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Triple A

Chapitre 1

Ma première fois

Lesbienne
Triple A
Chapitre 1.
Ma première fois (1/5).


Ce premier mardi de juillet restera une date importante pour moi. Plantée devant un panneau recouvert de feuilles pleines de noms. Mes yeux balayaient ligne par ligne. Je trouvais enfin le mien : j’avais mon bac, un bac « S », que j’obtiens avec mention très bien.
Je suis Alycia et je suis majeur depuis hier et pour être totalement honnête, je ne me vois pas différente de la veille si ce n’est vis-à-vis de la loi. Je suis une jeune fille sans problème. Je vis heureuse avec mes parents et mon frère de trois ans mon aîné. On me dit plutôt mignonne, intelligente, drôle, je fais preuve d’optimisme et de créativité. J’ai horreur de la routine, il faut que je bouge sans arrêt. Je suis sensible à tout ce qui touche à l’art en général.
Je fais mon âge, ni plus ni moins. Mate de peau, ce qui me permet de bronzer très vite, châtain clair avec de magnifiques yeux verts. De taille moyenne, je mesure un mètre soixante-cinq pour cinquante kilos. Je possède une jolie poitrine avec des seins parfaitement dessinés ornés d’une toute petite aréole assez foncée avec des tétons parfaitement cylindriques et très érectiles. Il semblerait, d’après ce que j’ai pu lire et voir sur « Internet » que j’ai une poitrine en forme de volcan, une forme plébiscitée par trente pour cent des femmes et quarante pour cent d’homme. J’adore ma poitrine et j’en prends soin. Une taille fine, des hanches étroites, un joli popotin avec des fesses fermes en forme de cœur retourné que j’adore. J’ai gardé mon gazon, mais il est parfaitement taillé, car maman m’a interdit de m’en séparer sous prétexte que si le «Bon Dieu» a mis des poils à cet endroit c’est qu’il avait une raison. Si vous la connaissez, dites-la-moi !
Vous pouvez constater que j’ai plutôt une allure fine et élancée qui ne passe pas inaperçue, et comme beaucoup de nanas de mon âge, j’aime plaire et séduire. J’aime sentir les regards sur moi. J’adore quand les garçons se retournent sur moi, même si je sais bien que c’est pour mater mon cul. Je suis une belle nana et je tiens cela de maman et de ma grand-mère maternelle. J’ai une très bonne hygiène de vie. Sportive, je pratique la natation et la GRS, ce qui me permet d’entretenir mon capital santé.
Je devais passer le week-end de la fête nationale, week-end de trois jours, chez une amie, pour fêter notre BAC et mon anniversaire, mais uniquement entre filles. La veille, j’avais déjà été pourrie gâtée par ma famille avec qui on avait dignement fêté mon passage dans le monde adulte. Une fête où était présent de tout le cercle familial, mais là, j’avais besoin de retrouver mes amies. De nous retrouver entre jeunes et de reprendre nos délires.
Andréa disposait de la maison de ses parents, partis en vacances. Adriana devait se joindre à nous. Ce sont mes meilleures amies, beaucoup de connivence, une grande complicité et une profonde amitié nous unit. Elles sont un peu plus âgées que moi. Elles sont nées à quelques jours d’intervalles, mais elles et moi avons le temps d’une grossesse en écart d’âge et nous ne sommes pas du même millésime. On s’est connues quand on est rentrées en seconde au lycée où suite à un changement d’orientation elles refaisaient leur seconde. Très vite, on est devenues inséparables. Tout le monde nous a appelé les « Triple A ».
Il était un peu plus de dix heures quand maman me déposa devant le portail de la maison d’Andréa. C’est Adriana qui vint m’ouvrir :
—. Alycia ! Rentre ma belle.— Tu es déjà là !— Je viens juste d’arriver. Andréa est à la cuisine, suis-moi.
Andréa était assise sur un haut tabouret devant le comptoir de la cuisine sur lequel deux tasses laissaient échapper quelques volutes blanches. Je me suis approchée d’elle pour lui lancer un :
— Salut toi !
J’ai déposé un petit baiser, du bout des lèvres sur les siennes. C’était notre manière à nous de nous dire bonjour et aussitôt Adriana se manifesta :
— Et moi je n’ai pas eu mon petit bécot !
Je me suis retournée vers elle et la bouche qu’elle me tendait. Les mains en appui sur ses cuisses, juste au-dessus des genoux, les reins cambrés, nos deux bouches se sont frôlées pour lui accorder ce qu’elle quémandait.
— Veux-tu un café ?— Oui, volontiers car ce matin, j’ai un peu de mal à émerger.— Tu as fait des folies hier au soir, demanda Andréa ?— Même pas ! Mais j’ai mal dormi. Cette première semaine de boulot m’a tuée et avec ma soirée d’anniversaire, je me suis couchée tard.
Deux furies me sont tombées dessus pour me couvrir de doux baisers :
— Bon anniversaire, crièrent-elles à l’unisson !
On avait eu la chance de trouver toutes les trois un job pour les deux mois d’été dans une entreprise sidérurgique de la région. Je dis la chance, car cela nous permettait de profiter du transport d’entreprise, d’avoir les mêmes horaires et surtout tous nos week-ends que nous avions prévu de passer ensemble.La fin de la matinée se passa en discussion autour du comptoir de la cuisine. On parlait de tout et de rien à la fois. Le fait de nous retrouver toutes les trois nous rendait euphoriques et nous cherchions comment occuper ces trois jours de fête nationale. On était trois et nous avions chacune nos envies. Dans ces conditions, pas facile de trouver un accord. Andréa, en bonne maîtresse de maison, proposa de reporter à plus tard cette discussion en précisant qu’il serait toujours possible de profiter au maximum de la piscine qui était de belle taille dans un jardin magnifiquement arboré. Puis pour changer de sujet, elle dit :
— Venez, je vais vous montrer la maison et vos chambres.
La maison était magnifique, très spacieuse, il faut dire que ses parents avaient les moyens, un papa chirurgien et la maman pharmacienne à l’hôpital d’Arles.
— Voici ma chambre, dit-elle, en ouvrant la porte.
Elle était immense ! Ce n’était pas une chambre, mais une suite. Elle possédait son dressing, une salle de bains avec baignoire d’angle, une douche balnéo, cloisonnée de haut en bas par une feuille de verre et w.c. suspendu. La salle de bains était magnifique de beauté. Carrelée du sol au plafond tout dans des couleurs blanches, noires avec une petite touche argentée. Le lit était immense à tel point que même allongées toutes les trois, il y avait encore de la place, je n’ai pas pu m’empêcher de demander :
— Il est immense ton lit ! Tu ne t’y perds pas un peu ?— Pas du tout ! J’y suis même très bien.
Et elle enchaîna par :
— Il y a quatre chambres dans la maison et elles sont toutes équipées du même lit. La chambre de mes parents est identique à la mienne. Les deux autres sont réservées aux amis, ce sont celles que vous allez occuper, mais vous devrez partager la salle de bains qui est commune à vos chambres.
Adriana qui était restée silencieuse pendant toute la visite, demanda :
— Avec des lits pareils, vous n’avez pas peur de vous sentir seule la nuit ?
Andréa et moi nous nous sommes regardé et presque simultanément nous avons dit :
— Tu peux préciser ?— Oui, avec un lit aussi grand, je vais avoir peur de m’y perdre et votre présence me rassurerait, pourquoi ne pas utiliser que celui-ci ?
Interloquées, nous nous sommes regardées sans rien dire pendant quelques instants puis Andréa me devança :
— Personnellement je n’y vois aucun inconvénient, donc si vous êtes toutes les deux d’accord, je vous accueille bien volontiers dans mon antre.
De concert, Adriana et moi avons répondu :
— Vendu !
Et toutes les trois, nous avons joint nos mains dans un geste totalement improvisé. Une dernière chose les filles :
— Dans la maison, il n’y a aucune porte qui se verrouille, je vous demanderais juste de ne pas ouvrir les portes que je ne vous aurais pas déjà ouvertes.
Nous ne pouvions faire autrement que de lui donner notre accord. Nous avons laissé nos sacs là où nous les avions laissés quand nous sommes rentrées dans cette «Suite». Adriana s’esclaffa soudainement :
— J’ai faim, pas vous ?— Je mangerais, un éléphant répondit Andréa !
C’est ensemble que nous sommes retournées à la cuisine et que nous nous sommes préparé une salade que nous avons savourée à l’ombre de la pergola adossée à la maison et en face de la piscine. La température estivale était des plus agréables, le ciel était d’un bleu immaculé, l’ambiance était très cool. Tout invité au farniente. Je me suis levée en disant que je me baignerais bien et joignant les gestes à la parole, j’ai commencé à débarrasser, suivi de mes deux copines. Une fois tout rangé, j’ai ajouté :
— Je vais me changer.
Je me suis dirigée vers la chambre pour enfiler mon tout nouveau deux-pièces. J’ai opté pour un bikini brésilien, noir, bandeau sans bretelle, attaché dans le dos pour le haut et le bas noué sur les hanches, assez échancré, ne couvrant que partiellement mes fesses. J’ai fait ce choix dans le but de minimiser la marque de bronzage, pas d’attaches sur les épaules ou autour du cou et deux liens très fins sur les hanches. J’ai noué un paréo autour de ma poitrine et empoigné ma serviette. En sortant de la chambre, j’ai croisé mes deux amies qui elles aussi venaient mettre leur maillot et Andréa m’a souri en me disant :
— Tu es magnifique ! Donne-nous cinq minutes, on arrive. Installe-toi sur les transats.
En arrivant au bord la piscine, je suis allée tester la température de l’eau qui était une véritable invitation à la baignade. Je me suis installé sur l’un des transats et je me suis allongée en attendant mes deux amies. C’est le bruit de leurs talons sur le carrelage de la terrasse qui me fit lever la tête. Elles étaient magnifiques ! Elles marchaient côte à côte en se tenant par la taille, chaussées de mules argentées et d’un paréo noué autour du cou. La façon dont elles portaient le paréo faisait qu’à chaque pas le haut de leurs cuisses se découvrait. Cela leur donnait un côté sexy que j’adorais. Je ne pus m’empêcher de leur dire :
— Vous êtes splendides toutes les deux et vous avez un petit côté aguichant que j’adore.— Merci dit Adriana.— Et encore tu n’as pas tout vu ajouta Andréa !
Elles échangèrent un regard et dans un parfait synchronisme, elles portèrent leurs mains dans la nuque pour défaire le nœud de leur paréo qui glissèrent au sol. Elles étaient totalement nues devant moi ! Je les ai regardées de haut en bas pour constater qu’elles n’avaient plus un seul poil sur leur pubis et que leurs entrejambes étaient totalement glabres. Elles étaient superbement bien faites, elles aussi. On avait pratiquement la même morphologie toutes les trois. Je m’en doutais depuis longtemps, mais je n’avais jamais eu l’occasion de les voir ainsi. Mon visage a dû trahir ma surprise, car Andréa me demanda :
— On te choque ?— Non pas du tout, je suis juste un peu surprise. C’est pour le moins inattendu !— Parfait ! Tu n’as pas envie d’en faire autant ?
Voyant mon hésitation, elle ajouta :
— Ne me dis pas que tu es pudique.— Pas du tout, je n’ai aucun problème avec la nudité.— Alors, mets-toi debout.
J’ai obéi. Andréa est passée derrière moi, Adriana s’est mise à genoux devant moi et comptant :— 1, 2, 3 ...
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