Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 164 J'aime
  • 3 Commentaires

De maîtresse du sexe à chienne soumise...

Chapitre 1

Zoophilie
Comment en suis-je arrivée là ???
Tout avait bien mal commencé en fait. Une éducation bourgeoise, catho très stricte, un mari aimant certes, mais froid comme un glaçon et dégoûté par tout ce qui touchait à la sexualité, préférant briller dans le monde des V.I.P.
Et moi, jeune femme avide de plaisir, de sensations, d’orgasmes… privée de tout rapport sexuel… je commençais donc par me masturber, manuellement, puis avec des sex-toys de plus en plus variés, de plus en plus gros… mais cela ne me suffisait pas. Il me fallait un sexe, un vrai, bien dur, bien gros, bien chaud. Je pris donc un amant. Puis deux. Le second m’initia à la fellation… ah quel plaisir de le lécher, de sentir ce sexe dur passer mes lèvres, puis sa hampe, le sentir me remplir la bouche, puis le sentir se cabrer en moi avant d’éjaculer son sperme dans ma bouche…Je découvris que j’adorais le goût du sperme. Cela devint ma gourmandise. Je suçais parfois de parfaits inconnus, juste par envie de sperme, de le sentir tiède, couler dans ma gorge. Mon amant suivant m’initia à la sodomie. Là aussi, quelle découverte! Ce feu d’abord qui brûle l’anus, ce mélange douleur-plaisir, puis qui devient plaisir intense, et quel orgasme lorsqu’il remplit mon rectum de son foutre tiède pour la première fois! J’ai tellement jouis que je me sentais dégouliner le long de mes jambes!
Mais bien vite cela ne fut plus assez non plus. Je voulais plus de sensation, plus de plaisir. Je me fit prendre par deux hommes en même temps. Là aussi, je croyais avoir atteint le summum du plaisir! Une queue palpitante dans le cul, l’autre qui se déverse dans mon vagin, être prise en sandwich par deux hommes fort, quel orgasme! Mais de deux, je passais vite à trois. Une belle queue en plus dans ma bouche… sentir ces tiges de chaires, dure, chaude, remplir tous mes orifices! De là à participer à un gang bang, il n’y a qu’un pas. Que je franchis allègrement. De trois je passais à quatre, puis cinq, puis mon premier vrai gang bang: je me fis prendre par 12 hommes… quatre à quatre, les uns après les autres… ils jouirent dans mon sexe, dans mon cul, dans ma bouche, sur mes seins, sur mon ventre… J’étais ruisselante de sperme, j’en étais recouverte… quel plaisir intense! Après cela je participais à un bukkake, 39 queues à sucer, qui se déchargèrent tous sur mon visage! Je participais à diverses orgies, parties fines, tandis que mon mari pensait que son épouse bourgeoise restait bien sagement à la maison!
Du gang bang, j’essayais la domination, le bondage, les glory holes, le golden shower… à presque quarante ans, j’avais fait le tour de la question... et je devins blasée! J’avais tout essayé, et plus rien ne me donnais l’Orgasme. Le grand, le fort. J’adorais toujours le sexe, mais ne connaissait plus le plaisir intense. De petits orgasmes, presque mécanique…
Devenais-je blasée du sexe? Je rompis avec mes amants réguliers, à cause de ce plaisir qui me fuyait. Jusqu’à ce jour... Je suis toujours une belle femme, avec quelques rondeurs en plus bien sûr, mais cela ne me rend que plus désirable. Lorsque mon mari est absent, et que je m’habille de façon sexy, les hommes se retournent et me matent. J’aime ce sentiment. Ce jour là donc, où ma nouvelle vie sexuelle a commencé, je sortis de chez moi en talon haut, mini jupe et jarretelles, string et pas de sous-tif. Alors que je passais devant un chantier, protégé par une palissade, je remarquai deux ouvriers qui me mâtaient. Pas très beaux, mais il émanait d’eux une « force brute » qui m’excita. Je suis entré sur leur chantier, et à leur grand étonnement, leur ai demandé de me prendre, là. Comme une pute. Il ne fallut pas leur demander deux fois, ma jupe fut remontée, mon string écarté, et une queue vint me pilonner, tandis que l’autre présentait son chibre à ma bouche gourmande. Ils me prirent là, contre la palissade, alors que des badauds se promenaient juste de l’autre côté… Ils se vidèrent les couilles en moi, râlant leur jouissance, mais je n’eus à nouveau qu’un petit orgasme, me laissant sur ma faim. Comme à chaque fois, ces derniers temps.
Quittant le chantier, ma chatte tout de même trempée, je marchai, un peu dépitée. Voyant un petit parc je m’y arrêtai, et m’assis sur un banc. Laissant ma tête aller en arrière, je fermai les yeux, le désespoir me prenait. Mes jambes étaient légèrement écartées, on devait voir le tissu de mon string, et il y avait des allers et retours, mais ça ne me dérangeait pas. J’étais trop dépitée, me demandant ce que deviendrait ma vie sans plaisir… J’aime tellement ce moment si fugace de l’orgasme… et il semblait se dérober… Quelqu’un me frôla, mais je n’y prêtais même pas attention. Soudain, un contact m’électrisa!
Quelque chose de mouillé et râpeux vint lécher le tissu de mon string, mouillant encore plus ma culotte. J’ouvris les yeux et sursautai! Un grand chien, le museau entre mes jambes, me léchait la culotte! Sa maîtresse, une dame entre deux âges, accourut, le visage en feu, rouge de confusion!« Oh madame! Excusez-le, je ne sais pas ce qui lui prend! Allez viens Rufus! Au pied ! »
Mais le chien n’obéissait pas, et me lapa encore l’entre-jambe. Sa maîtresse le pris par le collier, et le tira, s’excusant encore. Je la regardais sans la voir. Serait-il possible que l’odeur de mes ébats ait attiré ce chien? Cette idée, étrangement, m’excita. Je vis alors, sous le ventre du chien qui s’en allait, suivant sa maîtresse qui lui avait rattaché la laisse, un morceau de chaire rouge vive. Un bout de son pénis qui sortait de son fourreau. J’avais excité cette bête! Et sa langue avait eu sur moi un de ces effets! Je ne fis ni une ni deux et rentrai chez moi, pour me masturber longuement, atteignant un orgasme qui me fuyait depuis quelques mois…
Je n’y repensais plus trop jusqu’à ce que quelques jours plus tard je reçu un coup de fil d’une de mes meilleurs amies. Nous échangeâmes de nos nouvelles, et au cours de la conversation, elle me dit être embêtée, ne sachant que faire de son chien le wee-kend où elle comptait partir à Deauville avec son amant du moment. A son plus grand étonnement, et au mien!, je lui proposai de garder son chien le week-end en question. J’avais dit ça presque automatiquement. Comme un réflexe. Convaincre mon mari ne fut pas difficile, il était en voyage d’affaire ce wee-kend là. Il en était même heureux, espérant que je me sente moins seule ainsi, culpabilisant un peu de ses nombreuses absences… s’il savait!
Ce wee-kend là donc, mon amie m’apporta son chien, un superbe labrador, de couleur beige. Elle me donna quelques recommandations, et repartit en coup de vent. Me voilà donc seule avec la bête! Bête au demeurant très affectueuse. Il me fallut tout de même la journée pour m’adapter à lui, et lui à moi. Je le promenais, lui parlais, caressais son dos et sa tête. Je fus étonnée de voir comme nous sympathisions vite, et comme cette bête était affectueuse. Le soir arrivant, je repensais à l’autre jour, ce chien qui m’avait léchée sur le banc… J’avais une envie folle de rééditer l’expérience! Je me mis donc à l’aise, juste en bas à élastique noir et nuisette noire transparente, lumière tamisée, et m’installai dans mon sofa. Le chien dormait sur le tapis. Comme je me trouvais séduisante! Je caressais doucement mes jambes gainées dans les bas noirs, remontais sur mon ventre, mes seins… Je me caressais les seins, puis me titillait les tétons, que je roulais entre mes doigts en gémissant doucement… Le chien ouvrit un œil. Mes jambes s’écartèrent toutes seules, et une de mes mains glissa doucement le long de mon ventre, vers mon clitoris, que je me massais doucement, gémissant un peu plus fort. Puis ma mains passait sur mon sexe, déjà humide, et entrouvert… J’y glissai délicatement un doigt, puis deux… doigts que je portais ensuite à ma bouche, j’adorais aussi mon goût! Je recommençais mon manège, remarquant que le chien s’était approché de moi. Je me doigtais doucement le sexe, puis en sorti mes doigts, que je tendis au chien au lieu de les porter à ma bouche. L’animal lécha mes doigts, il semblait trouver ça bon! J’écartais encore plus les jambes, me retrouvant au bord du sofa… le chien vint de lui-même, sa tête entre mes jambes et commença à me lécher… Bien vite je rejetais la tête en arrière, les yeux fermés… Mes aïeux! Quel léchage! J’ai eu des amants particulièrement doués avec leurs langues, pour me faire jouir, mais ce n’était rien à côté du labrador! Sa langue était râpeuse et plus grande que celle des humains, il léchait mes lèvres intimes, mon clito, et parfois sa langue touchait même mon anus… c’était plus plaisant, plus mouillé, et à une cadence infernale! Il ne me fallut pas longtemps pour jouir! Ma mouille incita le chien à continuer, je me retournais, me mettant sur les genoux et lui présentant ma croupe. De cette façon, il continua à lécher mon sexe et avait un meilleur accès à mon anus. Sa langue râpeuse sur ma rondelle… j’adorais, et bientôt je jouis une seconde fois! Ensuite, le chien se désintéressant de ce jeu, retourna se coucher, et je me fis jouir une troisième fois avec un de mes plus gros gode...
Je passais une superbe nuit. Tellement heureuse d’avoir retrouvé ces orgasmes qui me fuyaient depuis si longtemps ! Mais une bonne queue me manquait. Le lendemain donc, après avoir promené le chien, je le laissais à la maison, et filais voir un de mes anciens amants, au membre plus que bien proportionné. Mais ce fut décevant. Il ne réussit même pas à me faire jouir. J’étais pourtant toujours affamée de sexe! Comment cela se faisait-il? En plus il eut le toupet de me dire que c’était de ma faute, et que je devenais peut être trop âgée pour ces jeux là. Il me mit quasi à la porte, me demandant de ne plus jamais venir le voir. Quel con!
Je rentrais à la maison, démoralisée. Mais le labrador était là, et il me fit la fête dés que je rentrais. Cette affection me fit plaisir. Je me sentis attendue, aimée. Je caressais le chien. Et repensais à mon appétit sexuel toujours pas assouvis ce jour… Sans faire de manière, je me déshabillais entièrement, et me couchais sur le sol, lui présentant mon intimité. Il ne se fit pas prier pour venir me lécher. Aaaah cette langue, râpeuse. Je la senti passer, repasser sur mon clito, mes petites lèvres, parfois entrant en moi… Et à ma grande surprise, le chien me fit jouir encore une fois! Tout heureuse, je me redressais et le pris dans mes bras, le remerciant pour cette jouissance… A ce moment je vis son fourreau, avec le petit bout de chair rouge qui en dépassait. J’eus alors l’idée la plus saugrenue de ma vie: le remercier pour le plaisir qu’il m’avait donné! Je continuais à lui caresser le dos, les flancs, passant doucement sous son ventre. Je caressais doucement le fourreau, et commençait à le branler, comme s’il s’était agi d’un sexe d’homme… Je me rendis alors compte que ce n’était pas son pénis, qui commençait à sortir de plus en plus du fourreau… il était rouge vif, avec le bout un peu en pointe. Pas du tout comme celui des hommes. J’eus alors une deuxième idée complètement saugrenue… J’adorais le goût du sperme… c’était une gourmandise pour moi. Aimerais-je celui des chiens?
Je me couchais donc sous lui, et commençais à lécher le bout de son sexe rouge. Puis je le pris doucement en bouche, le faisant glisser contre mon palais. Son sexe, qui se contractait lentement vers son fourreau, repris de la vigueur. Il grandit et se raidit, tandis que je le suçais de plus en plus vite, serrant mes lèvres autour de ce pieu de chaire tiède, d’où suintait par saccade un jet léger, au goût ferreux prononcé. Tandis que l’excitation me prenait de plus en plus, j’avalais ce liquide, qui remplissait ma bouche, coulait le long de ma gorge. J’aimais ce goût. Je prenais tout son sexe dans ma bouche, jusqu’au moment où, après de nombreuses saccades, il déchargea un liquide plus épais, en telle quantité que je ne sus tout avaler. Quelle expérience!
Mais cela me laissait complètement excitée, avec un désir d’avoir cette queue en moi. C’était absolument contre-nature, cette envie de m’unir à une bête! Mais j’en avais envie, et puis, j’avais déjà fait tellement de choses dans ma vie… Je me mis donc à genoux, et présentais ma croupe au chien. « Allez viens, prend moi! Prend moi! » dis-je en tapotant mes fesses. La chien arriva, me lécha doucement de sa langue râpeuse, puis repartit, me laissant là. Je réessayais sans succès, jusqu’à ce que le chien quitte la pièce. Frustrée, je me fis donc venir avec mon gode, comme la veille.
Le lendemain, mon amie vint rechercher son chien, et je me retrouvais seule. Mais décidée à ne pas en rester là !
(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live