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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Le travelo anonyme

Chapitre 1

Divers
Vous comprendrez certainement que je ne cite pas la ville dans laquelle j’habite, une petite sous-préfecture de province où j’exerce le métier d’avocat. Je tiens à rester anonyme d’autant plus que je suis marié et que personne, surtout pas ma femme, n’est au courant de la double vie que je mène.
J’ai 32 ans et bien avant mon mariage, je ressentais déjà une forte attirance pour la lingerie sexy et les dessous féminins. J’ai commencé à en porter quand j’étais étudiant en droit à Paris. Je me commandais par correspondance des petits strings en dentelle, des bas, des porte-jarretelles... J’avais également acheté une paire d’escarpins rouges que je ne portais que pour moi. Dans le petit studio mansardé que me louaient mes parents, le seul fait de passer un mini string ficelle me faisait bander comme un fou.
Je gardais souvent ces dessous coquins pour dormir la nuit et certains jours, je poussais l’audace jusqu’à venir à la fac, en petite tenue dentelle sous mes Jeans. Cela me laissait dans un état d’excitation permanente. Mes désirs homosexuels sont venus peu à peu. Je les ai d’abord refusés. Lorsque j’étais étudiant, je couchais avec beaucoup de filles. Je plaisais. Je ne suis pas efféminé de corps. Je suis blond, 1 mètre 78 pour 67 kilos, assez musclé sans avoir la carrure d’un rugbyman. Par contre, je suis très peu poilu, imberbe sur le torse avec un léger duvet sur les jambes. J’ai des petites fesses rondes et fermes et je suis plutôt convenablement membré : 19 centimètres sur 5. Dans mon studio, j’avais installé un grand miroir juste en face de mon lit. Cela poussait mon excitation à son comble de me masturber en me regardant. Mes fantasmes homosexuels se sont précisés quand j’ai acheté un godémiché. Me masturber avec cet objet glissé entre mes fesses décuplait la violence de mes orgasmes. Dès lors, et tout en continuant à mener une vie hétérosexuelle, j’ai eu envie d’essayer avec un homme. Ma première expérience fut une véritable révélation pour moi. L’homme avait une cinquantaine d’années. Je l’ai rencontré dans l’une des allées du bois de Boulogne, un soir d’hiver, un homme marié qui adorait les dessous sexy. C’est lui qui m’a dépucelé complètement dans une chambre d’hôtel. Il était doux, attentif à mon plaisir, respectueux de mes hésitations et de mes maladresses. Il semblait très excité par ce que je portais et il a su me faire jouir avec lui alors que j’étais sodomisé pour la première fois.
Je ne me suis pas désintéressé des femmes. J’ai continué à mener une vie hétérosexuelle à peu près normale tout en ayant des aventures homosexuelles en parallèle. Et puis, j’ai rencontré Alice. Elle est devenue ma femme, un an plus tard. Nous nous sommes installés dans sa ville natale et c’est ici que j’ai ouvert mon cabinet d’avocat. Pendant près de deux ans, je n’ai plus porté de string et de lingerie féminine. Je continuais à acheter de jolis dessous coquins mais c’était pour elle, cette fois. Quelque part, je croyais être guéri de mon petit vice mais, alors qu’elle devait s’absenter plusieurs jours pour son travail, à l’occasion d’un séminaire de psycho-diététique en Corse, je me suis retrouvé seul à la maison. Et là, même si Alice n’a pas du tout la même taille que moi, je n’ai pas pu résister au plaisir de passer un joli string en résille noire que je venais de lui acheter, assorti à un ravissant porte-jarretelles aux longues attaches. J’ai trouvé des bas fumés mais j’ai dû renoncer à ses escarpins qui n’étaient pas à ma pointure.
Dès lors, j’ai retrouvé les mêmes sensations que celles que j’éprouvais dans mon studio lorsque j’étais Paris. Je les ai gardés toute la soirée avec ma queue qui ne débandait plus dans le string. J’ai travaillé sur quelques dossiers dans mon bureau puis, j’ai branché mon Minitel. A ce moment là, j’ai de nouveau ressenti une forte envie de rencontrer un homme. Cela ne s’est pas fait ce soir-là. Parmi les connectés avec qui j’ai dialogué, personne n’habitait près de chez moi. Mais deux soirs plus tard, je faisais cinquante kilomètres en voiture pour me rendre à la grande ville la plus proche et pour y passer deux heures dans un hôtel, en compagnie d’un homme mûr, assez dominateur et fortement membré. Même si les dessous que je portais n’étaient pas parfaitement à ma taille, cela ne l’a pas empêché de bander comme un fou et de me défoncer le cul à plusieurs reprises en me traitant comme une vraie garce, soumise à sa queue. Il m’a baisé en m’insultant, pour lui, je n’étais qu’un objet de plaisir et c’est dans des rapports très crus et vicieux que j’ai retrouvé tout le plaisir de porter des dessous féminins.
Cela remonte maintenant à près de deux ans. Je continue à mener une double vie et à rencontrer des hommes dès que ma femme s’absente pour plusieurs jours. Je ne choisis que des gens qui habitent assez loin de chez moi pour une plus grande discrétion. J’ai recommencé à m’acheter discrètement des dessous féminins, par correspondance. Je les fais adresser à mon bureau où je les cache. Je me suis aussi procuré un godémiché et deux paires de chaussures à talon aiguille que j’aime garder à mes pieds lorsque je me fais prendre par un homme. Elles sont rouges, toutes les deux. Quant à mes dessous, je les choisis uniquement de couleur noire.
Dernièrement, ma femme a dû se rendre une nouvelle fois à Paris pour un congrès. Cette fois, je suis parti dans l’après-midi, rejoindre deux hommes de 41 et 45 ans dans un haras, à une quarantaine de kilomètres de chez moi. J’étais doublement excité. D’un part, j’étrennais une nouvelle tenue faite d’un serre-taille à lacets et cuir avec un string assorti. Les bas résille que je portais me donnaient un air très pute. Et d’autre part, cela allait être pour moi, ma première expérience avec deux hommes. Je les avais contactés grâce à une annonce qu’ils avaient passée dans une revue spécialisée. Le haras était perdu au milieu d’une grande forêt de cèdres. Les deux hommes m’attendaient. J’ai changé de chaussures dans ma voiture pour passer mes talons aiguilles et je suis venu sonner à leur porte. J’étais assez anxieux comme chaque fois que je rencontre de nouveaux partenaires. Physiquement, je n’ai pas été surpris. L’une de leurs lettres était accompagnée de photos prises sur une plage. Régis, l’homme de 41 ans était petit mais robuste, une épaisse moustache noire barrait un visage aux traits anguleux. Le haras appartenait à son copain, Georges, un homme plus grand, le front dégarni et doté d’un physique de bûcheron avec des épaules très larges et un peu de ventre. C’est lui qui possédait une queue superbe de 21 centimètres.
Ils m’ont fait entrer dans un immense salon où trônait une grande cheminée. Toute la décoration illustrait le monde hippique. Nous n’avons pas perdu de temps en bavardages inutiles. Ce que nous avions à faire ensemble était beaucoup plus intéressant. C’est Georges qui, tout en me fixant avec ses yeux ronds, m’a demandé de me déshabiller. Je bandais déjà quand j’ai retiré mon pantalon. Eux, ils se sont mis complètement nus. Très poilus tous les deux, ils étaient dans le même état que moi, avec leur queue tendue entre leurs cuisses. Ils m’ont longuement regardé, me faisant marcher devant eux avec mes talons aiguilles et juste vêtu de mon serre-taille, de mon string et de mes bas. Puis, ils se sont installés dans un canapé confortable et ils m’ont fait venir, à genoux devant eux, m’ordonnant de les sucer. J’ai empoigné les deux bites, l’engin phénoménal de Georges et celui plus court mais très épais de Régis et tout en les branlant, je les ai pompés tour à tour. J’étais hors de moi, leur léchant bien les couilles aussi, désireux de me soumettre à tous leurs désirs et excité par leurs odeurs de mâles en rut.
Je leur ai léché le cul à tous les deux quand ils se sont mis à genoux sur le canapé en me présentant leurs fesses viriles et poilues. Puis, ils se sont occupés de moi. Georges m’a enlacé pour m’embrasser. D’habitude, je n’aime pas trop ça mais là, j’ai accepté d’enrouler ma langue autour de la sienne alors qu’il s’amusait à pincer le bout de mes seins. Régis, lui, s’est glissé entre mes cuisses pour me sucer, me branler, me passer sa langue humide et râpeuse sur le cul et pour commencer à m’ouvrir l’anus avec ses doigts. J’étais haletant de plaisir, prêt à me faire défoncer comme une salope par la grosse bite de Georges. Mais ce n’est pas lui qui m’a enculé en premier. Il a voulu que je le suce encore, assis devant moi alors que je me trouvais à quatre pattes face au canapé et avec Régis derrière moi qui forçait mon cul. Une fois bien enfoncé entre mes fesses, il m’a saisi par les hanches et il s’est mis à me limer de toutes ses forces. Il me tirait vers lui chaque fois qu’il me transperçait avec sa tige. Georges a entendu que son copain jouisse pour venir m’enculer à son tour. Même si le chemin avait été bien préparé par Régis, j’ai eu mal quand il a enfoncé son pieu pour me bourrer le fion. Jamais je ne m’étais senti aussi distendu et aussi profondément baisé. Régis s’est glissé entre mes cuisses pour me pomper et j’ai déchargé une première fois dans sa bouche tout en me faisant inonder le cul par Georges. J’ai encore été enculé, quelques minutes plus tard, assis sur une table avec mes jambes sur les épaules robustes de Georges. J’avais toujours mes talons aiguilles à mes pieds et il m’a défoncé sans ménagement. Régis, debout sur le côté, me faisait pomper sa queue. Je les ai quittés épuisé, le cul complètement défoncé. Depuis, je suis déjà retourné à plus reprises revoir ces deux hommes. Régis, lui, est antiquaire. Il s’absente parfois et je retrouve Georges tout seul dans le haras. Sa grosse queue me rend fou mais ce n’est jamais aussi bon que lorsqu’ils sont tous les deux ensemble.
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