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Triple A

Chapitre 12

Lesbienne
Triple A
Chapitre 3
Les jouets suite 2/5


Alycia Andréa et Adriana sont trois copines de lycée qui se retrouvent le temps d’un week-end pour fêter leur bac et l’anniversaire de l’une d’elles. Les Trois amies sortent du sex-shop et reprennent le chemin du retour, mais leurs nouveaux vont rendre le retour un peu moins serein. …
Nous marchions en silence ne faisant même plus attention aux vitrines devant lesquelles nous passions. J’imagine qu’à ce moment-là, nous éprouvions, toutes les trois, exactement la même chose. Nous étions à l’écoute de nos corps et des sensations qui résonnaient en lui. Une pression plus forte sur mon avant-bras droit me ramena à la réalité et en tournant la tête vers Adriana je la vis le visage défait :
— Ça ne va pas ?— C’est trop fort, je crois que je suis sur le point de jouir !
On s’est arrêtées, là, au milieu du trottoir et je l’ai adossée à l’intérieur d’une porte cochère, écoute-moi :
— Respire doucement et profondément. Inspire par le nez, expire très doucement par la bouche en contractant ton ventre comme si tu voulais coller ton nombril dans ton dos.
— Je veux les enlever !— Non, tu les gardes ! Tu vas faire ce que je te dis. Inspire doucement en gonflant le ventre puis expire très lentement en contractant ton ventre.
Elle fit cet exercice une dizaine de fois. À côté d’elle Andréa faisait la même chose et au bout de quelques mouvements, elle dit :
— Tu es une nana étonnante ! On pensait te surprendre et en fait c’est toi qui nous en apprends le plus. Comment tu sais tout ça ?— Je vous l’ai dit, ma grand-mère. Ça va ? On y va ?— Oui, pas de souci répondirent-elles à l’unisson.— Si ça te reprend, n’attends pas le dernier moment, contrôle ta respiration et ça ira.

Le retour au parking s’est déroulé sans problème. Au retour comme à l’aller, j’étais derrière. Mon excitation montait crescendo et j’avais hâte d’être arrivée pour pouvoir me ruer sur mes camarades et leur arracher l’orgasme qui nous travaillait le ventre depuis la sortie du sex-shop. Les trépidations de la voiture sur le bitume généraient de nouvelles sensations dans nos bas-ventres. Je me suis mise derrière Adriana qui occupait le siège passager en glissant mes mains sur ses épaules par-dessus le dossier pour les caresser. Des mains caressantes qui insensiblement descendaient sur sa poitrine. Le fin tissu ne pouvait dissimuler ses tétons qui dardaient déjà en dessous. Puis n’y tenant plus elles sont remontées pour replonger aussitôt mais cette fois-ci directement sur sa peau. J’avais à présent entre les doigts deux cylindres majestueux que je pouvais à ma guise rouler entre mes pouces et mes index. Adriana avait fermé les yeux et des gémissements imperceptibles s’échappaient de sa gorge.
— Alycia continue, ton étreinte me fait trop de bien !— Je te préviens Alycia si tu la fais jouir dans la voiture, c’est toi qui nettoies avec ta langue. Et soyez sympa, je conduis !— D’accord !
Nullement découragée j’ai poursuivi mes attouchements. Je sentais sa poitrine se soulever en soubresauts rapides.
— Tu ne dois pas jouir. Apprends à contrôler ton plaisir pour le rendre encore plus puissant. Si tu te sens partir pose ta main, sur les miennes, je m’arrêterai et tu respireras comme je te l’ai expliqué tout à l’heure.
Pendant le temps de trajet je me suis arrêtée deux fois pour laisser le temps à Adriana d’évacuer la pression avant de reprendre. J’étais, moi aussi au bord de l’explosion. Andréa était concentrée sur sa conduite, elle ne faisait pas vraiment attention à nous, mais ne pouvait ignorer les gémissements intermittents qui sortaient de nos bouches.
Le soleil était encore haut et chaud quand nous sommes rentrées. Après avoir déposé nos achats au salon, et nous être déshabillées, nous avons extrait nos boules avant d’aller calmer nos ardeurs dans la piscine. Ce n’est qu’après quelques brasses que je me suis rendu compte que j’avais toujours un intrus entre les fesses. En poussant sur mes jambes j’avais l’impression qu’il voulait sortir tout seul ce qui m’obligea à contracter mon anus. Les sensations étaient des plus agréables, surtout en pratiquant une activité sportive. Indépendamment du motif de cette présence en moi je commençais à avoir envie de goûter à la sodomie.
Nous nous sommes allongées directement sur les margelles qui avaient accumulé la chaleur de la journée. Cette alternance chaude et froide fit remonter en nous l’envie de jouir. Adriana est venue me placer son sexe au-dessus de mon visage en me disant :
— Achève ce que tu as commencé dans la voiture. Fais-moi jouir comme tu as fait jouir Andréa, ce matin, broute-moi la chatte ma chérie.— Avec plaisir !
J’avais son intimité à quelques centimètres de ma langue, les deux globes fessiers sous les yeux. Mes mains sont parties en exploration. D’abord, les cuisses pour remonter ensuite sur les hanches avant de glisser vers l’arrière sur les fesses. Elle avait creusé les reins, bombait le torse pour rendre sa poitrine plus arrogante et tenait ses mains, doigts croisés, dans la nuque.J’ai poursuivi mon parcours en remontant le long de sa colonne vertébrale. A bout de bras, j’ai basculé mes mains en avant pour emprisonner ses seins. Je savais Adriana aussi sensible que moi des tétons. Je savais aussi que me les pincer fortement me procurait une forme de délectation indéfinissable, mélange de bien-être et de tiraillement.Cela devait lui plaire, car elle se mit à onduler imperceptiblement du bassin, frottant ses petites lèvres sur mon appendice nasal, faisant ainsi pénétrer des fragrances odorantes dans mes narines. Libérant sa poitrine j’ai laissé glisser mes mains sur ses hanches pour l’obliger à se coucher sur moi. J’ai replié et écarté mes jambes comme une invitation et nous sommes parties dans un soixante-neuf entre filles.Avec mes mains j’écartais sa crapette pour dégager ses petites lèvres et accéder à son abricot. Je n’ai pas eu à forcer beaucoup pour le voir apparaître, quelques mouvements circulaires avec la pulpe des doigts ont suffi à le faire sortir de sa cachette. J’ai remplacé mes doigts par ma langue qui ne fit que provoquer encore plus ce bouton de plaisir. Il était maintenant totalement décalotté et dardé fièrement. Je pouvais à présent le saisir entre mes dents et le faire rouler entre les incisives, ce qui provoqua chez ma partenaire un petit repli qu’elle maîtrisa rapidement en revenant encore plus fortement en appui sur ma bouche.Par intermittence, j’apercevais Andréa quelque peu esseulée qui se caressait le sexe et les seins à côté de nous. Elle ne perdait rien du spectacle qu’elle avait sous les yeux et prenait visiblement du plaisir à ces gestes solitaires. Adriana léchait et aspirait alternativement mon clito qui était à présent totalement sorti, tel une petite bite. Je ne sais pas, laquelle répondait à l’autre, mais nous nous mordions le clito simultanément et de manière toujours plus appuyée. À chaque coup de dents des vagues de plus en plus fortes parcouraient nos corps. Je n’ai eu aucune difficulté à introduire deux doigts dans son puits où j’ai caressé de la pulpe la face antérieure de sa caverne à la recherche du fameux point. Je n’ai pas eu à chercher bien longtemps, car délaissant ma petite chatte elle releva la tête :
— Ne t’arrête pas ! Continue, c’est trop bon ! Fais-moi jouir.
En se redressant pour prendre appui sur ses bras, elle délaissa totalement ma minette. Celle-ci ne resta pas longtemps seule, car la bouche d’Andréa vint se coller sur mes lèvres intimes. Appréciant cette nouvelle présence sur mon corps j’ai continué mon activité en massant avec application cette partie particulièrement sensible du vagin. Elle commençait à onduler du bassin et appuyer celui-ci de plus en plus fort sur ma bouche. Je continuais à m’appliquer et j’alternais caresses et va-et-vient avec mes doigts de façon plus intense et rapide.À travers la fine membrane, je sentais le plug qui rétrécissait légèrement le vagin. Adriana mouillait de plus en plus, je sentais à présent sa cyprine suinter de son intimité et me couler dans la bouche. Elle avait un goût exquis, un goût de miel poivré dont je me délectais. Je sentais la langue inquisitrice d’Andréa courir de mon clito à l’entrée de ma grotte qu’elle pénétrait de son appendice lingual. Elle avait une langue longue et fine qu’elle maîtrisait parfaitement. Pour ma part, je continuais à fourrager plus rapidement, plus intensément, plus profondément le sexe qui m’était offert.C’est à ce moment précis, que je me suis remémorée ce que j’avais fait à Andréa ce matin. Alors, tout en titillant son clito de ma langue j’ai enfoncé mon majeur totalement. Je butais sur le fond de sa caverne et comme ce matin j’ai massé la face antérieure. Sa réaction fut immédiate.
— Oh putain que c’est bon ! Encore ! Encore ! Continue ! N’arrête pas, je t’en supplie ! Encore Oh ! Oui ! Oh ! Oui ! Oui ! Oh ! c’est bon ! C’est trop bon ! Je vais jouir ! Ouiiiii Ouiiiiiiiiiiiiii ! Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
J’avais le visage inondé, les cheveux trempés. Je venais de lui procurer un fabuleux orgasme. Elle avait joui mais pas moi. J’étais heureuse de lui avoir prodigué un tel orgasme. Elle s’écroula sur moi. Je me suis mise à l’épurer du mieux que je pouvais pour m’abreuver de son élixir. Andréa était toujours en train de besogner mon bouton et l’entrée de ma caverne quand Adriana lui attrapa le menton en disant :
— Montre-moi quel goût elle a aujourd’hui.
Elles se roulèrent une pelle longue et profonde.
— Qu’est-ce qu’elle est bonne !— Continue à la dévorer, je vais m’occuper de toi.
Elle se releva pour aller se placer entre les jambes d’Andréa qui était à quatre pattes, entre mes cuisses. Plus libre de mes mouvements j’ai agrippé mes jambes à l’arrière des genoux pour les ramener sur ma poitrine afin de m’offrir totalement à elle. Nous étions toutes les trois à la queue leu-leu à nous faire plaisir. Andréa relâcha ses caresses quand elle sentit les lèvres d’Adriana prendre possession de son entrejambe. Peu de temps après elle recommençait ses caresses, mais cette fois elle posa quatre doigts à plat sur mon clito qu’elle se mit à faire tourner rapidement, puis elle tapota rapidement. Et à nouveau ses lèvres sur la partie la plus sensible de mon anatomie et enfin ses doigts en moi qui me bourraient profondément. Mon plaisir allait crescendo, je n’avais pas envie de me retenir plus longtemps. Je me suis abandonnée à la jouissance accompagnée en cela par Andréa. Pour la seconde fois de la journée nous nous sommes liquéfiées.
Nous venions de jouir toutes les trois, nous étions épuisées, nues au bord de la piscine, cherchant à reprendre notre souffle en profitant des chauds rayons du soleil. On a dû s’assoupir en peu, car il était plus vingt heures quand j’ai ouvert les yeux. Mes amies avaient toujours les yeux fermés, dormaient-elles ?. Je me suis glissée dans l’eau sans bruit pour les arroser copieusement à l’aide de mes mains. Leurs cris ont dû s’entendre dans tout le quartier. Mouillées pour mouillées, elles se sont liguées contre moi en sautant dans la piscine pour me couler ce qui donna de nouveau lieu à des attouchements.J’ai été agrippée, retournée, maintenue sous l’eau jusqu’à la limite de la suffocation m’obligeant à de profondes inspirations chaque fois qu’elles me laissaient revenir à la surface. Bouffée d’air aussitôt contrariée, à chaque fois, par une bouche gourmande qui n’avait aucune peine à prendre possession de ma cavité buccale. J’ai ainsi été mangée par chacune de mes amies, deux fois de suite avant de retrouver ma liberté de mouvement :
— Tu as voulu jouer et tu as perdu s’esclaffa Adriana.— Qui est pris qui croyait prendre ajouta Andréa.
Pour m’excuser, je les ai prises dans mes bras. On était, téton contre téton, je leur ai fait un gros bisou avant de les renverser à mon tour.Nous avons batifolé comme des gamines. Chacun de nos mouvements était prétexte à un attouchement. Telles des naïades nous évoluions dans l’eau cristalline de la piscine qui était devenue notre terrain de jeu. Nous passions à tour de rôle entre les jambes de l’une ou de l’autre. J’ai été la première à poser mes lèvres sur le pubis de l’une d’elles. C’est vite devenu un rituel chaque fois que l’une de nous était sous l’eau. Les attouchements volontaires ou pas se multipliaient, une main qui glisse sur un sein, ou une fesse. Une poitrine qui se colle dans dos ou contre une autre. L’excitation et l’envie étaient de nouveau là à en juger par nos tétons qui dardaient de façon provocante.Andréa et Adriana s’étaient assis sur l’une des marches de la piscine avec de l’eau au-dessus de la poitrine pendant que je faisais un aller-retour pour relâcher mes muscles. En arrivant près d’elles je me suis accroché, à tour de rôle, à leurs jambes avant d’aller titiller leur clito en apnée. Chacune à leur tour elles ont ouvert leur compas pour faciliter ma câlinerie.On avait beau être début juillet et malgré le temps magnifique, mais nous commencions à avoir un peu froid et surtout faim, l’eau sa creuse comme dirait ma grand-mère.
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