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Ma très chère mère ou mon fantasme absolu…

Chapitre 1

Inceste
Ma très chère Mère ou mon fantasme absolu...
Au départ, ce ne sont que de vagues bruits qui proviennent de la chambre parentale située au bout du couloir, comme des petits cris d’animaux, et de vagues soupirs plaintifs. Et puis, je crois que, très vite, je comprends que ce petit animal ne peut être que ma mère et que si ma mère gémit ainsi, c’est certainement à cause de mon père qui doit s’occuper de sa grosse chatte poilue, comme chaque père se doit d’honorer chaque mère.Et puis un été, longtemps après, tout habitué que j’étais désormais à les espionner et en pleine opération secrèto-nocturne, j’entends tout et j’apprends, ce soir-là, quelque chose d’extraordinaire pour le petit homme que je suis alors, le pourquoi du comment en quelque sorte. Nous sommes chez mon grand-père et je suis dans la chambre située en face de la leur mais séparée par un couloir. La veille, j’ai testé la poignée et je sais que je peux ouvrir la porte sans faire de bruit. Alors, j’ouvre la porte, mon cœur dépasse les 500 km/h.Et là, j’entends tout, le paradis. Les hostilités ont démarré et très vite, je l’entends distinctement grogner – a posteriori, je pense qu’il est alors en train de la lécher, la chatte et le cul, de lui mettre des doigts et de bien préparer ses orifices – et puis le premier miracle se produit quand je l’entends, toujours aussi distinctement, dire, ou plutôt soupirer, j’ouvre les guillemets : « Oh ! Mais qu’est-ce que tu fais là !? Tu me tritures !! » Je ferme les guillemets.
Tout près, j’assiste et j’écoute en me branlant évidemment, le cœur atteignant les 1000 km/h. Parce que je sais et parce que j’entends que derrière ce pauvre mur, mon père et ma mère sont en train de faire l’amour - chose qui m’excite alors le plus au monde - que c’est l’été, que tout le monde a bu, que tout le monde est très excité, et que, peut-être, ce soir, il pourrait se produire d’autres miracles, et que je pourrais, peut-être, recevoir le plus beau des cadeaux, mais je ne le sais pas encore.Je ne saurais vous dire combien de secondes se sont écoulées entre le moment où elle s’est plainte de se faire triturer et la réponse que lui fit alors son mari mais c’était dans le feu d’action, naturellement, que le tortionnaire rassura alors gentiment sa consentante victime. Et, de nouveau, j’ouvre les guillemets pour vous faire part de la réponse rassurante de l’impétrant : « Mais non, tu vas voir, après, dans le cul, c’est super ! » Eh oui ma très chère mère, dans le cul ! Dans ton cul ! Ces quelques mots, cette phrase, je crois, ont changé ma vie à tout jamais. C’était à la fois incroyable et fabuleusement excitant pour moi qui les écoutais déjà depuis longtemps, qui avais pris, depuis longtemps déjà, un goût infini à guetter, le soir, ce moment où elle émettrait encore ses soupirs merveilleux, ces râles fantastiques qui me procuraient tant de plaisir ! Et voilà qu’aujourd’hui, été 1990, que cette nuit-là, chez mon grand-père, qui dormait à côté (et qui n’en ratait pas une miette !), je comprends, médusé mais heureux, la queue à la main et l’oreille collée au mur, que si ma mère semble prendre tant de plaisir, que si ma mère fait tant de bruit lorsqu’ils font l’amour, c’est tout simplement parce qu’il l’encule, simplement, ou qu’elle se fait sodomiser par mon père, comme une vulgaire chienne !Inutile de vous dire qu’il ne fallut pas longtemps pour réagir et comprendre, qu’évidemment, cette découverte me plaisait. Ce serait mon secret, énorme et précieux, moi seul savais alors la vérité sur eux et surtout sur elle, moi seul savais que le soir, elle aimait qu’il la sodomise méchamment et il ne s’en privait pas. Et ce soir-là, alors que j’étais déjà tellement médusé et excité, tellement ému d’avoir entendu ces mots, sans même avoir eu le temps de me remettre de mes émotions, juste derrière le mur, la mise en œuvre de la promesse débutait.
Et pour la première fois, ce soir-là, je savais vraiment pourquoi ma mère se retrouvait chaque fois dans cet état proche de la transe. Parce que mon père était vigoureux et endurant et que le cul de ma mère devait l’exciter un peu, mais surtout parce que c’était justement et précisément dans son cul qu’il pouvait mettre sa queue, parce que c’était bien ce que ma mère voulait, prendre sa grosse queue dans l’anus et se faire pilonner sans ménagement. C’était bien la combinaison de ses deux choses qui rendait ma mère ivre de plaisir et qui la faisait ainsi gémir, si bruyamment parfois mais pour mon plus grand plaisir (et celui de mon grand-père qui se branlait aussi). Parce que ma mère était parfaitement d’accord pour cette pratique, qu’elle aimait beaucoup, après l’avoir sucé et rendu dur, qu’il vienne la prendre par-derrière pour la faire jouir, et elle jouissait bruyamment, tout simplement.Je voudrais tellement savoir en détail comment se passaient les choses, ce que tu disais, si tu demandais ou bien si c’est lui qui disposait de toi. Je ne me souviens que de tes soupirs et ils étaient tellement magnifiques, tu me faisais tellement jouir. Une réalité nouvelle venait de naître concernant ma mère, concernant celle que, déjà, j’aimais par-dessus tout, le soir, quand elle m’offrait ses langoureux soupirs. Mais cette réalité nouvelle ne pouvait attendre, il me fallait l’accepter, l’imaginer, la concevoir. Pour en jouir aussi parce qu’il n’y avait pas de raison. C’était donc ça, quelque part, ce secret merveilleux qu’elle me cachait, mais je venais de tout découvrir, comment aurait-il pu en être autrement, avec ces murs si fins, ses gémissements si forts, tout ça ne pouvait que profiter à tous et tous (nous étions deux) en profitions.
Elle était, en fait, devenue une autre personne maintenant et je l’imaginais ainsi la journée. Le soir, j’attendais et j’imaginais tout et j’osais tout, je rêvais d’elle devenant ma soumise, je l’imaginais acceptant pour moi toutes les humiliations. Mais, par-dessus tout, ce qui m’excitait le plus restait de les entendre, le soir, copuler comme des bêtes. C’est bien l’intensité de leurs rapports et la puissance de ses soupirs qui m’ont profondément marqué. Aujourd’hui encore, je reste fasciné et j’imagine toujours, je me souviens toujours de chacun de ses râles, et je ne cesse d’essayer de reproduire dans ma tête ce qui se passait derrière la porte lorsque j’entendais ma mère gémir, le lit grincé, mon père souffler, tout en me branlant, le cœur battant à 2000 à l’heure. J’essaie de la voir à plat ventre, les jambes un peu écartées et mon père sur elle, il bande durement et je vois son chibre aller et venir dans son cul, elle pousse des cris et semble souffrir mais la vérité est toute autre, il faut l’accepter, ma mère aime beaucoup se faire enculer.
Cette mère, que tu aimes, est aussi, dans tes rêves, celle que tu voudrais pour toi, celle qu’il te faudrait au lit pour bien baiser, comme elle, parce que ce qu’elle fait semble bien merveilleux, c’est évident, ça s’entend tellement. C’est un changement brutal ce passage à l’anal mais c’est ainsi, elle est désormais une autre et il faut le dire, tout dire, avec les mots appropriés.
Quand le matin, nue sous son peignoir, elle me prépare mon petit-déjeuner, je repense à ce que j’ai entendu quelques heures auparavant, il y a très peu de temps. Mais tout ça, elle l’ignore. Et je mate dès que possible, dès que l’occasion s’offre, sa poitrine, ses seins merveilleux que je voudrais téter.Elle ignore tout. Elle ne sait pas que je sais son plaisir. C’est pourtant vrai et simple, c’est une femme jolie, de trente-cinq ans, qui aime simplement le sexe, qui aime la bite et qui aime surtout la sodomie. Qui a sûrement dit, au moins une fois dans sa vie, j’aimerais que tu me la mettes dans le cul. Maintenant je veux peut-être encore lui dire ou même lui demander d’accepter ce deal, d’accepter, parce que cela ne serait pas volé, de me donner, de se donner à moi, un jour, une nuit, une fois parce que je le mérite et parce que je veux tout voir et tout faire avec elle. Je veux lui montrer le chibre qui est le mien, je veux qu’elle l’aime et en profite, lui offrir, je veux la voir jouer avec, voir sa langue sur mon gland, l’avoir pour moi tout seul, la déshabiller et en profiter, millième de seconde par millième de seconde, la sentir, la lécher et lui parler et lui dire la vérité, ce que j’aime, pourquoi je l’aime et ce que j’ai envie de faire avec elle. Lui dire combien elle m’excite, lui dire combien de fois je me suis branlé sur elle, simplement en repensant à ces instants où je l’entendais gémir comme une chienne dans la chambre, ravie, une fois de plus de se faire éclater le cul. Lui dire que j’aime la voir comme ça, toute nue, à poil devant moi et silencieuse. Tu attends, tu es là devant moi et tu attends. Oui tu es belle Maman et je me souviens tant de toutes ces fois où je t’ai entendue jouir, tellement de fois, tellement de jouissance, de soupirs, tellement de bonheur Maman de t’avoir entendue tant de fois faire ça, tout près, à côté, pour moi aussi, je le sais.
Tu pourrais me le dire, me raconter, tout me raconter, combien tu étais affamée, je te dirais combien tu me faisais bander et combien de fois j’ai éjaculé, moi aussi, pendant qu’il t’enculait comme un chien, et combien c’était bon d’imaginer, ma chère petite mère, ton anus, à cet instant précis, ton anus bien ouvert ma chère petite mère, ton anus offert et ce chibre qui va-et-vient de toute sa force, qui rentre et qui sort vite de ton cul et qui te fait gémir une fois de plus, exprimer bruyamment le plaisir infini que cette bonne sodomie te procure. J’étais fier, carrément, fier que ma mère, à moi, fasse ça. Ça m’excitait dans tous les sens, j’imaginais tout possible. Tu dois me dire ce que tu as fait, ce que tu as préféré faire aussi, sans tabou, ce sont les règles du jeu, tu dois m’obéir aujourd’hui. Si tu veux je commence. Comment aurais-je pu faire pour ne pas entendre ? Après ça, une fois que j’ai su qu’il t’enculait, je suis devenu fou, c’est tout. Là, maintenant, j’ai encore envie de revivre ça, t’entendre encore, et je voudrais pouvoir voir aussi, voir comment tu lui suces la bite, entendre toutes les saloperies que tu dois lui dire, je ne sais pas si je suis dingue mais cela m’excite toujours. Oui, si je pouvais, j’aimerais te traiter de pute, te dire des mots qui m’excitent mais qui peuvent être faux, te dire ce qui se passait dans ma tête pendant ces moments, oui Maman, ce sont de loin mes meilleurs souvenirs et mes pensées les plus réjouissantes. Ma mère, ma chance, te le dire et te l’entendre me le dire, me parler de ton cul et me dire avec tes mots, des mots vrais quand tu lui disais que tu avais très très envie de te faire enculer et que ça ne pouvait pas attendre, la vérité simple quand tu te donnais à un autre, tu pourrais le dire et oser une fois me parler de sexe. Pourquoi vouloir taire et ne pas dire ces mots ?
Si tu veux je vais te dire, aujourd’hui j’ai le droit Maman. C’était inévitable tu sais, tu m’as tout appris mais tu ne m’as jamais rien donné ! Raconte-moi comment ça se passait ou plutôt accepte juste cette fois de me faire le plus beau des cadeaux. Une fois, te voir prendre ma queue et la mettre dans ta bouche, te voir me branler sur tes tétons, tu serais heureuse et tu aurais envie, et tu me le dirais sans tabou, que tu veux ma queue et que tu veux que je t’encule, que tu adores ça te faire enculer et que ton père aussi adorait ça ! Alors, je n’aurais plus qu’à m’exécuter et je crois que je ne raterai pas l’occasion de te montrer que le chibre du fiston vaut largement celui du père, je ne t’offrirai ni répit ni préliminaire et à peine ton vœu exprimé, tu sentiras mon pieu venir t’ouvrir les entrailles par le bas-fond, et tu entendras aussi ces mots qui accompagneront ma besogne et que sûrement le paternel n’osait proférer, « allez prends ça dans ton cul espèce de chienne, prends bien ma queue espèce de putain, espèce de chiennasse », tu auras peut-être mal mais cela ne changera rien, et je ferai tout pour que tu n’oublies jamais cette journée, « vas-y ouais gueule sale pute, gueule encore ça m’excite de t’entendre, tu l’aimes ma grosse bite hein, sale pute, tu aimes de faire casser le cul comme ça hein espèce de chienne, il aime ça ton anus hein, il est habitué hein, grosse salope, voilà prends bien, prends bien dans ton cul comme ça », tu pourras pleurer ou crier, rien ne pourra m’arrêter, il sera trop tard et tu devras tout entendre.
Je pourrais aussi te pisser dessus et te dire encore à quel point tu m’excites. Ou bien recommencer aussitôt, te prendre contre le mur, par-derrière toujours, revenir bien dur dans ton cul baveux encore ouvert et remettre le couvert, pareille à une putain. C’est ainsi que je te vois Maman et ainsi que je t’aime.Faut-il que tout cela reste secret et ne pas dire que tu devais aimer beaucoup ça pour ne pas penser que dans la chambre d’à côté, je pouvais entendre. Mais comment te reprocher ce qui est pour moi une source d’excitation sans fond. Puisque dans tous mes plus beaux fantasmes, tu es toujours là, tu es toujours celle qui m’émerveille et que je vois partout, la croupe offerte à ton homme, le cul ouvert et papa se régalant de te la mettre bien profond. Et toujours tes gémissements diaboliques.Pourquoi ne pas dire que dans mes rêves les plus fous, je te fais souvent putain, de ces putains qui ne valent pas cher et qu’on ne respecte guère, qui traînent avenue d’Iena et qui font la joie des vieux porcs du quartier. Et tous veulent t’enculer, tous me demandent si elle prend dans le cul la dame ?
Evidemment qu’elle prend dans le cul la dame, c’est même sa passion de se faire casser le pot à la dame. Mais sachez tout d’abord Monsieur que cette dame est ma mère et que vous avez le devoir de la sodomiser dignement ! Elle aime qu’on l’encule comme une vraie pute !C’est ainsi, rien ne me fait plus plaisir que de penser à toi, que de me remémorer ces moments-là et de rêver que tu pourrais un jour m’offrir ton cul. Tout organiser pour que nous nous retrouvions dans un hôtel, nous déciderions de ne pas parler et tu accepterais de te soumettre.Si tu veux tout savoir, je voudrais que tu te déshabilles et que tu viennes vite me sucer, mais je voudrais aussi ne pas attendre et déjà reluquer ton cul, le sentir, le respirer profondément et découvrir avec émotion ton anus, le respirer encore et me souvenir et penser à toutes ces fois où tu t’es fait enculer comme une chienne.J’ai rêvé mille ans de ce moment et dans mon rêve je t’insultais, par plaisir, parce que ça me plaisait de te traiter de grosse putain ou de sac à foutre, simplement parce que tu étais là souriante et que chaque porc qui passait trouvait toujours grâce à tes yeux. Tu veux pas m’enculer s’il te plaît ? Aucun ne refusait bien sûr et chaque fois je profitais du spectacle lamentable de ma mère prise comme une chienne sur la banquette, et chaque fois, sans même se poser la question, c’était toujours bien au fond de ton cul que ces connards déchargeaient leur sauce ; il faut dire que tes demandes en ce sens étaient insistantes, difficile pour eux de ne pas comprendre que ton désir était qu’ils te sodomisent comme une chienne et qu’ils te mettent tout leur sperme bien au fond de ton cul.A jamais et pour toujours, tu resteras, ma très chère mère, cette femme sodomite qui s’est offerte à lui des années durant, cette femme désirable qui en secret le soir, lorsque tout le monde (sauf moi) dormait, acceptait toujours de se faire prendre par-derrière et m’offrait, par là même, un divin récital pornographique que je n’oublierai jamais.
Tu es mon fantasme absolu Maman, je suis fou de ton trou du cul et je continuerai toute ma putain de vie à espérer qu’un jour, à mon tour, je pourrais enfin t’enculer comme tu le mérites, enfin voir ton anus ouvert et rempli de mon sperme, enfin pouvoir te dire en face que jamais de ma vie je n’ai connu plus chienne et plus pute que toi.
Et c’est pour ça que je t’aime, sale chienne.
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