Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 2 Commentaires

Tri sélectif

Chapitre 1

Hétéro
C’est un beau matin de printemps. Lorsque j’ouvre les yeux la maison est calme et presque aucun bruit ne perce à travers les volets. Je repousse la couette sur mon corps nu et me lève doucement l’esprit encore occupé par quelque rêve anxieux dont je suis coutumier. Je reste, quelques minutes assis au bord du lit et, dès que le calme commence à revenir dans ma tête, j’ouvre tranquillement volets et fenêtres. J’aime ce moment où je m’exhibe à la nature environnante, totalement dénudé et à demi inquiet de croiser quelque regard importun. Je descends tranquillement l’escalier et continue à tout ouvrir imaginant malgré tout être aperçu par quelque voisin curieux. Dans la cuisine, le casier à bouteilles attend, bien en évidence, d’être vidé. Encore mal réveillé, je diffère mon déjeuner et enfile un short trop grand et un T-shirt qui traînent là. Me voilà parti dans le fracas des cris d’oiseaux et le bruissement lointain de la rue. Je sens l’air du matin s’engouffrer entre le coton du large short et ma peau.
Dans la cour, une jolie voisine longiligne au cheveu presque blanc, sort de chez elle pour s’installer en terrasse devant un bol de café fumant. Je la trouve magnifique ce matin et contemple sans retenue son visage régulier, sa poitrine à peine ornée de discrets tétons qui pointent sous le coton de sa tunique façon marcel, ses hanches étroites gainées dans un vieux jean, son ventre plat et ses fesses élégamment galbées. Elle sourit de me voir ainsi la déshabiller du regard et je crois avoir vu ses reins se creuser et la pointe de ses seins se projeter encore plus en avant. Lorsqu’elle me propose de partager son breuvage, je lâche le casier au sol et m’approche. Contraint par l’abondant mobilier sur l’étroite terrasse, mon torse l’effleure au passage et vois ses joues se colorer. Elle se saisit de la cafetière et me sert une tasse de l’odorant breuvage. Je m’assois en face d’elle et nous devisons gaiement en buvant la noire liqueur. Je la surprends à détailler elle aussi ma plastique. J’ai du mal à soutenir son regard et l’émotion nous gagne peu à peu. Lorsqu’enfin nous nous levons, l’étroitesse du lieu nous rapproche à nouveau. Je bouge et mon corps commence à effleurer le sien au passage.Sa main fine m’arrête en se positionnant sur ma cuisse nue. Je me fige quand, sans crier gare, elle remonte dans la jambe de mon short en une lancinante caresse. Elle vient buter sur mon sexe qui commence à durcir pendant que je cherche à calmer mon émotion et les palpitations qui vont avec. Elle va alors longuement caresser mon entrejambes, enrober mes bourses, alors qu’elle se penche et que ses mamelons minuscules viennent plaquer leurs bouts durcis sur ma poitrine. Son autre main s’accroche à mon épaule puis se laisse glisser de mon dos vers mes fesses. Au passage elle en arrache la frêle parure et exhibe mon bas-ventre et mon séant au voisinage et à la rue, heureusement tous deux dépourvus de badauds. Je ressens mon audacieuse semi-nudité exposée à la fraicheur du matin. Je frissonne, tandis que le léger vêtement tombe à mes pieds. Je suis à la fois heureux et craintif sans pouvoir déterminer le sentiment qui domine lorsque le reste de ma tenue s’envole par-dessus ma tête. Mon indécence est maintenant complète si l’on y ajoute la douloureuse raideur de mon sexe. Je reste là, totalement nu, sidéré et incapable du moindre mouvement, mi angoissé et mi désireux d’être ainsi dévoilé.
En entendant quelques bruits de voix à proximité Virginie, ma jolie voisine, me pousse brutalement dans la pénombre de son logis, chancelant, les pieds entravés. Je me dégage de ceux-ci dès que la pression retombe. Je vois alors ma compagne du moment, à quelques mètres de moi, soulever lentement sa tunique et donner progressivement à voir son ventre plat, ses adorables petits seins à peine cernés de minuscules aréoles , ses épaules droites. Puis elle déboucle, tranquillement sa ceinture, fait sauter les boutons de sa braguette et glisser son jean au sol. L’apparition de sa large culotte « Petit bateau » me fait sourire. Elle rougit et la baisse brutalement. Elle dévoile une toison triangulaire étonnamment très brune et bien entretenue. Le poil coupé court permet de deviner des grandes lèvres discrètes et jolies. Lorsqu’elle enjambe le tas de vêtements pour se rapprocher, mon sexe rigide et tendu trahit mon intense excitation. L’absence de rideaux me laisse entrevoir l’animation de la cour. Des voisins passent dans la lumière sans un regard vers notre ombreuse indécence. Je cache mon enthousiasme sexuel, comme je peux, jusqu’à ce qu’elle vienne se coller à moi.
Délicieux moment de fusion entre la chaleur de mon corps et la fraicheur de sa peau. Ses mains, presque timidement positionnées entre mes omoplates et au creux de mes reins, serrent mon corps contre elle. Les miennes caressent son dos musclé puis descendent vers ses fesses rebondies. Je sens ses tétons durcis, collés à ma poitrine, entrer dans ma chair. Nos bouches s’unissent, s’entrouvrent puis se dévorent. Nos langues se cherchent puis luttent dans un flot de salive. Chacune veut envahir la bouche de l’autre avec une voracité peu commune tandis que les deux corps ondulent l’un contre l’autre. J’enlace son cul fascinant et commence à le masser en écartant ses fesses. Ses mains descendent sur le mien pour répliquer la caresse. Nos bouches restent unies, nos poitrines et nos sexes ondulent les uns contre les autres en une valse endiablée. J’entre un doigt entre ses fesses dans sa rosette et suis pénétré à l’identique. Nos corps s’affolent. Nos bouches sont unies dans un flot de salive incontrôlable.
Virginie nous sépare en un geste gracieux, se retourne, appuie ses mains sur le dossier du canapé et m’offre son intimité. Je rentre en elle en levrette, elle est délicieusement trempée. Je m’agite entre ses jambes largement ouvertes alors que mes mains serrent sa taille et empêchent son bassin de bouger. Sa tête s’est redressée comme pour prendre de l’air. Je m’applique en de grandes impulsions qui font claquer ma peau contre la sienne. Mes couilles sont en perpétuel mouvement et viennent frapper son bas-ventre. Je sens un de ses doigts qui s’est positionné sur son clitoris et le branle allégrement. Mes mains remontent le long de son buste pour saisir ce qui me fascine le plus chez elle : ses seins, ou plutôt son absence de seins et ces tétons proéminents qui rappellent qu’il s’agit bien d’une poitrine féminine. Je caresse et ils durcissent. Je suis aux anges ! Je jouis et me disperse en elle mais n’entends ni ne sens rien en échange. Nous restons ainsi l’un dans l’autre quelques instants puis elle disparaît dans la salle de bains située en mezzanine. Somptueux spectacle que le balancement de son cul dans l’escalier.
Après quelques courts instants je la vois reparaitre, toujours totalement nue, se mouvant avec l’élégance des femmes amoureuses. Elle me fait signe et je monte quatre à quatre la rejoindre. Nous entrons dans une chambre meublée d’un immense lit sans parure, à la décoration minimaliste. Elle se positionne à quatre pattes sur ce meuble, les cuisses bien ouvertes, comme pour m’inviter entre elles. Je saisis ses fesses, les écarte et commence à lécher avec passion un petit trou frais et propre. Je le détrempe, ma langue y entre de plus en plus sans forcer. Ses bras sont maintenant fléchis et sa tête touche le matelas. J’y vois une invite et positionne mon sexe à nouveau dur sur sa rondelle. Un seul coup de reins me propulse en elle. Notre petit exercice l’a complétement dilatée et ses sphincters sont souples. Elle aime et pratique habituellement la sodomie sans doute ! Mes doigts s’emparent de ses lèvres et de son clitoris. Ils s’agitent autant que mon sexe. Cette fois-ci, c’est elle qui vocalise en un instant ; tout son corps se met à vibrer pendant de longues minutes. J’aime tellement ce qui se passe que je m’oublie complétement et me contente de savourer son plaisir. Nous nous effondrons sur le lit, heureux et tendrement enlacés.
Pendant un long instant, nous restons ainsi. Lorsqu’elle bouge enfin, je suis étonné de sa gestuelle et de sa force physique. Elle m’oblige à me retourner puis à me placer en levrette, comme elle quelques instants plus tôt. Couchée sur le dos derrière moi, elle glisse sa tête entre mes cuisses et m’oblige à me baisser en m’écartant. Lorsque ses lèvres s’emparent de mon phallus, ses mains forcent mes fesses à s’ouvrir et deux de ses doigts humides violent mon cul et s’enfoncent dans mes boyaux. Elle a des mains fines et osseuses qui se prêtent bien à l’exercice. Elle me fouraille, me suce et me lèche avec vigueur jusqu’à ce que je disperse mon foutre dans sa gorge en hurlant. Comment a-t-elle pu savoir que j’adorais être ainsi défoncé et qu’elle s’assurerait ainsi de mon bruyant plaisir ? Le calme revenu nous sommes restés longtemps couchés l’un contre l’autre à nous caresser sans relâche. Lorsque je la quitte pour retourner à mon occupation de tri du verre, il est presque midi et mon petit-déjeuner est oublié. Pendant le trajet, je ne puis me retenir de rêver aux nuits prochaines ou je sortirai insolemment nu de mon antre, craignant le regard d’autrui, heureux de retrouver à quelques mètres ce corps dénudé si charmant, tout dévoué à mon bonheur. Je vois la peau de mon corps totalement nu, sublimé par la promesse de l’amour, luire sous la lune et qu’importe si quiconque profite du spectacle !
Diffuse en direct !
Regarder son live