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Triple A

Chapitre 8

Les jouets (3/5)

Lesbienne
Triple A
Les jouets (3/5).

Alycia Andréa et Adriana sont trois copines de lycée qui se retrouvent le temps d’un week-end pour fêter leur bac et l’anniversaire de l’une d’elles. Andréa & Adriana qui sont plus délurées que la troisième ont découvert ensemble le saphisme et une sexualité quelque peu débridée. Elles profitent de ce week-end pour révéler à la troisième leur véritable relation …

— Tu m’étouffes !
J’ai roulé sur le côté. Andréa pivota de cent quatre-vingts degrés pour venir s’allonger sur moi. Pubis contre pubis. Seins contre seins. Son visage était dans le même état que le mien. Son regard se planta dans le mien avant de prendre ma bouche avec force et délectation. Notre baiser avait la succulence de nos liqueurs.
C’est Adriana qui mit fin à notre baiser quand elle se plaça entre nos cuisses pour entreprendre un lapement en règle de nos intimités. Nous sommes restées immobiles pour lui laisser le soin d’apaiser le plaisir que l’on venait de prendre.
— Dites donc les filles vous en avez fait des cochonneries.— Elle m’a fait jouir comme jamais.— Vous avez toutes les deux joui, vous êtes trempées !— Je te découvre, toi aussi fontaine. On aurait dit un geyser.— Tu n’exagères pas un peu ?— Pas du tout ! Regardez la serviette. Je savais pour Alycia mais pas pour toi.
Effectivement, deux superbes taches maculaient la blancheur de cette dernière.
— C’est une découverte pour moi. Tu as sans doute raison quand tu nous as dit, hier, que nous pouvions toutes l’être.— Je ne sais pas comment vous y êtes arrivées, mais vous avez intérêt à me faire la même chose.— C’est quand j’ai senti le doigt d’Alycia au fond ma grotte, qu’elle a massé cet endroit que j’ai senti monter l’orgasme.— Pareil pour moi quand tu as reproduit la même chose. Je n’avais jamais été aussi profond en moi, lors de mes plaisirs solitaires.
— Moi non plus ! Ne t’inquiète pas Adriana, on te montrera.
Ma première expérience lesbienne remonte à même pas vingt-quatre heures, mais je dois avouer que plus le temps passe, plus j’y prends plaisir. Probablement parce que je suis en train de faire table rase du politiquement correct, des préjugés et des tabous concernant la sexualité féminine, parce que je suis maintenant intimement convaincue qu’une femme a le droit de prendre son plaisir comme elle le veut, quand elle le veut tant que c’est dans le respect de ce qu’elle désire et de l’autre. Donner et recevoir du plaisir, c’est l’essence même d’une relation sexuelle. Le soixante-neuf entre filles est « LA » pratique qui conduit au plaisir suprême. Même si on peut voir, dans la position, une certaine forme de soumission, elle donne en même temps le pouvoir de maîtriser le plaisir qu’on offre à sa partenaire dans des gestes aussi intimes que précis.
Revenue à la réalité j’ai ajouté :
— Tout à l’heure, je vous ai proposé d’ajouter, « on se dit tout … » à notre deal, alors il faut que je te dise Andréa que j’ai particulièrement apprécié quand tu as mis un doigt dans ma petite chatte et un autre dans mes fesses. C’était une sensation magique. Tu as été la première à pénétrer cette partie ...— Et ?— Et rien ! Je n’avais jamais exploré cette partie de mon corps.— Tu apprécieras probablement autant que nous la sodomie.— Peut-être, peut-être pas. Vous avez déjà fait ça ?— Oui, mais uniquement entre nous. Je peux t’assurer qu’on prend plaisir à le faire. Plaisir différent, mais plaisir quand même.— Ça doit faire mal ?— On ne parle pas de souffrance, mais de plaisir. Bien préparée et librement consentie la sodomie n’est pas douloureuse contrairement à ce qui se dit. Tu veux essayer ?— Je n’en sais rien ! Ça craint, non ?— Pas du tout ! C’est toi-même qui vas le faire, à ton rythme. Si tu as mal, tu arrêtes. Je t’explique, comment on a fait pour nous et tu fais pareil. D’accord ?— Je veux bien essayer.— Alors, viens.
Elle se leva prestement, me tendit les bras pour m’aider à me relever. Je me suis retrouvée debout, collée contre elle. Elle prit ma bouche en même temps qu’elle posait ses mains sur mes fesses pour m’attirer à elle. J’ai adopté, moi aussi cette posture pour scotcher nos pubis l’un contre l’autre. Adriana est venue nous rejoindre. Nous nous sommes écartées pour l’accueillir. Nous étions toutes les trois étroitement enlacées quand Andréa nous entraina vers sa chambre.
Le lit était en bataille, vestige de la nuit agitée que nous avions connue, mais ce n’était pas là le problème. Elle alluma sa salle de bain dans laquelle nous sommes entrées à sa suite, avant d’ajouter :
— Ne bougez pas, je reviens.
Elle quitta le dressing pour aller dans la chambre chercher quelque chose. À son retour elle tenait une clef avec laquelle elle ouvrit une petite porte du meuble de salle de bain, la seule à avoir une serrure.
— C’est ma caverne d’Ali Baba, j’y enferme mes jouets et objets personnels.
À l’intérieur il y avait des sextoys de tailles, de couleur et de textures différentes dont plusieurs avec des lanières. Des préservatifs, du gel lubrifiant, trois objets de forme ovoïde terminée par une partie plate sertie d’une pierre de couleur taillée façon diamant. Il y en avait deux gris acier avec une pierre incolore et un noir avec une pierre rouge. Les deux gris étaient de même taille mais plus gros que le troisième. Andréa sortit ces trois pièces et un flacon de gel lubrifiant.
— C’est quoi ces trucs ?— Disons que ce sont des bijoux pour les fesses qu’on appelle des rosebuds ou des plugs.
Et moi toujours aussi naïve :
— Ça sert à quoi ?— La pierre est là pour l’esthétisme, elle n’a pas d’autre fonction que celle de parer et orner ta rosette sa forme sert à dilater et à assouplir ton petit trou pour le préparer à la sodomie puisque tu es vierge de ce côté-là. Tu es d’accord ?— Mais ça doit faire mal !— Penses-tu ! Fais-nous confiance. Si on l’a fait, tu peux le faire. Je peux t’assurer que tu ne sentiras pratiquement rien.
Adriana qui était restée discrète jusqu’à présent s’empara d’un des deux plus gros pour le donner à Andréa qui le prit et le fit tourner dans sa bouche. Elle écarta ses jambes avant de se pencher en avant pour attraper ses chevilles avec ses mains. Adriana s’accroupit derrière elle, déposa une noisette de lubrifiant puis elle se mit à masser délicatement la rosette. Avec son majeur elle frictionnait le pourtour pour le décontracter avant d’enfoncer son doigt dans le fondement. Au bout d’un moment elle dit :
— Tu es prête, donne-moi ton bijou.
Andréa le lui tendit. Adriana présenta alors l’objet contre la rondelle ainsi offerte en appuyant dessus tout en le faisant tourner sur lui-même et en lui imprimant de petits va-et-vient. J’étais fascinée par ce que je voyais. Petit à petit, le plug disparaissait dans les entrailles de mon amie.
— Voilà ma belle tu es magnifique ainsi parée.
Elle se redressa et se déhancha deux ou trois fois probablement pour l’ajuster à son corps. Andréa posa ensuite celui d’Adriana. Elles avaient accepté ces bijoux sans grimace de douleur, sans cri je dirais même avec une certaine satisfaction pour ne pas dire avec le sourire. À ce moment-là j’ai compris que le troisième était pour moi, ce qui suscita ma question :
— Vous faites ça depuis longtemps et pourquoi les vôtres sont-ils plus gros.
Adriana m’expliqua :
— La différence de taille, c’est pour une accoutumance progressive. Les nôtres sont plus larges et en acier chirurgical, donc, plus lourds. Pour toi on a choisi le modèle le plus petit, puisque c’est la première fois et en aluminium qui est plus léger. Pour le reste, j’ai commencé au début de l’année avec mes doigts, d’abord un, puis deux et comme je prenais du plaisir en le faisant, j’ai fait la même chose à Andréa qui a beaucoup aimé aussi. Depuis on se sodomise régulièrement lors de nos jeux saphiques.
Andréa s’empara du flacon et du dernier objet en disant :
— Si tu ne te sens pas, on ne le fait pas. C’est toi qui décides, on ne t’impose rien.— Vous dites aimer ça et prendre du plaisir en le faisant, alors moi aussi je veux le connaitre.— Parfait ! Mets-toi à quatre pattes en appui sur tes avant-bras, cambre-toi le plus possible, je vais te mettre le tien. Ne crains rien je vais y aller doucement, sans précipitation. Si ça devient insupportable pour toi, dis-le-moi, j’arrête, ok ?
J’ai obéi. Presque aussitôt après j’ai senti couler du gel sur ma rosette et un doigt tournoyer autour pour masser délicatement la périphérie.
— Décontracte-toi, laisse-toi aller. Abandonne-toi et fait moi confiance.
Le massage avait du bon, car je sentais mon anus s’ouvrir doucement. J’ai senti le bout de son doigt s’arrêter au centre de mon petit trou, appuyer doucement. Imperceptiblement, je percevais sa progression jusqu’à ce que la paume de sa main arrive sur ma chatte. Elle avait fini par introduire tout son doigt. Elle resta immobile quelques instants sans bouger. Je n’avais ressenti aucune douleur, je supportais sans problème la présence de ce doigt. Elle commença, de lents va-et-vient, qu’elle accompagna d’une rotation, qui ont eu le mérite de me faire apprécier ces mouvements.
— Ça va, tu n’as pas mal ?— Pas du tout, ça devient même délicieux.
L’étranger était sorti totalement. J’ai senti de nouveau du gel couler et de nouveau un doigt m’envahir, mais il n’était plus seul un autre l’avait rejoint. Par réflexe j’ai voulu me dégager, mais je fus aussitôt immobilisée dans ma position initiale.
— Ne bouge pas ma chérie, si tu as mal, dis-le-moi, j’arrête, mais ne bouge pas, je pourrais te faire encore plus mal.
Elle avait non seulement introduit les premières phalanges, mais en plus elle les faisait tourner un coup dans un sens un coup dans l’autre. Je sentais mon sphincter s’ouvrir pratiquement sans douleur. Elle reprit sa progression tout en accompagnant sa poussée de rotation du poignet. Cela dura suffisamment longtemps pour que j’en oublie même la gêne, mais je ne pouvais m’empêcher de penser que chaque minute qui passait me rapprochait du moment où j’allais recevoir le rosebud. Adriana s’empara du jouet et l’enduisit de gel puis elle vint se placer derrière moi juste au-dessus de mes fesses. Je sentais les doigts ressortir doucement et au moment où ils sont totalement sortis, avant même que je me referme complètement, j’ai senti l’arrivée de l’intrus. Elle poussait inexorablement vers mes entrailles, et j’ai lâché un :
— Hummm !— Ça va ?— Oui, continue !
Sous l’effet de la poussée mes chairs se distendaient puis d’un seul coup il a été comme aspiré. J’ai perçu un rond de fraicheur sur mon anus.
— Voilà ma belle, tu es parée !
Je me suis relevée et en tournant le dos au miroir je me suis penchée en avant pour voir à quoi ressemblait mon petit trou.
— Mettez-vous à côté de moi que je vois à quoi on ressemble avec ces trucs dans les fesses.
Adriana courut dans la chambre pour revenir avec son appareil photo.
— Immortalisons cet instant.
En nous voyant dans la glace on est parties d’un fou rire comme on en a souvent ensemble. On en avait les larmes aux yeux. J’ai fait les quelques pas indispensables pour rejoindre la chambre sans gêne particulière si ce n’est qu’il a bougé un tout petit peu.
Andréa proposa d’aller faire un peu de shopping à Nîmes. Nous nous sommes pomponnées. Maquillage léger des yeux, chaleur oblige, un peu de rouge sur les lèvres, rien de plus. Nous étions devant la glace de la salle de bains quand Andréa imposa la tenue vestimentaire.
— Robe pour tout le monde !— Je n’en ai pas ici !— Moi non plus !— Ne vous en faites pas, j’ai ce qu’il vous faut. J’ai acheté des petites merveilles sur le marché la semaine dernière.
Elle nous entraina dans son dressing et nous montra des petites robes sans manches laissant le dos et les épaules nues avec un double boutonnage sur la nuque.
— J’ai craqué quand je les ai vues et en plus j’ai fait une affaire, car j’ai eu la troisième gratis. Je garde celle-là pour moi, débrouillez-vous avec les autres.
Andréa enfila sa robe avec empressement. C’est vrai qu’elle était craquante, fluide réalisée dans un tissu lourd, lui conférer un joli tombé. Des motifs géométriques colorés des plus plaisants effets faisaient que cette robe était ravissante. Un décolleté en « V » découvrant à peine le sillon mammaire et le galbe des seins, dos nu et une ceinture de tissu noir marquait la taille. Le bas se terminait par une bande noire unie, plus étroite, qui resserrait un peu le bas sur les cuisses. Assez courte elle s’arrêtait à mi-cuisse. Nous avons enfilé les nôtres. Andréa ne put s’empêcher de faire remarquer :
— Alycia tu vas être obligée de faire une entorse à tes principes, car le sous-tif est prohibé avec cette robe.— C’est bien pour vous faire plaisir !— Et tant qu’à faire, cul nu aussi !— Mais je n’oserai jamais ! Je n’ai jamais fait ça !— Nous si ! Tu verras comme c’est délicieux de sentir le vent fripon venir agacer ta chatte. Ne nous as-tu pas dit que tu voulais qu’on te montre, que tu nous faisais toute confiance ?— Bon d’accord, je m’incline !— Tu verras, tu apprécieras les joies coquines de l’exhibitionnisme et du voyeurisme, car l’un ne va pas sans l’autre. Nous le sommes toutes, sauf que toi tu l’ignores encore. Regarde ce qui se passe sur les réseaux sociaux et leur fréquentation.
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