Je pousse, le bouclier pénètre. — Aaaah ! — Ça entre mieux quand c’est lubrifié, n’est-ce pas ? Brave Fabienne qui a permis à ma queue de s’enduire de cyprine avant l’enculage ! Oh ! Qu’est-ce qui m’arrive ! Je sens un doigt, des doigts qui tentent de saisir ma queue ! Mon épouse a introduit la main ! C’est délicieux… euh… Est-ce qu’Anémone n’a pas mal ? Il ne semble pas. La tête entre les cuisses de ma femme elle s’active à lui procurer du plaisir. Puisque c’est ainsi, pas de scrupule à jouir de la situation ! Je pistonne lentement. C’est que l’abdomen d’Anémone est encombré, je ne voudrais pas lui faire du mal. L’action conjuguée des muscles anaux et des doigts de ma femme me transporte au septième ciel. Quel plaisir divin ! Je sens la jouissance grimper dans la tige. Je me retiens d’accélérer. J’ai peur de blesser Anémone. — En… Aaah !… enlève ta main… ma chérie… je… je viens… — Tout de suite…Oh ! Je… je peux pas… je peux pas ! Les muscles vaginaux doivent être tétanisés. L’envie de la perforer de violents coups de rein est trop forte, je vais me laisser aller… non ! C’est dangereux ! Je serre les dents et parviens à extraire le dard. A peine je le touche des doigts que la semence gicle sur les fesses blanches…
Nous libérons Anémone qui git sur le coté en position fœtale le souffle court. — Alors mon chéri ? Ça va ? me demande Fabienne. — Oh moi ça va ! Mais elle ? — On va lui demander… Anémone ma chérie que penses-tu de notre visite ? — Mmm… Merci… merci beaucoup. — On reviendra alors ? — Oh oui ! Sur le chemin de la maison j’interroge Fabienne. — Comment t’es venue l’idée de mettre la main ? — Tu n’as pas aimé ? — Oh que si ! C’était merveilleux, mais que lui as-tu fait pour qu’elle accepte ? — Euh… Nous avons eu l’occasion de nous rencontrer depuis notre réconciliation. — Alors toi je te retiens ! Tu refuses que je la rencontre seul et toi pendant ce temps… Y-a pas de justice ! — Non mon chou, et c’est ainsi ! En matière de sexe dans la famille je ne délègue à personne, même à toi. — Dis donc ! J’ai mon mot à dire je pense. — Pas du tout ! Tout ce qui nous est arrivé ses derniers temps c’est parce que je l’ai bien voulu. — Quand même… — Tu regrettes ? Tu veux que nous nous conduisions comme par le passé ? — Euh… non. — Nous sommes donc d’accord. En ce qui concerne Anémone, je m’arroge le droit de la voir en tête à tête mais gare à toi si tu m’imites ! Nous cheminons en silence. En y réfléchissant depuis le ramassage des foins, je réalise que Fabienne a guidé toutes nos décisions. C’est elle qui a convaincu Florence de revenir sur le tracteur après sa fuite, elle qui nous a poussés à faire l’amour en famille, elle encore qui a entraîné Anémone dans notre délire sexuel. Ah si ! J’ai impliqué les jumeaux, ma seule contribution. Avec Florence et Annie, elles me mènent par le bout du nez… le bout de la queue plutôt… Que dis-je ‘me mènent’ ? C’est ‘nous mènent’ qu’il faut dire car Francis et André sont logés à la même enseigne ! Dans la famille les femmes, sous l’impulsion de mon épouse, ont organisé le matriarcat ! Je ne suis plus le maître, mon orgueil de mâle en prend un coup !… Et alors ? Suis-je plus malheureux pour ça ? Je n’ai jamais été plus comblé que ces derniers mois, pourquoi vouloir changer ? Fabienne veut diriger mes plaisirs ? Si c’est de cette manière je n’ai rien à redire ! Qu’elle continue ! Je l’enlace et lui inflige un baiser passionné auquel elle répond. — Qu’est-ce qu’il te prend ? demande-t-elle lorsque nous reprenons notre respiration. — J’avais envie. — Comme ça en pleine rue, devant tout le monde ? — Je n’ai pas à cacher que je t’aime, j’en suis fier. — Moi aussi je t’aime… Arrivés à la maison, nous nous enfermons dans notre chambre sous le regard moqueur de nos enfants…
Nous avons recommencé avec Anémone. Elle semble apprécier cette double pénétration. Fabienne par contre a poussé les hauts cris quand j’ai émis timidement l’hypothèse d’une permutation. Pas question de se faire élargir le con au point d’accepter une main ! — Ta queue ne me ferait plus d’effet, c’est ça que tu veux ? Peut-être qu’Annie ou Florence… Non pas Florence, elle a la même morphologie que sa mère, sa chatte ne sera pas assez souple… On verra plus tard…
Je trouve que les femmes sont particulièrement resplendissantes ce printemps. Serait-ce une conséquence de notre sexualité débordante ? Je félicite Fabienne. Elle m’avoue qu’avec Florence et Annie, elles ont arrêté la pilule. Elles sont enceintes ! Toutes les trois ! — De qui ? — Mais de toi, Francis et André mon chou ! — Mais toi en particulier ? — Aucune idée, j’ai baisé plusieurs fois avec chacun de vous pendant ma période fertile. Il en est de même pour ta fille et Annie. Nos enfants auront trois pères chacun ! — Et Anémone ? — Elle ne nous a pas suivies. Pour préserver la respectabilité de la famille, Florence et André se sont pacsé ainsi que Francis et Annie. Les jumeaux s’installent à la ferme, il y a assez de place. Chaque fille possède sa chambre. Elles s’entendent à merveille pour se partager les garçons, tantôt avec l’un ou avec l’autre. Moi, je conserve ma place dans le lit de Fabienne. Quand elle choisit de passer la nuit avec son fils ou André, je vais réconforter celle qui, de ma fille ou d’Annie, est délaissée ce soir là… Les ventres des femmes s’arrondissent. Francis et André sont fiers comme des paons. Les accouchements sont prévus à l’automne, en pleine saison des labours. Pas question cette année d’emmener les femmes sur le tracteur. Dommage, cela reporte à l’année prochaine… Peut-être en attendant avec Anémone qui ne connaît pas cette expérience ?… Euh… à condition que Fabienne l’autorise… Ma femme aura un garçon, Florence et Annie accoucheront d’une fille. Je me prends à rêver… Dans dix huit ans, on les fera participer aux réjouissances familiales… Combien aurai-je à ce moment là ?… euh… 63 ans, si je compte bien. Ce n’est pas vieux… Peut-être serai-je capable de me fabriquer un arrière petit-fils… ou petite-fille…
Fin
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