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Trio Gastronomique

Chapitre 1

L'entrée

Avec plusieurs femmes
Samedi soir 20 h 15, nous voilà ma femme et moi devant l’un de nos restaurants préférés. Les enfants étaient sous bonnes gardes chez mes beaux-parents et notre première soirée en amoureux post confinement pouvait enfin débuter.
Ma belle avait revêtu pour l’occasion une belle robe en laine beige lui moulant à la perfection son corps rond et magnifique. Le décolleté laissant entrevoir son 105D renversant et les collants résilles rajoutait une touche "So Sexy" à l’ensemble. Elle était splendide et son sourire rayonnant plus que charmeur.
Pour ma part, j’avais opté pour un pantalon de costume noir et sneakers blanche avec lacet rouge. Un léger pull à col rouler blanc cassé, manche légèrement retroussée pour le haut et ceinture marron. Ma douce adorait cet ensemble. Mes fesses étaient bien moulées et mon torse musclé naturellement sans excès ressortait juste ce qu’il fallait.
Trêves de présentation et entrons prendre place. Le spacieux restaurant était un vrai labyrinthe de tables et la cuisine italienne traditionnelle était un pur délice. Le serveur nous précéda dans le dédale avant de nous indiquer une table dans l’un des angles. Un baiser amoureux puis ma femme prit place sur la banquette tandis que je m’assis en face. Je la vis installer tout son "bazar" sur la place libre à sa gauche. La bière triple belge et le Crodino commandés, nous commençâmes à deviser de nos journées respectives et des idées ou projets que nous avions alors en tête que ce soit pour la maison ou pour les enfants.
À peine quelques minutes passèrent que le regard d’Hélène dévia au-dessus de mon épaule avec un léger sourire avant qu’une silhouette rouge n’apparaisse dans mon champ de vision. Tournant la tête, je fis face à une femme d’une quarantaine d’années d’une élégance naturelle à couper le souffle. Sa robe rouge foncé à fines rayures verticales s’accordait parfaitement avec ses Vuitton de la même teinte. Un chignon sophistiqué ornait sa chevelure châtaine et le maquillage léger ne pût que s’ajouter à son charme. Tout comme Hélène, des résilles discrètes et fines recouvrait le galbe de ses jambes musclé par un sport relativement bien dosé supposais-je.
— Excusez-moi je vais retirer mes affaires, dit ma femme en se penchant vers le siège voisin.— Ne vous inquiétez pas. Je préfère m’asseoir dos au restaurant.— C’est original, dis-je alors curieux.— Possible, me rétorqua-t-elle gentiment. Ce sentiment d’être dans un petit cocon de tranquillité m’a toujours plu. Je ne vous cache pas que parfois on aimerait ne pas voir certain manger, poursuivit-elle sur le ton de la plaisanterie.— Ça je ne vous le fais pas dire, répondit Hélène et puis l’effet doit être certainement très agréable.— Il l’est je peux vous l’assurer, dit l’inconnue avec un sourire franc et charmeur pour ma douce. Je m’appelle Amélie.— Enchanté. Moi, c’est Hélène et votre voisin n’est autre que Luc mon mari.— Enchanté également, répondis-je lorsque je fus désigné. — Par contre si on pouvait éviter de se vouvoyer. J’ai l’impression d’être une vieille grand-mère décharnée.— Je suis d’accord avec toi pour le tutoiement, dis-je. Je pense qu’Hélène est d’accord avec moi pour dire par contre que tu n’es absolument pas vieille et encore moins décrépie loin de là d’ailleurs.— Tout à fait chéri. Tu es ravissante Amélie et d’une élégance folle. J’adore ta robe précisa-t-elle des paillettes dans les yeux.

Amélie sembla très touchée de nos compliments.
— Oh, mais dis donc vous êtes adorables tous les deux et tout à fait charmant tant l’un que l’autre nous confia-t-elle en nous regardant tour à tour dans les yeux après un léger balayage appréciateur de nos corps.
Puis elle se pencha et mit sa main au côté de sa bouche avant de parler d’une voix conspiratrice. Nous nous rapprochâmes tout deux d’elle pour l’écouter.
— N’allez le répéter a personne, cela risquerait de s’ébruiter et tout le monde seraient trop jaloux de nous.
Nous partîmes tout trois dans un rire franc et chaleureux. L’entrée et les plats furent dégustés dans une ambiance des plus agréable. Les discussions, les fous rires ou les regards que l’on se portait étaient enchanteurs. Une certaine séduction naissait entre nous et cela me plaisait énormément.
Je surpris même quelques œillades ou sourires complices entre ma femme et Amélie. Pour mon plus grand plaisir, elles semblaient se plaire.
Une sensation de caresse glissa alors lentement sur ma jambe. Montant et descendant avec douceur et sensualité. J’interrogeais ma femme d’un regard discret et avec un demi sourire en coin, elle poursuivit à la fois les caresses furtives et sa discussion avec notre voisine. Hélène n’a jamais été très coquine en public et de sentir son pied gainé de résille passé le long de ma jambe fit naître en moi un début d’érection. Heureusement pour nous les nappes étaient assez grandes pour dissimuler ce petit attouchement érotique.
J’alternais les regards entre Hélène et Amélie et de douces pensées prirent place dans mon esprit. La vision fugace d’une étreinte féminine. Leurs lèvres se goûtant mutuellement tandis que mon corps se dressait à ce tableau. Puis tout trois nous commençâmes à nous embrasser à tour de rôle tandis que les fesses de ma voisine chercher passionnément le contact dur de ma queue.
De savoir ma voisine ignorante du plaisir physique et onirique que je prenais me fit définitivement bander. Inexorablement, le pied remonta de plus en plus haut et c’est tout naturellement que mes jambes s’ouvrirent en avançant ma chaise d’un air que j’espérais détacher.
C’est avec un plaisir brut que j’accueillis ce contact qui se posa sur mon sexe. Avec une légère maladresse toute sensuelle et cherchant à tâtons les contours de ma bosse pour essayer de les épouser au maximum, Hélène commença à me branler. Le vide se fit progressivement autour de moi et mes pensées devinrent obscènes. Nos corps désormais nus, se découvraient et s’enlaçait dans un concert de gémissement. Ma bite allait et venait entre les reins de ma femme. Cette dernière branlait vigoureusement la chatte trempée d’Amélie tout en échangeant avec elle un baiser digne du plus excitant des gonzos lesbiens que j’ai pu voir.
— Luc ? Tu es avec nous ?
La voix douce d’Amélie me tira légèrement de cette euphorie perverse.
— Oui, excuse-moi j’étais dans mes pensées, répondis-je en essayant de paraitre le plus naturel possible tandis qu’Hélène prenait un malin plaisir à aller et venir, appuyant bien sur ma verge. J’eus toutes les peines du monde à ne pas laisser échapper un gémissement lorsque son deuxième pied vint rejoindre le précédent pour venir titiller mon gland hypersensible de désir.
— C’est ce que l’on a vu rétorqua-t-elle avec malice avant d’être attirée par le léger mouvement de la nappe au niveau de mon bassin. Son sourire céda place à une expression des plus interloquée. Elle regarda alors Hélène qui lui offrit un sourire à la fois timide, coquin et interrogateur.
Leurs regards ne se quittèrent plus durant quelques dizaines de secondes et en l’absence de la moindre réprimande de ma voisine, Hélène accentua de plus en plus son jeu érotique. Je mis alors ma main gauche sur la table. Comprenant le signal, elle tendit la sienne et la serrât avec complicité. En tournant la tête vers ma voisine, je vis avec délice sa posture changer discrètement. Son bassin était un peu plus avancé, son torse se soulevait avec plus d’intensité alors que ses joues avaient quelque peu rosit. Elle récupéra sa serviette qu’elle mit en place puis sa main gauche glissa lentement en dessous. Le mouvement avait fait remonter sa robe de quelques centimètres, dévoilant subrepticement la lisière de ses bas.
Voulant lui montrer un peu mieux le spectacle, je fis glisser la nappe juste au-dessous de mon sexe. Elle pouvait désormais voir l’extrémité des pieds de ma Douce s’activer sur mon entrejambe où mon sexe se devinait aisément.
Prenant conscience de la situation incongrue et ne voulant pas être surpris, je jetais quelques coups d’œil furtifs vers la salle. La main d’Hélène serra la mienne pour attirer mon attention. D’un simple regard, elle me fit comprendre qu’elle s’occupait de la "surveillance". Le sourire qui suivit quant à lui me conseillait vivement de profiter du moment et de me laisser faire.
N’y tenant plus j’ouvris ma fermeture Éclair pour en extraire une partie de ma verge gorgée de sang et recouvert de liquide séminal. Le gémissement d’appétit provenant d’Amélie et le contact direct des résilles de ma femme acheva de briser mes barrières rationnelles et je ne pensais plus qu’à ce plaisir qui s’offrait à moi. Mon regard titubait entre Hélène qui me souriait avec complicité et Amélie dont la main glissait de façon discrète, mais totalement indécente sur son sexe. La serviette s’était décalée et je pouvais voir sa main disparaître dans la dentelle noire de ses dessous. Le bout en plastique de l’attache de son porte-jarretelles venait d’apparaître pour mon plus grand plaisir. Elle surprit mon regard et, dans un mordillement de lèvre totalement impudique, elle regarda ma queue en appuyant plus intensément ses caresses.
Parfois je sentais l’étreinte gainée de résille quitter ma queue quelques secondes qui me paraissaient bien trop longues avant de reprendre place. L’excitation de l’interdit était si présente que le plaisir n’en était que plus puissant m’arrachant désormais des gémissements à chacun des mouvements de ses pieds.
Ce n’est que lorsque Amélie commença à respirer de façon désordonnée que je décidai d’installer une serviette autour de ma queue et des pieds d’Hélène. Je serais sa main et elle comprit encore une fois le message. Ses caresses s’accentuèrent en nous fixant d’un regard gourmand et d’une lubricité que je ne lui connaissais que dans notre intimité. Il ne me fallut rien d’autre qu’un gémissement à moitié tût d’Amélie pour que je comprime encore plus la main de ma douce dans un râle discret et puissant, la mâchoire serrée à m’en faire péter les dents.
Les contractions de ma queue expulsèrent plusieurs saccades de plaisirs à l’état brut. Je pouvais ressentir l’épaisseur de ma semence diffuser d’intenses ondes tout le long de mon méat avant de jaillir de mon gland sensible à souhait. Les soubresauts continuèrent encore plusieurs dizaines de secondes avant de se calmer. Lentement, chacun des muscles tendus par cette puissante jouissance se relâcha. Nos mains se désunirent avec douceur et nos visages se parèrent de sourire complices.
Mon regard pivota vers ma voisine qui était dans le même état de béatitude que nous. Sa main se retira lentement de son entrejambe pour nous révéler la rosée délicieuse qui la recouvrait. Elle la fit glisser sur la serviette avant de saisir cette dernière pour la plonger discrètement sous la dentelle de son dessous. Une fois retirée, je tendis ma main en offrande et, l’étoffe en ma possession, je la remontais à mon nez pour en extraire toutes ses nuances olfactives sucrée et appétissante. Après avoir nettoyé mon sexe avec la mienne, je transmis les deux trophées à Hélène qui les rangea discrètement dans son sac avant de se lever.
— Excuse-moi mon Chéri, mais je vais devoir aller me refaire une beauté, nous confia-t-elle, une malice dans la voix que je ne lui connaissais que trop bien.
Amélie se leva à son tour en réajustant sa tenue, un sourire mi-amusé, mi-complice arborant son visage.
— Excuse-moi "mon Chéri" mais je vais également accompagner ta moitié.— Je vous en prie mesdames faites comme il vous sied, dis-je dans une demi révérence ironique. Que prendrez-vous pour le dessert.

Hélène s’approcha de moi, se pencha et m’embrassa avec passion.
— Pour moi comme d’habitude, me dit-elle avec amour avant de s’écarter me laissant les yeux mi-clos de contentement.
Amélie profita de la situation, passa derrière elle et posa ces lèvres sur le coin des miennes avant que moi et ma Douce ne puissions réagir. Le contact ne dura qu’un instant avant que sa bouche ne dérive vers mon oreille.
— Juste un thé pour moi, ce sera parfait. J’ai un dessert en tête qui n’est pas sur le menu me confia-t-elle dans un murmure accompagné d’un fugace coup de langue sur mon lobe hyper érogène.
Elle se redressera naturellement et posa une main sur la hanche de ma femme avant de l’accompagner aux toilettes. J’observais quelque peu hébété leurs silhouettes exquises s’éloigner avec grâce.
Me voici désormais seul, la tête pleine de pensées plus érotique les unes que les autres.
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