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Maître

Chapitre 15

SM / Fétichisme
                                                              Chapitre 25 Musique : Bangarang – SkrillexRain :2 heures du matin.Nous sommes tous descendu, mélangés aux autres. L’ambiance est puissante, électrique, hypnotique. Certains sautent en rythme avec la musique tandis que d’autres préfèrent se frotter. Autour de moi Mia, Zach, Vincent, Charles, Erik et Elena, une fille de leur groupe, dansent aussi. Vincent danse avec Mia, ils sont tous les deux collés, leurs corps bouge en rythme. Vincent appuie ses mains sur les hanches de sa partenaire pour la maintenir contre lui. Charles et Elena s’amusent à sauter bras au-dessus de l’autre, à se faire tourner. Quant à moi j’accompagne le rythme de la musique, je balance mon corps sensuellement, mes yeux sont fermés, je respire la musique, je ressens la musique, les vibrations, la chaleur des autres autour de moi. J’ondule mon corps, mes mains suivent le mouvement, mes cheveux suent mais suivent le mouvement, je sens leur frottement sur mes épaules et mon dos.Je sens un corps se coller derrière moi, les mains de l’individu caressent mon ventre et mes hanches, il dépose sa tête dans le creux de mon cou. Je sens son érection contre mes fesses, ses mains viennent agripper mes hanches et me maintiennent collées à lui, il impose son rythme. J’ouvre les yeux, c’est Erik. Puis, Zach vient se placer devant moi, je sens son érection contre le bas de mon ventre, ses mains agrippent mes fesses et sa tête vient se nicher de l’autre côté de mon cou. Pour la première fois, je suis collé, entre deux hommes, deux hommes très sexy qui plus est. Ce que je remarque assez vite c’est que leur corps ne bouge pas aussi vite que le mien. Ils écrasent leur corps contre le mien en me permettant tout de même de danser, bouger, les frotter.Je sens leur souffle contre ma peau, ils halètent. Le fait de les exciter m’excite aussi. Je n’ai jamais fait ça avant, gérer deux hommes à la fois. Erik passe sa langue dans mon cou, mon corps se tend instantanément, un frisson me parcourt, Zach, vient prendre mon lobe d’oreille dans sa bouche. Je passe un bras autour du cou d’Erik, mon deuxième autour de celui de Zach et colle leur visage contre moi, je leur intime de continuer. Ils ont l’air d’apprécier mon geste, ils appuient encore plus leur érection sur mes parties sexuelles. Zach malaxe mes fesses pendant qu’Erik pétrit mes seins. Être touchée à ces deux endroits est grisant, je mords ma lèvre inférieure. Je commence à faire des vagues avec mon bassin, de l’avant vers l’arrière, mon bassin vient se frotter langoureusement contre la queue de Zach pour ensuite venir frotter celle d’Erik, ce mouvement me donne l’impression de les baiser chacun leur tour. Erik me tire les cheveux de sorte que ma tête bascule en arrière, il me lèche le cou, remonte le long de ma joue et enfonce sa langue dans ma bouche. Sa deuxième main vient encercler ma gorge, ce sentiment d’impuissance face à ces deux hommes est délicieux, ils peuvent faire ce qu’ils veulent de moi et ce qui me plaît encore plus, c’est que je les laisserais faire. Erik m’embrasse lentement mais avidement, sa langue goute chaque parcelle de ma bouche, il lèche ma langue au passage. Quant à lui, Zach, descend les bretelles de mon débardeur sur mes bras et embrasse le haut de ma poitrine, par-dessus le tissu il mordille mes tétons, il mord juste assez pour que mon corps tressaute. Je passe mes deux mains dans ses cheveux et maintiens sa tête contre ma poitrine, il répond, il vient me claquer les fesses de ses deux mains ; je sursaute.Je me retourne et provoque Erik en lui tirant la langue, je recule jusqu’à ce que mes fesses percutent Zach, une fois que je sens sa bosse je me cambre. Je jurerai l’entendre rire, il attrape fermement mes hanches et me donne un coup de reins. Zach est sauvage, j’aime ça. Je commence à me déhancher salement contre lui. Il vient placer deux doigts dans ma bouche, je viens les lécher avec ma langue et les suces avec mes lèvres, je ferme les yeux et savoure ces doigts d’homme.J’ai tellement chaud certes je transpire mais je ne parle pas que d’une chaleur corporelle, une chaleur torride m’anime, elle prend possession de mon corps. Je suis tellement excitée que je peux sentir ma chatte dégouliner, ma culotte trempée. Mes seins n’attendent qu’une chose, se faire dévorer tandis que ma chatte, elle, désire se faire pilonner. C’est pour ça que je suis ici, pour me sentir vivante, pour apprendre à me connaître, physiquement, personnellement, découvrir mes fantasmes même les plus sombres.Je penche ma tête en arrière et continue de danser, les garçons continuent de me dévorer, de m’utiliser pour leur plaisir, je ne veux pas que ça s’arrête. En regardant vers le haut j’aperçois le carré de Camsten ouvert et celui-ci est en train de me dévisager, à ses côtés se trouve sa femme, une femme rousse et deux hommes. Les voir tous ensembles, les uns à côtés des autres m’excite, ils ont l’air tellement puissants, confiants.Je plonge mon regard dans celui de Camsten et vient lécher et sucer le lobe d’oreille d’Erik, je veux le provoquer, l’enrager voire même le rendre jaloux, je ne sais pas pourquoi mais j’aime ça. Je continue de me déhancher comme un serpent.Vincent s’approche d’Erik et lui crie quelque chose dans les oreilles, ils sourient vicieusement. Erik fait un signe de tête à Zach, celui-ci m’attrape et m’entraîne à la suite des autres. Je pense savoir où nous allons puisque nous nous dirigeons vers les escaliers.
                                                                        Chapitre 26 Musique : Satisfy – NERORain :— Alors, qu’est-ce qu’on va faire ? Minaude Mia en entrant dans l’une des chambres.Zach se moque et mime une auréole au-dessus de sa tête.— Tu vas t’empaler sans répit sur ma queue. Lui susurre Vincent à l’oreille, mais tout le monde l’a entendu.Il se place derrière elle, continue de lui caresser les hanches. Il lui embrasse le coup sensuellement, puis la nuque. Elle se laisse totalement faire, se laisse mouvoir contre son torse, les bras ballants, les yeux clos.Charles et Elena sont plus affamés, Charles n’est vêtu que de son caleçon tandis qu’Elena est en sous-vêtements, leurs habits jonchent le sol. Elle est allongée sur un matelas, sa tête est renversée en arrière et sa bouche est grande ouverte pour laisser échapper ses gémissements. Charles est entre ses jambes, il lui dévore avidement le ventre, la poitrine et son cou. Il parcourt son corps de ses grandes mains.Je regarde une dernière fois les deux couples puis me retourne, Erik est assis sur le bord du lit pendant que Zach est allongé, un bras en-dessous de sa tête. Il me pointe du doigt :— Tu ne crois quand même pas qu’avec ce que tu nous as fait sur la piste de danse, tu vas t’en tirer sans queue dans tes trous.Erik s’esclaffe et me sourit comme la première fois qu’on s’est rencontré, un sourire qui promet de délicieux coups de reins.Je marche de manière nonchalante jusqu’au lit. Je passe proche d’Erik puis me dirige vers Zach, il ne se gêne pas pour se lécher ses lèvres. J’ôte mes chaussures et monte sur lui, je prends soin de déposer mes fesses sur son érection puis me débarrasse de mon haut.
D’un mouvement rapide, il plonge sa tête entre mes seins, me retourne sur le dos et m’écarte les jambes. Erik ne tarde pas à nous rejoindre, il prend place à mes côtés. Les deux hommes me caressent, me lapent les seins. Une main s’aventure dans mon jean et commence à me caresser de manière abusivement lentement le clitoris.J’observe de nouveau les couples, Vincent est installé confortablement dans un fauteuil face à nous tandis que Mia est bel et bien en train s’empaler sur sa queue, elle. De ma position, je peux voir la queue pénétrer sa fente et ressortir. Ses fesses rebondissent. Je tourne la tête à gauche, Charles martèle sa partenaire, ses coups de reins sont rapides et imposants, d’ailleurs Elena ne retient aucun gémissement, je peux voir ses seins bouger dans tous les sens sous les assauts.La porte s’ouvre sur un groupe d’amis, une femme est en train d’embrasser un homme pendant que les autres regardent quelque chose sur un téléphone, quand ils nous remarquent ils explosent de rire et s’excusent, ils se dirigent vers la porte. La femme se détache de la bouche de son amant et nous regarde, quand son regard se pose sur moi elle paraît un court instant étonnée puis s’en va.Je me redresse, je connais cette femme, j’en suis certaine, son air hautain et sa tignasse relevée sur sa tête lui donnent un air familier. Sûrement l’ai-je déjà croisée ici. Pour autant, cette conclusion sonne faux dans ma tête. Je ne l’ai pas vu assez longtemps pour remettre un contexte sur son visage.— Qu’est-ce que tu lui as fait à celle-là ? Plaisante Erik.Je ris, pourtant je suis mal à l’aise, comme un pressentiment qui ne me lâche pas. Mes deux partenaires continuent leurs caresses, je sens une langue sur mon sein et une bouche sur le bas de mon ventre. Ça ne m’empêche pas de continuer à cogiter, c’est d’ailleurs un problème chez-moi, je pourrai me faire une entorse aux neurones à force de réfléchir toute la journée pour tout et rien. Chaque détail se transforme chez moi en obsession. J’essaie de me remémorer tous les visages que j’ai croisés ces derniers jours, tous les lieux que j’ai fréquentés.Putain je me souviens ! La secrétaire de Smart and Co ! La putain de garce !Je me relève de but en blanc, repousse Zach et Erik. Voilà pourquoi il est venu me dire ça tout à l’heure, il parlait d’elle ! Je saute du lit et enfile maladroitement mes pompes et mon haut.— Tu vas où ? S’inquiète Zach.— Rain ! Crie Charles.Je ne me retourne pas, je me précipite aux balcons, je dois aller le voir, je dois aller me disputer avec lui, j’en ai terriblement besoin. Je sors du couloir et me dirige sur ma gauche, je longe les balcons en évitant les couples qui baisent, les gens qui dansent ou boivent. L’espace entre les carrés et les rampes est réduit sur les côtés. Je traverse le côté gauche de la boite et arrive de l’autre côté. Le carré de Camsten est toujours fermé, peu importe.J’ouvre les portes de son carré sans crier gare. Ils sont assis sur les canapés, habillés et tournent la tête dans ma direction. Camsten hausse les sourcils et sourit malicieusement, sa femme se raidit et porte sa main à son cou. J’observe la rousse et deux autres hommes présents pour revenir fusillé du regard le principal concerné.— Vous nous laissez une minute ? Demande Camsten.Tous se lèvent et déguerpissent. Quand sa femme me passe à côté je ne manque pas de lui donner un coup d’épaule, j’aime le faire savoir quand je déteste la personne.— C’est bon, je viens de comprendre ton petit message, tu t’es tapé la secrétaire et elle t’a donc informé que je suis passée voir ton ancien éditeur.Il applaudit des mains et me sourit.— Rain, qu’est-ce que tu essaies de faire ? Tu cherches à me nuire ? Saccager ma carrière ?— Je n’aurai pas toutes ces envies si tu me laissais tranquille.— Même si je te laisse tranquille tu finiras par revenir vers moi et c’est ça qui te pousse à me nuire. Tu m’as seulement croisé dans une ruelle et tu as fouillé jusqu’à ce que tu découvres cet endroit. Je t’ai appelé à ton bureau, tu as débarqué quelques heures plus tard pour me confronter. Et même quand tu séduis deux hommes, tu prends le temps de me séduire en même temps, de me titiller, de me rendre jaloux. Si je suis toujours là Rain, c’est parce que tu le veux. Je te fais ressentir des choses, tu éprouves des sentiments à nouveau, tu te sens vivante et désirée à mes côtés. Même si je n’étais pas un génie j’aurais compris que tu es dépressive. Mais ce n’est pas tout, tu élabores des plans pour me nuire, tu fais deux heures de routes juste pour découvrir des infos sur moi et je suis certain que je ne sais pas tout. Tu es le genre de femme capable d’engager des détectives privés pour me faire suivre ou chercher dans mon passé.Un vertige me saisit, je ne m’en étais jamais rendu compte, mais il a raison, il est devenu une obsession, il est la seule chose dans ma vie qui me permet de ne plus penser à moi, à mon passé. Il est une échappatoire. Je plonge mon regard dans le sien, il n’y a aucune animosité, aucune trace de sadisme, juste deux yeux verts me regardant intensément. Merde... est-ce que je suis en train de replonger ? Est-ce que la dépression est en train de me noyer encore une fois ? Les larmes me montent aux yeux, qu’est-ce que je dois faire ? Qui peut m’aider ?— Je dois aussi me confesser Rain. Renchérit Camsten. Je n’ai pas bien agi avec toi, je suis tellement habitué à avoir ce que je veux, qui je veux, où et quand je veux que je ne sais pas séduire et attendre une femme. Je ne supporte pas d’être rejeté. Je ne me donne aucune excuse, je suis qui je suis, je ne changerai pas, pas pour quelqu’un en tout cas. Tout ce que je veux, c’est que tu lâches prise, que tu t’abandonnes. Soit simplement un réceptacle de mon plaisir.Je ricane mauvais et le fusille du regard.— Et je finirai comme cette jeune fille d’il y a trois ans ? D’ailleurs où est-elle ? Morte ?— Ça t’arrangerait hein. Comme ça tu aurais une nouvelle excuse pour ne pas me faire confiance et pour continuer à t’accrocher à ta fierté. Mais navré Rain, cette jeune fille n’est pas morte, effectivement, la soirée a mal tourné, mais pas pour elle, pour moi. Elle m’a poussée dans mes retranchements, elle était ensanglantée mais elle me suppliait de continuer alors oui, j’ai continué, je ne pouvais pas m’arrêter, j’étais fasciné par cette femme, elle n’avait aucune limite. Mais elle a finie par perdre connaissance, alors nous l’avons emmené aux urgences prétextant l’avoir trouvé comme ça dans la rue, nous sommes restés avec elle pendant des heures, son pronostic vitale n’était pas engagé, mais je n’ai pas quitté son chevet, je devais connaître sa psychologie à son réveil.Il se ressert un verre et le boit cul sec.— Elle a fini par se réveiller et quand ses yeux se sont posés sur moi, elle a souri. Elle m’a longuement regardé, son regard exprimait l’amour, la tendresse et une dévotion sans égale puis elle m’a demandé « Soyez mon Maitre, je vous en supplie ». Seulement, je ne recherche pas ce genre de soumise, il me faut plus qu’un corps à souiller, il me faut aussi une connexion intellectuelle forte, avec elle je n’aurai pas pu discuter. Je l’ai donc dirigé vers un ami, le Maitre parfait pour elle. Cela fait ainsi trois ans qu’elle vit pleinement sa condition de soumise, qu’elle s’épanouit aux côtés de son Maitre.Et merde...
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