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Triple A

Chapitre 7

Les jouets

Lesbienne
Chapitre 2
Les jouets (2/2).

La phrase qu’avait prononcée par Alysia laissait ses amies Andréa et Adriana sans voix. Les deux jouvencelles se regaraient le regard scotché dans celui de l’autre…

Adriana a été la première à réagir à mes paroles :
— Comment ça prendre soin de tes seins ?— Parfaitement pour garder ma belle poitrine, ma magnifique poitrine de jeune fille, ce qui fait la fierté de toutes les filles oui, j’en prends soin quotidiennement.— Explique-nous, ça nous intéresse.
Et me voilà repartie a révéler les secrets de famille à mes amies. Tous ces conseils je les tiens de ma mère et de ma grand-mère qui, a presque soixante-dix ans, a encore une poitrine superbe bien ferme et qui ne tombe presque pas.
— Tu as vu la poitrine de ta grand-mère et tu parles de ça avec elle ?— Quand on est entre femmes, que ce soit avec maman ou nanou, on ne se cache pas, il m’arrive même de prendre un bain l’une ou l’autre.
Adriana et Andréa étaient scotchées, immobile bouche ouverte.
— Vous avez l’air étonné ?— Il m’arrive de temps en temps de voir ma mère en sous-vêtements mais jamais nue.
Andréa qui venait de s’exprimer se tourna vers Adriana qui précisa :
— Encore moins, nos grand-mères.
— De par le métier de mes parents vous savez que l’anatomie humaine n’a pas de secret pour eux. Vous savez aussi bien que moi comment est composé un sein : en plus de la glande mammaire qui est soutenue par des ligaments accrochés aux pectoraux, les seins sont remplis de graisse. C’est l’ensemble qu’il faut protéger par des exercices quotidiens.
— Ouais d’accord mais concrètement qu’est-ce que tu fais ?
Je leur explique alors la discipline à laquelle je m’astreins quotidiennement. Je fais de la natation, de la musculation et des soins. Je nage pendant une heure trois fois par semaine, essentiellement la brasse et le dos pour faire travailler mes pectoraux. Et oui les filles il n’y a pas que les mecs qui ont des pectoraux et vous savez maintenant pourquoi je vais si souvent à la piscine. Je fais aussi un peu de muscu, à la maison, avec des petits poids de deux ou trois kilos maximum, en alternance avec la piscine toujours pour travailler mes pecs. Et enfin des soins corporels avec des massages de la poitrine en utilisant des masques de soin maison, composés d’huiles d’olive ou d’amande douce et d’huile essentielle, crèmes au collagène et une fois par semaine de la glace pilée.
— De la glace ! Mais tu es folle !— Pas du tout ! Ça resserre les tissus de la peau et ça raffermit les graisses qui entourent la glande mammaire tout simplement. C’est comme le beurre, tu le mets au soleil, il se ramollit, tu le mets au frigo, il se raffermit. Andréa tu as un crayon de papier ?
— Je vais te chercher ça.
À son retour je prends le crayon et je leur dis :
— Regardez ce que je fais et après c’est votre tour.
Je me mets debout, je soulève un sein pour placer le crayon dessous, je libère mon sein et je lâche le crayon. Le crayon tombe. Je recommence sur l’autre pour un résultat identique.
— À vous maintenant.
Je tends le crayon à mes copines. C’est Andréa qui s’en saisit la première, elle refait les mêmes gestes et le crayon tombe aussi. Adriana s’y essaye à son tour et le crayon reste prisonnier de son sein droit.
— Fais la même chose avec l’autre.
Elle recommence et le crayon tombe après quelques secondes d’hésitation. Un peu vexée et furieuse elle me dit :
— Je n’y crois pas, j’ai déjà la poitrine qui tombe ! Tu ne pouvais pas nous le dire avant ! Montre-moi ce que tu fais comme exercice et après je vais nager avec toi.— Ne t’affole pas, il n’y a rien de grave ! Tu as une poitrine magnifique tout comme nous, on a les mêmes seins toutes les trois. Pratiquement toutes les femmes ont une asymétrie mammaire, c’est presque une normalité dans la population féminine. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut la négliger. Je vous montre, mais sans les haltères puisque je ne les ai pas.
Je m’allonge sur le sol, les jambes fléchies, légèrement écartées, pieds à plat, bras en croix, je les remonte à la verticale pour les redescendre doucement sans toucher le sol et tu recommences.
— Quatre séries de vingt, entrecoupées d’une minute de récupération entre chaque.
Ensuite, toujours allongée je recommence le même mouvement mais cette fois-ci avec les bras derrière la tête.
— Pareil, quatre séries de vingt.— Et les soins ? demanda Andréa.— J’applique des poches de glace pilée tous les soirs pendant dix minutes avant de me coucher, le matin une crème au collagène après ma douche et deux ou trois fois par semaine je masse ma poitrine avec des masques composés d’huile d’olive et huile essentielle.
Je me lève et me place entre elles deux :
— Touchez mes seins, ils ne sont pas beaux ?
Une main sur chacun d’eux, elles les caressèrent délicatement avant de poser leur bouche sur mes mamelons.
— Tu as une poitrine superbe.— On a toutes les trois pratiquement la même morphologie, avec un peu de courage vous pourrez avoir la même fermeté.
Durant la soirée de la veille j’avais pu constater que leur poitrine n’avait pas la même audace ni la même tenue que la mienne. Je m’étais promis de leur parler de tous mes exercices, c’est chose faite.Nous avons toutes les trois sautées dans l’eau en nous tenant par la main et nous avons commencé à nager. Leur style de nage était bien différent du mien, je n’ai aucun mérite pratiquant la natation depuis pas loin de neuf ans. Je terminais une longueur quand je les ai trouvées assises toute les deux sur les marches :
— On reprend notre souffle on n’en peut plus. Comment tu fais pour nager aussi longtemps sans être essoufflée?
En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire je me suis retrouvée « maître-nageuse ». Je leur ai montré les mouvements corrects à exécuter pour chaque nage, la synchronisation des mouvements des bras et des jambes ainsi que la respiration. Je suis sortie de l’eau pour suivre leurs mouvements en prenant de la hauteur. Elles comprenaient vite et avaient acquis un joli style, pas encore parfait, mais en gros progrès. En même temps que, je les observais, je ne pouvais m’empêcher de mater leurs petites fesses et leur petit minou qui s’ouvrait et se fermait à chacun de leurs mouvements. Je sentais naître des fourmillements dans mon ventre. Pour me calmer, je me suis remise, moi aussi à l’eau pour finir ma séance de natation. Quand je suis sortie, elles étaient toutes les deux allongées sur leur serviette, les bras en croix avec une grande bouteille d’eau dans chaque main :
— Dis-nous si c’est comme ça qu’il faut faire ?
Je me suis approchée pour rectifier leurs positions en remontant leurs genoux plus hauts et en positionnant correctement leurs pieds :
— Écartez un peu plus vos jambes.
Elles avaient maintenant leurs jolies petites chattes non seulement exposées au soleil mais aussi à ma vue. Je pouvais vérifier ce que j’avais lu par ailleurs : qu’aucune chatte ne ressemblait à une autre. La mienne était certainement différente aussi. Mais elles étaient magnifiques. Cela dura une petite demi-heure pendant laquelle elles effectuèrent avec application les deux exercices. Je suis restée tout ce temps à les mater, à regarder les poitrines bouger au rythme des mouvements. J’avais aussi une vue imprenable sur leur intimité. Adriana toujours curieuse :
— Tu as vu la poitrine de ta grand-mère ?— Oui ! Un jour où j’étais seins nus sous une robe et qu’elle s’en est aperçue.
Et me voilà repartie à raconter ma vie …Elle m’expliqua que la poitrine était la fierté de toutes les femmes. Que le jeu de la séduction entre homme et femme passe obligatoirement par la façon dont on la mettait en valeur. Pour cela, on se devait d’avoir des seins les plus beaux possible d’où la nécessité de préserver par tous les moyens ce que dame nature nous avait donné. C’est elle qui, la première, m’a parlé des bienfaits du froid et qui m’a expliqué comment faire avec la glace. C’est là qu’elle n’a pas hésité à me dévoiler sa poitrine et que j’ai découvert ses seins. Ils étaient, certes, un peu moins fermes et tombaient légèrement, mais ils avaient fière allure pour une dame de cet âge. C’est elle qui m’a dit aussi qu’il n’était pas bon de porter un soutien gorges en permanence que notre poitrine avait besoin d’apesanteur.
Elles reprirent leurs mouvements. Je me suis assise en face d’elles, une jambe repliée sous l’autre et sans m’en rendre compte ma main droite est venue titiller mon bouton On/Off que je manipulai avec douceur. Les sensations qui animaient mon ventre, la vue de ses deux chattes sous mes yeux, firent monter en moi un plaisir que je contrôlai difficilement.Elles avaient terminé les séries qu’elles s’étaient imposées et, sans rien changer à leur position, reprenaient leur respiration. Adriana se redressa pour prendre appui sur ses coudes avant de lâcher :
— Regarde Andréa, elle se masturbe devant nous et après elle dira qu’elle n’est pas exhibitionniste.— Pense ce que tu veux, mais à voir vos minettes je n’ai pas pu résister
Andréa adopta la même position pour me regarder à son tour, un sourire aux lèvres. J’ai pivoté de cent quatre-vingts degrés et j’ai déposé un tendre baiser sur leur chatte, d’abord Adriana puis Andréa. J’ai pu ainsi goûter à l’humidité naissante de leur intimité. Mais j’en voulais plus ! Je me suis approchée de l’entre jambes d’Andréa :
— J’ai envie de la tienne.— Viens, ma belle, elle est à toi ! Mets-toi au-dessus de moi, mais avant embrasse-moi.
Je me suis approchée de son visage illuminé par un large sourire. Ses lèvres étaient entrouvertes, sa langue dardée déjà hors de sa cavité buccale. Je ne quittais pas son regard en m’approchant lentement. Probablement trop lentement car elle m’attrapa par la nuque pour m’attirer à elle. J’ai à peine eu le temps d’entrouvrir ma bouche que, déjà je sentais sa langue sur la mienne. Nous mettions dans ce combat toute notre ferveur, notre passion. Le baiser que nous échangions était fougueux, passionné. Nous étions déchaînées, voire même possédées par je ne sais quelle force intérieure, un savant mélange de sensualité et d’immoralité.J’ai senti une traction, sur mes cheveux, qui m’obligea à interrompre ce fabuleux baiser. Adriana voulait nous séparer et dit :
— Fais-moi une place.
Andréa allongée sur le dos. Adriana et moi nous étions étendues de chaque côté. Nous avons glissé l’une de nos jambes entre celles d’Andréa qui devenait l’objet de notre convoitise. Nous avons repris avec la même passion, la même vigueur, le baiser interrompu. Adriana mordillait la lèvre inférieure et moi la supérieure. Adriana, à bout de souffle me glissa dans le creux de l’oreille :
— Vas-y fait là jouir ! Rends-lui ce qu’elle t’a fait cette nuit.
Je me suis positionnée tête-bêche au-dessus d’elle. Elle s’est offerte à moi. Repliant les genoux, pieds à plat au sol, jambes largement écartées, j’ai glissé mes mains derrière ses cuisses pour mieux ouvrir son intimité. J’ai posé mes lèvres sur celles de sa vulve. Ma langue est partie à l’exploration de cette chatte que je ne connaissais pas encore. Je parcourus tout son entrejambe, du clito à l’anus. À chacun de mes passages son clito se faisait plus long, plus dur, plus gonflé. Avec mes doigts je dégageai l’entrée de sa grotte pour mieux la pénétrer en profondeur. J’ai posé ma chatte déjà bien humide sur sa bouche. Immédiatement elle se mit à la travailler avec application me rendant coup pour coup.Avec l’extrémité de ma langue je titillai son bouton d’amour, je pénétrai sa cavité, j’agaçai sa rosette. Au moment où je posai ma langue sur cette dernière, un flash de lucidité me fit prendre conscience que c’était une première pour moi. Ne sachant pas vraiment m’y prendre, je fonctionnais à l’instinct, convaincue que ce qui me faisait plaisir à moi ne pouvait que lui plaire. Tout devenait presque facile, car je savais exactement ce qu’elle pouvait ressentir à chacun de mes gestes. À ce moment précis je comprenais qu’il ne pouvait rien y avoir de plus beau, de plus magique. Je savourais chaque instant. Je prenais un plaisir grandissant à glisser mon visage au creux de ses cuisses, à approcher mes lèvres de ce nid de plaisirs, de ce temple du mystère. Je découvrais un abri d’une douceur absolue, aux saveurs et parfums inimitables. Je découvrais un trouble sans pareil, une excitation sans précédent.Mon propre plaisir allait crescendo. Andréa flattait mon clito avec sa langue et sa bouche. L’aspirant et le mordillant. Je sentais ses doigts s’agiter en moi, le pouce dans ma chatte et l’index dans ma rosette, s’activer lentement. Mon corps était parcouru par des frémissements de plus en plus forts. J’étais au bord de l’implosion.Je sentais son précieux nectar glisser sur mes lèvres. À mon tour j’ai emprisonné son délicieux diamant pour le faire rouler entre mes incisives avant de planter deux doigts dans son terrier rose. D’abord juste à l’entrée pour masser de la pulpe cette partie plus structurée et consistante, puis plus en profondeur jusqu’à toucher le fond de son abysse. Sa réaction fut immédiate :
— Ne t’arrête pas, continue ! Fais-moi jouir !
Elle reprit la dégustation de mon abricot tandis qu’encouragée par sa supplique je reprenais le massage de cette partie. Ses gémissements étouffés me guidaient. Je m’appliquai attentive à ses réactions qui ne manquaient pas. Inspirée par ce traitement elle fit de même sur moi. Cette réciprocité de mouvements nous conduisit toutes les deux à l’orgasme. Un orgasme que nous avons exprimé bruyamment et pour lequel nous nous sommes littéralement liquéfiées dans la bouche de l’autre.
Épuisées. A bout de souffle. Je me suis effondrée sur Andréa l’immobilisant au sol. J’avais la tête posée sur l’une de ses cuisses. Le visage trempé. C’est une claque sur les fesses qui me sortit de ma léthargie.
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