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UN TRIO ENTRE AMIS

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Notre couple pourrait être qualifié de "libertins softs", car nos pratiques sont empruntes de règles et de contraintes que nous nous imposons, consciemment ou inconsciemment. Par exemple, nous ne sommes pas du tout "club" car nous avons besoin de bien connaître le ou les partenaires pour nous livrer sans retenue.Il faut donc un certain temps et une vie en commun ou tout au moins rapprochée pour aboutir à un véritable plaisir partagé. Nos quelques expériences libertines se sont donc toutes déroulées soit à l’intérieur d’un cercle de connaissance, soit lors de vacances et de rencontres s’inscrivant dans la durée du séjour.Dans la quête de ce Graal érotique, les préparatifs sont souvent aussi excitants que la "conclusion" car ils permettent tous les fantasmes et les espoirs. Comme disait Audiard: " Le meilleur moment avec une pute, c’est quand on monte l’escalier" En conséquence, quand nous avons une envie, que cette envie nécessite la participation de quelqu’un (ou quelqu’une ou quelques uns), nous mettons au point, ensemble, la meilleure stratégie possible afin d’arriver quasi naturellement à une situation libertine.
Notre dernière aventure s’est déroulée , cet automne, dans notre maison de campagne. Désirant pimenter notre séjour par un peu de débauche, nous y avions invité un ami de longue date , veuf , vivant un concubinage aussi décevant qu’épisodique.Le séjour de deux semaines nous donnait le temps et les moyens de réaliser une très belle expérience de trio entre amis. Il ne s’agissait pas pour mon épouse de "coucher" en catimini avec notre compagnon de vacances (ce qu’il aurait refusé je pense) et qui ne nous intéressait pas , mais pour elle, de le séduire et pour moi, de montrer mon approbation afin d’arriver à une envie commune de libertinage. Il y avait aussi dans ce projet un aspect caritatif (?) car, d’après ses confidences, il était en état de "sommeil sexuel".La phase séduction resta classique. Elle fut menée rondement avec des techniques que toutes les femmes connaissent : jambes "haut croisées" avec jupe relevée quand elle s’asseyait sur le canapé, pantalon serré, taille basse avec haut du string dépassant, cuisses qui s’écartent généreusement en s’accroupissant et en regardant la "victime" droit dans les yeux, décolletés plongeants, sous vêtements minimalistes sur un sèche linge dans la salle de bains...etc.
Après ces prémices, vint l’heure de tester réellement l’ami. Mon épouse prit l’habitude de laisser entrouverte la porte de la salle de bains, quand elle se maquillait, ou se peignait, nue évidemment ,après la douche. La salle de bains étant sur un passage stratégique dans la maison, le candidat au trio était obligé de la voir ou de l’apercevoir et espérions nous, de faire quelques remarques et propositions "indécentes". Les jours passants sans réelles avancées, nous furent contraints d’appliquer un plan B et de mettre au point une stratégie quasi militaire pour parvenir à nos fins.
je proposai un footing à mon ami. Il était prévu que j’envoie, à son insu, un signal, 2 minutes avant notre retour, pour prévenir ma femme, sur les épaules ( enfin.... pas tant les épaules que d’autres parties du corps) de laquelle reposait la deuxième partie de l’opération. Dés notre arrivée, ( la pluie qui tombait favorisa nos desseins) nous entrâmes précipitamment dans le hall puis dans la pièce commune pour trouver madame ...... complètement nue, repassant quelques sous vêtements affriolants. Elle mima un instant l’affolement avant de se couvrir les seins et le sexe avec ses mains, mais deux mains ne couvrent pas grand chose surtout lorsque l’on gesticule et elle gesticulait d’abondance en prenant bien soin de récupérer le repassage et de débrancher le fer à repasser (on se demande bien pourquoi!!!!). Non content de cela , en riant, je lui barrai la route de sa position de repli l’obligeant à me repousser, la laissant ainsi "sans protection", sous le regard ébahi puis ravi de notre ami. Il n’était pas le seul. De la voir s’offrir ainsi sans pudeur et d’y prendre visiblement plaisir me déclencha une érection instantanée Elle n’était pas en reste d’ailleurs, car, quelques instants après, excitée par l’exhibition précédente, elle vint avec moi sous la douche. Après nous être avidement savonnés, enlacés, caressés elle me rinça la bite et entreprit de me sucer. Elle est très douée et capable d’engloutir n’importe quelle queue jusqu’aux testicules. Ces succions , combinées à la masturbation du membre et au malaxage des couilles me firent éjaculer rapidement. Elle en avala une bonne partie et entreprit de se caresser immédiatement, se justifiant (mais était ce la peine?) - "tu sais comme ça m’excite de sucer une bite!!!N’étant pas égoïste, je m’empressai de l’aider. - "tourne toi , je vais te doigter le culSa raie des fesses , encore bien mousseuse me permit de lui enfoncer, directement et sans autres préparatifs, mon majeur dans l’anus. Connaissant bien ma compagne , je savais que ces caresses anales lui plaisaient au plus haut point. Elle accéléra sa masturbation de sa main libre (l’autre lui servait à se retenir à la cloison.) - " Met deux doigts , vite!!! - "Plus profond!!! ouvre moi bienN’écoutant que mon devoir, je m’exécutai et les résultats ne se firent pas attendre. elle partit dans un délire verbal , qui se transforma rapidement en un vagissement de fond de gorge pour se terminer par un cri guttural en même temps qu’un jet puissant lui sortait du vagin.Cet orgasme bruyant avait du alerté notre ami et nous spéculions en riant sur son attitude quand nous allions y céder la douche.!!
Mais tout cela n’était que broutilles, Il était temps maintenant de porter l’estocade...
Pour l’assaut final, c’est à dire l’ultime phase avant l’apothéose libertine, la valeur sure reste le film porno regardé ensemble. Les chaines télés payantes, Internet, permettent de se constituer une excellente vidéothèque. Malgré tout, nous n’employons cette solution que faute de mieux ( La piètre qualité des scénarios, le jeu épouvantable des acteurs, cette impression de visite gynécologique vont souvent à l’encontre de l’effet souhaité).
En ce qui nous concerne, nous aimons du "plus sophistiqué" (avec l’âge nous avons affiné nos scénarios).Le jour venu Je commençai à parler photos avec mon ami, à parler de mon épouse, de notre bonne entente après près de 40 ans de mariage, Tout ça pour lui demander s’il accepterait de nous photographier en tenues coquines, expliquant que nous ne pouvions le faire seuls. C’était le moment décisif, l’aboutissement d’un "travail" de 8 jours. Il dit OK pas de problème.
En fin d’après midi , la séance de photo commença. J’avais un pantalon noir , une chemise blanche ouverte , mon épouse une robe noire fendue.et des hauts talons Après quelques poses "classiques d’amoureux s’ enlaçant", je défit la fermeture éclair de la robe et lui enlevait.Le grand jeu : Elle était vêtue, ou plutôt dévêtue, avec un minuscule soutien gorge balconnet, valorisant ses gros seins et dévoilant une bonne moitié des aréoles, un porte jarretelles avec des jarretelles qui dessinaient 4 traits noirs sur ses cuisses, des bas noirs à coutures et un string composé de deux minuscules triangles, l’un cachant a peine sa chatte et l’autre mettant en valeur ses fesses. Je la prenais par la main et la fit tourner en commentant : - "pas mal non ?"Ecarlate notre ami réussit à articuler - "c’est sur !! "De son côté ma femme me déshabillait, le prenant à témoin en riant : - "Je ne vais pas être la seule à poil "
La séance photo , érotique à l’origine, évolua rapidement vers le pornographique car nos caresses se faisaient de plus en plus précise et les poses que je lui faisais prendre de plus en plus suggestives, d’autant que j’avais sortis ses seins du soutien gorge et enlevé son string.. Quand je la fis mettre à genoux , cuisses bien écartées fesses relevées dévoilant sans pudeur son intimité, je sentis bien que le photographe était "à point" et quand a son tour elle prit l’initiative d’une bonne pipe, le regard rivé sur le photographe, je sus qu’ Il était temps de lui demander de nous rejoindre. Il rougit, hésita, mais finit par se déshabiller, et alors qu’il s’approchait le sexe à l’horizontal, je lui glissais : - " vas y , baise la, je te la prête"J’en profitai pour installer un pied photo et un caméscope afin d’immortaliser ces instants : Pour le moment elle se contentait de le masturber et de le sucer. Elle le faisait avec parcimonie, désirant prolonger au maximum l’étreinte. Il faut dire qu’il était extrêmement timide (ou devait il maîtriser une éjaculation assez proche ?). J’imaginais qu’il allait la pénétrer avec vigueur, mais ce fut moi qui du lui dire - " Mais saute là !! n’hésite pas tu vois bien qu’elle n’attend que ça! "Alors qu’à genoux sur le canapé, cuisses bien écartées elle tortillait complaisamment sa croupe.Il se décida enfin à la prendre en levrette et a la ramoner consciencieusement, osant même lui pétrir ses gros seins à pleine mains. Voyant les choses enfin bien parties, je m’approchais pour une fellation et face à face avec mon pote, je me mis a lui vanter dans les termes les plus crus, les qualités de baiseuse de mon épouse, qui excitée par ce vocabulaire, se déchaînait.J’eus sans doute le tort de préciser - " Tu vas voir je vais me mettre dessous, tu vas l’enculer"Car cette perspective se traduisit immédiatement par une accélération brutale de ses coups de reins, suivie de gémissements synonymes d’éjaculation, vite couverts par les cris de ma femme en plein orgasme.C’en était fini pour ce soir. Je me répandais alors entre ses lèvres.Après un passage par la douche, c’est heureux, complices mais fatigués que nous nous retrouvèrent autour d’une coupe de champagne.Nous fîmes d’autres trios, les deux derniers soirs de notre séjour. Il y eu bien sur moins de préparation mais ce fut à peu près la même chose. Mon seul regret c’est qu’à aucun moment il ne put la sodomiser, éjaculant toujours trop tôt.
Nous sommes toujours bons amis, nous nous voyons peu, son concubinage va mieux, ils parlent de se marier.Y avons nous été pour quelque chose ?
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