Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 93 J'aime
  • 2 Commentaires

Triple A

Chapitre 13

Les jouets

Lesbienne
Triple A
Chapitre 3.
Les jouets suite 3/5

Rappel du chapitre précédent :Andréa, Adriana et Alycia sont trois amies, très proches. Elles se sont connues lors de la rentrée en seconde. Au début de cet été, elles se retrouvent, toutes les trois, pour fêter l’obtention de leur Bac, dans la propriété des parents d’Andréa.Andréa et Adriana ont organisé ce week-end pour révéler à Alycia leur liaison intime, dans le but de partager avec elle leurs plaisirs saphiques. Un week-end de dévergondage entre filles pour amener Alycia à partager l’intimité de ces amies…

********************************************************************


Nous sommes sorties de l’eau et en m’essuyant j’ai senti l’intrus entre mes fesses. Je m’étais tellement habituée à sa présence que je l’avais oublié :
— Vous avez toujours votre plug ?— Pourquoi tu as perdu le tien demanda Andréa?— Non, que tu es bête ! Non, je l’avais simplement oublié.— Parfait ! Je suis certaine que tu aimeras nos petits jeux de ce soir.— Qu’avez-vous encore prévu ?— Surprise, surprise … plaisanta Adriana.— En attendant, je ne sais pas vous, mais moi j’ai faim
Mes deux amies se sont prises par la taille et me tournant le dos prirent la direction de la maison en disant :
— Allons lui préparer quelque chose avant qu’elle nous fasse un malaise. Lâcha Adriana.

En s’éloignant toutes les deux, Andréa me lance :
— Alycia, ma chérie, tu veux bien mettre un peu d’ordre sur la terrasse et autour de la piscine.
Andréa, qui venait de parler, et Adriana disparurent dans la maison. Obéissante comme je sais l’être, je me suis mise à l’œuvre. Ce n’est pas une tâche insurmontable, mais nous avions laissé trainer nos affaires un peu n’importe où et nous avions déplacé tout le mobilier de plein air. Tout en rangeant je ne pouvais m’empêcher de repenser à tout ce que j’avais connu et même découvert, depuis vingt-quatre heures.J’avais abandonné mon buisson dans le lavabo et bien que je ne regrette absolument pas d’avoir laissé ma pilosité s’échapper dans le tout-à-l’égout j’appréhendais le moment où je devrais l’avouer à maman qui m’avait déconseillé cet acte.Pour la première fois, j’ai découvert, avec le plus grand bonheur, les plaisirs saphiques. Pour la première fois, je m’étais abandonnée aux caresses d’une autre. Pour la première fois, j’avais joui sous une langue féminine. Pour la première fois, j’avais osé poser mes lèvres sur un autre sexe que le mien et malgré quelques réticences au début, liaient à mon éducation et à la morale. J’y avais pris énormément de plaisir aussi bien à donner qu’à recevoir. Pour la première fois, j’ai connu l’orgasme avec un « O » majuscule qui plus est en me révélant fontaine à la surprise de mes intimes complices. Pour la première fois, je me suis délectée du nectar d’une autre au point de ne pas savoir si je pourrais y renoncer.J’ai consenti de sortir nue sous une robe d’été, perchée sur des talons aiguilles. J’ai accepté des jouets intimes dans mes orifices. J’ai découvert, avec appréhension, le plaisir de m’offrir aux regards des autres. Le film de ses dernières heures défilé dans ma tête et ma conscience me torturait. Elle faisait résonner en moi une petite voie qui essayait de m’avertir que je n’étais pas loin de glisser sur les pentes huileuses de la dépravation. Mais j’avais en écho à cette autre voix qui tentait de me rassurer en réveillant mon intimité. Après tout je n’avais rien fait que d’écouter mon corps en libérant le plaisir qu’il renfermait. Je n’avais volé personne, je n’avais fait de mal à personne, je n’avais pas été contrainte. Je me suis laissé faire, je me suis abandonnée et j’y ai pris plaisir. Où est le mal ? Pourquoi ce trouble ?Ma tâche achevée, je regardais le soleil décliner et machinalement j’ai laissé ma main s’aventure entre mes cuisses. Toutes ses pensées avaient rendu une certaine humidité à mon intimité. Je n’ai pas pu m’empêcher d’humer mes doigts avant de les lécher. J’adore mon effluve !J’ai fait demi tout pour m’avancer vers la maison rejoindre mes amies. En pénétrant dans le salon j’ai entendu leurs voix, elles parlaient de moi. J’avais beau les connaitre de là où j’étais, je n’arrivais pas à distinguer, laquelle des deux parlait.
— Tu ne trouves pas qu’Alycia est une nana surprenante et terriblement sexy.— Je suis totalement d’accord avec toi, elle est vraiment géniale.— On a bien fait de l’affranchir pour nous deux.— Ouais on aurait même pu le faire plus tôt— On ne pouvait pas savoir.— Tu crois qu’on doit continuer ou qu’on lui laisse le temps de digérer son initiation ?— Tu as bien vu, elle est en demande et en plus visiblement elle aime ça.— Mais tu crois vraiment qu’on doit aller jusqu’au bout ?— Bien sûr ! Je suis certaine qu’elle aimera ça autant que toi la première fois que je te l’ai fait.— C’est vrai et, pourtant je n’étais pas particulièrement rassurée.— Et maintenant tu en redemandes.— On est maintenant trop proches toutes les trois pour ne pas tout lui révéler.— Moi aussi j’ai hâte de transformer nos duos en trio.
Sans bruit, presque sur la pointe des pieds, je les ai rejointes, elles étaient toutes les deux en train de préparer une salade composée.
— C’est de moi que vous parlez ?— On ne peut rien te cacher.— Et que disiez-vous ?— Adriana se demandait si nous devions, ou pas, poursuivre ton éveil sexuel. On s’interrogeait sur le fait de savoir jusqu’où on pouvait aller avec toi ce soir.— Et pourquoi ne le feriez-vous pas ?
Adriana prit la parole :
— Je me disais que depuis hier tu avais déjà découvert beaucoup de choses, qu’on t’en avait imposé d’autres et je me demandais si tu étais vraiment prête à découvrir de nouvelles choses.— Je vous ai dit que j’étais prête, que je vous faisais une totale confiance à partir du moment où vous me donnez du plaisir et que je ne resente aucune douleur.— As-tu seulement une idée de ce que nous te réservons?— J’ai cru comprendre que vous vouliez travailler mon petit cul, je me trompe ?— Non, c’est bien ça, mais tu n’es pas obligée.— Quand vous êtes toutes les deux, vous vous sodomisez, non ?— Pas à chaque fois mais assez souvent, c’est vrai.— Alors, je veux le faire, moi aussi, mais à deux conditions. La première je voudrais vous voir à l’œuvre avant de vous ouvrir mes fesses. La seconde si je dis stop, vous arrêtez.— OK pas de soucis, mais je te rassure on sera douce et attentionné. On ne veut surtout pas te braquer.
Andréa mis fin à la conversation :
— La salade est prête, je la mets au frais, j’ai mis aussi une bonne bouteille de rosé au vrai, j’ai envie d’un peu de vin.— Bonne idée s’exclama Andréa.— Bon alors, mettez la table sur la terrasse et après à la douche.
Alysia surprise s’étonna :
— Pourquoi une douche maintenant ?— La première raison, c’est que la salade à besoins d’un peu de fraicheur. La seconde, c’est que pour nos jeux de tout à l’heure, demandent une hygiène irréprochable et pour cela on a besoin d’une toilette intime assez poussée toutes les trois.— Tu dois bien te douter que là ou nous allons poser nos bouches, voire mettre la langue nous avons besoin d’une propreté absolue afin de ne pas être dégoutées.— Je ne supporterais pas des traces douteuses, ajouta Adriana.— Alors direction ma salle de bain.
Alycia était entre ces deux amies, elles étaient toutes les trois étroitement enlacées, et elle embrassait alternativement ces deux amies.Une fois rendu dans la salle de bain d’Andréa celle-ci s’adressa à Alycia :
— On va commencer par prendre une douche toutes les trois et après on s’occupera de faire une toilette particulière, mais avant il fait qu’on retire nos plugs et qu’on les nettoie.
Ces paralores rappelèrent à Alycia la présence du bijou ces fesses. Présence effective depuis le début d’après-midi et qu’elle avait totalement oublié l’existence. Adriana lui demanda :
— Tu veux de l’aide ?
Avant de répondre, elle regarda ses amies faire et ne jugeant pas la tâche insurmontable :
— Non, je devrais y arriver seule.
Avec l’un de ses bras elle prit appui sur l’une des deux vasques, se courba à l’équerre avant de diriger sa main libre entre ses fesses pour agripper la pierre rouge qui ornait son anus depuis le départ pour Nîmes. Elle reproduisit sur elle les gestes qu’elle avait vu faire par ses amies juste avant. Elle imprima au plug un mouvement rotatif avant d’exercer sur lui une traction. Plus elle tournait, plus elle tirait et plus elle sentait ses chairs s’ouvrir. Ce qu’elle ressentait à ce moment précis n’était rien de plus que ce qu’elle vivait quotidiennement. Une fois son anus libéré, elle fit comme ses amies, elle prit soin de l’objet. Les trois plugs étaient maintenant alignés sur le meuble de salle de bains. Andréa s’en empara pour les ranger :
— On ne s’en servira plus aujourd’hui.
Avant de refermer sa cachette secrète elle s’empara d’un objet qui ressemblait à un morceau de tube avec, d’un côté en raccord et de l’autre une forme de pyramide arrondie, plus grande que la base et percée de plusieurs trous. Quand elle le posa à côté d’un des lavabos Alycia put le détailler davantage. C’était un cylindre métallique d’environ une quinzaine de centimètres de long, parfaitement lisse et d’approximativement de trois centimètres de diamètre. Adriana et Andréa observaient Alycia, ou plus précisément le regard de celle-ci qui ne quittait pas l’objet. Celui-ci l’intriguait. Andréa s’approcha d’elle et en posant sa main sur une de ses épaules lui dit :
— Tu te demandes ce que cela peut bien être.— Je ne peux rien te cacher.— C’est un pommeau de douche spécial lavement. C’est avec ça que nous allons nous faire toutes belles pour ton initiation de ce soir. Toi et nous.— Mais je ne me suis jamais servi d’un tel truc.— Ne t’inquiète pas ! On va te montrer et même, si tu veux, on te le fera.— Vous devez me trouver un peu niaise.— Rassure-toi! On a été comme toi quand pour la première fois qu’on a vu ce truc.
Adriana poursuivit :
— C’est totalement indolore. Un peu dérangeant au début, surtout la première fois. Une gêne probablement liée à l’endroit ou on l’utilise, mais tu verras on si fait très vite.
Andréa ajouta :— Ça suffit ! Laisse-toi faire on va s’occuper de toi et souviens-toi, tu n’as qu’un mot à dire pour qu’on arrête.— Je sais, mais je suis quand même un peu angoissée …— Ne me dit pas que tu n’as jamais essayé de mettre un doigt dans ta rosette.— Non, jamais … Enfin si … J’avoue.— Et …— Ce n’était pas mal.— Tu as recommencé après ?— Oui …— Et ?— Eh quoi, …— Raconte.— Et puis zut ! Oui, j’ai aimé, oui j’ai recommencé et j’ai même ajouté un autre doigt.
Elles s’approchèrent toutes les deux moi pour m’embrasser. Mes lèvres étaient couvertes par l’une ou par l’autre. Ma langue voyageait d’une bouche à l’autre. Pendant cet échange buccal, Andréa caressait ma poitrine et me pinçait les tétons, alors Adriana glissa sa main sur mon entre jambes en appuyant sur mon intimité. Je commençais à sentir des papillons s’agiter dans mon ventre. Mes amies étaient en train de me mettre sur les rails du Nirvana. Mais elles s’interrompirent brutalement :
— Allez à la douche lança Andréa.
D’un claquement de main, de la part d’Andréa, l’éclairage principal s’éteignit et deux minuscules spots, encastrés dans le plafond, d’une couleur douce et chaude s’allumèrent, conférant au lieu une ambiance zen et reposante. Gentiment, mais non sans une certaine fermeté, elles me poussèrent sous la douche. Andréa enclencha le mitigeur et l’eau se mit à jaillir, d’un pommeau, hors norme, encastré dans le plafond. Une lumière aux couleurs changeantes se fit ajoutant à l’environnement ambiant une touche de douceur lénifiante.Collées serrées, l’eau ruisselait sur nous, nous procurant un bien-être revivifiant. Les mains couraient sur nos corps abandonnés rien que pour le plaisir de l’instant présent. L’odeur et l’onctuosité du gel-douche rendaient les caresses encore plus irradiantes. J’étais, nous étions merveilleusement bien.Andréa nous abandonna un court instant, juste le temps de saisir de son pommeau spécial et de le mettre en place sur le flexible de douche inutilisé jusqu’alors. Cinq fins jets d’eau jaillirent de l’extrémité arrondie.
— Parfait ! S’exclama Andréa avant d’ajouter :— Regarde Alycia je vais m’occuper de la rosette d’Adriana après elle s’occupera de la tienne et ensuite tu t’occuperas de la mienne. Reste sous la douche avec nous mais mets-toi sur le côté.
Adriana se plaça face au mur du fond, prit appui avec ces deux mains aplat et se plia à l’équerre jambes écartées. Andréa reprit une noisette de gel et commença à masser les deux globes de chair qui lui étaient offerts. Son majeur naviguait tout le long de la raie culière. Avec la pulpe de son majeur elle tournoyait sur cette entrée secrète qui se dilatait doucement. Adriana ne put retenir sa satisfaction, silencieuse, quand une première phalange la pénétra. Il était évident, à ce moment là, que le plaisir envahissait Adriana. Elle releva la tête en me regardant et me supplia :
— Alycia, ma chérie embrasse-moi et caresse mes seins.
Elle n’a pas eu besoin de répéter sa supplique. Je me suis penchée vers elle pour lui prendre la bouche alors que ma main empaumait l’un de ses seins. Andréa poursuivait son travail avec tendresse et délicatesse. Pendant que je continuais à taquiner la poitrine d’Adriana, d’une main, j’ai porté l’autre sur mon entre jambes. Le majeur sur mon clitoris, l’index et l’annulaire de part et d’autre, entre les petites et grandes lèvres. Ma main va-et-vient d’avant en arrière et quand elle est suffisamment avancée je pénètre ma caverne avec mon majeur, qui instinctivement se pose sur mon point G. Un soupir m’échappe. Adriana attrapa ma main :
— Arrête ! Ne jouis pas maintenant, tu prendras, ton pied plus tard je te le promets.
Diffuse en direct !
Regarder son live