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Trixy, mon compagnon et garde du corps

Chapitre 3

Zoophilie
Trixy, mon compagnon et surtout mon garde du corps de trois ans, s’est révélé aux grands jours un été en revenant de notre promenade régulière, alors qu’il faisait extrêmement chaud. Durant cette sortie, j’avais pas mal transpiré et j’étais en nage dans mon survêtement. Vêtement que j’ai quitté pour me retrouver entièrement nue, avant de donner à boire à mon chien.
Comme j’habite une maison individuelle à la campagne, sans vis-à-vis direct, que je n’attendais personne, et qu’à plusieurs reprises déjà, il m’arrivait de rester entièrement nue quelque temps, avant d’aller prendre une douche pour me rafraîchir. Ce jour-là, Trixy vint humer avec sa truffe fraîche, mon entrejambe humide par la transpiration. Chose qu’il n’avait jamais faite jusqu’ici. Sur le coup, j’eus un frisson qui me parcourait tout le corps.
Puis par la suite, intriguée par la sensation ressentie, je décidais de poursuivre l’expérience et d’aller plus loin avec mon compagnon à quatre pattes. C’est ainsi que je me suis laissé renifler, puis lécher ma vulve. Trouvant cela de plus en plus intéressant, agréable et jouissif, je continuais et je le laissais poursuivre ses investigations avec sa langue râpeuse. Il entrait avec celle-ci, de plus en plus loin entre mes grandes lèvres.
Cela devenait de plus en plus excitant, et j’éprouvais même des orgasmes assez intenses, rien qu’avec la langue du chien. Moi qui n’avais jamais rien connu de tel, avec Trixy, j’allais de surprises en surprises avec lui. Je n’avais jamais pensé que cela était possible, ni que ça pouvait être aussi bien.
Je ne connaissais absolument pas la zoophilie, je n’en avais jamais entendu parler, mais là, il fallait que je me documente et que je me renseigne urgemment, car le plaisir que me procurait Trixy était incroyablement bon, et plus il me donnait du plaisir, et plus mon corps m’en réclamait. Je n’étais vraiment plus maître de mon corps et des sensations reçus.
Une fois que j’avais pris connaissance des pratiques zoophiles, de femmes avec des chiens, cela m’intriguait au plus haut point, puis dans les vidéos que j’avais visionnées, les femmes semblaient aimer être saillies, et elles en redemandaient, ont les entendaient gémir lorsqu’elles étaient soudées à l’animal. Je voulais savoir et surtout, je voulais moi aussi vivre pleinement cette relation sexuelle canine, hors du commun avec un animal. De plus, j’avais appris que je ne risquais pas de tomber enceinte du chien, si j’allais jusqu’au bout de cette expérience et que je me laissais saillir et souder avec l’animal.
Étant maintenant un peu moins bête sur les relations zoophiles entre femmes et chiens, je décidais d’aller plus loin que les cunnilingus avec Trixy. Rien que d’y penser, j’étais très, très excitée, j’avais des frissons dans tout le corps, j’étais fiévreuse, car je ne savais pas comment ça allait se passer et si j’y arriverais.
Mais bon, comme l’envie d’essayer était plus forte que les craintes, j’ai sauté le pas et je me suis laissé prendre par Trixy. Comme habituellement, lorsque nous revenions de notre balade, une fois de retour au domicile, et depuis la première fois, maintenant, lorsque nous sommes à l’intérieur, je verrouille les portes et je me déshabille totalement, je laisse le chien lécher mon entrejambe à sa guise, et quand je lui pose sa gamelle d’eau parterre, et pour la première fois, je me mets à quatre pattes, et je le laisse me lécher la vulve tout entière jusqu’à mon petit trou.
Trixy semble à chaque fois apprécier mon odeur corporelle. Puis je remarque en regardant derrière moi comme son sexe tout rose, rouge avec des nervures bleutées, qui sortait de son fourreau. Il lèche et tourne autour de mon arrière-train, attendant je ne sais quoi. Puis d’un coup, il se décide et il saute avec les pattes avant sur mon dos. Il m’enserre fortement au niveau du bassin, et je sens comme sa bite tape tantôt sur mes fesses, tantôt elle passe au-dessus des fesses, et tantôt elle passe entre mes lèvres vaginales sans s’insinuer correctement.
Moi de mon côté, je suis impatiente de le recevoir enfin en moi, je tremble, j’ai des frissons, je transpire. Puis sans prévenir, je sens comme sa bite s’engage entre mes grandes lèvres et dès que son sexe sent l’humidité de ma chatte et la chaleur de celle-ci, ça va très vite, il m’empale d’un coup, il rentre en moi frénétiquement, me faisant crier de surprise.
Je sens maintenant sa bite en moi, elle avance et recule rapidement, elle est chaude, je sens aussi comme ce pénis canin augmente de volume en même temps qu’il va et vient en moi. Ça va très vite, il lime ma chatte en même temps qu’il me la remplit, par sa taille qui ne cesse de grossir encore en moi. Trixy me bourre la chatte, il me lime frénétiquement, puis il ressort de celle-ci, il vient me lécher l’arrière-train, puis il remonte sur moi et il me reprend. Il fait cela à deux ou trois reprises. Puis à un moment donné, il reste en moi, et il me pousse en avant, durant ces accouplements, j’ai des sensations incroyables de bourrages, je sens comme sa grosse bite me ramone la chatte, je jouis sans arrêt, j’ai des orgasmes intenses.
Je crie parce que je sens comme quelque chose a forcé à rentrer dans mon intimité avec un gros diamètre, j’ai l’impression que mon vagin va éclater, tellement il est déformé, distendu, étiré. Ensuite, Trixy ne bouge plus, par contre, je sens comme il gicle en moi, je sens une éjaculation de sperme en de puissants jets chauds, qui viennent s’écraser au fond de mon intimité, me procurant par la même occasion un immense bonheur, une jouissance indescriptible jamais rencontrée auparavant avec un homme.
Je grimpe littéralement aux rideaux comme on le dit si bien. Je plane, je suis dans les vapes, tellement c’est bon, et tellement je jouis. Trixy est en train de se vider en moi, il éjacule une quantité impressionnante de sperme, si bien que j’attrape un petit ventre tellement il m’en met. C’est incroyable ce que l’on ressent à ces moments-là. Je veux essayer d’avancer, mais impossible, je suis verrouillée au chien. Je commence à avoir peur, car je ne sais pas pour combien de temps, il va rester ainsi soudé en moi ? Et comment ça va se passer lors de la séparation ? Je reste donc dans cette position, bon gré mal gré, et je réalise seulement maintenant que par cette saillie avec mon chien, je suis devenue sa chienne. Il a fait de moi sa chienne, et il est en train de m’ensemencer avec son sperme.
Moi la jeune femme célibataire, sans histoire, qui a toujours été irréprochable. Par cette saillie avec mon chien Trixy, je suis devenue zoophile. Je suis devenue la chienne de mon animal de compagnie, et le pire dans cette histoire, c’est que non seulement je n’ai aucun regret, mais qu’en plus j’aime ça, et j’y prends énormément de plaisir à le faire, je jouis incroyablement en étant prise de la sorte. Pour moi, ce sont des sensations nouvelles, bien réelles et fort intéressantes au niveau du plaisir obtenu.
Qui aurait cru qu’un jour, moi si normale, qui a toujours été conforme à l’ordre des choses, qui n’avait aucun souci à avoir des rapports sexuels avec des hommes, moi qui depuis toujours avais des hommes pour me satisfaire, comme je les voulais, et qui me couraient toujours après, pour coucher avec.
Que je puisse un jour virer de bord à ce point et à avoir des rapports sexuels hors du commun, avec un animal de compagnie, que je me fasse prendre par un amant canin. Jamais je n’aurais pensé à une telle chose possible, et encore moins à la pratiquer, de plus que j’y prends beaucoup de plaisir à le faire et qu’ensuite je suis sexuellement comblée.
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