Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 143 J'aime
  • 4 Commentaires

Ma maîtresse, ma belle-soeur

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Mais quelle idée elle a eu de vouloir installer ce chalet en bois de 3x5 m dans son jardin ???? une idée de gonzesse, de Marie, ma belle sœur.Nous sommes dans un petit village du Var, dans une villa occupée par ma belle-sœur, vielle fille de 40 ans.J’ai eu beau lui demander à quoi cela allé lui servir, je n’ai eu comme réponse "curieux, tu verra peut être un jour".J’étais donc la, sous une chaleur torride à me dépêtrer avec ces planches et ces vis à monter cet annexe, dans le prolongement de la terrasse.J’ai 30 ans, Marie est l’aînée d’une fratrie de 2 sœur et un frère.... Sa sœur, donc ma femme, Lili, a 28ans, un peu potelée, due à trois grossesse, fausse rousse, 1m65, 65 kg environ, yeux bleue et véritable star au lit. Ce qui n’est pas le cas de Marie... Noire de cheveux, yeux vert et un corps de pucelle de 18 ans. Pour ce qui est de ces performances sexuelles, le grand vide, jamais vu en compagnie que se soit d’un mec ou d’une femme. Mais des seins de déesse, déjà vue à la plage.Quand à moi, mon âge vous le connaissez...1m80, plutôt mince, châtain très court, yeux marrons.Voilà, présentations faites. Nous sommes un samedi soir et avons invité ma belle sœur à un barbecue. Tranquille...classique... Bientôt l’heure des au revoir, et voilà Marie qui nous quittes... Mais problème... panne de batterie sur sa voiture, une vieille 2cv qui est plus proche de la casse que d’autre chose... Lili me demande alors de la raccompagner. Bien que les 30 kms ne me font pas peur, je signale à ma tendre qu’il est plus de minuit. Marie et Lili se mettent d’accord. je dormirai chez Marie. Déjà fait.Me voilà en route vers le petit village de Marie. il fait chaud, Je pue la merguez-saucisse. Marie me demande alors :— tu veux savoir ce que j’ai fait du chalet ? — ce...ce soir ? balbutiai-je oui, pourquoi pas?— d’accord, mais douche avant...— si tu veux...Je suis sous la douche. Marie m’a filé une tee shirt noir dix fois trop grand et un cycliste de la même couleur qui doit m’aller comme un gant...j’entend des glaçons tomber dans des verres. Marie nous sert deux grands alcool de menthe sur la table basse de sa terrasse. Je m’assoies.— Tu permets? douche également, j’ai vite fait...Vite fait, vite fait, cela fait une demi heure que j’attend, en trempant de temps à autre mes lèvres dans mon verre. — Ça va ? pas trop longue ?Alors là, le choc... elle est vêtue d’un long peignoir rouge qui laisse, par transparence, un soutien gorge, un string, des bas et porte-jarretelles noir.— Choqué ? pas habitué à me voir ainsi fringuée ?— euh, si, un peuElle sourit.— alors comme cela tu veux voir ce que j’ai fait du cabanon ?— Je ne sais pas, si je peux ?
— C’est bien comment tu me parles. Mais je te demande de garder le secret, même avec ma sœur, chut, pas un mot...— oui, d’accord... tu m’ intrigues, Elle se lève, un d’un pas de déesse et se dirige vers vers le cabanon, comme elle l’avait baptisé. Elle me fait signe de la suivre. Puis, prés de la porte me demande de fermer les yeux et de les rouvrir que quand on sera à l’intérieur. je m’exécute.la porte s’ouvre, une odeur d’encens me monte au nez.... mais promis, je n’ouvre pas les yeux, je me laisse guider à l’intérieur.— Vas y,ouvre les...Là, stupéfaction, peur, excitation. je ne sais quel sentiment choisir. Tout y est rouge, moquette du sol, murale, éclairage... Sauf une croix de st André Jaune contraste avec le reste de la déco. Croix, face à la porte, de part et d’autre, des étagères supportant divers godes, pinces, menottes, fouets et cravaches.— je suppose que c’est toi la maîtresse des lieux ?— oui, et d’autres dominant et leur esclave me loue mon donjon.... Et bien, d’une belle sœur coincée me voici en présence d’une dominatrice... elle me demande à l’oreille :— ça te dirait une petite séance d’initiation ?J’acquiesce de la tête.— Mets toi nu, je reviens...Elle part, toujours dans une démarche que je ne lui connaissais pas. J’ôte mes fringues. Et c’est nue comme un vers, dos à la porte que l’attend. Elle revient, me caresse les fesses. C’est sous un masque de cuir, clouté, rouge que je la redécouvre. elle ne porte plus le peignoir, son string c’est transformée en mini short rouge assorti à son masque. Je bande, Comment elle est belle ma belle-sœur.— j’espère que cela te plaît...— oui, très, euh, jolie...Une fessée vient me faire taire. -Silence, plus un mot, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi. Mais avant, quelques règles de bienséance. Pour toi, je serais Maîtresse Marie, tu peux me regarder, mais pas toucher, sauf si je te le demande, épilé de la tête aux pieds, je te veux comme ici, bien raide, toujours, je t’aiderai pour cela... je ne te veux pas lopette, mais soumis à tout mes désirs, mes envies, mes délires. Je veux faire de toi bien plus qu’un esclave,mais un assistant, un serviteur accomplit... voilà ce que j’attends de toi. Tu as le droit à me poser une seule question mais en as tu une ?ils m’en venait des centaines. mais laquelle choisir ?— votre assistant,Maîtresse ?— oui pour éduquer des femmes, des hommes. beaucoup me réclame ce que je ne peux donner.... de la semence, ta semence.... le désires tu ?-oui, oui Maîtresse... qu’il soit fait selon vos désirs.elle me retourne, me pousse dans le fond du donjon, contre la croix.Ayant déjà vu cela dans des films, j’écarte les jambes et les bras. elle m’attache les pieds et les mains. Me voilà offert à toute la lubricité de ma belle sœur, pardon, de Maîtresse Marie.Elle s’approche de moi, me caresse le torse, me pince les tétons.— Mais avant il y a un peu de travail. Tu bandes, c’est bien...D’une main chaude, Elle me décalotte et joue avec mon méat urinaire. Je sens son souffle sur mon visage.— N’ais pas peur, rien de bien méchant ce soir, juste une petite mise en bouche.... il ne faut pas trop de trace, sinon ma sœur va se demander ce que l’on a fait.Sa deuxième main est descendu sur mes testicules et jouent avec en les tirant, triturant, malaxant. Un malheureux " aïe " sort de ma bouche.— Avoues, tu aimes ?— ou...oui, Maîtresse.je tires sur mes liens fait de chaînes et de cuir, mais peine perdu, je suis sa chose. Elle s’éloigne puis revient armée d’un paddle.un premier coup sur mon torse, un second sur mon ventre, puis sur ma queue gonflée à bloc, mes testicule. je me mets a sortir, non pas des cris, non pas des "non", mais je me surprend à lui dire doucement des "oui".— hummm, je vais bien m’amuser avec toi, et je vais t’emmener sur des jouissances dont tu ne connais même pas l’existence...Mais es tu prés, à tu envie de vivre cela avec moi ?— Oui, Maîtresse....Ses coups de paddle ce sont calmé, elle tire sur mes couilles. Puis s’accroupie et souffle sur mon gland rougit par ses coups.— C’est que tu mouilles, hummm...petit cochon......Elle prend alors un peu de mon liquide avec le bout de sa langue.— Tu as bon gout. mais ton sperme est il aussi goûteux ?On verra plus tard...S’étant relevée, elle me mordilla un téton, puis l’autre... de râles de douleurs mêlés au plaisirs quelle me donne sorte de ma bouche.Elle sourit. retourne aux étagères. Elle en revient avec un cockring métallique en deux parties, fermant pas deux petite clip de part et d’autre de l’objet. Elle sourit.— Voilà ton premier signe d’appartenance. Il faudra toujours le porter quand je serais là, toujours, c’est bien compris.-oui, MaîtresseElle me pose l’objet avec une dextérité déconcertante. Quand elle le lâche je sent l’objet qui m’enserre la verge et les testicules. — Regarde comment il est beau !!!! huummm, il te vas a ravir. Quelle bitte il te fait.Il est vrai que cette bague chromée me fait une bite plus volumineuse et les couilles plus offerte. elle reprend son paddle, mais là, c’est juste pour me caresser la verge et les testicules. le frottement du cuir m’excite. Elle m’explique la fin de nuit, tout en me passant un collier de cuir rouge, clouté comme son masque et son mini-short.-tu vas finir ta nuit ici, dans le donjon. Moi je vais me coucher.Elle me détache, me donne une dernière fessée, part se coucher, me laissant avec mon collier et mon anneau....

(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live