Je regarde ma montre. Peu avant deux heures de l’après-midi. Je souris et regarde mes deux amies, Myriam et Laura. Nos marchons en direction de l’immeuble. Marcher, pratiquement courir. La fièvre s’empare de mon corps et cela doit sûrement être également le cas de mes deux comparses. A cette heure-ci, la rue est déserte, le bâtiment pratiquement vide. Les quelques résidents restants ont leur habitude. Nous avons une heure avant de croiser quelqu’un. Largement suffisant. Avant de continuer plus loin dans cette histoire, peut-être est-il nécessaire de vous expliquer la nature de notre rencontre. Myriam et Laura sont des amies de longue date. Depuis le lycée, je pense, voire les dernières années de collège. Pour résumer, elles aiment le sexe et ont toujours rêvé de pratiquer dans un lieu public. Elles ont déjà eu l’occasion d’expérimenter cela. Moi, je pense être un petit veinard qui traînait sur le bon forum coquin, au bon moment. Une première fois pour moi, aussi bien avec deux femmes que dans un lieu public. Bon, d’accord, j’avoue avoir joué la carte du cinéma, mais cela n’avait pas été plus loin que les préliminaires. Bref, nous avions parlé et le feeling est directement passé entre nous. Après quelques jours de recherche du lieu « parfait », nous avons trouvé un immeuble à appartements dont l’ascenseur était très peu utilisé. Et c’est vers cet immeuble et cet ascenseur que nous nous dirigeons. Des petits rires étouffés. Nous essayons d’être calmes, de faire le moins de bruit possible. Nous appuyons sur le bouton pour appeler l’ascenseur. Quelques secondes plus tard, les portes s’ouvrent et nous nous engouffrons, tous les trois, dans cet espace réduit, dans des chuchotements forcés. Myriam est la plus petite des deux. Une bonne trentaine de centimètres nous séparent. C’est une petite femme métisse et aux cheveux bruns et bouclés, habillée d’une veste rose, d’un petit haut violet laissant son ventre apparent - excusez-moi, le terme exact ne me revient pas en esprit – et un legging. Dès que le déclic des portes se fait retentir, je plonge vers elle, l’embrassant à pleine bouche. Mon excitation est présente. L’envie naissante face à ces deux femmes, le désir du risque. Je la sens fermer les yeux et répondre, tout aussi passionnément, à mon baiser. Je lève son haut. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses deux petits seins présentent des tétons déjà dressés. Pris d’ardeur, je me penche vers elle, commençant à suçoter un premier avant de m’acharner sur l’autre. Un petit gémissement sort de ses lèvres. Il doit être inaudible et pourtant, au cœur de cet ascenseur, j’ai l’impression qu’il résonne si fort. Laura, son amie, me pousse gentiment. Elle mesure quelques centimètres de plus. Ses cheveux noirs et lisses contrastent avec ceux de Myriam. Sa bouche s’empare du téton, le dévorant avec une envie encore plus grande que la mienne. Je recule un peu pour profiter de ce spectacle. Mon sexe est tendu. Le désir ne cesse de monter en moi, de plus en plus dévorant. Laura me fixe une demi-seconde du regard avant de se reculer. Je peux deviner ses tétons dressés sous son haut. Fièrement dressés. Un haut vite remonté par les mains fébriles de son amie. La jeune brune se penche sur les seins plus lourds de son amie, suçotant allègrement les seins qui lui sont ainsi offerts ou glissant la pointe de sa langue sur ses tétons excités. Le spectacle me donne chaud. Peut-être suis-je en train de transpirer. En tout cas, la vue de ces deux amantes me donne des pulsions de plus en plus pressantes. Tout d’un coup, Myriam s’arrête, se redressant, le regard vissé dans celui de Laura. Ses mains caressent les hanches avant de descendre le pantalon de cette dernière jusqu’à mi-cuisses. L’espace est exigu, les gestes sont maladroits, mais très vite, je vois cette paire de fesses tournées dans ma direction, vêtues d’une culotte noire. Myriam s’accroupit, ferme les yeux avant de lécher, pendant quelques instants, cette peau ainsi découverte. Je comprends vite qu’elles me narguent. J’avais toujours trouvé cette fille innocente et plus tard, m’avoueront qu’elle voulait briser cette imagine d’innocence. Je dois avouer que cela fonctionne. En cet instant précis, je n’ai qu’une envie : prendre cette salope en premier. Elle se redresse, dos à moi, tandis que Laura remonte son pantalon. Elle baisse quelque peu son legging, offrant une paire de fesses généreuses, une culotte blanche cachant très peu de ce cul. Laura me sourit et lui donne quelques petites fessées. Je sais que le moment n’est pas venu. Elles m’ont prévenu. Laisser la passion monter. Et croyez-moi, en cet instant, cette passion est déjà bien montée. Elle se relève sans même me jeter un regard, remontant son haut avant de se coller à son amie. Toutes deux, seins à l’air, se les caressent avant de rapidement plonger la main entre les jambes de l’autre. Et là, nul doute quant à leurs expériences. Laura réagit rapidement. Myriam, c’est encore pire. Ou mieux, devrais-je dire. Il semble que son amie connaisse ses points faibles et pendant un instant, j’ai l’impression qu’elle risque de jouir sous l’attaque de ses doigts. Là, je ne peux plus tenir. Je sors mon sexe, tendu. La main de la jeune femme bronzée vient s’en emparer, commençant à lentement me branler. Pendant ce temps, Laura vient caresser les petits seins de cette jeune coquine aux airs d’ange. Elles s’embrassent avant que Myriam ne se baisse, glissant sa langue sur mon gland. La sensation est divine après tant d’attente. Elle alterne entre mouvements de va-et-vient, qui se font de plus en plus rapides et succion de mon gland. Sous ses airs innocents, il était certain que sa bouche s’était formée à ce genre de pratiques. Rapidement, sa main vient à la base de mon sexe, glissant de temps en temps sur mes couilles. Sa bouche s’active sur le bout de mon sexe. Elle vient parfois taper mon gland sur sa langue avant de reprendre ses mouvements. Son amie me regarde, excitée par le spectacle. Seul le bruit de sa bouche s’activant sur mon membre brisait le silence de la pièce. Tout en me regardant dans les yeux, elle se redresse, sa main s’activant énergiquement sur mon sexe. Elle se penche vers son amie qui s’empresse de déshabiller ce petit cul, aussi bien du rempart de ce legging que celui de sa culotte. Laura lui claque quelques fois les fesses, vantant leur beauté avant de s’accroupir et de descendre le legging, ainsi que la culotte, le long des jambes de celle qui n’arrête pas de me branler, dévoilant son sexe parsemé de fins poils noirs. Ainsi accroupie, Laura commence à lécher le sexe de Myriam, tout en me fixant du regard. Un regard qui ne peut que m’exciter davantage. Effet assuré avec les gémissements de la métisse qui se font doucement entendre. Malheureusement, ce spectacle des plus jouissifs n’est que de courte durée. Laura se relève, remontant également le legging de son amie. Ses seins à l’air, Myriam s’en empare de ses lèvres alors que sa main continue ses mouvements de va-et-vient. Elle lèche, mordille, caresse les seins d’une Laura excitée. Myriam me regarde un bref instant avant que son regard ne se concentre sur mon sexe. Laura se colle à elle. Je sens les mouvements devenir plus rapides. Je vais venir. Je la stoppe et lui dis de s’accroupir. Ce qu’elle fit sans broncher, son amie amusée du spectacle. Je commence à reprendre cette branlette, le souffle devenant plus court, ma queue touchant ce visage d’ange. Rapidement, je jouis sur la joue de la jeune femme. Essoufflé, frappant quelques fois mon gland sur ses lèvres avant de me rhabiller. Elle se relève, avec un petit sourire, semblant satisfaite. Nous ressortons quelques minutes plus tard, laissant au fond de cet ascenseur, un mouchoir usagé. Et cela ne s’arrête pas là...
